Aux Sources De Ma Sexualité, Partie 2
J'ai revu cette femme à de nombreuses reprises. Elle m'avait "embauché" pour de petits travaux chez elle. Elle me regardait les effec, nu et, une fois fait, elle profitait de mon corps comme je profitais du sien. Si l'envie prenait à un homme marié de prendre du plaisir avec elle, je ne pouvais passer qu'après lui. Les moins délicats d'entre eux la consommait devant moi mais la plupart du temps tout se passait dans une autre pièce de laquelle ne perçaient que des bribes de jouissements saccadés. Son mari n'était jamais là, je ne sais pas ce qu'il faisait, mais il la laissait seule très souvent et c'était grâce à nous qu'elle pouvait obtenir le plaisir auquel elle avait droit. Il finit tout de même par apprendre ses infidélités en interrogeant leur personnel de maison. Faire un esclandre était impensable, ne rien dire aussi, alors il coupa la poire en deux. Les infidélités de sa femme furent l'occasion pour lui de vivre ses fantasmes. Je l'imaginais vieux, ridé et impuissant, ce n'était pas du tout le cas. En fait il était plus jeune qu'elle, beaucoup plus jeune qu'elle et avait épousé cette veuve de presque 40 ans parce qu'on lui avait dit de le faire et parce qu'elle était riche. C'était une belle femme, il était plein de sève mais pourtant il ne la baisait pas. Lui, ce qu'il aimait, c'était les hommes et c'était pour ça qu'à presque 30 ans on lui avait refourgué cette veuve pornographique qui s'imaginait avoir tiré le gros lot avec ce petit rouquin musclé et tonique. C'était aussi pour ça qu'au bout de deux ans de mariage il n'avait toujours pas d's. Il demanda d'abord à me regarder la baiser ce qui ne me posait pas de problème. Il voulait voir comment il était sensé donner du plaisir à cette femme lubrique qui ne demandait que ça.
Il voulu en suite goûter à ma queue mais je dû mettre le holà. L'homme n'était pas repoussant, il était même plutôt bien entretenu et avait l'air plus jeune que son âge mais sa queue me dégoûtait. C'était un beau membre duquel il ne devait pas avoir honte mais recouvert d'un prépuce mollasson et tombant, pour moi ça aurait été comme se taper un .
Cette situation devint tout de même intenable au bout d'un certain temps et il demanda à entrer dans l'âge d'homme. A 30 ans passé, ce n'était pas trop tôt. Tout fut arrangé très rapidement et il opta pour des percements de la couronne du gland par de petits anneaux: un en haut, deux en bas (de part et d'autre du frein) et un de chaque côté. Ainsi révélé, son membre était très beau. Blanc et long, il devait atteindre les 18cm en érection et affichait un revers de peau rosé très esthétique. Dès sa cicatrisation, il nous confia avoir vu son désir sexuel décupler. Lui qui se faisait un tapin par semaine et une petite branlette tous les deux jours tout au plus, expérimentait à présent des envies sexuelles totalement insoupçonnées. Biensûr, les hommes continuaient à avoir ses préférences, mais il se prenait à regarder les fesses de sa femme, à l'envisager comme un partenaire sexuel. Pour lui deux jours étaient devenus une période d'abstinence longue qui lui donnait des érections permanentes et justifiait qu'il saute sur tout ce qui bouge. Il n'est jamais devenu hétérosexuel, c'est impossible, mais la frustration l'a amené à baiser son épouse assez régulièrement sans pour autant que cela devienne une habitude. Ces baises avaient le goût de l'inconnu pour eux deux et suscitaient chez elle des orgasmes forts, rapides et multiples.
