La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 368)
Suite de l'épisode précédent N°367 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré
Thaïs MDE se demande alors, si cest un acte volontaire de Walter de lavoir un peu épargné, ce dont elle pourrait lui être largement redevable de sa sollicitude, ou si tout simplement lappareil sest arrêté tout seul, étant programmé pour une durée limitée ou étant encore plus bêtement tombé en panne. Comme elle sait quelle naura pas la réponse et quelle ne se hasardera pas à poser la question ou à préciser quoique ce soit quant au dysfonctionnement de lappareil quelle a dans le vagin, elle essaye de faire le vide dans son cerveau en attendant la suite des « réjouissances » concoctées par le Majordome, car la journée est loin dêtre à son terme. Elle ne peut cependant sempêcher dentendre les propos échangés entre les deux fidèles et complices domestiques de Monsieur le Marquis, dont le ton très enjoué et presque moqueur, ne peut que lui faire penser quils complotent encore un nouveau tour bien pervers, dont elle espère bien ne pas être une fois de plus le jouet dont ils vont samuser et r sans fin.
- Ma chère Marie, je te remercie de ton aide, je prends en charge le « panier de poireau » que tu mas aidé à préparer, même sans anse je crois que je vais pouvoir men sortir. File vite dans tes cuisines, car ce soir, tout le monde sera à table à lheure pile comme chaque jour. A propos, tu nous prépares quoi de bon à manger pour ce soir ?
- Tu es bien curieux, Walter ! Tu pourrais attendre de voir ce quil y aura dans ton assiette. Mais, pour te répondre, parce que je taime bien, jai commencé à faire mijoter une bonne blanquette de veau pour tout le personnel. Les esclaves auront bien évidemment droit à ma recette préférée, un « bouillon de légumes bien parfumé » mélangé avec des croûtons de pain sec que je rajouterai, cest très bon pour la santé les légumes, surtout lorsquils mijotés à petit feu avec soin et amour à « La Marie », maître-queue au Château du Marquis dEvans.
Walter et Marie échangent des clins dil malicieux que Thaïs MDE ne peut apercevoir car elle a le regard baissé. Mais lesclave-soumise qui se rappelle son bain si particulier ne peut sempêcher de sursauter et de froncer les sourcils en les entendant, se demandant bien si Marie joue sur les mots ou si elle a vraiment lintention dutiliser sa « préparation culinaire » dans laquelle elle a fait patauger Thaïs MDE pendant un long moment au milieu des légumes coupés en dés, « bouillon » agrémenté de nombreux autres sucs et liquides corporels qui en avait fait une mixture des plus étranges. Elle sempourpre de honte et de stupeur en se disant que la vicieuse Marie pourrait fort bien mettre son projet à exécution, dautant plus quelle imagine sans grand mal que tous les esclaves du Château ont déjà bien dû goûter ses sécrétions féminines odorantes et se voir inonder de son urine à un moment ou un autre. Walter se met à rire de plus belle, car le rictus de Thaïs MDE ne lui a pas échappé.
- Ah, Oui, bien sûr !
Cest évident, pour les chiens et chiennes du cheptel, une bonne pâtée succulente de légumes bien mijotés dans un bon bouillon parfumé croûtonnée de pain sec
. ah ! ah ! ah !.... Tu es une sublime cuisinière, ma chère Marie, quest-ce nous ferions si nous ne tavions pas au Château
. Il ny a que cette petite chienne qui napprécie plus du tout de rire des plaisanteries sur les poireaux. Regarde un peu la tronche quelle nous tire maintenant, elle a enfin compris qui commande ici en labsence de Monsieur le Marquis et surtout elle a fini de nous la jouer grande dame lettrée qui connait ses classiques et se permet de venir citer Rabelais
. Alors, très bonne après-midi, Marie, et puis bonne préparation de la pitance de cette meute de chiens et surtout de notre succulente blanquette de veau
.Jadore !
Thaïs MDE se sent honteuse de ne pouvoir maîtriser ses réactions et ses pensées qui se lisent sur son visage. Elle ne sait pas jusquà quel point les deux fidèles serviteurs plaisantent en jouant sur les mots à double sens, mais il est certain que lun comme lautre se moquent delle et ce sans la moindre gêne.
