Nouvelles Sensations
Il mavait promis du nouveau, jarrivais donc un peu dans linconnu mais conscient que ce que jallais vivre allait sortir de lordinaire.
Yves et moi nous voyons rarement, jai ma vie, il a la sienne et nous nhabitons pas la même ville. Je sonnais donc à la porte et Yves maccueillit en membrassant à pleine bouche.
- Alors, tu me fais confiance pour cette soirée ?
Bien entendu que je lui fais confiance et jusquà présent je nai jamais été déçu !
Une fois arrivés dans le salon, je remarquais une boite posée sur la table.
- Ne perdons pas de temps, mets-toi à genoux sur le fauteuil.
Je mexécutais sans poser de question.
Il sapprocha, dégrafa ma ceinture, ouvrit le bouton du pantalon et le fit glisser sur mes cuisses. Il releva ma chemise et baissa mon slip sans plus de formalité. Je mattendais à être pris comme cela mais ce nétait pas son intention. Il se dirigea vers la table, ouvrit la boite et en sortit un plug de couleur noire.
- Tu mas dit ne jamais avoir essayé, ce serait trop bête de passer à côté !
Il écarta les globes de mes fesses, fit glisser son doigt sur ma raie en sarrêtant quelques instants sur mon anus, me faisant pousser un soupir daise. Je sentis alors quelque chose de froid, puis son doigt enduit de gel commença un massage de mon illet de plus en plus profond jusquà faire pénétrer une phalange.
Il continua son massage puis, jugeant sans doute que cela suffisait, me laissa dans cette position.
Je sentis alors quelque chose se poser sur mon anus qui souvrit légèrement, puis, accentuant sa pression, lobjet commença à me pénétrer. Sa forme facilitait lintromission et le gel faisait son office.
Tout dun coup, une sensation bizarre, le plug venait de rentrer complètement et mon sphincter se refermait sur la partie la moins large.
- Je vais le fixer pour quil ne parte pas.
Il plaça du sparadrap de façon que lobjet ne sorte pas de mes entrailles.
Une tape sur les fesses puis il remonta mon slip.
- Finis de te rhabiller, on va y aller.
Je finis donc de me rajuster et déjà il mattendait à la porte.
Je ne sais si vous avez déjà essayé de marcher avec un objet dans le cul mais je vous assure que cest assez curieux. Au bout de quelques minutes, jarrivais enfin à avoir une démarche plus proche de lêtre humain que du canard et nous sortîmes dans la rue.
- Jai quelques courses à faire, nous nen aurons pas pour longtemps.
Il sarrêta chez le teinturier, visiblement celui-ci nétait pas surpris de notre visite. Le commerçant interrogea Yves du regard et celui-ci fit un signe. Le teinturier finit de servir la cliente qui attendait et la raccompagna à la porte, prenant soin de fermer celle-ci à clef. Il revint vers nous.
- Cest lui ?
Yves acquiesça. Le teinturier me prit le bras et mentraina dans larrière-boutique encombrée par les machines et le linge. Yves se plaça devant moi, défit mon pantalon et baissa mon slip, offrant le spectacle de mes fesses occupées par cet objet incongru.
- Pas mal, je nai pas trop le temps là mais tu ne seras pas venu pour rien.
Il me retourna et me fit mettre à genoux. Il ouvrit son pantalon, baissa son slip à son tour et me tendit sa queue encore flasque.
Jouvris donc la bouche et commençais à sucer ce membre. Le commerçant devait être près de la retraite et sa vigueur ne revint quaprès de longues minutes à moccuper de ce bout chair qui reprenait petit à petit forme humaine. Dun coup il se raidit, sortit de ma bouche et gicla sur mon visage en poussant de petits râles de plaisir.
Il me tendit un linge pour messuyer, je me rhabillais en vitesse et il nous raccompagna à la porte.
Yves entra dans une supérette où une dizaine de clients faisaient leurs courses. Il nallait tout de même pas mexhiber devant tous ces gens ! Non, ce nétait que pour faire quelques emplettes et nous repartîmes dans la rue.
Nous entrâmes dans la boutique dun fleuriste qui nous sourit.
- Passez dans larrière-boutique, jen ai pour une minute.
En effet, il fit vite son apparition et nous salua. Il se tourna vers moi et dit :
- Tu me montres ?
