Maudites Vacances (1) : Sieste Et Bronzage
Cest parti pour les vacances : je devrais être heureux comme tout et pourtant je ne me sens pas au mieux de loptimisme. Dabord, Corinne et moi sommes en train de traverser une mauvaise passe financière : le crédit que nous nous sommes mis sur le dos, mes problèmes au boulot, des ennuis avec la voiture ; au total, nous avons dû faire une croix sur notre voyage aux Caraïbes et ça a commencé à pourrir lambiance.
Nous sommes mariés depuis deux ans ; Corinne est une nana intelligente, sensuelle et super bandante, mais quand ça part de travers, elle a aussi un sacré caractère !
Bref, il y a de la tension dans lair. Finalement, on sest fait inviter chez mon copain Jonathan pour trois semaines dans le midi de la France. Corinne est ravie, moi un peu moins. Jonathan est un bon copain mais je naime pas quand il me fait des cadeaux, je préfère garder mon indépendance. En plus de ça, quand je pense à la façon dont il regarde Corinne, je me demande si cest vraiment moi quil veut inviter. Ah, oui, joubliais de vous présenter ma femme : elle est super canon, le genre de nana quon rêve de mettre dans son lit : des courbes plus que féminines, et tout ce quil faut là où il faut : entre la poitrine opulente mais ferme (bonnet D quand même !), la chute de reins, le cul et les hanches, je dois reconnaître que je ne pouvais mieux tomber. En plus, un peu exhibitionniste, provocatrice, coquine et imaginative, le tout couronné par une libido plutôt « chaude » ; bref, je naime pas trop partir chez mon copain Jonathan qui va passer son temps à la reluquer pendant quelle lallumera tout en faisant comme si ça nétait pas bien grave. Bon, allez, jai trop dimagination
Je pense à tout ça dans le train qui nous emmène vers le sud, le soleil, les vacances. Corinne est en face de moi, elle regarde le paysage avec un air totalement indéchiffrable : je suis bien incapable de savoir si elle est ravie du séjour qui lattend ou si elle na toujours pas digéré le voyage auquel elle a dû renoncer.
Quand on arrive à notre destination, Jonathan est sur le quai à nous attendre. Il a lair en pleine forme et très content de nous accueillir. Une poignée de mains pour moi, la bise pour Corinne et le compliment qui va avec :
- Mmmm
Toujours aussi craquante, à ce que je vois !
Corinne semble ravie du compliment, moi je fais comme si je navais rien entendu, mais je nen pense pas moins. On arrive à la voiture (belle bagnole, de quoi épater la galerie !), on met les bagages dans le coffre et on sinstalle. Je nai pas le temps de décider que déjà Corinne est assise à lavant, à côté de Jonathan. Quant à moi, relégué à larrière après avoir épuisé mon ticket SNCF deuxième classe, on ma déjà oublié.
Jonathan commence la visite des environs, fait un petit détour pour nous montrer la côte, le paysage. Cest vrai que cest chouette et quil fait un temps superbe. Corinne est enchantée, elle rayonne. Je jette un coup dil vers lavant et je vois que sa jupe est pas mal remontée, découvrant une partie de ses cuisses, de quoi allumer un mec normalement constitué, mais pas assez pour que je fasse une remarque. Comme si ça ne suffisait pas, je maperçois alors que son chemisier souvre sur un décolleté plus quavantageux. Un bouton a dû se défaire accidentellement (ou intentionnellement ?), et Corinne offre un aperçu de sa splendide poitrine, en dévoilant suffisamment pour exciter et suggérer, mais sans tomber dans loutrance : un beau décolleté plongeant sur des seins généreux et appétissants.
Visiblement, le spectacle plait à Jonathan qui a du mal à regarder la route. Toutes des trente secondes il se tourne vers Corinne sous le prétexte de lui parler de ci ou de ça, mais je vois bien leur petit jeu : Corinne prend des poses avantageuses et Jonathan lui jette des regards insistants et réguliers. Jamais lexpression « déshabiller du regard » na été aussi vraie. Moi, évidemment, ça ménerve mais bon, cest le jeu de la séduction qui veut ça et il faut bien sy faire, même si je trouve quils y vont un peu fort.
