La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 366)

Suite de l'épisode précédent N°365 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans –

Master Tarvo essayait de plus en plus de pousser son esclave thyr dans ses retranchements et de l’obliger sans cesse à apporter la preuve de sa dévotion totale et de son Amour. Le jeune thyr était plutôt bel homme dans la vie et bien qu’homosexuel ayant un penchant certain pour les Hommes, il n’avait rien d’un efféminé, ni d’un transsexuel ou d’un travesti. Il émanait d’ailleurs une certaine virilité masculine de son allure et de sa beauté, ren par sa carrure aux épaules larges et la musculature de ses membres et de son torse. Pour la soirée, Master Tarvo avait donc décidé d’obliger son esclave-soumis de venir à la soirée déguisé en soubrette sexy, sachant très bien que pour lui cela serait une épreuve particulièrement humiliante de se voir ainsi transformé en femme, ces créatures que par nature, l’esclave-soumis n’aimait pas particulièrement. thyr avait eu un peu de mal à entendre et à accepter en son for intérieur la dernière exigence de Master Tarvo, d’autant plus qu’il ne semblait pas vouloir lui imposer cette tenue qu’il trouvait ridicule par nature pour une séance privée D/s ce qui lui aurait été plus facile à vivre, mais bien pour une soirée privée où il y aurait beaucoup de monde et où il se devrait de faire honneur au Maître auquel il appartenait et à qui il ne pouvait rien refuser, même si cela lui coûtait intérieurement.

C’est donc dans ce contexte que Monsieur le Marquis d’Evans s’approche de son ami Master Tarvo qui s’empresse de le saluer. Aux côtés du Dominant vers lequel s’avance le Noble, se tient la « soubrette » thyr, perchée sur de hauts talons fins d’escarpins sur lesquels « elle » tient à peine, vêtue d’un tablier qui lui cache tout juste ses attributs mâles virils, volontairement laissés à l’air libre pour que l’esclave soit encore plus humilié s’il lui arrivait de bander ce qui aurait pour effet de relever le minuscule pan du tablier blanc à rebords en dentelle.

Des bas résilles noirs et un soutien-gorge noir rembourré de dentelle viennent compléter la tenue du soumis féminisé, qui arbore en outre un maquillage assez outrancier avec un rouge à lèvres très rouge vif et brillant, des paupières teintées en bleu intense et de long faux-cils chargés de mascara noir. Le collier d’esclave que thyr porte dorénavant en permanence sous son col de chemise et sa cravate, même lorsqu’il part travailler, a été recouvert pour la soirée d’un petit ruban de dentelle blanche avec un nœud fait sous le menton achevant de transformer le chien-mâle en une soubrette bien peu féminine en somme, bien qu’en portant tous les atours.

- Très Cher Monsieur le Marquis d’Evans, comme je suis heureux de Vous voir par ici. Votre soirée et la nuitée qui l’accompagne sont magnifiques. Vous semblez à l’apogée de Votre gloire de Dominant, encore que je Vous souhaite de continuer encore longtemps dans cette merveilleuse lancée. Vos esclaves sont sublimement dressés et si dévoués. Cela m’émerveille toujours de voir une telle perfection dans le dressage de Vos chiens-mâles et Vos chiennes-femelles. Toutes peintes en doré et tous peints en argentés, ils sont les merveilleux ors de votre réussite. Je Vous l’ai écrit, je ne sais combien de fois, mais puisqu’il m’est permis ce soir de Vous revoir enfin, permettez-moi de Vous remercier de vive voix, encore et encore, d’avoir bien voulu accepter de prendre en charge mon chien-esclave thyr pendant 4 semaines, qui lui ont été si bénéfiques dans son évolution à mes pieds et sous mon joug. Je ne sais comment je pourrai un jour Vous rendre la monnaie de Votre pièce comme on dit, car je me sens bien redevable et bien incapable de Vous arriver à la cheville en tant que Maître, mais je dois avouer que, grâce à mon fidèle thyr, j’ai fini par m’y mettre pour le remettre sur le droit chemin de la soumission, alors qu’il s’essoufflait dans une pure recherche du plaisir physique masochiste au lieu de savourer le plaisir qu’il éprouve à m’être maintenant totalement dévoué et à n’accepter de recevoir que les plaisirs que je consens à lui accorder dans ma grande bonté.

