Maudites Vacances (1) : Sieste Et Bronzage

C’est parti pour les vacances : je devrais être heureux comme tout et pourtant je ne me sens pas au mieux de l’optimisme. D’abord, Corinne et moi sommes en train de traverser une mauvaise passe financière : le crédit que nous nous sommes mis sur le dos, mes problèmes au boulot, des ennuis avec la voiture ; au total, nous avons dû faire une croix sur notre voyage aux Caraïbes et ça a commencé à pourrir l’ambiance.
Nous sommes mariés depuis deux ans ; Corinne est une nana intelligente, sensuelle et super bandante, mais quand ça part de travers, elle a aussi un sacré caractère ! … Bref, il y a de la tension dans l’air. Finalement, on s’est fait inviter chez mon copain Jonathan pour trois semaines dans le midi de la France. Corinne est ravie, moi un peu moins. Jonathan est un bon copain mais je n’aime pas quand il me fait des cadeaux, je préfère garder mon indépendance. En plus de ça, quand je pense à la façon dont il regarde Corinne, je me demande si c’est vraiment moi qu’il veut inviter. Ah, oui, j’oubliais de vous présenter ma femme : elle est super canon, le genre de nana qu’on rêve de mettre dans son lit : des courbes plus que féminines, et tout ce qu’il faut là où il faut : entre la poitrine opulente mais ferme (bonnet D quand même !), la chute de reins, le cul et les hanches, je dois reconnaître que je ne pouvais mieux tomber. En plus, un peu exhibitionniste, provocatrice, coquine et imaginative, le tout couronné par une libido plutôt « chaude » ; bref, je n’aime pas trop partir chez mon copain Jonathan qui va passer son temps à la reluquer pendant qu’elle l’allumera tout en faisant comme si ça n’était pas bien grave. Bon, allez, j’ai trop d’imagination …
Je pense à tout ça dans le train qui nous emmène vers le sud, le soleil, les vacances. Corinne est en face de moi, elle regarde le paysage avec un air totalement indéchiffrable : je suis bien incapable de savoir si elle est ravie du séjour qui l’attend ou si elle n’a toujours pas digéré le voyage auquel elle a dû renoncer.

Je m’assoupis …
Quand on arrive à notre destination, Jonathan est sur le quai à nous attendre. Il a l’air en pleine forme et très content de nous accueillir. Une poignée de mains pour moi, la bise pour Corinne et le compliment qui va avec :
- Mmmm … Toujours aussi craquante, à ce que je vois !
Corinne semble ravie du compliment, moi je fais comme si je n’avais rien entendu, mais je n’en pense pas moins. On arrive à la voiture (belle bagnole, de quoi épater la galerie !), on met les bagages dans le coffre et on s’installe. Je n’ai pas le temps de décider que déjà Corinne est assise à l’avant, à côté de Jonathan. Quant à moi, relégué à l’arrière après avoir épuisé mon ticket SNCF deuxième classe, on m’a déjà oublié.
Jonathan commence la visite des environs, fait un petit détour pour nous montrer la côte, le paysage. C’est vrai que c’est chouette et qu’il fait un temps superbe. Corinne est enchantée, elle rayonne. Je jette un coup d’œil vers l’avant et je vois que sa jupe est pas mal remontée, découvrant une partie de ses cuisses, de quoi allumer un mec normalement constitué, mais pas assez pour que je fasse une remarque. Comme si ça ne suffisait pas, je m’aperçois alors que son chemisier s’ouvre sur un décolleté plus qu’avantageux. Un bouton a dû se défaire accidentellement (ou intentionnellement ?), et Corinne offre un aperçu de sa splendide poitrine, en dévoilant suffisamment pour exciter et suggérer, mais sans tomber dans l’outrance : un beau décolleté plongeant sur des seins généreux et appétissants.
Visiblement, le spectacle plait à Jonathan qui a du mal à regarder la route. Toutes des trente secondes il se tourne vers Corinne sous le prétexte de lui parler de ci ou de ça, mais je vois bien leur petit jeu : Corinne prend des poses avantageuses et Jonathan lui jette des regards insistants et réguliers. Jamais l’expression « déshabiller du regard » n’a été aussi vraie. Moi, évidemment, ça m’énerve mais bon, c’est le jeu de la séduction qui veut ça et il faut bien s’y faire, même si je trouve qu’ils y vont un peu fort.