Pas besoin de mexpliquer, je savais ce quil me restait à faire et je dénudais ainsi mes reins, offrant de nouveau ce spectacle que je ne pouvais quimaginer.
Il passa sa main sur mes fesses, en connaisseur, en profitant pour soupeser mes bourses.
- Il va être à point, tu ne crains pas quil soit trop ouvert ?
- Non, répondit Yves, jai fait attention à ne pas lui mettre trop gros.
- Je te fais confiance !
La porte de la boutique venait de souvrir avec un joli bruit de carillon.
- On se voit plus tard, dit-il en retournant à son travail.
De nouveau séance rhabillage !
- Cette fois la tournée est terminée, nous rentrons à la maison.
Je pensais naïvement quil allait me libérer de lintrus qui occupait mes entrailles mais telle nétait pas son intention. Il déplaça le fauteuil vers un autre coin de la pièce, décrocha un tableau et accrocha à la place une corde terminée par deux menottes en cuir. Je me doutais de ce qui allait marriver et mon cur se mit à battre plus fort.
- Mets-toi à poil, me dit-il.
Je savais par expérience quil ne servait à rien de discuter ou de résister et jentrepris de me mettre nu. Il me poussa vers le fauteuil, me fit mettre à genoux comme tout à lheure mais plaça mes poignets dans les menottes. Il ajusta la corde de manière à ce que mes bras soient tendus et mon buste bien droit.
Je restais ainsi pendant un temps qui me parut bien long, entendant Yves préparer des choses que je ne voyais pas.
La sonnette retentit. Il partit ouvrir et une personne entra.
- Mets-toi à laise !
Je ne savais pas qui venait dentrer.
De nouveau la sonnette :
- On naura pas attendu longtemps !
Jentendis des pas dans le couloir puis dans le salon, mais je navais toujours aucune idée de qui venait dentrer.
- On prend un verre dabord ?
Les inconnus acquiescèrent. Visiblement ces voyeurs se délectaient du spectacle impudique que joffrais à leurs yeux.
Après quelques minutes pendant lesquelles je les entendais deviser joyeusement, Yves donna le signal.
- Passons au plat de consistance.
Ils sapprochèrent de moi, des mains se mirent à parcourir mon corps offert marrachant des soupirs.
- Chauffons-lui un peu le cul, dit lun deux.
Des claques sabattirent sur mes fesses offertes, jamais violentes mais bien appuyées et placées là où il faut. Je commençais à gémir.
- Ferme-la ou je te bâillonne !
- Ce serait dommage de se priver dune aussi bonne bouche !
- Libérons-le, dit lun des convives.
Je sentis le sparadrap quon arrachait et, dun seul coup, quelquun retira le plug qui était en moi, me faisant pousser un cri de surprise. Je me sentais vide tout dun coup.
Très vite des doigts virent tester lélasticité de mon sphincter, en profitant pour sinsinuer en moi.
- Tu as raison il nest pas trop ouvert mais bien souple.
Le bruit dune capote quon place sur un membre et déjà lun deux se présentait à lentrée, donnant un coup de reins pour pénétrer dun coup. Il me laboura les entrailles, sagrippant à mes hanches, et me besogna ainsi de longues minutes avant de se retirer. Un autre prit sa place mais il fit basculer mon bassin vers lui afin de me cambrer plus. Il me pénétra doucement, en de longs et amples mouvements. Cela dura encore, je lentendais haleter dans mon dos puis il se retira.
Le troisième sapprocha mais ce nest pas son membre qui se posa sur mon anus, ce sont ses mains qui soccupèrent de mouvrir un peu plus. Deux doigts, puis trois et un quatrième le rejoignit. Jétais fouillé comme jamais. En expert il cherchait ma prostate et se mit à la masser délicieusement.
- Mets la main, dit une voix.
- Ca ne rentre pas, jai déjà essayé et je ne veux pas labimer.
Lorsquil meut ouvert comme il le souhaitait, il me pénétra dun coup et mencula ainsi sans retenue.
Quand il eut terminé, il détacha mes poignets, me faisant me lever et découvrir les invités qui avaient gouté à mon cul. Sans surprise, cétait les deux commerçants de tout à lheure.
Nus, la queue à la main, ils sapprochèrent de moi. Yves me fit mettre à genoux et je dus moccuper de ces trois membres avec ma bouche et mes mains jusquà leur plaisir.
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