Cyprien - La Conversion Sexuelle De Cyprien
Militaire dans l'armée de l'air, Cyprien avait été muté au cours de l'été dans la région de Nancy. Sa compagne qui était également militaire et aussi la mère de ses deux s avait, elle, été muté dans le sud-ouest. Soumis au régime des célibataires géographiques, Cyprien avait une chambre près de son travail. Une chambre bien équipée avec une salle de bains et un WC séparé. La chambre elle-même était meublée d'un lit assez large, d'un bureau et d'une chaise ainsi qu'un très grand placard dans lequel Cyprien avait rangé toutes ses affaires. Il avait acheté une petite télévision ainsi qu'un lecteur DVD et une petite chaîne hi-fi. Le confort était augmenté par la présence d'un petit réfrigérateur qui lui était bien utile. Au début, il se rendait dans le sud-ouest tous les week-ends, mais bientôt sa compagne lui avait demandé d'espacer ses visites à 15 jours puis finalement un mois. Ne comprenant pas pourquoi, Sandrine, la compagne de Cyprien avait fini par lui avouer qu'elle avait rencontré quelqu'un qui avait une meilleure situation que lui. Ce nouvel ami avait des revenus que Cyprien ne pourrait jamais égaler et de plus ses deux s apprécient beaucoup le nouvel ami de leur maman qui savait si bien leur faire oublier leur papa. Ne pouvant lutter, Cyprien s'était résigné et avait entamé une vie de célibataire. Ainsi il passait 3 week-end sur 4 dans sa chambre et broyait du noir. Il devait verser les 2/3 de son salaire à sa compagne pour l'éducation de ses s qu'il n'avait plus le droit de voir qu'une fois par mois. Il avait néanmoins pu acheter une petite Peugeot 208 qui lui permettait de se déplacer. Il broyait souvent du noir, d'autant plus que son caractère timide et réservé avait été un frein à son intégration dans sa nouvelle unité.
Retraité militaire depuis peu, j'avais réussi à décrocher un contrat de réserve près de Nancy, dans la même unité que celle où bossait Cyprien que je retrouvais ainsi avec joie. Cyprien manifesta la même joie à me revoir.
Dès que je suis arrivé, j'ai dû attendre un peu car il n'était pas encore rentré. Il est arrivé 5 minutes plus tard, s'est excusé de son retard et m'a fait visiter sa chambre, n'hésitant pas à me montrer où se trouvait chaque chose. Nous sommes restés un petit moment à discuter et au cours de cet entretien, il m'a avoué tous les changements dans sa vie personnelle et familiale. Sentant que l'occasion était bonne, je me suis allongé sur son lit, puis après l'avoir regardé un instant, je lui ai lancé sans trop y croire :
- déshabille toi entièrement et taille-moi une pipe.
Je n'ai rien ajouté et après une courte hésitation, Cyprien a retiré son pull bleu puis a desserré son nud de cravate avant de l'enlever par dessus la tête. Le stoppant dans son élan, j'ai ajouté :
- dépose tes affaires sur la chaise, là juste à côté de moi, et dépêche-toi !
Sans rien répondre, il a déposé son pull et sa cravate puis a déboutonné sa chemise qu'il a enlevé aussi avant de relever son maillot de corps blanc et de les déposer aussi. Torse nu, il a enlevé sa montre et son bracelet fantaisie et les a déposés sur la table de nuit.
Penché en avant, il a ouvert les lacets de ses chaussures noires et les a retirées l'une après l'autre puis m'a demandé :
- les chaussures, je dois les mettre où ?
- mets-les sur la chaise avec le reste et tu mettras tes socquettes dedans.
Je l'ai regardé desserrer sa ceinture sangle bleu foncé puis ouvrir sa braguette et son pantalon. Il baissa son pantalon, le retira, le plia en deux et le mit sur la chaise ; puis il enleva ses socquettes noires qu'il plaça respectivement dans les chaussures correspondantes comme je lui avais dis. Enfin, il écarta son caleçon et le fit glisser le long de ses jambes avant de l'enlever et de le mettre sur la chaise.
