Franck 03

Moi c'est Bob, en fait je m'appelle pas Bob mais j'ai un double prénom ridicule alors ... Moi c'est Bob ! En plus Bob, c'est le premier mot que j'ai prononcé quand j’étais tout petit, alors depuis tout le monde m'appelle Bob. J'ai 43 ans 1M70 , 72 kilo...

Franck se relevait brusquement en hurlant .

F : Il est 6 heures du soir et on est pas prêts ! Dépêchons, dépêchons, faut pas perdre de temps.
M : Du calme, de quoi tu parles, tu m'as fait peur !
F : Les filles ... on n'est pas prêt, on va être en retard!
M : Tu as raison !

Je fonçais dans la salle de bain, en revenais, entrais puis ressortais aussitôt de la cuisine, j'entrais dans les WC en disant ''pipi !'' en ressortais dans un même mouvement en disant '' Non pas le temps !'' revenais dans salon, faisait le tour de la table basse et me laissait tomber sur le canapé ou j'étais quelques instants plus tôt . Il me regardais l'air hébété ...

F : Mais qu'es ce que tu fais là ?
M : Je me dépêche, je m'agite, je panique ... Non mais franchement ... Elles habitent à trente kilomètres, avec la voix rapide, on y est en moins d'une demie heure, alors ... Calme ! ... On n'est pas en retard ... On a encore près de deux heures ...
F : Et on va arriver les mains vides ? Non alors, douche 5mn chacun, si on l'a prend ensembles on en a pour une heure ... (Il était déjà sous la douche et continuait en gueulant) on rajoute 5mn pour terminer de s'habiller, une demie heure pour acheter le pinard, il va y avoir un monde fou en caisse, ensuite une demie heure pour acheter des fleurs il va y avoir un max de monde on pourra pas se garer, c'est la cata... une demie heure pour faire la route, ça va être juste, espérons qu'on n'aura pas de mal pour se garer, qu'il n'y aura pas de bouchons non plus ... Au pire on est là bas a huit heure moins le quart ... Ça va être chaud ! ...

Il paniquait ... je quittait mon appartement tranquillement et sans écouter davantage ce qu'il bafouillait .

En bas de chez moi, il y a un caviste que je connais bien, je remontais dix minutes plus tard avec deux bouteilles de très bon vin. Franck était déjà habillé, encore plus affolé qu'à mon départ.

F: Mais ou t'étais rendu, t'es pas sérieux, on va être en retard, tu pourrais prévenir quand ..

Je lui montrait les bouteilles, les posais sur la table en disant.

M : Douche : une sur deux ... pinard OK ... il est six heures et quart … tout va bien ... je vais prendre ma douche … !

Là, il ne disait plus rien ! Je prenais ma douche, m'habillait : six heures trente ... j'arrivais victorieux au salon ou attendait Franck, il regardait l'heure et ne disait toujours rien .

M : Alors, on y va ! Imagine s'il faut plus d'une heure pour acheter les fleurs ... on est foutu en retard, c'est la cata ...
F : C'est malin !

Il était plus calme, mais sa ne devait pas durer. Il faut dire qu'on avait un peu plus d'une heure pour acheter un bouquet de fleurs, et faire 30 km par la voix rapide ... Franck paniquait une dernière fois avant d'arriver chez le fleuriste , '' y va pas y avoir de place pour garer la voiture ...''. Le parking du fleuriste était presque vide, le magasin aussi. Quand il revenait avec une allure glorieuse, un énorme bouquet dans les mains, et un grand sourire. Je lui lançait ...

M : Attention, il ne va pas falloir traîner, il ne nous reste plus qu'une bonne heure pour faire trente km en passant par la voix rapide, tu penses que c'est faisable, même en respectant la limitation de vitesse ?
F : C'est malin ! Tiens prends les fleurs pour qu'elles ne s'abîme pas au lieu de dire des conneries ...
M : Au fait, tu portes toujours le dispositif de chasteté ? (Je vérifiais en lui caressant l'entre jambe). Mince! Tu le porte toujours! Tu as l'intention de le garder encore longtemps ?
F : Ça te manque ?
M : Non c'est pas ça, mais ...
F : Ça te manque !
M : Mais non, mais tu devais le porter juste pour essayer.