Si ça continue, on va finir par avoir un accident. Je rumine en silence en essayant de penser à autre chose et en regardant le paysage.
Le trajet en voiture se termine et on arrive enfin à la villa que Jonathan a louée. C’est vrai qu’elle est paradisiaque : sans voisins, isolée dans l’arrière-pays avec piscine, terrasse et tout ce qu’il faut pour des vacanciers exigeants. Corinne fait le tour en poussant des exclamations enjouées. Elle est visiblement enchantée et semble avoir complètement oublié qu’on se faisait encore à moitié la gueule il y a seulement une heure. Jonathan continue son numéro, joue le modeste en faisant visiter son domaine. Bon, le truc classique, quoi.
On termine notre tour, on pose nos affaires et on s’installe pour l’apéritif. Il est quand même déjà une heure de l’après-midi et on commence à avoir tous un peu faim malgré la chaleur. L’apéro se passe bien, même moi j’arrive à me décontracter malgré ce petit jeu entre Corinne et Jonathan : et vas-y que je me penche un peu pour montrer mes beaux seins, et vas-y que je les reluque pour ne pas en perdre une miette, et que je te croise les jambes, et que je me cambre en prenant des poses avantageuses, etc … Finalement, je m’en fous, je suis un peu pompette et ça m’amuserait presque, ce manège.
Repas simple, mais sympa : salade de tomates, barbecue et rosé. Ça démarre fort, ces vacances, et je suis plutôt content d’être ici, en définitive. De fil en aiguille, il est trois heures quand on sort de table, et nous nous décidons tous pour une sieste au bord de la piscine : farniente et bronzage au programme.
Je suis à moitié cassé, j’ai un peu trop bu et trop mangé, je me mets en maillot de bain et m’allonge au soleil, très vite rejoint par Jonathan, puis, un peu plus tard, par Corinne. Comme je m’y attendais, elle nous offre un peu de surenchère : elle a mis son super mini deux pièces, celui qui cache si peu de son anatomie qu’il est en lui-même un pousse au viol : un string et deux petit triangles de tissu qui cachent le sexe, les mamelons et l’aréole de ses seins, mais à peine plus.
Moi, je suis habitué, mais pour Jonathan, c’est une première. Il ouvre de grands yeux ronds et garde la bouche à moitié ouverte. Corinne est fière de son effet, elle se tourne, s’arrange pour faire légèrement onduler ses seins au gré de ses mouvements, bref, elle fait tout pour l’allumer et ça marche : il a du mal à regarder ailleurs et à retrouver une contenance.
Je dois être assez éméché car je trouve ça assez drôle, finalement. Corinne n’en reste pas là, elle se décide à mettre un peu crème protectrice pour se protéger du soleil. Un vrai ballet érotique : elle en passe sur ses bras, son visage, son cou, mais quand elle descend plus bas, sur sa gorge, ses flancs, son ventre et ses cuisses, ça devient carrément torride. Elle masse, caresse, malaxe, va et vient partout. Elle a bien conscience de l’effet qu’elle produit et je crois que ça lui plait. Je regarde en coin Jonathan et je vois qu’une bosse commence à se former au niveau de son maillot. Finalement, Corinne arrête son cinéma et se décide à s’allonger sur un transat au soleil, puis commence à lézarder. Tout redevient à peu près normal. Moi, de mon côté, je ferme les yeux et me laisse aller.
Un bon quart d’heure plus tard, ce sont les bruits de leurs voix qui me ramènent à la réalité. J’ouvre les yeux. Je vois que Jonathan s’est approché de Corinne qui se plaint de la chaleur.
- Quelle fournaise ! J’ai l’impression de cuire.
- Tiens, je vais t’enduire le dos, sinon tu vas attr des coups de soleil.
Corinne s’exécute aussitôt et se met sur le ventre. Jonathan ne se fait pas prier et commence à étaler de la crème, puis la fait pénétrer par un massage lent et régulier. Corinne réagit en laissant échapper quelques soupirs de contentement. Jonathan insiste sur les épaules, les bras, le dos, les flancs. Il s’attarde, il s’éternise devrais-je dire. J’essaie de penser à autre chose, mais j’ai quand même du mal. Et puis tout d’un coup il dégrafe le soutien-gorge de Corinne avec un naturel déconcertant.

- Il faut retirer ça si tu ne veux pas avoir la marque du maillot.