Entièrement nu, il desserra ma ceinture sangle bleu foncé puis ouvrit ma braguette et mon pantalon. Il me demanda de bien vouloir me soulever un peu puis il fit glisser mon pantalon jusqu'à mi-cuisses. Enfin, il fit glisser mon slip le long de mes cuisses et baissa le tout, pantalon et slip jusqu'aux chevilles.
Il monta aussitôt sur le lit à quatre pattes et entama de me tailler la pipe que je lui avais ordonné. Il s'appliquait et semblait prendre du plaisir à me satisfaire. Je le regardais s'affairer et au bout d'un moment j'ai commencé à lui caresser la cuisse et le mollet droits. Il gémissait de plaisir mais n'opposait aucun refus. Pendant qu'il suçait, j'examinais et sentais ses fringues, ce qui me faisait bander un peu plus. Puis à un moment, Cyprien me regarda, les joues gonflées de sperme me demandant du regard ce qu'il devait faire.
- avales tout luis dis-je et après tu me nettoieras avec ta langue !
Il s'exécuta faisant une petite grimace en avalant le sperme, puis il dit :
- c'est salé !
Je souris et Cyprien s'employa à me nettoyer la verge et autour de la verge avec sa langue. Quand ce fut fini, il s'allongea à côté de moi et se laissa embrasser et caresser les cheveux. Puis après quelques instants, je lui ai glissé à l'oreille :
- maintenant mon chéri, je vais te faire le cul, mais avant je veux que tu me déshabille entièrement. Surpris, il cru bon de me dire :
- vous savez, je ne suis pas pédé
Comme je restais silencieux et sourd à sa réplique, il s'est relevé et m'a retiré tous mes vêtements, puis une fois que j'étais nu, je lui ai ordonné de se mettre en position.
Il ne comprit pas immédiatement ce que je voulais dire, mais il fut ramené à la réalité de suite quand je lui ai ordonné de se mettre à 4 pattes sur le lit et me suis placé derrière lui. J'ai léché sa raie puis j'ai écarté ses fesses et touché sa rondelle. Il gémit aussitôt et me regarda d'un air plaintif, espérant que j'allais remettre mon projet à un autre jour.
Cela devait lui faire très mal car il gémissait de douleur et mordait à fond la serviette.
J'ai glissé à cet instant cette petite réflexion qui le fit réfléchir :
- si tu n'avais pas tous ces poils dans le cul, tu aurais eu moins mal, c'est sûr !
En le regardant mieux, j'ai vu aussi que des larmes coulaient de ses beaux yeux sauvages sur ses joues. Il pleurait en silence, mordait à fond et gémissait, mais à aucun moment il n'a essayé de se séparer de moi.
Après avoir travaillé son petit cul et déchargé une salve de sperme dans son anus, je me suis retiré avec douceur. L'abandonnant à ses pleurs sur le lit, je me suis relevé et j'ai cherché un mouchoir dans le placard. Je suis revenu vers lui et lui ai lancé en lui donnant le mouchoir :
- arrête de pleurer mon chéri, tu as été très courageux, je suis fier de toi !
Cyprien se moucha bruyamment puis reprit la maîtrise de son corps. Il s'allongea sur le dos et poussa de grands souffles pour évacuer son stress. Je profitais de cet instant pour le lécher sur tout le corps et l'embrasser jusqu'à plus soif. Les baisers et les caresses lui avaient rendu son calme et sa passivité. Il se laissait faire et n'opposa aucune résistance quand je lui ai annoncé que nous allions prendre une douche ensemble et que j'allais le laver entièrement, même dans les parties intimes.