F : J'étais sur que tu craquerais le premier. J'avais raison ! Tu as vraiment le feu au cul toi. De toutes façons, j'ai pas pris la clef ... Là, je peux pas le retirer, pas pour le moment, pas avant d'être rentré.
M : Quand on sera rentré ! ?
F : Promis.
M : Te voir, te savoir avec ce dispositif sur toi, bon d'accord, ça m'excite, mais je te préfère tout de même sans ...
F : Moi aussi je me préfère sans, mais je voulais savoir ce que ça faisait ... Maintenant je sais, enfin pour quelques heures; le porter plusieurs jours, plusieurs semaines, ça doit être très différent ...
M : Plusieurs mois c'est encore plus différent, là tu peux me croire. Alors pour la plage, tu le porteras ou pas, moi si je suis tout seul, je garde un caleçon de bain !
F, : Ouais, bon , pour la plage je suis pas encore décidé, on verra ...

On roulait rapidement tout en discutant, la circulation était fluide, la sortie de la ville puis les trente km nous prenaient vingt petites minutes. On arrivait donc très en avance dans le quartier ou habitent nos deux amies. Nous décidions de prendre un verre dans un bistrot tout prêt, le bistrot avait l'ait sympa, on s'installait à une table dans un coin, on commandait une bière chacun. Quelques minutes plus tard deux hommes entraient dans le bar s'installaient aussi à une table à l'autre bout de la salle, l'un d'entre eux ,le plus grand, il avait environ la taille de Franck portait une sorte de sac qui apparemment devait contenir deux bouteilles, l'autre , le plus petit, environ de ma taille lui portait un gros bouquet de fleurs.

M : Voilà un beau petit couple!
F : Un couple ! Tu dis n'importe quoi
M : Moi, je te dis qu'il sont en couple!
F : Tu vois des PD partout !
M : PD toi même.
F : C'est pas moi qui est PD, mais le mec avec qui je couche !
M : Ce qu'il faut pas entendre ! ... Là ! Tu as vu !
F : Quoi encore ? Non j'ai rien vu ?
M : Le petit a caressé la main du grand !
F : Tu rêves ! .
.. Un peu comme toi en ce moment avec ma main... (sans même y penser je lui avait pris la main)

Vexé, je lâchait sa main, lui tournais le dos tout en le traitant de ''Connasse'' ce qui le fit rire .
Je continuais à surveiller du coin de l’œil les deux hommes à l'autre bout du bar, et j'étais de plus en plus convaincu que c'était bien un couple ! Franck me rappelait à la réalité, en me disant '' Il faut y aller ! '', on repassait à la voiture pour récupérer les fleurs et les bouteilles. Le couple d'homme quittait le bar quelques instants après nous et se dirigeait vers le même immeuble que nous. Ils nous doublaient et nous les suivions donc pour les retrouver devant la porte de l'ascenseur, on se saluait rapidement les uns les autres. Les portes s'ouvraient, on y entrait tous en même temps.
Franck leur dit, tout en tendant la main pour appuyer sur le bouton de l'étage ... ''Nous allons au troisième ...''. Le plus grand répondit '' Nous aussi '' tout en faisant le même geste . Leurs mains se touchaient, ils la retiraient très vite tous les deux ... L'ascenseur ne bougeait pas ... Le plus petit pouffait de rire, constatant que personne n'avait actionné l'ascenseur, j'en faisait autant. Les deux autres se retournaient pour nous regarder l'air réprobateurs, d'un même geste, on se cachait derrière nos fleur, on s’échangeait un regard et on éclatait de rire, un bon rire jovial et bruyant ! Le plus grand se retournait disant ''Antoine ! S'il te plaît !'', alors que Franck se retournait me disant ''Bob ! S'il te plaît !''

Moi : Enchante Antoine ! ( tout en lui tendant la main).
Antoine : Ravi de faire de faire ta connaissance Bob ! (tout en me serrant la main)

Antoine avait une bonne tête et on commençait déjà à sympathiser ... L'ascenseur ne bougeait toujours pas...

