Ali, Mon Garde Du Corps

Je vis à l'étranger depuis que je suis gamin. Mon père a créé une grande entreprise, a gagné beaucoup d'argent avec, et a décidé d'emmener ma mère et moi en Tunisie, pour une histoire d'impôts. Entre temps ma mère à l'origine simple mère au foyer avide de sous, s'est trouvé une passion pour la décoration et a trouvé une activité auprès d'autres riches Européens en mal d'exotisme. Je suis fils unique, « mais » mes parents ne se sont jamais véritablement occupé de moi. Ils n'avaient pas le temps.

J'ai été élevé par deux nounous géniales, et mon instruction était gérée par une bonne dizaine de professeurs experts dans leurs domaines, présents du lundi au vendredi. Je n'avais pas vraiment d'amis, si ce n'est les cousins qui venaient une fois l'an nous rendre visite pour passer des vacances gratuites au soleil. J'ai toujours tout eu à disposition, mais j'ai vite appris que ça ne suffisait pas pour être heureux. Je ne me plains pas, je n'oserais pas.

Parmi le personnel de la maison, il y avait aussi des gardes. Beaucoup d'hommes, quelques femmes. Souvent austères et catégoriques. Sortir en ville pour faire des courses était par exemple impossible. Mes parents faisaient en sorte qu'aucune tâche ne nous incombe. Quand on est , c'est compréhensible, mais quand on a 20 ans c'est ridicule. J'avais deux gardes du corps attitrés, responsable de ma sécurité jour et nuit. Avec le temps, ils sont presque devenus des valets, tellement ils réagissaient vite aux moindres souhaits de mes parents me concernant.

Ali est arrivé quand j'avais 15 ans, il devait en avoir 23. J'en parle car il a un rôle très important dans ma vie... Il conduisait la voiture quand je devais aller au sport, ou à un gala auquel mes parents assistaient. Lui était plus décontracté que les autres mais respectait tout de même sa position. J'en ai parlé à mes parents et ai fait en sorte qu'il s'occupe de moi plus souvent que ceux que j'appréciais moins, car trop sévères et trop sérieux.



La première fois que j'ai compris sa loyauté, c'était à l'aube de mes dix-sept ans. Il m'avait conduit à une énième soirée de remise de prix pour les entreprises de pâpâ. J'ai passé mon temps à boire du champagne alors que je n'en avais clairement pas l'autorisation. Mes parents ne me voyaient pas, naturellement. Ali, tapis dans l'ombre tel un ninja, vient me voir une première fois et me demande de lever le pied sur l'alcool. Je ne l'écoute pas et je continue à me bourrer la gueule. Dix minutes plus tard, il me saisit par le bras et me force à quitter le gala, et m'a fourré dans ma propre voiture, tel un criminel. On est rentrés à la maison rapidement et il m'a dirigé vers ma salle de bains. Je titubais comme un ivrogne, mais il n'avait aucune tendresse pour moi. Je commençais à avoir un peu honte de l'avoir déçu. Il a d'abord jeté de l'eau glacée sur mon visage et m'a donné de petites claques pour m'empêcher de m'écrouler en dormant. Il m'a brossé les dents. Je me souviens qu'il a aussi pris soin de me déshabiller afin de me mettre en pyjama. Il m'a ensuite porté jusqu'à mon lit pour me border avant de quitter la pièce. Je n'oublierai jamais son regard dégoûté.

Le lendemain matin, je me suis fait réveiller par le soleil qu'Ali avait fait entrer en écartant les rideaux violemment. Quelle ordure, pensais-je à haute voix. Il se venge. Il m'a à me lever, à aller courir 20 minutes, à me doucher, à manger et à réviser alors que la gueule de bois que j'expérimentais pour la première fois était atroce. Il m'a quand même laissé prendre de l'aspirine et fait boire beaucoup d'eau. J'ai passé la journée à demander pardon, mais il ne décochait pas son fameux sourire complice. Je me sentais à nouveau seul.

