Salope Candauliste À 18 Ans (4)

Une fois remontée dans sa chambre et remise de ses émotions, Sarah se mit à penser plus clairement à la situation. Ce mec, qui lui plait énormément, elle l'a sucé, juste sucé. Il connait le numéros de sa chambre. Quelle attitude adopter ? Faire la fille froide, jouer la distance et passer à autre chose ? Ou plutôt ce qu'elle voulait vraiment, l'attirer dans son lit pour qu'il la baise, qu'il la prenne, qu'il la possède.

Allongée sur son lit, encore en maillot de bain, à peine remise de son orgasme en solitaire, elle est exténuée. Elle se détend, se relaxe, elle est bien. Elle ne se rend pas compte qu'elle s'endort. Toutes ces émotions, en plus du voyage, ont eu raison d'elle. Quelques heures passent, avant que la brune ouvre doucement les yeux. Un petit coup d'oeil sur le téléphone, près de minuit, et plus beaucoup de batterie. Pas mal de messages de moi, qui lui demande des nouvelles. Elle décide de brancher son chargeur et de m'appeler.

Je ne dors pas encore quand je vois mon téléphone qui sonne. C'est Sarah. Je décroche, je suis en caleçon dans mon lit. Très vite, elle me raconte son arrivée mouvementée. Elle m'explique, dans les moindres détails, comment ce soir, elle a sucé un homme avant de se doigter dans le jacuzzi. Ca m'excite, ça me fait bander, je ne peux m'empêcher de sortir mon sexe de mon caleçon et de me branler en l'écoutant m'expliquer son plaisir avec cet autre homme. Je ne saurais expliquer ce fantasme, il est difficile à comprendre pour ceux qui ne le vivent pas. Mais l'idée de voir ma femme prise par un autre homme est la chose la plus excitante qu'il soit. Voir ou s'imaginer de l'extérieur, sa femme en levrette, défoncée par un autre garçon avec qui elle prend tout le plaisir possible, parfois plus qu'avez vous-même ! Quelques minutes de ces pensées suffisent à me faire jouir dans un orgasme puissant.

Elle me demande conseil. L'oublier, passer à autre chose, voir même passer des vacances sans sexe ? Ou foncer, s'amuser, s'éclater.

Le conseil que je lui donne la surprit, autant que l'excite. Je lui demande d'aller le rejoindre immédiatement et d'aller passer la nuit entière avec lui. J'ai posé une seule et unique condition. J'ai demandé à ce que son portable reste tout le long près d'elle, au téléphone avec moi, sans qu'il le sache. Elle accepte et va se préparer.

Le coeur de Sarah s'emballe. Elle est dans la salle de bain, et se demande quoi mettre pour séduire cet homme, pour qu'il donne tout pour elle. Elle choisit une nuisette rouge transparente, arrivant en haut des cuisses. Pas de soutient gorge, uniquement un petit string assorti. Par-dessus, une simple robe noire, elle ne restera pas longtemps. Les cheveux détachés, un peu de maquillage, et c'est parti. La chambre est trois étages au-dessus de celle de Sarah. Dans l'ascenseur, elle compose mon numéros, avant de verrouiller son téléphone.

Mon portable sonne, c'est Sarah. Elle est en train d'arriver chez lui, c'est le moment. Une demi-heure est passée depuis mon éjaculation, et je suis déjà au garde-à-vous. J'entend clairement Sarah frapper à une porte. Quelques secondes après, celle-ci s'ouvre, j'entends une conversation que l'homme entame.

- Je ne t'attendais pas si tôt.
- Je pouvais pas attendre.
- Qu’est-ce que tu veux de moi ?
- Tout. Je suis à toi, pour toute la nuit. Fais-moi tout ce que tu veux.
- Tu es bien sure de toi ?

Je n'entendis pas une réponse, mais uniquement le bruit de la porte qui se ferme. Elle est rentrée. Il la plaque contre le mur du petit couloir, et l'embrasse à pleine bouche. Au fond de lui, Philipe avait rêver de revoir cette petite salope, mais avait peur d'y être allé trop fort, et ne plus avoir de nouvelles. Elle était venu jusqu'à lui, une jeunette, ça ne se refuse pas ! Alors il va faire ce qu'elle veut, cette nuit, il va tout donner.

Moi, de mon côté, dans mon lit, la queue à la main, j'entends leurs bruits de respiration s'accélérer, des baisers se déposent sur leurs corps.
Ils sont maintenant sur le lit, et après de nombreux bruits de succion, je sais que c'est le moment. Le temps s'est figé, la respiration de Sarah aussi. Je comprends directement, qu'il vient de rentrer en elle. Leurs respirations reprennent, des gémissements apparaissent. Il la prend lentement, et profondément, et elle adore ça. Elle ressent chaque centimètre de son épaisse bite au fond d'elle. La base de son sexe écarte chaudement ses lèvres, pendant que sa colonne de chair est plantée au fond d'elle. Le vicieux fait quelques mouvements, pour que sa femelle sente qu'il est bien ici chez lui.

Mais cette intensité ne pouvait pas durer sans que monsieur accélère la cadence. Les bruits s'accéléraient, et madame criait de plus en plus fort, de plus en plus rapidement. Les claquements de peau se faisaient entendre, signe clair et précis qu'il était maintenant en train de la défoncer, purement et simplement. Ce qu'elle me confirma quelques minutes plus tard, en parlant avec son amant.

- Oui, vas-y, défonce-moi, je te sens bien au fond...
- Oui, continue à bouger ton gros cul, je sens que ça monte !
- Moi aussi Philipe, continue, je vais jouir !
- Ahhhh, salope, je vais te remplir !

Avait-elle une capote ? Allait-il jouir en elle ? Ses questions essentielles, je ne me les suis pas posé, tellement j'étais en extase, sur le point, moi aussi, de lâcher toute ma semence. Ça faisait déjà 20 bonnes minutes que je les entendais jouir, je n'en pouvais plus. Dans une râle rauque et bruillant, j'ai compris qu'il avait rempli ma femme de sperme chaud, comme elle adore sentir dans son ventre. Quelques coups de bite supplémentaires, et Sarah vient aussi, avec l'un des orgasmes les plus longs et les plus intenses que j'ai jamais entendu chez elle ! Moi ? J'ai déjà du sperme sur le ventre, les cuisses et les mains.

Quelques minutes de silence passent, tout le monde profite de son plaisir, et se détend. Philipe demande à Sarah si elle veut passer la nuit avec lui.
Elle se lève, se dirige vers le téléphone. Elle lui répond oui, et qu'elle voulait vite remettre ça, pour toute la nuit et jusqu'au lendemain matin. À la fin de cette phrase, elle raccrocha et éteint le téléphone, qu'elle ne ralluma que le lendemain midi...

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