Elle l'avait d'abord sucé goulument et il avait jouit dans sa bouche. Il avait jouit parce qu'elle avait sucé cette partie qu'il ne pouvait plus stimuler et la frustration lui avait tiré le sperme hors des bourses. Cet homme assez réservé avait réussi à mettre tous les autres au pas. Ceux qui voulaient avoir du plaisir avec sa femme étaient d'abord s de le regarder la pilonner et nul ne pouvait lui donner autant de plaisir que lui. A peine la pénétrait-il qu'elle se mettait à crier et ce n'était pas à cause de la taille de sa queue qui était loin d'être impressionnante, non, c'était parce qu'elle avait du se toucher pendant 3 longues années en pensant à lui avant de connaître enfin la sensation de son mandrin, qui plus est hérissé de boules métalliques, sur les tréfonds de son ventre. Avec elle, il était très endurant, presque trop endurant mais finissait toujours pas lâcher la purée au coeur de son ventre sous le regard médusés de ceux qui passaient après. Ceux là n'était plus très nombreux car rien n'est plus dégradant que de profiter d'un vagin maculé du sperme de quelqu'un d'autre. En tout cas on me l'avait interdit et de toutes façon ça me dégoûtait. Heureusement pour moi, il préférait toujours s'occuper des hommes ce qui me laissait quelques plages libres pour retrouver la belle voisine. Très vite il la mit enceinte et ce fut pour moi une libération de pouvoir jouir en elle. J'estime que ma vraie première fois avec une femme est intervenue à ce moment là, quand j'ai pu décharger dans son ventre.
Son mari, Armand, impressionnait beaucoup autour de lui. Il avait changé du tout au tout en quelques années. Alors qu'il n'était jamais là auparavant, il trouvait maintenant le temps de nous retrouver tous les après midi pour faire des exercices avec nous. Je suis sur qu'il venait avant tout pour le spectacle car il aimait nos corps mais cela n'avait l'air de déranger personne. Il ne restait pas là à nous regarder pour autant et s'est construit un corps très bien dessiné aux muscles parsemés de tâches de rousseur. Il avait gardé sa bouille ine mais celle-ci était dorénavant posée sur un corps puissant et ferme. Il s'épanouissait complètement dans cette atmosphère d'hommes sans complexes et sa femme aussi. Je pense que le fait d'être regardés par d'autres hommes l'aidait à faire l'amour à sa femme. Je pense que ces regards extérieurs l'excitaient. Si en termes de qualité il s'en sortait plutôt bien, il n'était bien entendu pas apte à la satisfaire en terme de quantité mais la fécondait assez souvent pour ne pas laisser planer de doute sur sa paternité. Il lui fit quatre petits rouquins ce qui acheva de lui attirer la considération des autres pères de famille et fini par l'ériger en modèle "d'homosexuel responsable", notion que mon père avait forgé sur mesure pour lui. En fait, selon mon père, la sexualité avait peu d'importance, on pouvait baiser n'importe quel adulte consentant quand et aussi longtemps qu'on le voulait, mais faire des s, et en particulier des garçons, n'était pas négociable. Armand avait cette bonne semence, dense et chaude, qui atteignait son but dès le premier essai et je pense que même si il avait voulu, aucun des autres hommes ne l'aurait laissé avoir du plaisir avec leur femme. Il préféraient offrir leur propre cul plutôt que de risquer le bébé coucou et Armand les avait tous baisés.
Ces bourres se faisaient entre hommes mariés, nous n'y étions jamais conviés.
Au fait de nos désirs et embrassant nos besoins viril, il n'était pas rare que l'un ou l'autre ait une érection impromptue et pouvaient alors se prodiguer des caresses, se soulager s'il n'avait pas envie d'aller le faire autre part. C'était aussi une démonstration de masculinité qu'il convenait de faire une fois de temps en temps histoire que tout le monde comprenne que tout allait bien. Quand mon père n'était pas là et que je devenais l'homme de la famille, cette démonstration était presque un devoir pour moi.
