La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 364)
Suite de l'épisode précédent N°363 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré
Lesclave-soumise se cramponne avec les mains au rebord de la table pour supporter les coups les uns après les autres. Mais cette fustigation sévère ont vite raison de son endurance, surtout lorsque la cuisinière vient réveiller des endroits déjà meurtris par des punitions plus anciennes dont les effets nont pas encore disparus, ce qui les rend plus sensibles de fait. Elle éclate en sanglots libérateurs de la tension et de la souffrance qui a pris possession de son corps, lui permettant alors de commencer à libérer les endorphines qui transforment peu à peu cette épreuve essentiellement douloureuse en un moment où douleurs et douceurs se mêlent tout autant, dans une totale contradiction, même pour Thaïs MDE qui nest pas physiquement masochiste, mais qui trouve un plaisir évident et une satisfaction certaine dans son abnégation et son abandon sous le joug du Maître auquel elle appartient. Cest à ce moment que Walter arrive, excité de voir la chienne-soumise dont les fesses ont changé de couleur, bariolées de multiples impacts, qui supporte docilement les coups dispensés par Marie avec une cravache qui siffle lorsquelle fend lair. Il aperçoit le visage en larmes de lesclave silencieuse dont les mains se crispent encore plus sur la table à chaque impact.
- Et bien Marie, cette chienne bâtarde de la plus basse espèce est-elle devenue analphabète et stupide au point de ne même plus savoir compter jusquà 40.
- Non, Walter, cest moi qui lui ai imposé de la fermer. Jen avais marre de lentendre jacasser avec ses grands airs de bourgeoise qui aime discourir. Au moins, elle ne méchauffe plus les oreilles avec son laïus inutile, il est temps quelle apprenne à tenir sa langue et à ne la sortir que pour laper ce que veux bien daigner lui donner à manger ou à boire et surtout quelle ne soit là que pour lécher à bon escient lorsquon lui en donne lordre.
- Tu as tout à fait raison, Marie, cela me fait venir quelques envies bandantes tandis que tu termines de la chauffer un peu plus au niveau du derrière.
Le Majordome fait le tour de la table et vient se positionner juste devant la tête de Thaïs MDE dont le visage est trempé de larmes, tandis quelle a fermé les yeux en gardant les paupières contractées et quelle serre les lèvres au maximum se mordant presque jusquau sang pour éviter de crier lorsque la cravache vient sabattre sur sa croupe rougissante. Walter ouvre rapidement la braguette de son pantalon, et extirpe de son boxer un sexe déjà bien gonflé. Il pince le nez de la chienne-esclave pour la forcer à ouvrir la bouche et glisse aussi sec deux doigts dans la bouche de la chienne pour préparer le terrain et forcer la bouche à souvrir encore plus grand afin quil puisse y glisser bien profondément sa queue turgescente, prenant possession de toute la cavité buccale de Thaïs MDE, qui se concentre pour garder la mâchoire ouverte et ne pas serrer les dents par pur reflexe tandis que les coups continuent de pleuvoir sans diminuer dintensité. La chienne est prise à son tour par une vague de plaisir quelle sent monter en elle, dêtre ainsi possédée alors quelle sent ses fesses qui diffusent une chaleur brûlante intense. Le Majordome a empoigné les cheveux de lesclave, la forçant à redresser la tête pour avoir le visage relevé et la bouche à la bonne hauteur en bout de table. Thaïs MDE est impuissante, carrément baisée et pénétrée dans la bouche, sans pouvoir bouger car elle est retenue par la table vers larrière et par la main de Walter dans lautre sens. Cest à ce moment-là que Marie, annonce dune voix tonitruante
- 39
(aussi sec suivi dun dernier coup sec virulent
.) et 40 !!!
- Ah, non, Marie, pas si vite ! Tu as déjà fini alors que je venais à peine de commencer de pilonner cette chienne en chaleur. Je ne compte pas marrêter en si bon chemin sans lui fourrer dans le gosier tout ce qui remplit à nouveau mes couilles pesantes.
- Ah, cest bien pour te faire plaisir, Walter, car le travail mattend en cuisine, et puis je commence à avoir le bras qui séchauffe et ma chatte que je sens couler qui demanderait bien quelque dédommagement pour ma peine.
