Série « Les Voisins » Épisode 8 : Sébastien Parvient À Baiser Sa Belle Voisine Cougar Brigitte
Je mappelle Sébastien, je vis dans une grande ville du centre de la France. Je vais vous raconter une histoire que jai vécu avec une voisine, une amie de ma mère. À cette époque, en 2000, javais à peine 24 ans et je vivais encore chez mes parents. Cependant, sortant beaucoup les week-end, je venais pour manger et dormir lorsque je nétais pas chez un copain ou une copine. Sur le palier, vivait un couple marié : Brigitte 40 ans et Marc 43 ans et leurs deux s, Sylvain un jeune de 20 ans, faisant ses études à Paris et Anaïs, la petite dernière de 7 ans.
Ça faisait déjà 12 ans que nous nous connaissions avec nos voisins, Marc mapprenait à jouer au foot en bas de limmeuble lorsquil sortait avec le petit Sylvain et Brigitte me faisait faire des devoirs et me donnait le gouter les après-midis lorsque ma mère était absente. Je lavais toujours bien aimée, elle jouait avec moi, me chatouillais, me faisais des bisous. Puis les années passaient et nos petits jeux sétaient éteints avec lâge. Dès mon adolescence, jétais en admiration devant cette femme de 28 ans, belle à croquer, mes sentiments pour elle nétaient plus les mêmes, je la désirais, je fantasmais sur elle à tel point que je limaginais à mes côtés lorsque je me masturbais.
Il faut dire que Brigitte était jolie, avec ses longs cheveux bruns et bouclés, ses yeux verts, son petit nez en trompette et sa bouche sensuelle. Elle était grande avec ses 1,70 m, son corps était mince, une jolie petite poitrine et des jambes interminables. Dans la journée ou en soirée, je ne pouvais pas mempêchait pas de penser à elle et lorsque jétais près delle, javais la boule au ventre. Marc était souvent absent, dès quil rentrait du boulot, aux beaux jours il jouait à la pétanque jusquà point dheure et lhiver il trainait chez un ou lautre à lapéro. Brigitte se réfugiait donc souvent avec Sylvain chez ma mère.
En 1994, javais 18 ans, lorsquun vendredi soir à 19 heures, elle était venue seule voir ma mère en pleurant, Sylvain dormait chez un copain et moi je devais retrouver les miens plus tard dans la soirée.
Tu nas pas un peu dherbe. Me dit-elle ?
À cette époque, elle savait que je fumais et me faisait la morale lorsquelle me surprenait en bas de limmeuble. Je fus surpris par sa demande mais je roulai un joint et nous lavons fumé. Si cela lui avait fait du bien quelques minutes, lorsquelle sétait remise debout quand je quittai lappartement, elle chancela et tomba en saccrochant à moi. Je lavais prise dans mes bras et lavait portée jusquà sa chambre. Je lallongeai sur le lit, elle ne parlait plus, elle était à demi-inconsciente. Je ne savais pas si je devais la dévêtir pour la mettre dans les draps mais javais tellement envie de la voir nue, que je lavais dénudée entièrement, avant de la recouvrir.
Avant de partir, je métais baissé pour lui faire une bise sur la joue, lorsquelle me prit par le cou et membrassa sur la bouche sans la langue en disant : « Tu es un amour Seb
Hic ! Viens allonge toi si tu veux
Hic ! » avant de re-sombrer. La tentation fut trop forte, je métais déshabillé, et je me glissai sous les draps. Je lembrassai mais cette fois ma langue força sa bouche et je la pelotais. Je continuais car elle gémissait, je pensais quelle en avait envie et je bandais surtout comme un âne. Toutefois, une petite voix dans ma tête me disait darrêter et de partir. Mais elle me serrait contre elle, je ne pus faire autrement que de la pénétrer et cela semblait lui plaire.
Jétais aux anges, elle me tenait fortement par les fesses, me disant « cest bien », je savais dans mon for-intérieur quelle nétait pas du tout lucide mais cétait si bon que je continuais mes va et vient.