Pendant ce temps, le Majordome est allé chercher un drôle dobjet fait de bois et de cuir quil tient de la main gauche. De la main droite, il enlève la chainette et les deux pinces seins, ainsi que la pince qui était fixée sur la langue de lesclave qui se sent fort soulagée de se voir enfin libérée des morsures des trois pinces.
- La chienne, A partir de maintenant et pour la suite de la tournée dinspection que je dois reprendre sans trop tarder, tu vas devoir lever la tête et tâcher douvrir les yeux.
La chienne-esclave se demande bien pourquoi le Majordome se plait à lui faire tant sentir combien la place aux pieds du Maître Vénéré nest jamais acquise de manière certaine, car il est évident que ce nest pas la première fois quelle va se servir de sa langue pour lécher des parties charnelles et/ou sexuelles et que cela navait jamais posé de soucis jusquà ce que Madame Marie ne se mette à faire des remarques, sans réel fondement autre que le plaisir de rabaisser encore plus Thaïs MDE et de la forcer à accepter tout ce qui lui est imposé physiquement et verbalement, sans se poser de questions et surtout sans réagir.
- Chienne, allonge-toi par terre sur le dos. Je daigne taccorder cinq minutes de mon précieux temps, montre en mains, pour me faire la démonstration de tes talents de suceuse de couilles et de bite. Une vraie petite putain qui agit sur commande en somme, à défaut de pouvoir être une chienne baveuse en chaleur à la langue assez longue (mais jamais à la langue bien pendue de bavarde qui jacasse).
Thaïs MDE sempresse de sallonger par terre, et en moins de quelques secondes, elle voit Walter qui vient dôter son pantalon et son boxer qui sassoit carrément sur son visage, sétant positionné de manière à ce que lesclave puisse dans un premier temps lui lécher les couilles et toute la partie qui se situe entre les testicules et lanus. Thaïs MDE sapplique comme elle peut pour satisfaire le Majordome, humidifiant régulièrement sa langue quelle laisse glisser sur toutes les parties du corps à sa portée, sentant peu à peu la queue de ce dernier qui se gonfle. Le nez et la bouche complètement engouffrés au milieu des chairs intimes qui lui collent au visage, elle manque presque de respiration, mais ne cesse pas pour autant de sortir sa langue et de donner de multiples petits coups, ou de plus grandes et longues léchouilles bien baveuses, espérant contenter « lexaminateur » qui est censé juger de la valeur de sa prestation. Walter se penche un peu pour laisser son sexe qui sest durcit se tendre et le met à la portée de la bouche de Thaïs MDE qui le parcourt de sa langue sur toute la longueur et toute la circonférence du phallus bien membré. Elle fait aussi tourner sa langue à multiples reprises sur le gland turgescent avant de recommencer à lécher la hampe dure et droite, et de sattarder à nouveau sur les testicules qui oscillent et lui pendent tantôt sur le nez, tantôt sur le menton.
- Stop !
Les cinq minutes sont passées ! A genoux ! I-mmé-dia-te-ment !
Jai dit !
Sans le moindre autre commentaire, Walter vient dinterpeller la chienne-esclave dune voix ferme et dure qui tranche avec le temps de plaisirs que semblait avoir pris le Mâle phallique qui sétait pourtant linstant davant laissé aller à ronronner de quelques « ah
.. ah
. » et dautres « cest bon
. Même très bon
. » qui avait suffit à rassurer et dynamiser la soumise dans sa tâche de bonne langue qui sactive. Le Majordome se rhabille prestement et Thaïs MDE sinquiète de cette nouvelle attitude plus dure et directive se mettant à présager que cela ne signifie pas au final quelque chose de très positif pour elle et lexamen quelle était censée passer, et ceci dautant plus que nayant reçu aucune consigne particulière, elle sest contenté de faire valoir ses maigres talents de « lécheuse » qui na jamais vraiment suivi de cours pour savoir comment si prendre et na nullement cherché à soulager le Majordome dans une vraie fellation, digne de ce nom. Elle se dit pour autant que Monsieur le Marquis dEvans ne pourrait pas être prêt à la renvoyer juste aussi facilement, alors quelle ne demande quà apprendre si elle nest pas très douée et au top de ses capacités de chienne-femelle bien dressée, ce quelle veut bien reconnaître humblement, pensant quil lui faut et il lui faudra sans cesse chercher à saméliorer pour pouvoir satisfaire encore plus le Dominant auquel elle appartient corps et âme, afin de pouvoir lui apporter tous les plaisirs quIL est en droit dattendre et dexiger de celle qui est à Ses pieds.
