La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 363)
Suite de l'épisode N°359 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré
Walter est plus quirrité par le gloussement étouffé qua laissé échapper soumise Thaïs MDE, plus sous la forme dun rire nerveux car elle commence à accuser la fatigue après tant de sollicitations diverses, intenses et ininterrompues depuis plus de deux jours, essayant de tenir au-delà de ses propres forces pour résister aux exigences permanentes du Majordome et de la cuisinière qui ne lui laissent pas une seconde de répit, tant ils ne manquent pas didées perverses pour la titiller de toutes les manières possibles, physiquement et psychiquement tout autant. En réalité, au fond de lui, même sil refuse de le laisser paraître, Walter est plutôt amusé par lhumour et intrigué par la finesse desprit de cette nouvelle recrue qui au lieu de soffusquer des idées vicieuses de Marie la cuisinière, avec ses légumes du potager utilisés en gode végétal a trouvé le moyen de penser à des citations grivoises et des uvres classiques quand Marie a parlé de lui foutre un poireau dans le cul en guise de punition.
Mais pour le Majordome, il nest pas question de lâcher la bride et de perdre la face en se mettant lui aussi à rire de la blague de Thaïs, à laquelle il aurait bien rétorqué quil sendort rarement avec « le poireau dans la main » et quil y a bien peu de risques quil trouve « le plafond repeint au matin » , ayant sous la main tout ce quil faut pour se faire branler ou sucer à sa guise, et pour décharger dans un gosier avide de sa précieuse semence, puisque Monsieur le Marquis dEvans lautorise en guise de remerciements, bien plus que de gages en nature, de pouvoir utiliser les chiens dociles et les chiennes en chaleur du cheptel pour assouvir chaque fois que nécessaire tous ses besoins de Mâle éjaculateur. Et puis, il nest pas question pour lui de laisser se dévoiler son manque de culture, car il na jamais lu les textes de Rabelais, préférant de loin les écrits plus D/s que « gargantuesques » de Monsieur le Marquis dEvans quil savoure avec grand plaisir et il nentend donc pas laisser Thaïs MDE le ridiculiser avec quelques références littéraires que ce soit, quand elle devrait se contenter de ne citer tout au plus que Le Maître Vénéré auquel elle appartient pour ses talents décrivain reconnu par tous.
- Alors, irrespectueuse et vilaine petite chienne qui ne sait pas tenir sa langue dans sa bouche et ne lutiliser que pour sucer les sexes auxquels elle est astreinte de donner du plaisir ! Loin de ressentir de la honte de devoir doublement être punie pour son inconduite devant Madame Marie, tu trouves le moyen de pouffer de rire de la manière la plus impertinente qui soit. Le poireau te fait tesclaffer, alors je vais ten donner à profusion à ten remplir le ventre et à mon avis, tu vas finir par tassécher à force de pleurer
. de tourments bien plus que de fous rires !
Lesclave-soumise qui est maintenue sur la table pliée en équerre au niveau de la taille, immobilisée par la poigne ferme du domestique à la forte carrure qui ne manque pas de musculature dans les bras, sinquiète de la suite des évènements. Elle regrette amèrement de savoir que sa minuscule inspiration enjouée quelle a laissé échapper bien malgré elle ne soit pas passée inaperçue aux oreilles de ce fidèle serviteur toujours aux aguets, surtout en labsence du Châtelain, car elle se serait bien dispensée de nouvelles réprimandes de la part du Majordome qui a lart damplifier la plus minuscule des erreurs, car la chienne-esclave admonestée était bien loin, dans létat dasservissement où elle se trouve, dêtre tentée de pouffer de rire dimpertinence, mais elle a fini par comprendre quil lui sera dorénavant fait grief de toute infime défaillance, du plus petit écart de conduite, du moindre rictus ou soupir de travers pour la maintenir en permanence sur le fil du rasoir et dans un état qui lui rappelle à chaque seconde sa condition servile desclave-soumise librement assujettie à Monsieur le Marquis Edouard dEvans. Sur ces entrefaites, la cuisinière revient tenant entre ses mains plusieurs très gros poireau lavés mais non épluchés et quelques accessoires de contraintes diverses.
- Walter, tu aurais pu mattendre avant de vouloir chauffer la couenne de cette fâcheuse désobéissante au lieu de commencer à profiter seul de quelques petits préliminaires cinglants qui ne sont jamais pour me déplaire.