Le trajet en voiture se termine et on arrive enfin à la villa que Jonathan a louée. Cest vrai quelle est paradisiaque : sans voisins, isolée dans larrière-pays avec piscine, terrasse et tout ce quil faut pour des vacanciers exigeants. Corinne fait le tour en poussant des exclamations enjouées. Elle est visiblement enchantée et semble avoir complètement oublié quon se faisait encore à moitié la gueule il y a seulement une heure. Jonathan continue son numéro, joue le modeste en faisant visiter son domaine. Bon, le truc classique, quoi.
On termine notre tour, on pose nos affaires et on sinstalle pour lapéritif. Il est quand même déjà une heure de laprès-midi et on commence à avoir tous un peu faim malgré la chaleur. Lapéro se passe bien, même moi jarrive à me décontracter malgré ce petit jeu entre Corinne et Jonathan : et vas-y que je me penche un peu pour montrer mes beaux seins, et vas-y que je les reluque pour ne pas en perdre une miette, et que je te croise les jambes, et que je me cambre en prenant des poses avantageuses, etc
Finalement, je men fous, je suis un peu pompette et ça mamuserait presque, ce manège.
Repas simple, mais sympa : salade de tomates, barbecue et rosé. Ça démarre fort, ces vacances, et je suis plutôt content dêtre ici, en définitive. De fil en aiguille, il est trois heures quand on sort de table, et nous nous décidons tous pour une sieste au bord de la piscine : farniente et bronzage au programme.
Je suis à moitié cassé, jai un peu trop bu et trop mangé, je me mets en maillot de bain et mallonge au soleil, très vite rejoint par Jonathan, puis, un peu plus tard, par Corinne. Comme je my attendais, elle nous offre un peu de surenchère : elle a mis son super mini deux pièces, celui qui cache si peu de son anatomie quil est en lui-même un pousse au viol : un string et deux petit triangles de tissu qui cachent le sexe, les mamelons et laréole de ses seins, mais à peine plus.
Je dois être assez éméché car je trouve ça assez drôle, finalement. Corinne nen reste pas là, elle se décide à mettre un peu crème protectrice pour se protéger du soleil. Un vrai ballet érotique : elle en passe sur ses bras, son visage, son cou, mais quand elle descend plus bas, sur sa gorge, ses flancs, son ventre et ses cuisses, ça devient carrément torride. Elle masse, caresse, malaxe, va et vient partout. Elle a bien conscience de leffet quelle produit et je crois que ça lui plait. Je regarde en coin Jonathan et je vois quune bosse commence à se former au niveau de son maillot. Finalement, Corinne arrête son cinéma et se décide à sallonger sur un transat au soleil, puis commence à lézarder. Tout redevient à peu près normal. Moi, de mon côté, je ferme les yeux et me laisse aller.
Un bon quart dheure plus tard, ce sont les bruits de leurs voix qui me ramènent à la réalité. Jouvre les yeux. Je vois que Jonathan sest approché de Corinne qui se plaint de la chaleur.
- Quelle fournaise ! Jai limpression de cuire.
- Tiens, je vais tenduire le dos, sinon tu vas attr des coups de soleil.
Corinne sexécute aussitôt et se met sur le ventre. Jonathan ne se fait pas prier et commence à étaler de la crème, puis la fait pénétrer par un massage lent et régulier. Corinne réagit en laissant échapper quelques soupirs de contentement. Jonathan insiste sur les épaules, les bras, le dos, les flancs. Il sattarde, il séternise devrais-je dire. Jessaie de penser à autre chose, mais jai quand même du mal. Et puis tout dun coup il dégrafe le soutien-gorge de Corinne avec un naturel déconcertant.
- Il faut retirer ça si tu ne veux pas avoir la marque du maillot.
Corinne répond par un petit rire de gorge et se laisse faire. De mon côté, je me rassure en me disant que ce nest quun fil (ou à peu près) et que de toutes façons cela ne change rien puisque Corinne est sur le ventre, mais quand même, je ne suis pas à laise. Pendant ce temps, Jonathan soccupe du dos de Corinne et saventure de plus en plus sur le côté ; il lui écarte les bras et revient sur ses flancs ; du coup il nest pas loin de lui effleurer le côté de ses seins.