Moi : (A l'intention d'Antoine mais sur un ton normal) C'est long , trois étages, on pourrait les faire a pied... ?
Antoine : Ce serait plus rapide !

Franck, très agacé, se retournait, me faisant les gros yeux et appuyait sur le bouton en même temps.
L'autre se retournait vers Antoine avec un grand soupir sans rien dire. L'ascenseur démarrait.
Les deux grand, ils étaient donc a peu prés de même taille, s'échangeaient un regard, puis commençaient à rigoler également... ''Moi c'est Franck'' ... ''Moi c'est Christophe'' ... Ils se retournaient, on échangeait les saluts, je faisais la bise a Antoine , à Christophe et à Franck qui réagissant me disait d'un ton agacé ... ''Mais arrête tes conneries, t'es pas sortable...''. Je me cachais derrière mes fleur prenant un air honteux. Antoine rigolait !
L'ascenseur s'arrêtait, les portes s'ouvraient, et nos deux gaillards en sortaient d'un air décidé, ils avançaient d'un même pas vers l'autre extrémité du palier, visiblement vers la même porte.

Moi : Dis moi Antoine, vous n'allez pas par hasard chez Isabelle ...
Antoine : Et Sophie ... Et bien oui ...
Moi : Ils ne devraient plus tarder a s'en rendre compte.
Antoine : J'ai l’impression que ça va être amusant !

En effet, ils nous refaisaient le gag de l'ascenseur ... Mais en plus court, Christophe prenait l'initiative de frapper fermement a la porte ...

Antoine : La, c'est le mien qui a été le plus futé !

C'est Isabelle qui ouvrait. Elle poussait, un cri de joie en nous voyant tout les quatre, et tout en faisant la bise à Franck et à Christophe , nous invitait à entrer. Au passage Christophe tentait de fermer la porte derrière lui nous laissant sur le palier mais Isabelle qui n'avait pas compris que le ton était a la taquinerie, intervenait vigoureusement.

Isabelle : Mais enfin laisse à tes amis le temps de rentrer tout de même !
Frank : C’était bien essayé, moi, j'ai pas osé.
Moi : (a l'intention Antoine) Le plus futé, tu es sur ?

Franck : Saluant Sophie, j'ai pris deux bouteilles.
Christophe : Moi aussi !
Sophie : Il ne fallait pas, comme nous buvons pas, nous avions prévu deux bouteilles !
Antoine : Ça fait six bouteilles tout ça !
Moi : Çà va être du propre !
Antoine : On va être torchés …
Franck : Si on passait d'abord à l'apéro !
Christophe : Tu as raison il faut faire les choses dans l'ordre !
Moi et Antoine : (en se regardant) On va finir torchés ! ...

La soirée commençait joyeusement, on continuait à faire connaissance, Antoine est un artiste peintre, paraît-il très bon dans son art … Christophe est agent immobilier Isabelle et Sophie tiennent une boutique de mode dans le centre ville … plusieurs verres plus tard , on passait à table .

La première bouteille de vin était vidée avant même que l'entrée ne soit servie, les filles commençaient à rigoler, se disant que la suite serait très amusante. Essayez de réunir quatre garçons gay et faites les boire, c'est le délire garanti...

La seconde bouteille ne survivait pas longtemps à la première. On était chauds ! Et finalement on attaquait la troisième bouteille en même temps que le plat de résistance.

La discussion allait bon train.

- Il y a longtemps que vous vous connaissez.
- Vous vivez ensemble ?
- Vous habitez loin ?
- Et le commerce, il marche bien ? …

La quatrième bouteilles se laissait vider sans résistance. Le repas avançait, ne restait plus que le dessert .

Franck : (regardant l'air pensif les deux dernières bouteilles de vin) Si on buvait un verre avant de passer au dessert ! (Hips)

Les deux filles éclataient de rire.
Isabelle : Vous dormez ici ce soir, pas question de vous laisser prendre le volant, il y a une chambre vide.