- Très Cher Master Tarvo, nous en avons longuement discuté par mail. Ne vous sentez pas si redevable, je le prends comme un honneur qui m’enchante de me voir confier pour son dressage un futur chien-mâle ou une future chienne-femelle pendant un certain temps. Mes occupations professionnelles et personnelles ne me laissent pas toujours le temps de me charger seul de cette tâche, surtout que j’ai aussi de nombreux soumis et soumises sous mon joug auxquels je ne peux consacrer le temps qu’il faudrait à chacun et chacune, mais mes fidèles serviteurs qui résident à demeure au Château sont aussi là pour m’aider à parfaire l’éducation de ceux qui séjournent temporairement dans le chenil ou dans les cachots du Château. Je prends de plus toujours beaucoup de plaisirs à superviser le cheminement de tous mon petit monde et de suivre ce qui est exigé individuellement de chacun afin de m’assurer que la progression dans la soumission est bien ancrée dans la démarche évolutive qui doit se solder par une nette amélioration de la dévotion du sujet librement asservi.

thyr a gardé la tête encore plus baisé lorsqu’il a reconnu la voix du Maître des Lieux qu’il n’est pas près d’oublier tant il avait été impressionné par son ton directif et ses propos fermes et intransigeants à son arrivée au célèbre Château qu’il découvrait pour l’occasion, impressionné par l’organisation sans faille et l’ordre impeccable qui régnait au sein de tout le cheptel tenu fermement de « mains de Maître », constatant que les esclaves avaient tous tant de plaisirs en l’absence du Noble et/ou de réception au Château le désir de servir au mieux le Marquis d’Evans et se dévouaient avec ferveur à assurer l’entretien de toute la demeure et du domaine dans son intégralité. Le Marquis d’Evans qui aime toujours plaisanter d’une voix canaille, accompagnant ses mots d’un clin d’œil à son ami, ajoute assez distinctement pour être entendu par thyr qui attend toujours immobile, la tête baissé :

- Très Cher Master Tarvo, je suis un peu triste de ne pas voir à vos pieds, votre petite bête à quatre pattes.
Cela m’aurait fait plaisir de pouvoir caresser la croupe et le museau de ce chien fripouille qui avait passé plusieurs semaines entre ses murs et qui aurait pu être content de venir vous accompagner à cette soirée. A son arrivée, il semblait accumuler les fautes à mauvais escient pour pouvoir obtenir quelques punitions qui lui auraient donner un peu des plaisirs qu’il recherchait, mais J’ai très vite compris son petit manège et le jeu qu’il cherchait à mener dans lequel il n’était pas question que Je rentre. Je ne fais pas parti des Maîtres et des Hommes que l’on peut manipuler aussi facilement. Les punitions non physiques dans lesquelles j’imposai qu’il soit simplement ignoré et abandonné à son triste sort dans un coin jusqu’à ce qu’il se soit amendé ont vite eu raison de ses tentations masochistes. Vous avez eu parfaitement raison d’avoir voulu me le confier afin qu’il apprenne vraiment ce qu’est la vraie soumission qui passe avant tout par la satisfaction pleine et entière du Maître, dans laquelle l’esclave puise par la même son propre plaisir d’avoir pu faire plaisir à Celui à qui il s’est offert. Je vous en sais gré, même si je regrette l’absence de ce petit chien-esclave dont j’imagine que vous avez poursuivi le dressage pour le rendre encore plus docile et prêt à accepter tous vos désirs même les plus contrenatures.

Reprenant avec un ton encore plus espiègle qui a pour effet de rendre écarlate, en moins d’une phrase, la drôle de soubrette-féminisée de circonstance, le Marquis d’Evans poursuit.

- Mais Très Cher Master Tarvo, il n’était pas spécialement besoin d’amener avec vous vos gens de maison, je devrais dire votre femme de ménage. Nous avons au Château tout le personnel qu’il faut pour faire l’entretien des pièces de cette demeure ancestrale, même si elle est particulièrement grande et richement meublée et décorée et c’est ainsi depuis presque 400 ans. (NDLA : depuis 1625) Elle a d’ailleurs beaucoup de charme cette jolie soubrette, même si sa poitrine semble un peu plate et son torse un peu trop velu.
Si vous me le permettiez, je lui arracherai bien ce soutien-gorge inutile et ridicule pour lui mettre à la place de belles pinces aux tétons qui feront se redresser ses mamelons encore assez peu développés.
- Faites Très Cher Marquis, Ce n’est pas ma petite soubrette qui se plaindra qu’on veuille bien lui faire porter des bijoux supplémentaires, surtout si Vous y ajouter une belle chaine lestée de poids.