Il s'accordait quelque fois par an un semaine ou un weekend de vacances seul avec ma mère et nous envoyait chez Jean, le père de Marius, qui avait aussi la charge de veiller à ce que nous fassions nos exercices physiques. Le soir venu, après le repas, j'étais invité à joindre les hommes dans le petit salon. La plupart du temps je refusais et préférais rester avec les autres jeunes mais quand mon père n'était pas avec nous, je sentais comme un devoir sacré de le remplacer. Dans l'immense majorité des cas, les pères de famille parlaient de leurs affaires, de leur argent et je m'ennuyais. Assis dans de gros fauteuils en cuir, il fumaient le cigare ou buvait du cognac et du café, nus bien entendu, mais dans une totale ignorance de cette nudité. Ce salon des hommes était décoré de deux immenses photos qui se faisaient face. Sur le premier mur, une photo du père de Marius, en noir et blanc bien sûr, prise dans sa jeunesse, quand il était dans la forêt, probablement par un de ses acolytes. Le corps jeune et ferme, couvert de peintures sur un fond de végétation luxuriante, exhibant ses attributs masculins avec fierté. Le seconde représentait Marius au même âge, dans la même pose, le corps peint de façon identique, posant dans un décor forestier, au bord d'une crique ou d'un petit lac. Leurs queues étaient identiques, courtes et très larges comme des plots. L'homme tirait beaucoup de fierté de cette ressemblance qui attestait selon lui de la fermeté de ses gênes, de la puissance de son sperme. Nous étions donc comme pris en sandwich entre ces deux portraits à mi cuisse grandeur nature qui se regardaient dans un mélange d'amour et de défi. Un simple coup d'oeil sur une de ces photos me donnait une gaule instantanée. Ces fois là, Marius me proposait discrètement d'aller dans sa chambre pour que nous finissions cela ensemble mais j'avais un devoir de représentation et lui aussi. Le plus souvent, nous discutions d'un côté et les autres parlaient d'autre chose de l'autre côté de la table basse. Ils ne s'apercevaient même pas de ce que nous faisions ou faisaient mine de ne pas s'en apercevoir.
Pour gicler, il fallait se tenir debout. Ce que nous faisions seuls dans l'intimité était une chose, mais en présence des autres hommes il était considéré comme non viril d'éjaculer avachi sur le siège et de s'en foutre plein le torse. Quand le plaisir montait à son maximum, il fallait se lever et s'approcher d'une large coupe en argent qui était posée sur un meuble. Notre bijoux intime tintait presque tout le temps contre le métal ce qui ne manquait jamais d'attirer l'attention des personnes présentes. Parfois nous étions plusieurs autour de cette coupe et nos glands s'entrechoquaient sans que l'on s'en aperçoivent.
La toute première fois, la présence de tous ces gens m'avait totalement coupé mes moyens, j'avais mis un temps fou à obtenir une érection dure et fiable pourtant il fallait bien que je montre que tout fonctionnait, ne serait-ce que pour l'honneur de la famille. Pour ne pas me déconcentrer, tous les autres s'étaient joints à moi et avaient fait tourner la conversation autour du sexe et des femmes. Jamais ils ne parlaient de leurs plaisirs entre hommes car ce qui se passaient entre eux était enveloppé d'une sorte de secret, de mystère, et ce qui se passait entre nous ne les intéressait pas. Pour moi l'échec n'était pas une option, je venais à peine de cicatriser et c'était mon saut dans le grand bain. Les yeux fermés, le corps rabattu en arrière, je faisais abstraction de ce qui m'entourait pour me concentrer sur ma bite, sur ma nouvelle bite qui n'avait plus rien à voir avec ce que j'avais auparavant. Je tentais de chercher la peau vers la bas pour la faire remonter sur mon gros gland gonflé par l'abstinence mais n'y arrivais pas et on me fit remarquer discrètement que ce mouvement manquait de classe. Une fois de plus, ceci n'avait rien à voir avec ce que je faisais seul dans mon lit, ici je devais offrir une démonstration de virilité. En face de moi, les autres ne massaient que leur hampe, laissant leur gland intouché. Marius avait intégré cet élément, je l'imitais. Je ne sentais pas grand chose, pas autant qu'avant, mais je devais jouir comme ça. On ne m'avait pas proposé de lubrifiant, peut être voulait on me tester. Je rêvais à un trou bien chaud pour englober ma queue, je rêvais à mon prépuce d'avant pour stimuler mon noeud, je rêvais à tout