Agnès/Margot
Sur la montagne, presque au sommet de la croupe, après la forêt, la prairie. Lair y est frais surtout à lombre du sel chêne perdu. Les sacs sont mis sur le sol, les couples sassoient à lombre. Tout le monde souffle des efforts consentis. La vue sur la plaine est remarquable. Lassées des efforts les garçons se laissent tomber. Les filles en profitent, ce nest pas tout les jours quelles peuvent identifier tous des détails : les fermes, les bergeries, les champs, même les tous petits points que deviennent les paysans à cette distance.
Le casse croute se passe vite les garçons boivent à eux seuls les cokes. Les filles préfèrent finir une bouteille de bon vin. Le terrain ne se prête pas à une course. Elles se regardent en souriant : une autre partie plus particulière peut de faire à quatre. Elles se sentent lâme coquine, assez pour se mettre nues, découvertes à dire vrai. Lair frais les y encourage, elles sentent leur pores se remplir doxygène. Cest le début du naturisme qui ressort delle. Aucunes pensées érotiques, rien que le plaisir simple dêtre nue. Elles sallongent tout près. Elles sont tellement bien quelles sendorment. Il est tard, presque temps de rentrer à la ferme où ils logent.
Les garçons les ayant vu nues ont des pensées que tout homme auraient : ils se verraient bien en couple avec elle, couchés dans lherbe ; les deux copines sont aussi excitée, elles pensent sans le dire quil serait plus sage daller à la ferme, de senfermer un instant sur la paille. Même dy passer la nuit couchée sur une bâche.
La descente est rapide, exténuant : la jeunesse passe tout, même cette lassitude passagère. Les quatre jeunes récupèrent bien. De passage à la ferme pour un diner rapide, ils se trouvent vite dans la grange. Une des filles, la meneuse, sait depuis laprès midi ce quelle désire : une belle queue quelle a repéré quand un des jeunes garçons se soulageait contre un arbre. Il lui faut le provoquer pour quelle lui sorte son engin, vérifie son fonctionnement.
Sous ses airs de bonne jouvencelle, elle cache une qualité particulière avec un tempérament explosif. Ce nest pas de sa faute, sa mère était déjà comme elle. A labri dans le fenil ils sautorisent des compensations en se mettant assez déshabillés pour évacuer le surplus de transpiration. Cette odeur de répand. Margot, la fille y en sensible en tout ce qui de près ou de loin est corporel est une bénédiction. Elle sent réponde de son désir dans sa fente. Elle ne peut rien faire avec les autres qui peuvent regarder ? Elle ne se doute pas quAgnès, est comme elle.
En bavardant les deux filles sentendent pour passer un moment dehors, loin de lagitation stérile des garçons. Elle sadosse sur le mur à lextérieur. La chaleur en sort encore. Dans un geste inconsidéré, mue par lenvie de plaisir, Agnès pose une main sur la jambe de Margot. Elle le réagit pas, elle se laisse faire : elle regarde simplement la main qui monte doucement. Quand elle sent la caresse entre ses cuisse, elle les écarte, déjà complice dune éventuelle suite. Malgré son désir de bite Margot se laisse faire, finalement même si le plaisir est moindre, au moins plaisir il y a, ça qui évitera de se masturber plus ou mois en cachette
Agnès aime plutôt les filles sans cracher sur les hommes (elle en accepte bien de temps en temps pour des étreintes particulières que ne peuvent lui donner quun gode ou une bite) Et coté filles elle sy connait. Margot va connaitre son art. Elle ne sautorise pas la mise à nue de sa camarade de jeux. Cest delle-même que la victime est nue après un bon quart dheure de manuvres. Elle ne fait quembrasser Margot sur les lèvres, insiste avec sa langue. Margot descend sa bouche sur le cou. Encore sur la gorge pour revenir sur le cou. Elle ne lâche un endroit que quand elle la embrassé, léché et recommencer. Elle lève doucement le t-shirt pour faire apparaitre le soutien gorge quelle fit tomber lentement. Elle ne vient poser sa bouche que longtemps après avoir caresser la masse totale, Elle fait des suçons partout en montant enfin sur les tétons quelle tête longuement Elle ne le lâche quaprès lavoir fait gonfler complètement.
Si Agnès était un homme, on pourrait voir une bite bandée. Elle mouille tout simplement. Elle attend son heure qui viendra tout à lheure après avoir fait jouir son amante. Elle continue la mise à mort de sa compagne. Elle ouvre pourtant elle-même la ceinture du jean, la braguette aussi. Elle nose pas demander quelle la caresse là où elle mouille elle aussi.
Lentement la main à plat sur le ventre passe la frontière entre le ventre et la taille. Les millimètres sont longs à franchir. Margot nen peu plus, il lui faut quelque chose maintenant, de suite, immédiatement. Elle monte son pubis en signe doffrande. Elle est à peine crise par Agnès qui, impassible poursuit son travail de délabrement des désirs de son amante.
Elles sont enfin nues, depuis quelles sont enlacées, cest enfin le dénouement. Faire lamour ne semble pas lémouvoir. Elle se permet juste dembrasser encore les seins, venir sur le nombril pour y mettre la langue.
Elles ne disent rien, elles dégustent simplement. Enfin Agnès se couche sur le dos devant Margot, elle lui prend la taille, la caresse, descend vers les hanche, passe les cuisses, vers les genoux. Elle remonte toujours très doucement. Margot regarde le concret arriver enfin avec les mains, la toucher la peloter comme elle ne la jamais été. La tête de lamante vent se poser sous les fesses de Margot qui sent le souffle de son amante sur ses parties intimes. Elle voudrait sassoir sur cette figure. Elle reçoit une langue pointue qui la fouille. Son clitoris nest pas le premier baisé, il passe après les lèvres. Margot devient folle de désir. Cest pire que quand un homme la baise trop lentement. Enfin la langue vient lécher son petit rocher. Margot se lâche totalement, elle se donne au plaisir qui lenvahit à cette bouche de fille. Elle sent les premiers spasmes dans son ventre. Elle nest même pas capable de rendre ce quelle reçoit.
Cest une récompense quand elle permet à son amante de venir pose sa bouche sur son sexe. Elle louvre en grand, elle fait sortir son clitoris, ses lèvres. La langue lèche tout avec ardeur. Un vilain doigt se perd même vers le petit trou, ce qui nest pas dans le répertoire restreins finalement dAgnès.
Personne ne sest aperçu de leur amour clandestin.
Leur amour dure tout le temps du séjour, toujours à parer à linconvenance. Agnès préfère ne pas montrer son plaisir de lesbienne. Par peur de se faire rabrouer par les autres.
Après leur départ, de retour chez elles, Margot revoit Agnès. La première fois rien ne se passe. La seconde est mouvementée : la nuit, leur première nuit ressemble à sy méprendre aux enlacements pervers. Après bien des semaines, Margot arrive à lécher lanus et entrer sa langue : le dernier rempart est tombé. Bien après son mariage, Margot qui en bonne amoureuse en a parlé à son mari a envie des fois de se donner comme avant. Le seul changement est quils sont trois. Que Margot baise avec son mari dans tous les orifices normaux possibles, se laisse aimer et par son mari et pas son amante qui juste un juste un progrès permet quon lui caresse lanus en fin de course, comme récompense. La suite montre quelle commence à apprécier davoir le con rempli dune bite ainsi aue son cul.
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