Le soir, j'étais sur mon lit train de bouder, quand Ali frappe à la porte. Je le fais entrer et il me demande s'il peut s’asseoir. Je ne lui réponds pas et il s'installe au bord du lit. Je tourne la tête pour lui faire comprendre que je ne veux pas lui parler.
Très simplement, et avec sa voix gentille, il m'explique qu'il ne supporte pas de voir des gens boire de l'alcool pour se bourrer la gueule. Il m'a aussi dit qu'il m'appréciait et qu'il ne voulait pas me voir commencer à tomber dans ce vice. Je l'ai rassuré tout de suite en lui expliquant que c'était ma première fois et que je ne comptais pas en faire une habitude. Il m'a ensuite dit qu'il avait compris que la vie qui m'était imposée n'était pas ment facile à vitre pour un ado, mais que d'ici quelques années, je pourrais faire ce que je veux. Il me sourit enfin et s'apprête à partir. Je l'arrête et lui dis merci pour s'être occupé de moi la veille. Il me dit que ce n'est rien.

Cet événement a resserré nos liens et c'est vraiment là que mon histoire débute. Pendant tout ce temps, il a quand même dû garder ses distances et ne pas exprimer trop d'attention à mon égard, afin de rester le plus professionnel possible. Cela n'a pas empêché des discussions intéressantes et des confidences mutuelles. Plus le temps passait, plus il devenait le grand frère que je n'ai jamais eu. Je le regardais différemment aussi. Mes hormones d'adolescent me faisaient ressentir des choses que je ne concevais pas jusque là. Ali était un jeune homme séduisant. Il était grand et joliment dessiné. Il avait des yeux marron virant presque au vert quand il était face au soleil. Il avait un parfum bien à lui. Parfois je me perdais dans son regard, imaginant bien plus que de la bienveillance. Ses gestes, ses caresses sur l'épaule, parfois dans le bas du dos devenaient de plus en plus fréquents. Je ne savais parfois comment les traduire. Mon esprit était le premier à penser au pire.

De plus en plus souvent, d'ailleurs, lors de mes plaisirs solitaires, je m'aventurais à espérer plus que ces attouchements innocents, plus que ces marques neutres d'affection. Je l'imaginais nu à mes côtés, dans mon lit, me faisant l'amour avec passion. Je découvrais la masturbation anale, transformant mes doigts en une verge chaude et perforante dans mes rêves les plus humides.
..