Franck débouchait la bouteille sans plus attendre, trois verres se tendaient dans sa direction.

Moi : Ça y est je suis torché !
Antoine : Moi aussi !
Christophe : Pareil, c'est cool, mais fait soif tout de même !

La conversation continuait, et on finissait par parler des vacances... Dans un état normal j'aurais été sur mes gardes, mais …
Sans se concerter on avait tous choisi de partir en vacances à la même période. Et nous voulions tous aller au bord de la mer .

Christophe : Nous avons un petit terrain sur la cote ouest, c'est un endroit extraordinaire, il donne directement sur la côte, on sort de la propriété et on est sur la plage.
Moi : Directement sur la plage …
Antoine: C'est une plage naturiste !
Franck : Ils vont sûrement construire un de ces jours, et fini le paradis.
Christophe : Aucune chance, c'est une zone inondable, totalement inconstructible. C'est simple aucune installation permanente n'est autorisé. Même le stationnement des caravane est réglementé !
Antoine : Le coin est sauvage et le restera, pas d'électricité, pas de service d'eau, pas de téléphone … C'est inondable, mais il y a tout de même un puits d'eau douce, c'est étonnant mais grâce à cela nous avons un jardin, un potager, le terrain est entouré d'une grande haie, pas de vis à vis …
Franck : Alors là, tu voudra bien de mettre à poil.
Christophe : (A Franck) Il veut pas se mettre a poil ?
Antoine : (En me regardant) Tu veux pas te mettre à poil ?
Moi : Non c'est pas ça … c'est en fait que …
Franck : C'est parce que … (il se relevait en avalant d'un trait son verre de vin) … c'est parce qu'il porte un truc comme ça !

Dans un mouvement rapide il baissait son pantalon et exhibait fièrement son dispositif de chasteté qu'il portait depuis la veille. Autour de la table tous les yeux se retournaient vers lui dans un silence de mort … j'éclatais de rire et je rajoutais …

Moi : C'est moi qui l'ai fait !
Franck : Ouai mais le tiens, c'est moi qui l'ai fait. Allez montres !

Les regards se retournaient vers moi … Et tous commençaient à scander ''Fais voir ... Fais voir … A poil … Fais voir … '' . Franck se joignait à eux ''A poil … Fais voir …'' . L'air désabusé, je les invitais à continuer … '' Encore , encore .. '' puis me levais m'éloignais de la table et bien à la vue de tous, je retirais d'abord ma chemise et tout en me dandinant d'une manière ridicule qui fit rire toute l'assemblée, je jetais mes chaussures en arrière, mes chaussettes, et en leur tournant le dos, je baissait mon pantalon que je jetais ainsi que mon slip. J'étais à poil, de dos, je me retournais avec élégance (enfin j'espère) et les mains derrière la tête, les jambes écartées je me montrais bien en vue à tous. Mon exhibition était reçue par des applaudissements et des bravos. Franck en avait profité pour retirer tous ses vêtements et avait repris sa place à table, c'est dans cette tenue que je reprenais place également.

Isabelle : (l'air amusée) Alors, comme ça vous restez à poil !
Sophie : (en rigolant) Ils ne sont pas totalement à poil !

La suite de la discussion tournait bien sûr uniquement autour de nos dispositifs. Christophe nous regardait, l'air amusé et incrédule alors que Antoine semblait fasciné, il ne pouvait pas retirer son regard de mon dispositif, le fait qu'il soit en métal et qu'il soit permanent ... Plus tard dans la soirée les filles se retiraient dans leur chambre.

Isabelle : Vous connaissez la maison, nous on va se coucher, Amusez-vous bien et soyer sages...

Nous restions ainsi, Franck et moi a poil assis enlacés sur le canapé, nos deux camarades en face de nous, les bouteilles de vin n'étaient plus qu'un souvenir, il ne restaient qu'une bouteille de whisky et quatre verres sur la tables basse.

Christophe : Donc si j'ai bien compris, tu voulais savoir ce que ça faisait ... Le manque ... La frustration ... C'est bien ça Franck ?