et n'importe quoi une demie heure durant, ma queue raide dans la main et l'obligation de gicler, de gicler beaucoup et de gicler fort, pesant sur mes épaules. Les autres s'étaient levés et attroupés autour de la coupe en argent. Je les suivais sans comprendre. La grosse canette de coca cola de Jean tressaillit et laissa s'échapper sa semence, blanche, liquide et visqueuse. Il râlait fort et soufflait, montrant bien son plaisir à tout le monde. Puis ce fut la quincaillerie de Philippe qui tinta sur le métal de la coupe, montrant à tout le monde l'homme qu'il était. Il ne restait que Marius et moi. L'éjaculation ne venait pas et Jean au lieu de s'énerver, posa on bras sur mon épaule et me chuchota : "Allé petit homme, lâche tout ! Ca te fera du bien" "J'arrive pas
" lui ai-je répondu un peu honteux. Posant sa main sur mon torse, il me fit comprendre qu'il fallait que je recule lentement et m'arrêta au moment où on anneau heurtait le bord du récipient. Je n'avais jamais rien ressenti comme ça. Faisant discrètement bouger ma queue, je faisais gigoter l'anneau de gauche à droite et le plaisir était royal. "Je vais cracher là" ai-je laissé échapper de ma bouche. "C'est bien mais n'y va pas trop vite, arrête toi de temps en temps !". Je m'arrêtais et recommençait, puis m'arrêtais encore et recommençais jusqu'au moment où le plaisir devint insoutenable et m'arracha une dizaine de grosses larmes de sperme chaud et gluant qui se collèrent au fond du bol, se mêlant à celui des autres hommes.
Ce n'était donc pas une branlette mais une sorte de cérémonie. Le plaisir d'éjaculer était bien là mais c'était surtout la démonstration qui en faisait quelque chose d'important et en même temps un facteur de pression. Ce moment arrivait finalement très rarement, peut être une dizaine de fois en tout dans ma vie, la plupart du temps on se contentait de discuter en buvant un verre puis chacun s'en retournait se satisfaire seul ou avec son épouse. Pour ma part,je préférais profiter des talents de Marius plutôt que d'exhiber mon jet pour prouver ma fécondité.
L'atmosphère n'était donc pas dénuée de tabous mais ils étaient simplement différents. L'autre grand interdit tenait aux filles, celles des amis à mon père, que nous n'avions pas le droit de connaître charnellement, du moins c'est ce que nous croyions. Cet univers masculin occultait totalement ce qui se passait du côté des filles, la seule chose qu'on nous avait enseigné était qu'elles avaient le droit, comme tout le monde, au plaisir et que c'était notre devoir de le leur donner. On nous avait appris à les satisfaire mais en même temps on nous forçait à nous concentrer sur celles dont c'était le métier car les autres étaient réservées au mariage. Ce qu'elles faisaient seules ou entre elles n'était pas abordé, du moins pas avec nous. Nous étions pourtant amis, nous discutions beaucoup, elles étaient toutes éduquées et bien élevées et entretenaient avec nous le même type de conversation que nous pouvions avoir entre garçons. Irène, la soeur de Marius, en particulier, avait choisit de faire les mêmes études que moi et nous étions donc souvent amenés à nous voir dans les couloirs de la faculté. Nous déjeunions ensemble, allions à l'opéra, au théâtre, à des expositions.
Croyez le ou non, mais je n'ai jamais senti d'ambigüité entre nous alors même qu'elle était très souvent amenée à rester des heures en ma compagnie. Même dans mon petit appartement d'étudiant, par réflexe, je retirais mes habits et ne les remettais pas si elle me rendait visite. Elle, gardait les siens en toute situation et son regard n'avait rien de déplacé. Elle me connaissais par coeur en tout points de vue.
Quand nos études furent achevées, vers l'âge de 23 ans, il fut temps pour elle de prendre époux. A cette époque là on ne restait pas célibataire bien longtemps et dans une famille aisée comme la sienne, une fille n'avait qu'un choix limité de prétendants. Tous les fils de notaire, d'avocats, ou de chefs d'entreprise du coin furent passés en revue. Elle ne paraissait pas en apprécier un plus que l'autre tant et si bien que son père fut de lui choisir quelqu'un ce qui suscita un scandale sans précédent dans leur famille car elle ne voulait pas de celui qu'on lui imposait. De mon côté, j'étais aussi pressé par mes parents mais de façon moins poussée qu'elle, on se disait qu'au pire je pouvais toujours avoir des s à un âge plus avancé.