Walter referme sa braguette et sa ceinture en cuir, comme si rien ne sétait passé, comme sil pouvait ranger sa queue excitée aussi facilement dans son boxer sans avoir envie daller plus loin, sauf que la bosse que forme son pantalon reste encore très proéminente. Il att le carcan quil a préparé pour Thaïs MDE et qui est constitué dun très épais morceau de bois coupé en deux sous lequel sont installés deux morceaux recouverts de cuir en forme de V qui peuvent venir se poser sur les épaules de part en part, un peu comme une selle que lon pose sur le dos dun cheval. Les deux morceaux de bois sont emboitables lun à côté de lautre, retenus par deux fermetures à crochets qui permettent de les solidariser entre eux, une fois installés. Au centre du morceau de bois se trouve un grand trou pour permettre de venir se positionner autour du cou. Un vrai carcan qui repose lourdement sur les épaules de Thaïs MDE qui ressent à cet instant encore plus le Joug symbolique du Maître sous le ressenti dun vrai poids physique cette fois. Lappareil est équipé aussi dune vis de réglage qui permet dajuster la hauteur du plateau par rapport aux arceaux reposant à cheval sur les deux épaules. Walter règle les deux vis de manière à ce que le morceau de bois soit juste situé sous le menton de Thaïs MDE qui ne ressent aucune gêne particulière car le trou de lencolure est assez large pour quelle ne soit ni étranglée, ni meurtrie, dautant plus que larrête a été arrondie et poncée pour éviter la moindre blessure, mais lesclave na plus la possibilité de baisser la tête, son menton reposant au bout en venant en butée sur le bois du carcan qui est maintenu solidairement avec les épaules.
Thaïs MDE se trouve bien mal engoncée dans cet appareillage et elle ne peut que regretter amèrement davoir le matin même désobéi sans en mesurer les conséquences alors que Walter lui avait demandé de garder la tête droite pendant la journée et les yeux levés pour pouvoir regarder tout ce qui se passait. Pour éviter davoir à répondre, ne sachant pas quoi dire sur lattitude de sa sur de soumission Holly MDE houspillée par le Majordome, elle avait cru préférable de prétexter quelle navait rien vu car elle avait gardé les yeux baissés. Elle se demande comment elle va pouvoir supporter pendant tout le reste de laprès-midi ce lourd fardeau qui pèse déjà sur ces épaules, car elle comprend bien que telle est lintention de Monsieur Walter qui lavait prévenu quil lui concocterait quelque chose de particulier pour que cela lui serve de leçon et lempêche davoir la possibilité de recommencer à vouloir baisser la tête pendant le reste de cette journée découverte un peu particulière. Lesclave-chienne se met tout dun coup à sursauter lorsque Walter appuie sur la télécommande qui met en route luf vibrant, profitant de ce moment de surprise pour à nouveau pincer la langue de Thaïs MDE et pour lattr par la chaîne qui y est attachée.
- Lexamen !
.. Moyen je dois dire !!!
. Donc un peu détirement te fera le plus grand bien !
. Madame Marie avait bien raison. Si tu es sage et obéissante, je verrai si je peux te retirer ton tire-langue. En route ! Et rappelle-toi bien, tu nes quun vulgaire panier de poireau que je traîne parce quil le faut bien, alors tâche de ne pas trop me déranger pour le reste de laprès-midi, si tu veux que je consente à tépargner.
Walter attache la laisse de Thaïs MDE à sa ceinture comme il lavait déjà fait le matin même. La chienne-esclave sent lexcitation de son bas-ventre la déborder mais aussi sa langue soumise à rude épreuve tirée par la main ferme du Majordome qui ne lâche pas la tension quil exerce sur celle qui le suit difficilement ne pouvant même pas voir où elle met les pieds, en se demandant bien comment elle va tenir sans tomber et sans jouir tout autant, ce qui ne manquerait pas de mécontenter encore plus Walter qui na pas lair de vouloir baisser la garde et la ménager
Sans jouir, oui cest ce qui sera le plus difficile tant la situation dêtre exhibée ainsi mais aussi les effets de luf vibrant lui procurent une montée dexcitation intense
(A suivre
..)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!