Tout en disant cela, il se levait et se déshabillait lentement en prenant bien le temps de plier ses vêtements. Il se retrouvait entièrement nu avec une belle érection. Franck avalait sa salive, je le caressais. Christophe se penchant ver Antoine, l'embrassait et lui murmurait quelques mots à l'oreille.
Antoine se levait à son tour et retirait ses vêtements tout en caressant son camarade. Il avait également une belle érection lui aussi. Ils s’enlaçaient, se caressaient devant nous. Ils s'embrassaient, Franck était soudainement tendu, Antoine se mit à genoux et commençait à pomper son ami. Je caressait la cage de chasteté de Franck, il était tendu, il y avait de pression là dedans ...

Moi : Et tu as laissé les clefs à la maison ... Je te proposerais bien de goûter à ... Un doigt ...
Franck : Tu vas pas me faire mal ?

Il était moins réticent que l'autre jour. Je répondais '' Non !''

Franck : Vas y je te donne carte blanche ... Me fais pas mal !

Je lui introduisait doucement un doigt dans son derrière, il poussait un petit gémissement de surprise, et murmurait ''Même pas mal ...''. Je commençait à lui masser la prostate, il se détendait et me laissait faire.
Nos deux camarades avaient pris la position du 69, '' Tiens, on l'a jamais fait ça '' me dit Franck. Il commençait à passer à l'acte, il m'introduisait un puis deux doigts dans le cul, et reproduisait sur moi les mouvements que je faisais sur lui . J'agitais de plus en plus fort mon doigt contre sa prostate, il faisait de même. C'était bon . Son souffle devenait plus fort, il se détendait. Je ralentissais le rythme, puis reprenais plus fort, moins vite, moins fort, plus vite, il en faisait de même, et commençait à soulever son bassin, je sentais ses muscles se tendre. J’arrêtais tout et le regardais dans les yeux.

Franck : C'est pas mal ton truc, c'est vrai, ça fait pas mal, (a peine essoufflé).

Il fit un geste pour se redresser, je reprenait sans prévenir fort et rapide le massage de la prostate. Il se laissait retomber en arrière, un grand sourire aux lèvres, et un grand soupire de plaisir. Il fermait les yeux, soulevait et reposait son bassin essayant de suivre le rythme de mon doigt, sa respiration devenait plus forte et plus soutenue elle était accompagnée des râles et des gémissement de nos deux camarades de chambres que nous avions totalement oubliés, Christophe était assis dans le fauteuil et faisait sauter sur ses genoux son camarade qui assis sur sa bite jusqu’à la garde face à lui se cramponnait a son coup. Je faisais durer le mouvement encore un bon moment, puis arrêtais de nouveau. Franck respirait fort, il ouvrait les yeux , je l'embrassait. '' C'est vraiment bon ton truc '' me dit-il avec un grand sourire, un peu essoufflé. '' Ouais ! C'est vraiment bon ''. Nos deux camarades étaient toujours emmêlés l'un dans l'autre ... Christophe assis sur le sol, Antoine toujours empalé sur son ami, ils ne bougeaient presque plus et vivaient un grand moment de tendresse, se caressant doucement, enlacés.

Je reprenais le massage, sans prévenir en regardant Franck dans les yeux. Instantanément il basculait la tête en arrière, il continuait a me regarder dans les yeux également, mais je voyais déjà son regard se cacher derrière ses paupières alors qu'il se laissait retomber sur le dos. Je sentais ses muscles se contracter, son bassin se soulever nerveusement, il commençait à trembler.

Franck : Ahhhh, oui, c'est bon . C'est bon ton truc, encore.

Il continuait par des râles de plaisir qu'il ne retenait plus, ils se tordait, se cramponnait aux coussins, il était pris de secousse comme des spasmes, et à chaque mouvement poussait des gémissements de plaisir, son souffle était intense. Nos deux camarades continuaient leurs ébats, Antoine a quatre patte avait la tête sur un fauteuil et couinait littéralement de plaisir alors que Christophe le limait généreusement en lui donnant de violents coups de reins, il était bien monte lui aussi. Les réactions de Franck étaient de plus en plus fortes, j'avais bien l'impression qu'il ne contrôlait plus rien et qu'il allait bientôt exploser. J’arrêtais tout . Mais je ne retirais mon doigt .