Je me demande si je dois manifester ma réprobation, car ce passage de crème me semble de moins en moins innocent. Dun autre côté, je nai pas non plus envie de me couvrir de ridicule en jouant le mari possessif. Comme jai la bouche pâteuse et la gorge sèche (trop dalcool et de soleil ne font pas bon ménage), je me lève et essaie davoir lair naturel.
- Il fait soif, je vais chercher de leau, restez sages, je reviens de suite.
La réflexion peut paraître idiote, mais bon, il faut quand même que je leur rappelle que jexiste, non ? Quand je reviens avec un plateau, une carafe et trois verres, je maperçois que les choses ne se sont pas arrangées, au contraire. Jonathan est toujours en train de palper Corinne qui se laisse faire.
Limage est assez érotique, cest vrai, mais ce qui me choque, cest que je ne suis pas aux commandes : Corinne est toujours allongée sur le ventre et na plus que son string pour montrer quelle nest pas entièrement nue. La chute de ses reins et son splendide fessier semblent être à présent le but à atteindre pour Jonathan qui progresse tout doucement : il a enduit les mollets et remonte toujours plus haut, mais aussi vers lintérieur.Il prend ses cuisses à pleines mains, les masse et les palpe, fait pénétrer la crème solaire. Je me dis que cest le moment de faire diversion.
- Vous voulez un verre deau pour vous rafraîchir ?
Jonathan ne semble pas très content par cette interruption, mais Corinne répond avec beaucoup de naturel, comme si de rien nétait :
- Oh, oui, bonne idée !
Elle se relève sur un coude et se tourne légèrement vers moi mais je nai pas pensé à un truc : son haut étant dégrafé, il ne couvre plus ses seins. Elle fait mine dêtre surprise, puis se décide à le retirer entièrement :
- Oh, et puis zut, il ny a pas de voisins ici, je vais me faire un bronzage topless.
Aussitôt dit, aussitôt fait : Corinne est assise face à nous, ses gros seins entièrement découverts, offerts aux regards lubriques de Jonathan qui est totalement hypnotisé. Elle prend le verre deau que je lui tends, le boit le plus naturellement du monde et se remet en position sur le ventre sans rien dire.
Jonathan ne perd pas un instant et se remet à louvrage pour finir ce quil a commencé. Il reprend là où il sétait arrêté et je commence à me demander comment tout ceci va finir. Je maperçois que le maillot de bains de Jonathan est tendu : il bande comme un âne et sil ça continue, sa queue va séchapper à lair libre ! Ça na pas lair de linquiéter, au contraire, car il sattaque à présent directement aux fesses de Corinne. Tant daudace me sidère et manesthésie à la fois.
- Bon, ça va peut-être aller, la crème solaire, non ?
La réponse cinglante de Corinne ne se fait pas attendre :
- Occupe-toi de tes affaires, on ne ta rien demandé !
Je suis si déstabilisé que je ne sais quoi répondre. Jonathan est en train de soccuper des fesses de ma femme devant moi après lui avoir enduit presque tout le corps de crème solaire et cest moi qui me fais remettre à ma place ! Je suis tellement humilié que je ne trouve rien à redire, mais je bous intérieurement.
Jonathan, de son côté, se sent encouragé à aller plus loin car maintenant il palpe, caresse et masse les fesses de ma femme avec vigueur, enthousiasme et volupté. On est passé au stade supérieur : ça devient vraiment chaud. Il passe sur le haut et lintérieur de ses cuisses, sur ses fesses, avec de plus en plus dautorité, et Corinne, au lieu de le repousser, pousse des gémissements équivoques ou de petits rires de gorge encourageants.
- Mmmm
Cest pas mal, pas mal du tout : mais dis-donc, mon cochon, tu mas lair drôlement motivé
Je nen reviens pas : voilà quelle lencourage !
Je suis bouche bée devant ce spectacle qui me met de plus en plus mal à laise. Je me donne une contenance en me servant un verre deau à boire, mais jai quand même honte de me trouver ainsi relégué au second rang. Ma femme se fait palper et tripoter et jen suis réduit au stade de simple spectateur passif.