Le Châtelain interpelle une soumise qui se trouvait à portée de voix et lui ordonne d’aller chercher sur une des dessertes remplies de nombreux accessoires et équipements D/s un tire-sein un peu particulier puisque qu’il s’agit de deux pinces seins qui sont montés sur un appareil à vis sans fin qui permet de régler la distance entre le centre de l’objet qui vient prendre appui au milieu de la poitrine et la barre sur laquelle sont fixées les deux pinces qui est quant à elle mobile et qui peut être éloignée de plus en plus du corps en tournant la vis de réglage ce qui a pour effet de tendre au maximum et de plus en plus distendu les mamelons étirés à l’extrême. Le Marquis d’Evans installe lui-même l’appareil sur la poitrine de thyr qui se laisse faire sagement, mais qui se sentant très excité par la situation ne peut retenir sa queue qui se met à gonfler et à se redresser, ce qui couvre encore plus de honte le jeune esclave qui se doute que cela ne va pas passer inaperçu à l’œil aguerri du Châtelain.

- Cher ami, vous voyez cet appareil semble magique, il est conçu pour faire se redresser et se tendre les seins, et voilà que c’est une autre partie intime de l’anatomie de votre soubrette qui semble vouloir se redresser. A ce que je vois, cette nouille n’est pas encagée, je suppose que c’est une exigence de Votre part. Mais je pense qu’il serait de mauvais ton de laisser passer cette offense, car Votre soubrette a encore besoin d’apprendre à contrôler un peu mieux ses érections pour ne les laisser venir qu’avec Votre permission et sur Votre ordre, et en tout cas ne pas venir me les présenter sous le nez quand je daigne m’approcher.
- Oui, Monsieur le Marquis, Votre réflexion est plus que pertinente. Il me faut sévir car le côté maso de thyr lui fait perdre parfois toute contenance, sa volonté de me satisfaire et son désir de soumission dès qu’il se laisse déborder par quelques sévices et les plaisirs physiques qu’il en retire. Mais selon Vous, quelle serait la punition adaptée ? Ne pourriez-vous la choisir Vous-même, Monsieur le Marquis, et ceci d’autant plus que c’est en Votre présence, alors que Vous daignez porter la main sur ma soubrette thyr qu’ « elle » a eu le malheur de se mettre à bouger de la queue.
- Cher Master Tarvo, j’aperçois à vos côtés l’une de mes esclaves, je suppose qu’il s’agit de celle qui a dû vous être attribuée pour la soirée, je ne sais ce que vous lui réserviez pour la nuitée et si elle vous a donné entière satisfaction jusqu’à cet instant. Je suis d’ailleurs surpris de constater que vous ayez choisi une boule dorée pour vous voir affecter une chienne-femelle, car je pensais que vous n’aviez plus depuis longtemps que d’attirance pour les mâles, les jeunes hommes de préférence … ah non j’oublie, vous devez aussi être attiré par les jolies soubrettes à queue également, si j’en crois ce que je vois ! (Ajoute t-il avec un sourire complice)
- Cher Marquis d’Evans, soyez rassuré. Je n’ai pas modifié mes goûts sexuels actuels, mais n’oubliez jamais que j’ai été marié dans le passé et que mon épouse avec laquelle j’ai divorcée après 25 ans de mariage est la mère de mes deux grands s, même si la vie nous a quelque peu éloigné, car ils ont eu du mal à accepter ma nouvelle orientation sexuelle et le fait que je me sois pacsé avec mon compagnon. Et encore, j’ai pris soin de leur cacher notre appartenance à une communauté BDSM, car ils auraient sûrement encore moins compris et je n’avais pas besoin de voir leur regard désapprobateur porter un jugement sur ce qui ne dépend que de moi et de ma vie personnelle intime qui ne regarde pas mes s dans la mesure où je ne leur impose rien et où j’ai assumé mon rôle de père jusqu’au bout pour les aider à devenir à leur tour des adultes autonomes et libres eux-aussi à leur tour d’assumer leurs propres choix...

Reprenant sa respiration, Master Tarvo continua d’expliquer :

- … J’ai choisi pour cette soirée une chienne-femelle et je suis tombée sur la N°31, car je voulais qu’elle apprenne pendant quelques heures à ma soubrette thyr comment se comporter et surtout comment marcher avec des talons, car on la dirait toujours perchée sur des échasses avec des jambes en vrais poteaux de bois. Je dois reconnaître que votre esclave a déployé toute sa science et son savoir-faire pour aider ma fausse chienne-femelle thyr qui reste toujours aussi peu enclin à la féminité avec son corps de mâle charpenté, bien que soumis dans l’âme et dans le comportement. Ceci était d’ailleurs ma directive formelle pour cette soirée spéciale de l’obliger à accepter une tenue qui ne lui conviendrait pas du tout et qui serait en totale contradiction avec sa morphologie et son ressenti intérieur propre, mais qui me prouverait par une obéissance aveugle à mes désirs saugrenus son dévouement profond et son abnégation sans faille pour satisfaire toutes mes exigences de Dominant.
- Je vous entends bien, Master Tarvo, laissez-moi donc alors laisser se poursuivre la leçon que devait lui donner mon esclave 31, si vous me permettez de prendre les rênes quelques instants avant de vous quitter, car il me reste encore de nombreux invités que je voudrais saluer avant d’aller me coucher.
- Très Cher Marquis d’Evans, faites comme bon Vous semblera. Je suis Votre obligé, mon esclave Vous a offensé et Vous avez tous pouvoirs pour lui imposer ce qu’il Vous conviendra. Et puis, si je puis me permettre un piètre jeu de mots « Faites comme si Vous étiez Maître chez Vous ».