Walter se penche à loreille de lesclave-soumise avec son petit air narquois habituel, lorsquune idée vicieuse vient de lui traverser lesprit.
- Je vais passer un « marché » avec toi. Enfin, un marché est un bien grand mot, car il ny a jamais rien à marchander avec moi, puisque tu nauras pas le choix et que tu as été assez contrariante et désobéissante aujourdhui. Donc, Marie va continuer de te cravacher jusquà ce que je puisse enfin prendre le temps sans me presser de jouir dans ta bouche. Si tu es une bonne suceuse qui sy prend bien, tu pourras minimiser le nombre de coups supplémentaires. Jaime bien lidée perverse de savoir que cest de toi et de toi seulement que dépendra la suite et la longueur de la punition complémentaire. Alors, tâche de tappliquer, espèce de salope ! Et bien évidemment, puisquil sagit dune punition, tâche quil ne te prenne pas lenvie de jouir à ton tour, cela risquerait de ne pas me faire rire du tout.
Marie continue à abattre la cravache sur les fesses qui sont devenues totalement cramoisies, mais elle a visiblement ralenti la cadence et lintensité, pour laisser à Walter le plaisir de savourer lécrin buccal dans lequel il enfonce sans ménagement son sexe jusquà venir en butée sur le fond de la gorge de Thaïs MDE qui sapplique tant quelle peut pour lui faire une fellation digne de ce nom et la plus efficace possible, car elle aimerait bien que ses fesses en feu soient un peu épargnées à force.
- Avale salope et maintenant nettoie tes saletés de chienne lubrique
Thaïs MDE déglutit sans avoir besoin de se le faire dire deux fois, même si elle trouve que Walter aurait pu avoir un ton un peu plus indulgent après avoir bien joui, et quelle nest pas vraiment fautive pour le sperme qui macule encore le pénis du Majordome, car elle na pas eu dautres choix que dexécuter les ordres et douvrir la bouche. De sa belle langue bien sortie, elle lèche le sexe pour le rendre le plus propre possible, sachant bien quelle nest pas au bout de ses peines, et que, ni Marie, ni Walter, ne la tiendront pour quitte aussi facilement. Elle a bien raison de penser ainsi, car sans la moindre marque sympathique de la part du Majordome pourtant bien soulagé, ce dernier reprend aussi sec sur un ton toujours aussi libidineux et tout autant irrité.
- Passons aux choses sérieuses maintenant ! Merci, Marie, de ta contribution de « père fouettard » de service.
Marie att le poireau et commence à vouloir le peler pour enlever la première couche externe et surtout les racines qui pendent du pied. Walter linterrompt aussi sec.
- Ma bonne Marie, tu te donnes beaucoup de mal pour rien à vouloir faire du zèle pour le cul de cette donzelle. Ton poireau est propre sans terre, tu nas quà lui fourrer dans le trou ainsi, si cela lui chatouille lintérieur du conduit, cela lui donnera loccasion de rire, qui sait ! Et nous de la punir une fois de plus. Si tu crois que je vais prendre autant de gants pour terminer de la préparer et de la fourrer avec les autres poireaux que je vois là, car je veux quelle se souvienne assez longtemps de sa plaisanterie cocasse qui va lui paraître de moins en moins drôle au fur et à mesure de laprès-midi.
Lesclave-soumise déjà en larmes se sent particulièrement humiliée de les entendre parler delle comme si elle était une vulgaire dinde quon allait mettre à rôtir après lavoir remplie de farce. Elle sent Marie qui vient denfoncer le légume dans son anus forçant sa rondelle une fois de plus avec un gros et long poireau qui devait sortir du frigidaire tant il lui parait froid en contraste avec la chaleur qui irradie sur ses fesses. Walter prend la place à son tour entre les jambes de Thaïs MDE.
- Marie, as-tu pensé à prendre un gros feutre pour que nous puissions marquer les fesses de cette chienne fautive comme nous en avions convenu, afin que chacun sache pourquoi elle se promène ainsi enculée par un vulgaire légume, ayant pour lheure perdu le droit de porter un magnifique plug bijou marqué aux armoiries de la famille Evans.