Corinne répond par un petit rire de gorge et se laisse faire. De mon côté, je me rassure en me disant que ce n’est qu’un fil (ou à peu près) et que de toutes façons cela ne change rien puisque Corinne est sur le ventre, mais quand même, je ne suis pas à l’aise. Pendant ce temps, Jonathan s’occupe du dos de Corinne et s’aventure de plus en plus sur le côté ; il lui écarte les bras et revient sur ses flancs ; du coup il n’est pas loin de lui effleurer le côté de ses seins.
Je me demande si je dois manifester ma réprobation, car ce passage de crème me semble de moins en moins innocent. D’un autre côté, je n’ai pas non plus envie de me couvrir de ridicule en jouant le mari possessif. Comme j’ai la bouche pâteuse et la gorge sèche (trop d’alcool et de soleil ne font pas bon ménage), je me lève et essaie d’avoir l’air naturel.
- Il fait soif, je vais chercher de l’eau, restez sages, je reviens de suite.
La réflexion peut paraître idiote, mais bon, il faut quand même que je leur rappelle que j’existe, non ? Quand je reviens avec un plateau, une carafe et trois verres, je m’aperçois que les choses ne se sont pas arrangées, au contraire. Jonathan est toujours en train de palper Corinne qui se laisse faire.
L’image est assez érotique, c’est vrai, mais ce qui me choque, c’est que je ne suis pas aux commandes : Corinne est toujours allongée sur le ventre et n’a plus que son string pour montrer qu’elle n’est pas entièrement nue. La chute de ses reins et son splendide fessier semblent être à présent le but à atteindre pour Jonathan qui progresse tout doucement : il a enduit les mollets et remonte toujours plus haut, mais aussi vers l’intérieur.Il prend ses cuisses à pleines mains, les masse et les palpe, fait pénétrer la crème solaire. Je me dis que c’est le moment de faire diversion.
- Vous voulez un verre d’eau pour vous rafraîchir ?
Jonathan ne semble pas très content par cette interruption, mais Corinne répond avec beaucoup de naturel, comme si de rien n’était :
- Oh, oui, bonne idée !
Elle se relève sur un coude et se tourne légèrement vers moi mais je n’ai pas pensé à un truc : son haut étant dégrafé, il ne couvre plus ses seins. Elle fait mine d’être surprise, puis se décide à le retirer entièrement :
- Oh, et puis zut, il n’y a pas de voisins ici, je vais me faire un bronzage topless.
Aussitôt dit, aussitôt fait : Corinne est assise face à nous, ses gros seins entièrement découverts, offerts aux regards lubriques de Jonathan qui est totalement hypnotisé. Elle prend le verre d’eau que je lui tends, le boit le plus naturellement du monde et se remet en position sur le ventre sans rien dire.
Jonathan ne perd pas un instant et se remet à l’ouvrage pour finir ce qu’il a commencé. Il reprend là où il s’était arrêté et je commence à me demander comment tout ceci va finir. Je m’aperçois que le maillot de bains de Jonathan est tendu : il bande comme un âne et s’il ça continue, sa queue va s’échapper à l’air libre ! Ça n’a pas l’air de l’inquiéter, au contraire, car il s’attaque à présent directement aux fesses de Corinne. Tant d’audace me sidère et m’anesthésie à la fois.
- Bon, ça va peut-être aller, la crème solaire, non ?
La réponse cinglante de Corinne ne se fait pas attendre :
- Occupe-toi de tes affaires, on ne t’a rien demandé !
Je suis si déstabilisé que je ne sais quoi répondre. Jonathan est en train de s’occuper des fesses de ma femme devant moi après lui avoir enduit presque tout le corps de crème solaire et c’est moi qui me fais remettre à ma place ! Je suis tellement humilié que je ne trouve rien à redire, mais je bous intérieurement.
Jonathan, de son côté, se sent encouragé à aller plus loin car maintenant il palpe, caresse et masse les fesses de ma femme avec vigueur, enthousiasme et volupté. On est passé au stade supérieur : ça devient vraiment chaud. Il passe sur le haut et l’intérieur de ses cuisses, sur ses fesses, avec de plus en plus d’autorité, et Corinne, au lieu de le repousser, pousse des gémissements équivoques ou de petits rires de gorge encourageants.