Le lendemain matin après le déjeuner, je partais retrouver mes potes lorsque la porte des voisins souvrit à mon passage. Brigitte était toute pâle, elle devait me surveiller, elle me tira par le bras et me dit : « Rentre ! Il faut quon parle. » Je ne brillais pas, jappréhendais cherchant ce que jallais bien lui dire. Elle navait pas attendu pour me poser la question :
Que sest-il passé hier soir ? Avons-nous coucher ensemble ?
Après un long moment silence de ma part, la voyant blêmir, elle me reposa la question :
Tu mas demandé un joint et après tu mas emmenée dans la chambre où tu mas embrassé.
Oh putain ! Tu mas
pénétrée ?
Bein ! Ouais, je suis désolé mais cest toi
qui voulait
Tu as pris une capote dans le tiroir du chevet ?
Non ! Mais tinquiète, je me suis retiré à temps.
Ce nest pas possible ! Merde ! Quelle conne je suis ! Seb, cest moi qui suis désolée, vraiment ! Il faut garder ça secret. Promets-moi de ne plus recommencer, même si je suis saoule.
Je te le jure que je serai une vraie tombe. Excuse-moi encore, je naurais pas dû en profiter.
Allez ! Maintenant cest fait, jespère au moins que tu as pris du plaisir car moi, je ne me rappelle de rien du tout. Me dit-elle en me faisant une bise et en me renvoyant.
Pendant près de deux mois, elle mévitait, puis tout cela semblait faire partie du passé, nous nétions plus si proche quauparavant mais nous nous reparlions un peu. Ce ne fut quaprès la naissance dAnaïs que Brigitte sétait de nouveau libérée de tous les remords quelle avait pu avoir.
Notre étreinte en bas de limmeuble, avait duré longtemps, je me demande si elle navait pas ressenti mon érection tant mon excitation fut forte à son contact car elle me dit aussitôt : « Excuse-moi Seb ! Je te laisse aller voir ta mère. » Javais appris ce soir-là que depuis la naissance dAnaïs Marc et Brigitte ne sentendaient plus comme avant. Son mari qui ne buvait que les week-end était de plus en plus ivre même en semaine. De mon côté, je passais de moins en moins souvent chez mes parents, javais trouvé un travail et une copine chez laquelle javais pris mes quartiers. Pendant deux ans, lorsque je venais dans limmeuble et que je croisais Brigitte, celle-ci était très tactile et quand elle me faisait la bise, ses lèvres restaient collées longuement sur mes joues.
Elle mavait dit quelle sennuyait depuis le départ de Sylvain à Paris. Elle nomettait jamais de me proposer de venir lui rendre visite quand jétais de passage et me faisait toujours quelques petites allusions gentilles, telles : « Tu es beau Seb, tu es devenu un homme maintenant. » ou Ça se passe bien avec ta copine ? » ou encore « Si tu as envie de parler, nhésite pas. » Je me doutais bien que cette femme était en mal damour, elle était beaucoup moins souriante, elle avait perdu sa joie de vivre et je supposais que Marc, nétant plus le même, en était la cause.
En février 2000, je mangeais chez ma mère, je devais retrouver ma copine dans la soirée. Brigitte, dont le mari était parti une nouvelle fois en bringue et Anaïs dinaient avec nous. Vers 22 heures, la petite dormais dans le canapé, quand Brigitte décida de partir en même temps que moi :
Seb ! Tu peux porter la petite dans sa chambre ? Ça membête de la réveiller.
Pas de problème Brigitte. À plus maman. Dis-je à ma mère en lembrassant avant de prendre Anaïs dans mes bras.
Après avoir ouvert sa porte, Brigitte me fit passer devant, tout en posant ses mains sur ma hanche puis mindiqua la chambre de la petite. Étant déjà en pyjama, je la déposai sur son lit. Brigitte frotta sa cuisse contre la mienne pour la couvrir en me disant que jétais un chou. Je m'apprêtais à quitter son appartement, lorsquelle me remercia et me proposa de boire un verre au salon. J'acceptais volontiers, je savais bien ce quelle voulait car pendant tout le repas, elle me fit les yeux doux, cela ne mavait échappé. Ce qui me gênait, cétait la promesse que nous nous étions faites quelques années plus tôt, néanmoins, ce soir-là elle navait pas bu dalcool.