Il n'y avait quasiment personne dans la demeure de mes parents en journée. J'avais alors 18 ans et ma crise d'adolescence était bien passée. Mes désirs, eux, non. Je ne savais pas comment les retenir, ni même comment les exprimer. Alors que je jouais à la console de jeux, (une des demi-douzaines que mes parents m'ont « offert »), Ali frappe à la porte, et entre, bien sapé dans son costume-cravete noir et blanc. Un peu ennuyé, je lui demande s'il veut bien jouer avec moi. Il refuse d'abord, mais il succombe à mon caprice. Il s'installe à mes côtés sur mon canapé, retire sa veste, prend la manette et m'affronte dans ce jeu de combat. Sa belle chemise blanche près du corps expose sa large silhouette sportive. Au départ, il me laisse clairement gagner, ce qui m'énerve. Je le force à jouer vraiment et nous commençons à nous amuser. Le temps passe et il se lâche un peu plus à chaque partie. Il me chambre et je fais mine de faire la gueule. Il tente alors de me chatouiller alors que je me concentre pour le battre cette fois-ci. Je laisse la manette m'échapper et je tombe à la renverse, mort de rire. Il se jette sur moi et continue à gratter mes côtes. Je ne parviens même pas à l'arrêter tant il est fort. Je tente à mon tour d'attr ses bras, mais mes mains contournent à peine ses biceps. Nous rions et rions encore, ça m'avait manqué. Il s'arrête et nous nous regardons. Son bassin est entre mes deux cuisses, que j'ai enroulées autour de son abdomen. Je ne suis pas sûr mais je sens son sexe chaud et dur contre le mien. Il arrête de sourire quand il voit que je m'en suis rendu compte et tente de se redresser. Je lui demande de rester comme ça un peu plus longtemps. Ses yeux étaient remplis de terreur, je ne devais pas payer de mine non plus. Je sentais mon cœur battre à une vitesse folle, ne sachant pas trop ce qui allait se passer. Je place mes mains sur ses épaules et descends vers sa poitrine dure. Je lui caresse les pectoraux en le regardant droit dans les yeux.
Il caresse ma joue avec sa main et passe son pouce sur mes lèvres entrouvertes. J'ouvre les boutons de sa chemise successivement pour découvrir un torse velu et musclé, plus que ce que je ne pouvais imaginer. J'atteins ses tétons et les fais glisser sous mes doigts tremblants. Je pense avoir franchi une limite. Il me fixe, la bouche ouverte, abasourdi. Je continue à me faufiler dans les mailles de sa toison douce et je l'entends soupirer calmement. Cela doit lui faire plaisir. Je le tripote comme ça pendant cinq bonnes minutes. Sa bite contre mes couilles n'en finit pas de gonfler et de prendre davantage de place. Il doit souffrir dans son pantalon. Il prend un peu de recul et ôte totalement sa chemise. Des poils, des poils partout. J'en pleurerais tellement il est à tomber par terre. Je vois une bosse monumentale sous ses abdominaux. Il s'allonge à nouveau sur moi et m'embrasse doucement. Je ferme les yeux et je sens son puissant corps se mouvoir contre le mien. Nos deux sexes sont en contact à travers les tissus de nos vêtements. Je sens la chaleur de son membre se propager sur mes parties, je ne veux pas que ça s'arrête. Je caresse son grand dos humide pour le rapprocher encore de moi. Je touche les deux lobes de ses fesses massives mais si solides. Je le force à se redresser en le repoussant. J'att sa ceinture et la déboucle pour libérer ce qu'elle tentait tant bien que mal de protéger. Je baisse ensuite son boxer blanc, puis il me saisit le poignet en me disant : « tu es sur ? »
Je réponds que oui, et que j'en ai envie depuis trop longtemps. Il lâche ma main et je peux enfin observer son magnifique pénis érigé pour moi. Il était circoncis, large et long, comme ce que j'avais pu imaginer quelques minutes avant. Un beau gland, et une merveilleuse paire de testicules lourds et poilus. Je n'attends pas et je me jette dessus. J'arrive à peine à en faire le tour avec ma main, mais j'essaye de le masturber. Elle est brûlante, plein de soubresauts, et il commence à mouiller abondamment. Je me penche et l'engloutis sans le prévenir. Son sexe m'écarte la mâchoire mais je fais mine de pouvoir l'avaler. Je goûte à son gland et perçois un léger goût salé qui ne me déplaît pas. Je fais en sorte de le sucer du mieux que je peux, et ça m'a l'air de fonctionner. Il lance sa tête en arrière et soupire de plus en plus vite. Je m’attelle à la tâche quelques minutes quand il essaye de repousser ma tête avec ses mains. Je les lui retire, pour lui faire comprendre que je sais ce qu'il va se passer. Soudain, il pousse un fort râle et tend son