- Ah ! Marie, te revoilà, tu tombes à pic ! Sais-tu que cette effrontée a eu le culot de rigoler de la manière la plus irrévérencieuse qui soit à cause de ton histoire de poireau dans le cul. Elle sest permise de se gausser ouvertement de ce qui était censé être une punition humiliante et dégradante, destinée à lui servir de leçon en lui faisant regretter amèrement de navoir pas su respecter linterdiction faite aux esclaves de parler sans autorisation, qui a depuis des années cours en ces illustres lieux, suivant les exigences renouvelées de Monsieur le Marquis en personne. Je suis certain que Notre Châtelain bien aimé nappréciera guère le manque de respect de sa nouvelle petite chienne réfractaire et quil saura lui faire passer lenvie de fanfaronner avec des blagues de comptoir et des anecdotes rabelaisiennes.
- Des
quoi ??? Tu me parles de quoi, Walter ?
Cest quoi cette histoire de trucs en «
iennes » que je ne comprends pas, des histoires de lesbiennes tu veux dire
.
- Mais non, jai dit « rabelaisiennes »,
. (puis rajoutant dun ton très dédaigneux tout en fixant Thaïs MDE dont il vient dattr la tignasse et en lui secouant la tête dans tous les sens tout en continuant de parler )
parce que ma
da
me
lex-chef dentreprise, qui na pas encore compris quici elle nétait plus grand-chose, juste une esclave en formation au milieu de tant dautres largement plus qualifiées et satisfaisantes, na pas trouvé mieux que de me sortir sa science et ses connaissances littéraires, comme si elle simaginait un peu que je nen connais pas au moins autant quelle sur Rabelais. Mais elle se croit où cette miteuse pimbêche, dans une grotesque foire ou une comédie burlesque ! Tu vas voir que je vais lui faire regretter davoir eu lidée de plaisanter et de se railler de nous, alors même quelle aurait dû se sentir honteuse dêtre en pénitence, condamnée pour expier ses manquements à la première règle de base du silence.
Walter de sa plus grosse voix et sapprochant de loreille de lesclave dans laquelle il vocifère presque à la rendre sourde détourdissement pendant quelques secondes, sexclame :
- Minable chienne, tu ne bouges pas dun quart de millimètre jusquà mon retour. Je vais chercher ce quil me faut car tu vas voir de quel bois je me chauffe, quand quelquun a le malheur de me mettre en colère. Je suis persuadé que tu ne vas pas avoir vraiment le temps de pouffer de rire, mais moi si !!!
ah
ah
ah
(ajoute t-il avec un ton des plus vicieux qui a un arrière goût dhumour très noir)
Thaïs MDE est frémissante dinquiétude, mais en même temps étonnée du frisson dexcitation qui lui parcourt léchine de se sentir presque heureuse de se trouver là, dans cet illustre Château dont elle avait tant rêvé depuis des semaines, assurée plus que jamais de son choix de renoncer à sa vie davant de femme libre et libérée, autonome et indépendante, afin de devenir pour toujours lune des esclaves-soumises MDE du Maître Vénéré, Monsieur le Marquis dEvans, même si elle a conscience des contraintes et des règles quelle a accepté de se voir imposer suivant le seul bon plaisir et les exigences absolues du Maître, tout autant que ses multiples ordres impératifs auxquels elle ne pourra jamais se soustraire et devra se plier bon gré mal gré. Elle ressent même un immense bien-être lenvahir qui ne sexplique pas autrement que de comprendre quelle se sent enfin à sa place, la seule qui lui convient pour être en accord avec son désir inné de soumission quelle porte au plus profond de son âme, bien-être qui, au-delà des apparences de la situation quelle doit supporter et de la punition quil lui faudra souffrir, la transporte dans un état sublimé, presque transcendant, où elle a conscience que son plaisir dorénavant découle de sa capacité à donner le meilleur delle-même pour la satisfaction du Maître avant tout, même sil lui faut pour cela accepter le dressage pénible obligatoire, qui en est le passage incontournable pour « entrer en soumission » et respecter ses vux dallégeance envers Le Maître Vénéré et Adulé, comme dautres « entrent en religion » avec des vux monastiques.