- Mmmm … C’est pas mal, pas mal du tout : mais dis-donc, mon cochon, tu m’as l’air drôlement motivé …
Je n’en reviens pas : voilà qu’elle l’encourage ! … Je suis bouche bée devant ce spectacle qui me met de plus en plus mal à l’aise. Je me donne une contenance en me servant un verre d’eau à boire, mais j’ai quand même honte de me trouver ainsi relégué au second rang. Ma femme se fait palper et tripoter et j’en suis réduit au stade de simple spectateur passif.
Et puis les choses s’accélèrent. Jonathan est remonté vers le haut, il masse les reins, le dos, les flancs de Corinne en essayant apparemment d’atteindre ses seins qui semblent être son nouvel objectif. Comme Corinne reste sur le ventre, il n’y arrive pas, ou juste un peu sur le côté, mais ça n’a pas l’air de lui convenir, alors il essaie autre chose :
- Bon, il va falloir que je te fasse le côté pile, maintenant !
Il essaie de basculer Corinne sur le côté pour la retourner. Sachant qu’elle s’est déjà tartiné le devant, je m’attends de sa part à une réaction de rejet, mais ça ne vient pas, au contraire. Docile et consentante, Corinne accompagne le mouvement et se met sur le dos, pointant fièrement sous le regard lubrique de Jonathan ses deux magnifiques seins qu’elle fait ressortir encore plus en gardant les bras le long du corps et en prenant une profonde inspiration. Je n’en crois pas mes yeux, je suis totalement dépassé par les événements et incapable de savoir quoi faire. Je bredouille une vague protestation :
- Non mais, ça va peut-être suffire, maintenant, non ?
Corinne, plus provocante que jamais, les yeux malicieux et la poitrine avantageusement pointée en direction de Jonathan, se contente de répondre :
- Tu ne voudrais pas que je prenne un coup de soleil sur les seins, quand même ? Et puis, Jonathan est ton copain, non ?
Jonathan n’en attendait apparemment pas tant : le voilà qui commence allègrement à tartiner le buste de ma femme avec de la crème solaire. Ça devient de pire en pire : il étale la crème, caresse et malaxe ses gros seins, fait rouler ses tétons qui deviennent de plus en plus durs, prends les globes à pleine mains, revient sur les mamelons qu’il pince délicatement, tirant des gloussements évocateurs à Corinne qui commence à gémir plus fort, presque continuellement. Et puis l’inévitable arrive : la queue de Jonathan, gonflée de désir, sort de son maillot de bains et se dresse maintenant contre son ventre. Corinne le remarque aussitôt et éclate de rire.
- Oh, le petit oiseau vient de sortir ! Comme il est mignon …
Dès cet instant, Jonathan devient comme fébrile. Il se redresse, retire précipitamment son maillot, me regarde un instant et me jette :
- Non, c’est pas possible, elle me cherche, désolé, mais je peux pas laisser passer ça …
Il se penche vers Corinne, lui retire précipitamment son string. Elle semble à peine surprise et n’oppose aucune résistance. Ensuite, Jonathan, comme possédé, s’assoit sur le transat face à elle, prend ses jambes sous les genoux, l’attire à lui, présente sa queue raide (et de bonne taille !) à l’entrée de sa fente, puis, sans préliminaires, la pénètre sous mes yeux.
- Ouuuhhh ! Espèce de cochon lubrique …
- Mmmm … Mais dis-donc, ça rentre tout seul ?! Tu n’attendais que ça, on dirait ?
- Prétentieux !
Corinne fait sa fière mais elle est rapidement dépassée par les événements elle aussi. Jonathan la pénètre profondément, lui imprime un mouvement de va et vient qui calme assez vite toute velléité de résistance. Elle pousse déjà des soupirs et des gémissements sous les assauts de plus en plus rapides de Jonathan. Il la tient fermement sous les genoux, lui soulève le bassin et la lime bien en rythme, donnant des coups de reins violents, tant et si bien que tout le corps de Corinne en est secoué. Il ne se lasse pas du spectacle car les seins de Corinne sont agités d’une façon particulièrement suggestive et érotique. Ça vaut le coup d’œil et je suis moi-même fasciné. C’est vrai que pour les amateurs, les seins de Corinne, c’est du pur bonheur, mais quand ils ondulent et prennent vie ainsi, impossible de regarder ailleurs !