Je m'installai sur le divan espérant quelle prenne place à mes côtés. Pendant quelle faisait le service, nous commencions à discuter, elle n'hésita pas à me parler de Marc qui devenait vraiment insupportable. Je la laissais sexprimer, elle avait besoin de vider son sac. Je ne désirais pas prendre parti, mais pour la réconforter, javais passé mon bras derrière son dos et elle posa sa tête sur mon épaule. Elle se tut puis nous nous regardions en nous souriant, sachant tous les deux à cet instant, ce qui allait se passer, tout en se demandant lequel allait tendre ses lèvres. Mais ni lun ni lautre osait faire le premier pas, à croire quelle navait pas lintention de tromper son mari. Pensait-elle comme moi, je ne le savais pas.
Javais donc repris la parole tout en changeant de sujet, je lui racontais les dernières blagues que javais appris la semaine, elle avait toujours aimé les histoires drôles, elle avait ri et soudain, elle releva la tête, me pris par le cou et membrassa. Ce baiser fut magique et très agréable, pourtant après plusieurs minutes, Brigitte linterrompit, sexcusa de son geste malveillant et me demanda de partir avant quelle ne fasse une bêtise :
Tu sais, tu nas pas à texcuser, jai adoré ce moment mais si cest ton désir je men vais. Lui répondis-je en me levant.
Non ! Reste Seb ! Sil te plait.
Elle avait à peine fini sa phrase quelle m'enlaça de nouveau et me tendit ses lèvres pour un nouveau baiser. Celui-ci fut bien plus fougueux, ses mains dans mes cheveux, elle passa sa jambe sur les miennes afin de sassoir sur moi, javais mes mains sur son dos et les descendis sur ses fesses afin de la serrer fortement sur mon sexe en pleine érection. Elle remuait le bassin pendant que nos langues dansaient la valve à lintérieur de nos bouches, je savais à présent que rien ne nous empêcherait daller plus loin, nous étions dans une euphorie totale.
Tout en nous embrassant, elle menlevait le teeshirt, pendant que je descendis le zip arrière de sa robe. Lexcitation était à son comble pour lun comme pour lautre, je métais retrouvé en boxer et Brigitte était superbe dans sa lingerie fine quelle avait mise pour loccasion. Je l'admirais, son corps était magnifique dans ses sous-vêtements sexy, ce qui augmentait mon désir. Elle maida à enlever son soutien-gorge, nous nous embrassions passionnément, je lui caressais la jolie petite poitrine, ses seins nétaient pas énormes mais fermes, ils avaient la forme de poire et ses tétons érigés par lexcitation semblaient démesurées.
Elle sallongea sur le canapé tout en retirant le dernier rempart qui protégeait son intimité. Je penchai ma tête sur son sexe et je posai ma langue sur sa fente et son clitoris. Très vite, sa tête en arrière, Brigitte laissa échapper un léger gémissement. Ma langue sactivait toujours entre ses grandes lèvres, son intimité devenait plus humide, je glissai délicatement un doigt dans sa petite chatte. Sa respiration saccélérait, ses gémissements étaient plus soutenus, elle se cambrait en levant son bassin vers moi, elle mouillait à présent, son excitation était aussi forte que la mienne. Pendant cette dizaine de minutes, ses deux mains posées sur ma tête me prouvaient que je devais poursuivre ce cunnilingus. Lorsque jenfournai un deuxième doigt au plus profond de son vagin trempé. Son corps sarc-bouta et dans un râle de plaisir, elle jouit.
Après quelques secondes, Brigitte se releva pour m'embrasser et ôta à son tour mon boxer où mon sexe était à létroit. Elle prit mon pénis dans la main, me déposa une petite bise sur le bout de mon gland avant de lavaler dans sa bouche. Cétait exquis, je navais jamais imaginé que cette femme avait un réel don pour la fellation. Elle suçait mon sexe, léchait le bout de mon gland avant de lavaler de nouveau au fond de sa gorge. Tout en me massant les testicules et en me branlant la base de la hampe, je sentais monter en moi ma jouissance. Elle sen apercevait et ressortait mon engin, elle ne voulait pas que je jouisse dans sa bouche, pourtant elle avait le pouvoir sur moi : « jai envie de toi Seb ! Prends-moi maintenant ! »
Javais retenu la leçon, je me relevai pour retirer un préservatif dans mon pantalon, Brigitte me coupa dans mon élan en me disant que je nen avais pas besoin : « Naie crainte, je prends la pilule. » Elle prit les choses en main, me tirant par la main, elle minstalla à sa convenance au fond du canapé et me chevaucha. Elle prit entre ses doigts mon pénis dur comme bois et le dirigea aux portes de son vagin. Doucement elle sempala sur ma verge tendue comme rarement, jusquà poser ses fesses sur mes cuisses. Quelle sensation de bonheur, je remplissais sa chatte mouillée et chaude, je ne pouvais aller plus loin.