corps. Dans ma bouche, c'est une vague puissante qui s'écrase contre mon palais. Je ne m'attendais pas à autant de force de la part de son sexe. Surpris une première fois, je me concentre cette fois-ci pour la fournée suivante. Je l'intercepte et l'avale aussitôt. C'est une texture vraiment étrange, mais finalement pas gênante. Il éjaculera plusieurs fois encore dans ma bouche jusqu'à ce que tout ait disparu dans ma gorge. Je le suce encore quelques secondes mais à mon grand désespoir, son sexe perdait en vigueur. J'étais un peu déçu car je pensais me faire dépuceler cet après-midi. Quand il est redescendu de son extase, il me regarde avec son fameux sourire et se jette à nouveau sur moi. Il m'embrasse et me retourne. « Je vais te rendre la pareille, il n'y a pas de raison ». Il tire fort sur mon pantalon et mets mes fesses à jour. Je me mets à quatre pattes, ne sachant pas trop à quoi m'attendre. Puis c'est la tête la première qu'il se lance dans mes fesses. Il les écarte et y glisse sa grosse langue. Il y va avec curiosité d'abord, puis fouille de plus en plus loin dans mon anus détendu et excité. Quelle sensation. J'ai l'impression de mouiller. Il noie mon orifice avec sa salive, comme un chien heureux. Parfois, il descend pour me lécher mes petites couilles. Je n'avais qu'une envie, c'était qu'il me doigte. Il y a pensé sans même que je lui fasse remarquer. Il passe directement à deux doigts. Je suis déjà super ouvert. Je m'agite contre son avant-bras pour lui faire comprendre que je veux de l'action. Je regarde derrière moi et je l'observe, sa bite à main, en train de se masturber. Il reprend du service ! Je ne serai peut-être plus vierge tout à l'heure ! Il crache généreusement sur son sexe et se dirige vers mon trou. Je frémis d'impatience. Il fait passer son gland sans problème et s'arrête. Il me demande si je suis prêt. Je réponds en reculant et ce faisant faire entrer plus loin son gourdin. Il att mes hanches et se cale au fond de moi. Je ne pensais pas que ça serait aussi bon. Mon entraînement a porté ses fruits. Il me fait l'amour avec retenue dans un premier temps puis se laisse aller à son désir, et au mien. Je le sens me remplir le chou avec son gros machin et ça me fait beaucoup de bien. Il saisit ma bite sous mon ventre et me branle. J'ai presque déjà envie de jouir. Tant d'émotions et de sensations nouvelles d'un coup... Je déverse le contenu de mes couilles sur mon pantalon en serrant malgré moi mon anus sur sa grosse queue. Ali, lui, se sentant aussi au bord de la jouissance une seconde fois, accélère la cadence et claque ses cuisses musclées et velues contre mes fesses. Il n'a pas le temps de sortir et il éjacule au plus profond de moi. Il n'arrête pas pour autant ses saccades et continue à me prendre en profitant de la fraîche lubrification de mon trou dépucelé. C'est une nouvelle sensation dans mon antre. Je me sens comblé et dilaté au maximum et il s'immisce sans effort. Je le sens dans toute sa largeur virile se vider dans mes entrailles. Mon rêve depuis tant d'années. Quand il n'en pouvait plus, il se retira et son foutre épais le suivait, coulant autour de mes couilles asséchées. J'aurais aimé le garder plus longtemps en moi, mais mes muscles n'étaient pas en mesure de se serrer à nouveau pour le moment. C'était passé trop vite, j'en voulais encore. Encore de sa chair dans la mienne, encore de sa belle tige. Je me retourne et le vois en nage, la transpiration faisant briller ses poils. Il se lève et me demande avec un grand sourire s'il peut utiliser la salle de bains. Je lui accorde naturellement, à la condition que je puisse y aller avec. Il rit et prend ma main. Nous nous lavons l'un l'autre, avec désir et passion. Je me demande s'il va à nouveau bander et me prendre. Plus vite qu'il ne faut de temps pour le dire, sa queue était déjà à sa taille maximum et cherchait mon orifice avec sa tête. J'étais plaqué contre la mosaïque et il m'écrasait de tout son poids en rentrant de plus en plus fort. Il m'enlaçait avec force, pour ne pas que je tombe. Je touchais à peine le sol tant chacun de ses coups me faisaient voler. Il me mord le cou tel un animal en chaleur tout me baisant profondément. Il m'astique avec vigueur et je jouis sans même y penser. Il m'assène de coups de plus en plus violents et finit par jouir à son tour, encore une fois dans mes fesses. Il ne se retire pas, mais continue à m'embrasser par l'arrière, avec sa queue toujours bien ancrée en moi et déversant ses dernières gouttes de jus.





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