Tout ceci a été si brutal que j’en ai le souffle coupé. Je suis tétanisé. Je me trouve cocufié si soudainement que ça me paralyse. Corinne se fait baiser sous mes yeux et je suis incapable de la moindre réaction. Finalement, j’émerge de mon cauchemar et bredouille quelques paroles confuses :
- Non mais, quand même, vous exagérez tous les deux …
Sans ralentir le rythme, Jonathan continue de limer ma femme et se tourne vers moi :
- Essaie pas de jouer les offusqués, tu bandes comme un cerf, ça doit te plaire aussi, non ? »
Je réalise tout à coup qu’il a raison. Je suis en train de bander à la vue de ma femme qui se fait tringler sous mes yeux. Pendant ce temps, Corinne éprouve visiblement beaucoup de plaisir et s’approche de l’orgasme car elle crie de plus en plus fort, et Jonathan en profite pour la bourrer encore plus violemment, à toute vitesse.
- Regarde comme elle aime se faire ramoner. Mmmm …. Une belle salope, on dirait !
Loin de le contredire, Corinne pousse des gémissements et des cris qui prouvent à quel point elle prend son pied, et ça n’en finit pas. Elle monte, monte et se trouve submergée par un orgasme qui semble durer une éternité : elle crie tout en secouant sa tête à gauche et à droite. Jonathan a atteint un rythme d’enfer et la pistonne à toute vitesse, mais, au bout d’un certain temps, épuisés tous les deux, ils ralentissent et se calment. Moi, je suis toujours comme un con, assis à la table en spectateur avec mon verre d’eau, une érection qui me fait une bosse ridicule au niveau du maillot pendant que mon copain Jonathan a toujours sa bite dans la chatte de ma femme, même si maintenant le mouvement est devenu beaucoup plus lent.
Au bout d’un certain temps, ils reprennent leur souffle tous les deux. Jonathan a toujours sa queue profondément enfoncée dans le vagin de ma femme, mais il est presque immobile. Il prend les jambes de Corinne, les pose sur ses épaules, libérant ainsi ses mains pour s’occuper de ses seins qu’il commence à caresser doucement, provoquant des frissons et des sursauts de plaisir.
- Mmm …. Je t’adore, Corinne ! T’es un super coup, tu sais ?! Je sens qu’on va passer des vacances inoubliables …
Ce salaud n’en a apparemment pas fini avec elle, car ses caresses lui tirent des gémissements et des soupirs, et elle semble reprendre du plaisir à ce nouveau jeu que lui fait subir Jonathan. Visiblement il veut remettre ça et si je ne fais rien pour l’en empêcher, on va repartir pour un tour.
- Bon, ça va, t’as eu ce que tu voulais, tu peux la laisser tranquille, maintenant, non ?
- Doucement, on est en vacances, on a tout le temps, et puis, tu dois apprécier le spectacle, vu comment tu bandes. Allez, s’il te plait, retire ton maillot qu’on puisse voir ta queue.
- Non, mais ? Ça va pas, non ? Qu’est-ce que t’as en tête ?
- Je veux juste te faire partager. T’as pas envie de te branler pendant que je baise ta femme ?
- Non, jamais de la vie, ce petit jeu a assez duré …
- Tiens, regarde ta femme comme elle est chaude …
Tout en disant ça, il se remet à la « chauffer ». Il reprend de lents va et vient dans sa chatte pendant qu’il lui saisit les seins à pleines mains ou lui titille les mamelons. Ce salaud va l’emmener vers un deuxième orgasme et ça me rend malade d’avance.
- Allez, dépêche-toi de retirer ton maillot et commence à te branler ou je fais jouir ta femme jusqu’à l’heure du dîner.
- T’es fou ou quoi ?
Comme je refuse de m’exécuter, il continue son jeu et se met à limer Corinne qui remonte presque aussitôt. Incroyable ! Au bout de deux minutes de ce traitement elle est déjà en train de pousser des petits cris de plaisir. Jonathan la pistonne comme si c’était la première fois. L’ordure : il s’est arrangé pour ne pas éjaculer et il va la bourrer comme une chienne jusqu’à ce que j’en passe par tous ses caprices. À contrecœur, honteux et humilié, je me décide:
- D’accord, d’accord, c’est bon, qu’est-ce que tu veux ?
- Retire ton maillot et branle-toi pendant que je baise ta femme.
- Mais pourquoi ? Quel intérêt ?
- C’est un travail d’équipe : tout le monde doit prendre son pied, sinon c’est pas drôle. Et puis, c’est original, non ?