Elle commença à osciller du bassin davant en arrière et de gauche à droite, elle me dominait en me chevauchant tranquillement en me donnant de petits baisers pendant que je lui malaxais la poitrine. À partir de là, elle monta et descendit le long de mon pieu en accélérant le rythme, retirant presque ma verge en ne gardant que le gland dans sa fente avant de redescendre au plus profond de ses entrailles. Quel plaisir, elle me procurait et à lentendre gémir, elle prenait elle aussi son pied. Ses bras accrochés à mon cou, elle gémissait de plus en plus, utilisant les baisers et les coups de langues pour couvrir le bruit du désir qui montait dans son ventre.
Très excité par la situation, jétais dans un tel état domination que je décidai de reprendre le contrôle. Toujours fiché en elle, je posai mes mains sous ses fesses en me relevant pour la soulever, avant de la déposer sur le dos. Je relevai ses jambes au maximum, cétait à mon tour de la posséder, j'allais et venais en elle de plus en plus fort, m'agrippant à ses chevilles posées sur mes épaules. Brigitte gémissait et haletait fortement ce qui me redonnait encore plus de vigueur dans mes coups de reins. Elle couinait son bonheur, en poussant quelques petits cris de joie.
Puis son corps se mit à trembloter et à se cambrer, elle jouit une seconde fois en poussant un nouveau râle de plaisir qui résonna dans la pièce. Sans que je lui demande, elle changea de position, ce qui me permit de faire redescendre un peu la pression. Elle était là, devant moi, à genoux sur les coussins, le ventre tourné vers le dossier, les fesses en l'air, je nen demandais pas tant, d'un coup je la pénétrais de nouveau au plus profond, elle poussa un petit cri de surprise. Je mactivais sauvagement cette fois, le rythme était plus soutenu, je la ramonais dans un bruit de clapotis et de claquement à chaque fois que mes couilles tapaient sur ses fesses, à peine recouvert par nos gémissements :
Cest bon ! Oh Brigitte ! Je vais jouir !
Encore Seb !
Je sentais que je ne pourrais plus tenir bien longtemps avant de jouir, elle contractait ses muscles internes emprisonnant ma verge lorsque jétais planté jusquà la garde. Dans un dernier effort, sous ses petits cris de plaisir, j'accentuais mes dernières allées et venues et dans un grognement sauvage, je me couchai sur elle, en la serrant très fort. Je me vidai à grands flots de tout le sperme secrété pendant nos ébats. Jeus limpression davoir éjaculé un litre tellement ma jouissance fut forte. Après plusieurs longues secondes, je métais enfin retiré de son ventre, nous ne nous étions rien dit. Nous nous étions remis assis avant de nous embrasser dans un baiser sensuel.
Brigitte et Marc saimaient profondément, il lui avait promis de ne plus boire et ils avaient envie tous les deux de repartir à zéro. Il sétait fait muter dans lEssonne et devaient quitter la région deux mois plus tard. Quant à moi, jaimais ma copine mais je garderai toujours un souvenir inoubliable de ma belle Brigitte avec une certaine fierté lorsquelle mavait dit :
Sébastien ! Je navais jamais trompé Marc. Je dois te dire que jai pris beaucoup du plaisir avec toi, tu es un amant formidable. Ce que je regrette le plus depuis six ans, cest de navoir aucun souvenir de notre premier rapport sexuel.
Et Anaïs, elle est de qui ?
Tu mas dit que tu tétais retiré non ? Cest la fille de Marc.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Sébastien, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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