Au bout d'un an de protestation, son père, qui n'avait pourtant pas le goût de la forcer à faire quoi que ce soit arrêta finalement son choix sur le fils d'un marchand de tissus qui avait l'air bien sous tous rapports et travaillait dans la haute administration. Il nous l'annonça lors d'une de nos après midi d'entrainement, tout le monde était là sauf le jeune homme en question. Les bancs n'étant pas encore publiés, ce fut pour elle le moment de lancer le coup de la dernière chance en piquant publiquement l'égo de son père. Alors qu'il nous parlait de son futur gendre, elle commenta son prétendant ainsi et ses mots sont a jamais restés gravés dans ma mémoire : "Je ne l'ai vu que quelque fois. Il a l'air très bien mais honnêtement, il n'a pas l'air d'être un quart de l'homme qu'est mon père. Je ne comprend d'ailleurs pas ce que tu lui trouves (s'adressant à ce dernier), c'est tout juste si il peut soulever le pied d'une table pour aplanir le tapis. Je me demande bien de quoi il aura l'air à côté de Marius ou de Michel
".
Un silence s'abattit autour de la table. La conversation repris sur un autre sujet. Le soir venu, mon père vint me voir dans ma chambre, celui d'Irène avec qui il était en affaire lui avait proposé d'effacer une vieille dette qu'il avait chez lui en échange d'un de ses fils pour sa fille. Papa avait refusé et puis l'autre avait ajouté que s'il avait eu une fille, il serais conscient du droit qu'à une femme de disposer d'un mari digne de ce nom. Ma mère s'était mêlée de la conversation, elle trouvait sale et dégradant pour Irène de partager son lit avec un homme qui ne correspondait pas aux critères culturels dans lesquels elle avait grandi. Il avait rétorqué qu'à ce compte, à moins de chercher des garçons dans l'île perdue où ils s'étaient rencontrés, la plupart des filles qu'avaient eu Philippe, l'autre ami de mon père, allaient finir seules et qu'on ne pouvait pas forcer tous ses fils à passer devant le maire pour satisfaire les besoins et l'égo des autres. Le père d'Irène renchérit alors et rajouta un immeuble de 6 étages qu'il possédait au petit paquet qu'il proposait, je me souviens encore de cet immeuble, car c'est moi qui l'ai finalement eu puisque j'ai épousé Irène. Amoureux d'elle, je ne sais pas si je l'étais mais elle me plaisait physiquement et du point de vue du caractère. C'était une amie et je peux avouer, aujourd'hui, que j'appréciais le fait que nous partagions les mêmes valeurs. J'ai accepté sans bronché à l'ordre qui m'étais intimé ce qui m'a permis de découvrir la vie d'un homme marié selon les standards de ma famille.
Nous fûmes unis en grande pompe à l'hôtel de ville, une soirée fastueuse fut organisée. Un peu gênés par la situation, nous n'étions pas pour autant malheureux. Le soir suivant eut lieu une cérémonie plus intime durant laquelle on nous expliqua les tenants et les aboutissant de notre nouvelle vie.
Nous avons consommé notre union sur une nappe étendue sur l'herbe du jardin. Son corps nu était juste recouvert d'un tissus fin que j'écartais. Elle n'était pas farouche et s'offrait à ma vue sans pudeur. La main posée sur sa vulve, elle la touchait gentiment, elle savait se donner du plaisir seule et voulait le montrer. Elle avait le sexe entièrement rasé ou épilé chose que je n'avais jamais vu alors mais qui était coutumier chez nous sans que je le sache. On lui avait donné des godemichés pour me permettre de faire durer le plaisir pendant une heure et demie, je les écartais.