Je me suis levé et je l'ai regardé, allongé, tout nu, il avait fermé les yeux et se reposait, soudainement fatigué par la pipe et la sodomie. J'ai rangé mes vêtements et les siens dans la penderie puis je lui ai pris la main et l'ai obligé à se lever.
- debout fainéant, tu dormiras après !
En grognant légèrement, il se laissa conduire sous la douche et apprécia vite le jet d'eau tiède.
Comme il ne disait rien, j'ai engagé la conversation en lui lançant :
- Tu sais c'est gênant tous ces poils que tu as dans le cul, autour du sexe et sous les bras, je pense que le mieux serait de les raser
- mais...répondit-il gêné
- il n'y a pas de mais, je préfère que tu sois tout lisse, et tout sera plus agréable pour toi comme pour moi. A son regard, je vis bien qu'il n'était pas d'accord mais il n'osa pas me répondre.
Nous sommes ainsi restés deux heures à peu près, à se faire des câlins réciproques et à s'embrasser. Au bout d'un moment, il avait compris, sans que j'ai besoin de le lui dire, que son cur allait bientôt battre de nouveau pour un être aimé. Comme j'étais moi aussi nu, j'ai enfilé des vêtements à lui et me suis allongé près de lui.
Une heure plus tard, nous sommes aller dîner à Nancy, puis de retour dans sa chambre, j'ai cherché mes affaires dans ma chambre et je me suis installé avec lui.
Nous avons dormi ensemble, complètement nus, enlacés comme de vrais amoureux. Vers minuit, je me suis réveillé et n'arrivant pas à me rendormir, j'ai allumé la lampe de chevet et j'ai regardé dormir Cyprien. Il était calme et avait l'air reposé. Je l'ai caressé sur tout le corps après l'avoir embrassé sur les cheveux et le front, puis j'ai joué avec son sexe et ses poils que j'avais vraiment envie de raser.
Au bout d'un petit moment, Cyprien ouvrit les yeux et mal réveillé me demanda ce qu'il se passait. Je trouvais l'occasion belle et je lui glissais à l'oreille :
- on va à la salle de bains et je te rase, c'est l'heure...
Il me répondit avec une pointe d'agacement :
- je vous ai déjà dis que je n'étais pas pédé, je n'ai aucune envie d'avoir les poils rasés, vous pouvez bien comprendre çà, non ?
Je lui répondis alors calmement :
- sauf que là ce n'est pas toi qui décides, et puis j'en ai rien à foutre que tu sois pédé ou pas, tu viens et tu ne discutes pas !
Là-dessus, je l'ai attrapé par la main et l'ai à se lever. En râlant pour lui, il m'a suivi à la salle de bains. Je me suis assis sur un tabouret et l'ai placé devant moi puis à l'aide d'une paire de ciseaux j'ai coupé ses poils à ras. Les touffes de poils pubiens tombaient sur le sol de la salle de bains et avec elles la résistance de Cyprien disparaissait. Au bout d'un moment, je lui ai badigeonné le sexe de mousse à raser puis à l'aide d'un rasoir jetable, j'ai fais disparaître ce qui restait de poils sur les couilles, la verge et autour. Puis je lui ai intimé l'ordre de se retourner et lui ai appliqué le même régime pour la raie du cul. Au bout de vingt minutes, tout était net mais avant de quitter la salle de bains, je lui ai imposé, par surprise, le rasage des aisselles. Enfin, je l'ai raccompagné jusqu'au lit où je l'ai obligé à s'allonger de nouveau sur le ventre.
En douceur, j'ai écarté ses petites fesses tandis que je pénétrais dans son cul avec ma verge. Il mordit à fond la serviette puis relâcha son emprise. A l'issue de cette nouvelle sodomie, je l'ai câliné tout en l'invitant à se remettre sur le dos et à venir se placer au creux de mes bras. Rapidement il s'endormit et récupéra des forces jusqu'à 06h15, lorsque le réveil sonna.
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