Et puis les choses saccélèrent. Jonathan est remonté vers le haut, il masse les reins, le dos, les flancs de Corinne en essayant apparemment datteindre ses seins qui semblent être son nouvel objectif. Comme Corinne reste sur le ventre, il ny arrive pas, ou juste un peu sur le côté, mais ça na pas lair de lui convenir, alors il essaie autre chose :
- Bon, il va falloir que je te fasse le côté pile, maintenant !
Il essaie de basculer Corinne sur le côté pour la retourner. Sachant quelle sest déjà tartiné le devant, je mattends de sa part à une réaction de rejet, mais ça ne vient pas, au contraire. Docile et consentante, Corinne accompagne le mouvement et se met sur le dos, pointant fièrement sous le regard lubrique de Jonathan ses deux magnifiques seins quelle fait ressortir encore plus en gardant les bras le long du corps et en prenant une profonde inspiration. Je nen crois pas mes yeux, je suis totalement dépassé par les événements et incapable de savoir quoi faire. Je bredouille une vague protestation :
- Non mais, ça va peut-être suffire, maintenant, non ?
Corinne, plus provocante que jamais, les yeux malicieux et la poitrine avantageusement pointée en direction de Jonathan, se contente de répondre :
- Tu ne voudrais pas que je prenne un coup de soleil sur les seins, quand même ? Et puis, Jonathan est ton copain, non ?
Jonathan nen attendait apparemment pas tant : le voilà qui commence allègrement à tartiner le buste de ma femme avec de la crème solaire. Ça devient de pire en pire : il étale la crème, caresse et malaxe ses gros seins, fait rouler ses tétons qui deviennent de plus en plus durs, prends les globes à pleine mains, revient sur les mamelons quil pince délicatement, tirant des gloussements évocateurs à Corinne qui commence à gémir plus fort, presque continuellement. Et puis linévitable arrive : la queue de Jonathan, gonflée de désir, sort de son maillot de bains et se dresse maintenant contre son ventre. Corinne le remarque aussitôt et éclate de rire.
- Oh, le petit oiseau vient de sortir ! Comme il est mignon
Dès cet instant, Jonathan devient comme fébrile. Il se redresse, retire précipitamment son maillot, me regarde un instant et me jette :
- Non, cest pas possible, elle me cherche, désolé, mais je peux pas laisser passer ça
Il se penche vers Corinne, lui retire précipitamment son string. Elle semble à peine surprise et noppose aucune résistance. Ensuite, Jonathan, comme possédé, sassoit sur le transat face à elle, prend ses jambes sous les genoux, lattire à lui, présente sa queue raide (et de bonne taille !) à lentrée de sa fente, puis, sans préliminaires, la pénètre sous mes yeux.
- Ouuuhhh ! Espèce de cochon lubrique
- Mmmm
Mais dis-donc, ça rentre tout seul ?! Tu nattendais que ça, on dirait ?
- Prétentieux !
Corinne fait sa fière mais elle est rapidement dépassée par les événements elle aussi. Jonathan la pénètre profondément, lui imprime un mouvement de va et vient qui calme assez vite toute velléité de résistance. Elle pousse déjà des soupirs et des gémissements sous les assauts de plus en plus rapides de Jonathan. Il la tient fermement sous les genoux, lui soulève le bassin et la lime bien en rythme, donnant des coups de reins violents, tant et si bien que tout le corps de Corinne en est secoué. Il ne se lasse pas du spectacle car les seins de Corinne sont agités dune façon particulièrement suggestive et érotique. Ça vaut le coup dil et je suis moi-même fasciné. Cest vrai que pour les amateurs, les seins de Corinne, cest du pur bonheur, mais quand ils ondulent et prennent vie ainsi, impossible de regarder ailleurs !