Tandis quelle sabandonne sans retenue entre les mains du Majordome, oubliant peu à peu ses craintes pour ne plus voir dans sa résignation que sa capacité à abdiquer toute volonté et une capitulation salvatrice en conformité avec cet état de soumission quelle désire de toute son âme, elle ressent son corps qui vibre de lintérieur la portant presque dans un état de béatitude, avec lhumidité sexuelle de son bas-ventre qui va de pair, qui lui fait presque oublier les sévices punitifs quelle va devoir endurer, mais qui lui apprendront dorénavant à rabattre son caquet avant de partir dans des réflexions délirantes qui ne sont plus de mises en ce lieu pour une chienne-esclave faisant partie du cheptel du Marquis dEvans. Walter après avoir baissé dau moins cinq tons se retourne à nouveau vers la cuisinière.
- Marie, est-ce que tu pourrais encore prendre de ton temps avant de retourner en cuisine reprendre ton service, et toccuper de ce fessier à mes lieux et place, pendant que je vais aller chercher mon attirail pour la suite des réjouissances, afin que cette révoltante garce perdre définitivement le goût des moqueries déplacées qui ne sont pas du tout à mon goût ? En tout premier lieu, je nai pas oublié que cette chienne indolente ma fait attendre devant mon café pendant 4 minutes et tu mas bien dit que le retard était de son seul fait. Tu connais donc comme moi le règlement intérieur, auquel il nest pas question de déroger pour une moins que rien qui ne mérite aucune indulgence. Je te serais reconnaissant si ton poignet ne craint pas un peu dexercice supplémentaire de lui assener les 40 coups de cravache quelle mérite très largement. Ce sera une première mise en bouche avant le plat de résistance
. Et surtout ne te retiens pas, car elle a eu le toupet de te narguer dédaigneusement en osant se moquer de la digne punition que tu avais décidé de lui imposer, il y va donc de ton honneur de transformer ses rires en pleurs, et de ne pas te contenter de simples larmoiements de fillette plaintive.
Pendant que Walter séloigne, Marie vient dattr sur une desserte à proximité une cravache de dressage, dautant plus cinglante quelle est longue et très fine. Elle sapprête à se défouler sur le postérieur exposé si tentant de lesclave-soumise, nayant pas du tout apprécié dentendre Walter lui annoncer que Thaïs MDE avait cru pouvoir rigoler de ce quelle avait choisi comme sanction avilissante.
- Puisque cest ainsi que tu as osé me remercier des plaisirs que je tai accordés lorsque je tai permis de patauger dans mon « bouillon de légumes » que javais parfumé de toutes mes sucs de femelle et de mon abondante douche dorée, je peux tassurer que tu ne vas guère avoir le temps de « badiner » (se comporter plaisamment) sur la table avec la badine que je viens de choisir pour ta belle croupe plantureuse qui va me permettre de me livrer à mon tour à quelques facéties que je ne manquerais pas de trouver fort rigolotes, tout comme mes jeux de mots, lorsque je constaterai que tu rigoles bien moins à présent.
Thaïs MDE se mort les lèvres de remords se trouvant prise à son propre piège de mille et une manières, sentant bien que la plaisanterie que les deux fidèles serviteurs de Monsieur le Marquis sont en train de vouloir lui imposer naura rien de bien plaisant à son niveau. Marie promène la cravache sur le dos de lesclave-soumise, la glisse sans la moindre pudeur dans le sillon fessier avant de venir simmiscer dans la chatte entrouverte de Thaïs MDE et de donner deux petits coups sur lintérieur des cuisses pour lui faire comprendre quelle doit encore plus écarter les jambes. La forçant également à creuser encore plus les reins, en appuyant de laplat minuscule de la cravache, la chienne-soumise se sent encore plus excitée de se savoir ainsi cambrée, ouverte, exposée et fouillée avant même dêtre corrigée. La cuisinière ajoute dun ton ferme.
- Est-il besoin de te préciser quà chaque coup de badine, tu comptes ! Il nest pas question que je me fatigue à cette tâche subalterne qui tincombe. Evidemment, à la première erreur ou au premier oubli, tu remettras le compteur à zéro. Et pour te rappeler le respect qui mest dû, tu ajouteras après chaque chiffre « Merci Madame Marie de bien vouloir me punir » et tous les dix coups tu compléteras ta phrase par « Jimplore votre Pardon pour vous avoir offensé et pour avoir trouvé à rire de la punition que vous avez choisi de mimposer ». Tu peux commencer dès à présent par mimplorer sans avoir à attendre le dixième coup.