Le Marquis d’Evans appelle l’esclave 31 qui s’approche, s’agenouille et se prosterne pour déposer un baiser sur les chaussures du Maître Vénéré.

- Ma chienne-esclave, tu vas aller chercher de quoi équiper cette belle soubrette d’un très joli « nut-crackers » (casse-noix littéralement, désigne un serre-joint qui permet de pincer fermement les testicules) duquel tu feras pendre plusieurs poids. Cette soubrette est très mal élevée puisque, sans en avoir reçu l’autorisation ni de moi-même ni du Maître à qui elle appartient, elle s’est permis de se mettre à bander sans vergogne en ma présence et sous Mes propres yeux. Je pourrais décider de quelques punitions douloureuses mais ce maso n’en serait que plus ravi, tu vas donc lui en faire voir de toutes les couleurs, mais par là où il a fauté en n’ayant pas su maîtriser son érection. Tu vas donc le sucer jusqu’à ce que tu sentes qu’il est sur le point de jouir et tu stopperas net, interdiction de le laisser éjaculer, prends y bien soin si tu ne veux pas te retrouvée punie à ton tour. Tu te retiras aussi sec et tu feras tomber son excitation en trempant sa queue dans un verre d’eau bien fraîche dans lequel tu auras fait fondre préalablement quelques glaçons. Cela devrait être radical pour faire dégonfler l’impertinence de cette queue indisciplinée. Et si besoin, un bon pincement supplémentaire au niveau des testicules devrait faire son petit effet et parachevé le dégonflage. Une fois le sexe redevenu à l’état de nouille recroquevillée, tu recommenceras ta fellation en t’appliquant mais sans lui permettre une fois encore d’atteindre l’éjaculation et ainsi de suite. Tu as bien compris ce qui est exigé de toi.
- Oui, Maître Vénéré, tout sera fait et exécuté comme Vous l’exigez.
- Tu t’arrêteras dès que Master Tarvo te l’ordonnera, ou qu’il exigera de toi autre chose de plus ou de moins. Dépêche-toi d’aller chercher ce dont tu auras besoin et un verre avec des glaçons au bar. Pendant ce temps-là, je vais voir ce que tu as pu enseigner à cette jolie soubrette qui a l’air bien peu à l’aise sur ces jolis escarpins haut perchés.

Le Marquis d’Evans se retourne vers la soubrette thyr et att la pince qui enserre les tétons du soumis-mâle féminisé pour faire deux tours supplémentaires, ce qui extirpe un énorme rictus de la part du jeune thyr ressentant à la fois la douleur des tiraillements, mais aussi le plaisir physique et l’excitation qui lui font encore plus tendre la queue, ce qui fait que le soumis, de plus en gêné de ne pouvoir se contenir et freiner le gonflement de son sexe, s’incline de plus en plus honteusement, pour essayer de se recroqueviller ayant du mal à maintenir sa queue entre les jambes pour éviter qu’elle ne trahisse son excitation.

- Je pense qu’il va falloir laisser ma chienne-femelle soumettre cette queue à quelques séances de gonflage-dégonflage pour apprendre à cette queue toujours très indisciplinée qui ne sait rester à sa place comment elle doit apprendre à ne se lever que lorsqu’elle y est autorisée.

Le Châtelain se rapproche de Master Tarvo et d’un signe de la tête le salue pour marquer son départ.

- Très Cher Master Tarvo, j’ai été enchanté de vous revoir. Je me dois de vous quitter, mais ce sera au plaisir de vous retrouver pour une prochaine occasion en présence qui sait ce jour-là de votre chien-mâle thyr à quatre pattes à vos pieds. Je vous souhaite beaucoup de plaisirs et de fermeté dans la poursuite du dressage de votre nouvelle soubrette qui a encore quelques progrès à faire pour devenir une femelle-soumise, mais qui j’en suis certain doit quand même vous apportez de réelles satisfactions lorsque je constate son évolution....

(A suivre ….)

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