La mort dans l’âme, j’accède à son désir et retire mon maillot. Je n’ai jamais été aussi honteux de bander que maintenant : ma femme est en train de se faire baiser et moi, j’exhibe une trique dont j’aurais pu être fier en temps normal, mais qui, dans ce contexte, me rend particulièrement misérable. Comme si ça ne suffisait pas, Jonathan en remet une couche.
- Tu vois comme ça excite ton mec que je te baise ?
À peine a-t-il dit ça qu’il se met à accélérer la cadence et à pilonner Corinne qui me jette un coup d’œil interrogatif avant de repartir vers le septième ciel. Il se remet à lui peloter les seins, lui tenir les hanches, la caresser et la palper pendant qu’il la pénètre encore et encore. C’est un cauchemar sans fin.
- Je vais te baiser jusqu’à ce que ton mec éjacule, ma jolie.
Corinne lui jette un regard vide, elle est déjà submergée par un deuxième orgasme et Jonathan nous tient tous les deux en son pouvoir. Il se tourne vers moi et me jette :
- Allez, vas-y, branle-toi ! Mieux que ça !
J’ai commencé à me caresser la queue, mais maintenant je dois passer à la vitesse supérieure. Je fais coulisser la peau, je décalotte et recalotte mon gland en rythme, bref je me masturbe dans les règles en regardant ma femme se faire enfiler une fois encore et s’abandonner à ce nouvel orgasme. Je suis au comble de l’humiliation et pourtant ça m’excite. Plus je vois ce salaud de Jonathan limer ma femme et lui pétrir les seins, plus l’excitation monte.J’ai compris ce qu’il a dans la tête: il veut que nous réussissions tous les trois à jouir en même temps : elle pendant qu’il la ramone, lui en l’engrossant sous mes yeux et moi en les regardant faire.
- Ouais, ouais, c’est tout bon mes chéris, c’est tout bon. Regarde ta femme comme elle prend son pied. Elle aime ça, la salope ! … Et toi, ma belle, regarde ton mec qui se branle, lui aussi il aime ça …
Corinne ouvre les yeux pour comprendre ce qui se passe. Elle me regarde d’un air incrédule puis replonge aussitôt, les yeux mi-clos, dominée par le plaisir que lui impose Jonathan. De mon côté, je commence à me masturber avec frénésie, j’ai envie d’en finir au plus vite, de me réveiller de ce cauchemar. Quant à Jonathan, il se lâche comme un vrai salaud fier de son coup : il monte encore la cadence, bourre Corinne qui crie, est parcourue de spasmes et a les yeux presque révulsés par moments. Elle semble au sommet du plaisir alors que nos grognements l’accompagnent. Ses gros seins continuent de bouger au rythme des coups de reins de Jonathan. L’un comme l’autre nous contemplons, fascinés, cette poitrine opulente qui semble animée d’une vie propre.
Le spectacle est prodigieusement excitant et envoutant ; par moments, n’y tenant plus, Jonathan reprend les seins de Corinne à pleines mains et les pétrit pour mieux affirmer sa domination, à d’autres moments il lui pince les tétons pour se régaler de ses cris. Fou de jalousie et de honte, j’essaie d’en finir, mais il me faut de longues minutes pendant lesquelles Corinne jouit sans interruption sous les coups de boutoir et les caresses de Jonathan.
Finalement, dans un grognement libérateur et à peine maîtrisé, je suis le premier à éjaculer en plusieurs jets de sperme qui atterrissent par terre. Corinne, au comble de l’extase, ne se rend compte de rien tandis que Jonathan se décide à conclure par un pilonnage en règle : leurs cris se mêlent et, dans un ultime sursaut, Jonathan se bloque et s’immobilise pour éjaculer dans la chatte de ma femme en poussant un long râle libérateur.
Tout se calme progressivement. J’essuie mon sperme, mortellement gêné et honteux, pendant que Jonathan finit de se vider et de reprendre son souffle. Quelques caresses sur les seins et les hanches de Corinne avant de finalement la quitter, son braquemard perdant de sa rigidité. Quant à Corinne, repue, comblée, les yeux encore fermés, elle reprend ses esprits tout doucement. Moi, je ne sais que faire ni que dire alors je reprends mon maillot et file vers la douche.
Ça promet, cette semaine de vacances ! …

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