Tandis que Marie fait siffler dans lair linstrument, histoire de faire monter la tension nerveuse et lexcitation dans le corps de la chienne-soumise qui contracte tous ses muscles ne sachant pas quand et où le premier coup va tomber, Thaïs MDE, dune voix timide et se faisant le plus humble possible, se lance avec quelques difficultés, ne sachant pas si elle a bien compris ou non lordre qui vient de lui être donné, et si une fois de plus, elle ne va pas se faire rabrouer encore plus pour avoir ouvert la bouche alors quelle aurait dû se taire.
- Madame Marie, jimplore respectueusement et très humblement votre Pardon pour navoir pas respecté par deux fois la règle du silence imposée à tous les esclaves du cheptel de Monsieur le Marquis dEvans, pour de ce fait vous avoir offensé et aussi pour avoir trouvé à redire et encore plus à rire de la punition que vous aviez choisie de mimposer à fort juste titre et pour laquelle jaurai dû seulement ressentir la honte davoir désobéi aux règles impératives de Monsieur le Marquis dEvans, Le Maître Vénéré à qui jappartiens corps et âme.
- Tu es vraiment infernale ! Tu ne sais pas ten tenir à O-BE-IR et à respecter ce que lon exige de toi à la lettre et au mot près. Il faut toujours que tu en rajoutes pour montrer que tu sais causer. Mais ici, tu dois montrer avant tout que tu sais te taire, écouter, retenir ce que lon prend le temps de texpliquer, ne pas répliquer, ne pas interpréter à ta convenance ce qui test imposé, ne pas décider de quoique ce soit car les choix ne tappartiennent plus, et donc juste O-BE-IR. Cest quoi cette tartine de mots inutiles que tu viens de me débiter à nen plus finir
. Si tu penses que jai du temps à perdre à técouter déblatérer, tu te trompes fallacieusement, espèce de sale pie bavarde
Thaïs MDE se sent perdue, elle qui croyait samender honorablement en implorant encore plus Madame Marie et en exprimant son repentir deux fois plutôt quune, sest une fois de plus fait admonestée. Elle a du mal à modifier son comportement naturel davant, à freiner son côté prolixe et perfectionniste qui cherche toujours en faire plus pour essayer de faire du mieux possible et elle comprend, mais un peu tard, que ce nest pas précisément ce que lon attend delle, et que vouloir devenir une vraie soumise dévouée, cest aussi accepter de ne pas toujours chercher à comprendre ce quon attend delle et à linterpréter à sa manière à elle qui peut être faussée mais juste à exécuter ce qui est exigé dans une soumission simple et une dévotion totale. Marie, de manière encore plus ferme, continue.
- Pour la peine, tu vas fermer une bonne fois pour toutes ton clapet volubile de concierge. Je ne tautorise même plus pour linstant à compter, à me remercier et encore moins à implorer mon pardon, cela tapprendra ! Mais, sache que du coup, tu nen seras pas quitte pour autant vis-à-vis de ton offense à mon égard que je noublierai pas de te rappeler le moment venu. Et tâche aussi que je nentende plus le moindre mot sortir de tes lèvres avant la fin de la raclée si tu ne veux pas que je te les scelle pour un long moment avec du ruban scotch.
Marie abat la cravache sur les fesses tendues et cambrées de lesclave-soumise qui serre les dents ressentant un impact beaucoup plus intense que les coups quelle avait jusqualors reçu de la part du Maître Vénéré ou même de Walter le Majordome. Marie se doutant bien de leffet produit par ce premier coup lancé par surprise et avec force, avec cet instrument particulièrement cinglant, approche le fin aplat de la cravache de la bouche de Thaïs MDE, pour savourer encore plus le plaisir pervers quelle va prendre.
- Embrasse délicatement lobjet qui sert à te punir. Je suis persuadée que tu le trouves fort à ton goût, et que tu vas apprécier à leur juste valeur les 39 coups qui restent à venir. Tes fesses sont assez larges pour que je puisse les colorer sur toute leur surface, et je peux tassurer que tu en garderas la marque en souvenir bien plus longtemps que nont duré tes 4 minutes de retard, ce qui tapprendra la prochaine fois à ne pas lambiner sur le chemin...
(A suivre
)
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