Franck ne bougeait pas il reprenait son souffle, se calmait, ses muscles se détendaient, les tremblements cessaient , petit a petit.

Franck : C’était vraiment bon ton truc, a ouai... C’était vraiment bon ... Bon, je vais souffler un peu ...

Je reprenais une fois de plus le massage, mais fort cette fois ci, fort et rapide, aussi rapide que je pouvais en appuyant sur son anus le plus fort possible. Franck poussait un cri de surprise, puis ...

Franck : Non, arrête, ouahh, c'est bon, tu es fou....

Il se cramponnait au canapé comme il pouvait, il tremblait sans pouvoir se contrôler, relevait et rabaissait son bassin comme un fou, ses quatre membres étaient pris de violents tremblements, son visage n'exprimait plus que des grimaces, il serrait les dents, son corps se cambrait sous l'effet des spasmes... Je faisait durer le plaisir encore un bon moment jusqu'à ce que Franck se mette à gueuler ...

Franck : Non , non arrête tout , j'en peux plus, ne touche plus rien ... Arrête ...

Un long filet de sperme coulait a l’extrémité du dispositif de chasteté. J’arrêtais tout, je retirais mon doigt de son cul, il continuait à trembler et a se contracter, il était a bout de souffle . Je relevais la tête , Antoine et Christophe étaient penchés dans notre direction, ils me firent tous les deux un signe de félicitation avant d’applaudir . Franck reprenait ses esprits tout doucement et en les regardant ...

Franck : Vous êtes cons les mecs, c'est tout ce que vous avez a faire ... Mais , bon dieu, c'est bon ce truc, je savais pas qu'on pouvais jouir comme ça, pas à ce point, j'ai encore des sensations ...

On s'endormait rapidement après tout cela. Le lendemain, on n'était pas vigoureux, on prenait congé des filles qui ne voulaient pas se lever. On prenait notre petit déjeuner dans le bar du coin, puis après avoir échangé nos téléphones, chacun rentrait tranquillement chez lui. Au moment de se quitter Antoine me glissait à l'oreille ! '' Il faudra qu'on se revoit pour parler de ton truc ...''.

Une demie heure plus tard Franck et Moi arrivions chez moi. A peine la porte refermée derrière nous, Franck attrapait la clef, retirait son dispositif il bandait dur, il me plaquait contre le mur, baissait mon pantalon, et m'enculait avec rage, le tout sans prononcer un mot. Je le laissais faire, sans rien dire, je n'attendais que cela ! Il me limait le cul sans ménagement, il était visiblement en manque, et moi aussi ! Je ne bougeais pas, je restais totalement passif, j'encaissais en gémissant de plaisir, la nuit précédente m'avait bien excité, et j'étais le seul à n'avoir pas eût ma part ! Là j'en profitais ! Ça ne devait pas durer longtemps avant qu'il ne jouisse dans mon cul... Y a pas ... Ça soulage ! Une douche rapide, au lit... Franck bandait toujours, aussi il recommençait à me faire l'amour, mais avec beaucoup de douceur, ce n'était que caresses, câlins, baisers, étreinte, je le suçais, il me massais la prostate comme je lui avais montré la veille, il n'appuyait pas sur ma tète, il me laissait faire, pour finir il me pénétrait avec douceur mais , viril, il me limait doucement au début, puis avec force et pour finir avec violence ... Je jouissais comme un fou, je lâchais mon sperme, lui sans pitié n'arrêtait pas, il se lâchait maintenant et ne cessait de me défoncer le cul que quand il jouissait à son tour. J'étais en sueur lui aussi, je tremblais il se laissait tomber complètement amorphe à coté de moi, J'avais le souffle court il respirait profondément ... On était en accord l'un avec l'autre !

Le reste de la journée , on ne faisait plus rien, gueule de bois, grosse fatigue, on soupait ensemble puis Franck rentrait chez lui me laissant dormir...
Et pour la plage alors !
On verra ça, un autre jour ...

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