- Je vais en prendre un sans tarder, car je tiens à ce que tout le monde voit dans cette punition ma marque de fabrique attitrée que je vais devoir breveter, même si cest une première que jinaugure avec cette chienne insolente et bavarde.
Le Majordome att alors un gros uf vibrant à télécommande quil glisse profondément dans le vagin de Thaïs MDE, mais sans avoir encore mis en route le système électronique. Il att alors les deux derniers poireaux qui restent sur la table, courbe et plie les feuilles vertes autour des tiges blanches de manière à avoir entre les mains une botte mixte verte et blanche dune longueur dun peu plus dune dizaine de centimètres, quil fourre dun seul bloc dans la chatte lustrée de lesclave-soumise qui se sent écartelée par cette étrange pénétration végétale. Il complète son installation en équipant la soumise dune ceinture de chasteté dont il a ôté le cache au niveau de lanus pour lui permettre de laisser le poireau, qui sert de gode anal, dépasser à lexception de quelques feuilles qui resteront coincées à lintérieur de larc rigide de la partie de lentrecuisse de la ceinture de chasteté de manière à ce que le légume ne puisse pas bouger et surtout pas sortir de lorifice dans lequel il a été empalé. Walter ferme à laide dun cadenas la ceinture de chasteté sur lanneau qui passe autour de la taille de lesclave-soumise.
- Alors, la comique qui pouffait de rire tout à lheure pour une histoire de poireau, on fait moins la finaude ! Tu dois te sentir bien mieux maintenant que ta chatte est largement remplie et que tu vas pouvoir te balader avec un autre légume dans le cul toute laprès-midi.
Walter att la chevelure de Thaïs MDE et la redresse pour quelle se retrouve droite et non plus courbée en deux sur la table. La chienne-soumise a toujours les jambes écartées, mais elle sent la ceinture de chasteté qui enserre son entrecuisse et sa taille, retenant à lintérieur de sa chatte une masse incongrue qui la gêne considérablement mais qui maintient une excitation permanente sur cette zone érogène sensible. Thaïs MDE garde la tête baissée au maximum, mais elle a du mal à arrêter les larmes qui coulent de ses yeux.
- Marie, tu es sublime. Tu as eu une idée géniale et tellement originale, je crois que je vais bien me plaire à promener cette chienne porte-légume dans tous les couloirs du château. Tu as le feutre que je termine notre chef duvre !
Le Majordome écrit sur les reins et la croupe de Thaïs avec de très grosses lettres majuscules au marker noir épais « INDIGNE CHIENNE PUNIE PAR MADAME MARIE PAR LA OU ELLE A FAUTE » un texte qui contraste dautant plus que la couleur des fesses a viré au rouge vif sous les coups de cravache. Thaïs MDE serre les doigts contre les paumes de ses mains tandis que Walter dessine minutieusement en appuyant chaque lettre, traits multiples qui sont autant de petits tourments qui réveillent la douleur encore cuisante de la punition précédente qui a rendu très sensible toute la peau de son postérieur.
- Voilà, cest parfait ainsi. Il ne me reste plus quà allumer la petite surprise que jai glissée dans le vagin de cette catin et aussi à lappareiller avec mon système qui lempêchera pour le reste de la journée de baisser la tête alors que la consigne pour cette exceptionnelle journée avait été très claire, même si elle était en totale contradiction avec lattitude que les esclaves sont tenus dadopter le plus souvent les autres jours en gardant la tête et les yeux baissés.
Walter allume la télécommande de luf vibrant, qui fait aussi sec réagir la chienne-soumise qui sent luf qui vient de se mettre en mouvement pour un temps indéterminé et qui rebondit sur les parois internes du vagin mais aussi se heurtant sur les deux poireaux qui servent de « godes-bouchons » de la chatte dilatée. Thaïs MDE se demande bien comment elle va pouvoir supporter très longtemps cette sollicitation sans céder au plaisir qui déjà lui dévore le bas-ventre et elle nose réfléchir à cette autre invention à laquelle Walter vient de faire allusion et quelle avait fini par oublier...
(A suivre
..)
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