Je bandais dur comme fer, elle avait déjà vu ma queue dans cet état mais en avait tout d'un coup peur. Elle savait qu'elle aurait mal au début. La peau de mon membre tendue au maximum et constellée de veines luisait dans la pénombre. Les deux boules de métal qui en sortait brillait au clair de lune. Elle s'en approcha et le lécha. A genoux face à moi, elle rendait hommage à ce membre qui allait la satisfaire. Couvert de sa salive, il était parfaitement lubrifié et elle le massa de la main droite, titillant le bijoux avec son pouce. Je n'avais pas eu le droit de me branler pendant toute la semaine qui précédait, j'avais les couilles pleines et prêtes à exploser. Elle aima mon membre, lui faisant l'amour avec sa langue pour tenter d'en tirer le jus qu'elle avala à grosse lampées en émettant une petite larme. Elle en lécha les derniers restes, les dernières goutes et me remercia, comme il était d'usage.
Elle me fit lécher sa chatte qu'elle avait enduite d'une huile délicieuse "pour que tu bandes plus dur" m'a-t-elle dit, elle me la fit bouffer, gober, avaler. Elle se fit jouir grâce à ma tête, grâce à ma langue. Elle se fit pénétrer par mes doigts en même temps. Elle connaissait les positions dans lesquelles on peu prendre du plaisir et me fit la laper au sol, à quatre patte et debout.
Voyant ma queue de nouveau dure, elle voulu entamer la pénétration sur moi, me chevaucher pour limiter la casse, limiter la douleur d'un si long membre contre son hymen de jeune fille. Je la laissais s'empaler en se touchant. Je la laissais faire, s'arracher elle même un cri dont je ne sus pas si c'était de plaisir ou de douleur. Elle allait et venait lentement ce qui arrangeait bien mes affaires. Nous étions au fond du jardin mais je savais que quelque part, à une centaine de mètres de nous, quelqu'un regardait sa montre en lisant le journal.
Je décidais tout de même de la mettre à quatre pattes pour la posséder comme je voulais. Lui limant le vagin, je la sentais réceptive à cette ardeur, à cette violence. Tout n'y rentrait pas mais buter contre le fond de son ventre me donnait du plaisir. Mouillée au maximum, elle gémissait très fort puis se mis à crier, sans ménagement, sans retenue. Le rapport fut très bruyant et je finis par éjaculer en elle, une mer de foutre bien chaud accumulée toute la semaine dans mes bourses, un flot gigantesque. C'était la première fois que je déchargeait dans le corps d'une femme et ce fut une révélation. Touchant son vagin de la main, elle constata le sperme qui en coulait et me remercia une seconde fois.
J'étais lessivé, je ne savais pas combien de temps j'avais tenu. Elle ne me laissa pas le temps d'y réfléchir et se mit instantanément à me pomper le gland. Un doigt dans mon anus, elle aspirait ce noeud violacé à pleine bouche pour le faire durcir à nouveau. L'érection revint immédiatement, peut être sous l'action de cette huile. Se retournant, elle m'encourageait à la pénétrer à nouveau, ma bite dans la main, elle l'orientait vers son anus, un orifice que je n'avais jamais baisé chez une femme auparavant. J'y rentrais avec peur et curiosité, il était humide mais ma queue eu du mal à s'y frayer un chemin, lui arrachant de petits cris. Elle écartais les fesses avec ses deux mains et j'y pénétrais entièrement. Elle serrait très fort son cul et m'avoua plus tard que c'était pour me faire jouir plus vite, elle n'appréciait pas particulièrement la sodomie mais voulait que je la possède par les trois trous le soir de notre nuit de noce, c'était presque une question d'honneur. Elle se touchait vivement le clitoris pendant que je la bourinais et put jouir une fois avant que je ne lâche ma semence en elle. Elle la senti couler depuis son petit orifice, en ramassa une petite goute et me remercia encore.
J'étais à genoux face à elle. Elle s'était retournée et était couchée sur le ventre en contrebas. Elle se touchait la vulve gentiment, me regarda et me dit : "Maintenant arrose moi !". Ma queue était demie molle, je du la raviver d'un geste de la main, l'enduisant d'huile pour la branler. Je la massais devant son regard vicieux, elle se faisait plaisir sous le mien et jouait avec mon anneau du bout du doigt. Elle eu le temps de jouir deux fois de sa main avant que je ne largue sur son ventre et sur ses seins les dernières goutes de foutre qui restaient en moi. Je m'écroulais à côté d'elle et m'endormais presque instantanément. Nous nous sommes réveillés le lendemain matin, au même endroit.
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