Tout ceci a été si brutal que jen ai le souffle coupé. Je suis tétanisé. Je me trouve cocufié si soudainement que ça me paralyse. Corinne se fait baiser sous mes yeux et je suis incapable de la moindre réaction. Finalement, jémerge de mon cauchemar et bredouille quelques paroles confuses :
- Non mais, quand même, vous exagérez tous les deux
Sans ralentir le rythme, Jonathan continue de limer ma femme et se tourne vers moi :
- Essaie pas de jouer les offusqués, tu bandes comme un cerf, ça doit te plaire aussi, non ? »
Je réalise tout à coup quil a raison. Je suis en train de bander à la vue de ma femme qui se fait tringler sous mes yeux. Pendant ce temps, Corinne éprouve visiblement beaucoup de plaisir et sapproche de lorgasme car elle crie de plus en plus fort, et Jonathan en profite pour la bourrer encore plus violemment, à toute vitesse.
- Regarde comme elle aime se faire ramoner. Mmmm
. Une belle salope, on dirait !
Loin de le contredire, Corinne pousse des gémissements et des cris qui prouvent à quel point elle prend son pied, et ça nen finit pas. Elle monte, monte et se trouve submergée par un orgasme qui semble durer une éternité : elle crie tout en secouant sa tête à gauche et à droite. Jonathan a atteint un rythme denfer et la pistonne à toute vitesse, mais, au bout dun certain temps, épuisés tous les deux, ils ralentissent et se calment. Moi, je suis toujours comme un con, assis à la table en spectateur avec mon verre deau, une érection qui me fait une bosse ridicule au niveau du maillot pendant que mon copain Jonathan a toujours sa bite dans la chatte de ma femme, même si maintenant le mouvement est devenu beaucoup plus lent.
Au bout dun certain temps, ils reprennent leur souffle tous les deux. Jonathan a toujours sa queue profondément enfoncée dans le vagin de ma femme, mais il est presque immobile. Il prend les jambes de Corinne, les pose sur ses épaules, libérant ainsi ses mains pour soccuper de ses seins quil commence à caresser doucement, provoquant des frissons et des sursauts de plaisir.
- Mmm
. Je tadore, Corinne ! Tes un super coup, tu sais ?! Je sens quon va passer des vacances inoubliables
Ce salaud nen a apparemment pas fini avec elle, car ses caresses lui tirent des gémissements et des soupirs, et elle semble reprendre du plaisir à ce nouveau jeu que lui fait subir Jonathan. Visiblement il veut remettre ça et si je ne fais rien pour len empêcher, on va repartir pour un tour.
- Bon, ça va, tas eu ce que tu voulais, tu peux la laisser tranquille, maintenant, non ?
- Doucement, on est en vacances, on a tout le temps, et puis, tu dois apprécier le spectacle, vu comment tu bandes. Allez, sil te plait, retire ton maillot quon puisse voir ta queue.
- Non, mais ? Ça va pas, non ? Quest-ce que tas en tête ?
- Je veux juste te faire partager. Tas pas envie de te branler pendant que je baise ta femme ?
- Non, jamais de la vie, ce petit jeu a assez duré
- Tiens, regarde ta femme comme elle est chaude
Tout en disant ça, il se remet à la « chauffer ». Il reprend de lents va et vient dans sa chatte pendant quil lui saisit les seins à pleines mains ou lui titille les mamelons. Ce salaud va lemmener vers un deuxième orgasme et ça me rend malade davance.
- Allez, dépêche-toi de retirer ton maillot et commence à te branler ou je fais jouir ta femme jusquà lheure du dîner.
- Tes fou ou quoi ?
Comme je refuse de mexécuter, il continue son jeu et se met à limer Corinne qui remonte presque aussitôt. Incroyable ! Au bout de deux minutes de ce traitement elle est déjà en train de pousser des petits cris de plaisir. Jonathan la pistonne comme si cétait la première fois. Lordure : il sest arrangé pour ne pas éjaculer et il va la bourrer comme une chienne jusquà ce que jen passe par tous ses caprices. À contrecur, honteux et humilié, je me décide:
- Daccord, daccord, cest bon, quest-ce que tu veux ?
- Retire ton maillot et branle-toi pendant que je baise ta femme.
- Mais pourquoi ? Quel intérêt ?
- Cest un travail déquipe : tout le monde doit prendre son pied, sinon cest pas drôle. Et puis, cest original, non ?
La mort dans lâme, jaccède à son désir et retire mon maillot. Je nai jamais été aussi honteux de bander que maintenant : ma femme est en train de se faire baiser et moi, jexhibe une trique dont jaurais pu être fier en temps normal, mais qui, dans ce contexte, me rend particulièrement misérable. Comme si ça ne suffisait pas, Jonathan en remet une couche.
- Tu vois comme ça excite ton mec que je te baise ?
À peine a-t-il dit ça quil se met à accélérer la cadence et à pilonner Corinne qui me jette un coup dil interrogatif avant de repartir vers le septième ciel. Il se remet à lui peloter les seins, lui tenir les hanches, la caresser et la palper pendant quil la pénètre encore et encore. Cest un cauchemar sans fin.
- Je vais te baiser jusquà ce que ton mec éjacule, ma jolie.
Corinne lui jette un regard vide, elle est déjà submergée par un deuxième orgasme et Jonathan nous tient tous les deux en son pouvoir. Il se tourne vers moi et me jette :
- Allez, vas-y, branle-toi ! Mieux que ça !
Jai commencé à me caresser la queue, mais maintenant je dois passer à la vitesse supérieure. Je fais coulisser la peau, je décalotte et recalotte mon gland en rythme, bref je me masturbe dans les règles en regardant ma femme se faire enfiler une fois encore et sabandonner à ce nouvel orgasme. Je suis au comble de lhumiliation et pourtant ça mexcite. Plus je vois ce salaud de Jonathan limer ma femme et lui pétrir les seins, plus lexcitation monte.Jai compris ce quil a dans la tête: il veut que nous réussissions tous les trois à jouir en même temps : elle pendant quil la ramone, lui en lengrossant sous mes yeux et moi en les regardant faire.
- Ouais, ouais, cest tout bon mes chéris, cest tout bon. Regarde ta femme comme elle prend son pied. Elle aime ça, la salope !
Et toi, ma belle, regarde ton mec qui se branle, lui aussi il aime ça
Corinne ouvre les yeux pour comprendre ce qui se passe. Elle me regarde dun air incrédule puis replonge aussitôt, les yeux mi-clos, dominée par le plaisir que lui impose Jonathan. De mon côté, je commence à me masturber avec frénésie, jai envie den finir au plus vite, de me réveiller de ce cauchemar. Quant à Jonathan, il se lâche comme un vrai salaud fier de son coup : il monte encore la cadence, bourre Corinne qui crie, est parcourue de spasmes et a les yeux presque révulsés par moments. Elle semble au sommet du plaisir alors que nos grognements laccompagnent. Ses gros seins continuent de bouger au rythme des coups de reins de Jonathan. Lun comme lautre nous contemplons, fascinés, cette poitrine opulente qui semble animée dune vie propre.
Le spectacle est prodigieusement excitant et envoutant ; par moments, ny tenant plus, Jonathan reprend les seins de Corinne à pleines mains et les pétrit pour mieux affirmer sa domination, à dautres moments il lui pince les tétons pour se régaler de ses cris. Fou de jalousie et de honte, jessaie den finir, mais il me faut de longues minutes pendant lesquelles Corinne jouit sans interruption sous les coups de boutoir et les caresses de Jonathan.
Finalement, dans un grognement libérateur et à peine maîtrisé, je suis le premier à éjaculer en plusieurs jets de sperme qui atterrissent par terre. Corinne, au comble de lextase, ne se rend compte de rien tandis que Jonathan se décide à conclure par un pilonnage en règle : leurs cris se mêlent et, dans un ultime sursaut, Jonathan se bloque et simmobilise pour éjaculer dans la chatte de ma femme en poussant un long râle libérateur.
Tout se calme progressivement. Jessuie mon sperme, mortellement gêné et honteux, pendant que Jonathan finit de se vider et de reprendre son souffle. Quelques caresses sur les seins et les hanches de Corinne avant de finalement la quitter, son braquemard perdant de sa rigidité. Quant à Corinne, repue, comblée, les yeux encore fermés, elle reprend ses esprits tout doucement. Moi, je ne sais que faire ni que dire alors je reprends mon maillot et file vers la douche.
Ça promet, cette semaine de vacances !
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