Katherine Et Kévin : La Tigresse Contre L'Étalon (Pov Katherine)
NDA : Bonjour à tous voilà une nouvelle histoire un peu plus longue que les autres, mais je pense qu'elle en vaut le coup ^^. Juste pour info : la narratrice de cette histoire, Katherine (que mes plus fidèles lecteurs connaissent déjà) est inspirée par le personnage de Katherine Pierce dans la série "Vampire Diaries", si vous voulez vous faire une idée de ce à quoi elle ressemble allez voir sur Google image ;). Enjoy !
J'ai rencontré un de mes meilleurs plans cul grâce à un site de rencontre. C'est amusant quand j'y pense parce que, jusque là, j'avais toujours pensé (par pur préjugé) que les sites de rencontre n'étaient qu'un repaire de mecs un peu paumés puceaux et/ou déspérés et que seules les filles laides ou qui manquaient de confiance en elle y allaient parce qu'elles étaient incapables de choper dans le "monde réel".
Or le moins qu'on puisse dire, c'est que je ne suis pas une fille laide, je suis même carrément sexy : brune, de taille moyenne, une poitrine plus que généreuse (95C), des fesses à faire bander un âne mort, je n'ai aucun mal à choper des mecs quand j'ai envie de baiser, et je n'ai donc aucun problème de confiance en moi. L'idée de m'inscrire sur un site de rencontre ne m'avait donc jamais traversée. Cependant un beau jour, je changeai d'avis. Voilà ce qu'il se passa.
Ce jour là, j'avais invité ma meilleure amie, Laure à prendre un verre car on ne s'était pas vues depuis un bon moment. J'arrivais au café en avance, et pris un verre en attendant Laure. Elle arriva 5 minutes plus tard un grand sourrire aux lèvres.
"Salut ma chérie !" Dit elle pleine d'entrain en me faisant la bise
"Salut belle gosse, t'as l'air en forme dis moi" répondis je.
"Ouais j'ai trop la pêche, hier j'ai rencontré un super mec, et j'ai passé une nuit de folie avec lui !"
"Cool, dis je, tu l'as rencontré où ?"
"Sur un site de rencontre.
" Tu te tapes des geeks et des puceaux toi maintenant ?" Lui demandai je un peu surprise.
"Comme si toi tu t'étais jamais tapée des geeks ou des puceaux" me répondit Laure narquoise.
"Peut être, mais je me suis surtout tapée des beaux appolons, je préfère d'ailleurs !" lui fis je remarquer.
"Bah souvent tu peux trouver des beaux mecs sur les sites de rencontre, celui d'hier il était sexy."
"Ah bon ?" Dis je franchement surprise.
"Hé oui, en plus c'est le quatrième beau mec que je me tape grâce à ce site. J'ai même pas besoin de sortri de chez moi. Tu devrais tester"
J'étais un peu surprise par l'histoire de Laure, et sceptique quant à son site de rencontre, toutefois je lui promis d'essayer. Nous passâmes ensuite une bonne heure à discuter de choses variées.
Pendant les deux jours qui suivirent, je ne pensais plus au site de rencontre de Laure. Puis un soir, alors que je m'ennuyais un peu dans ma chambre, je décidai que finalement m'inscrie à un site de rencontre pourrait être divertissant. Je restais convaincue que je ne trouverais pas de beaux mecs sur ce site, mais je me disais que ça pourrait être drôle de chauffer des mecs.
Je m'inscrivis, et commençai à compléter mon profil. Plutôt que de faire un profil bâteau, je décidai de le rendre le plus attrayant possible afin d'être bien sure de m'amuser... Je commençai par choisir un pseudonyme provocateur : "Indomptable Tigresse du 91".
"Voilà qui devrait en titiller plus d'un", me dis je.
Histoire que le tableau de la chaudasse soit complet, je rajoutai ensuite des photos de moi en tenue sexy (en robe moulante, ou en lingerie, ou en maillot de bain), et choisit comme photo de profil une photo de moi en bikini.
Comme je l'avais prévu, en moins de 10 minutes je fus subermgée de messages, de demandes de tchat, de pokes etc.
Il avait pour pseudo "BlackEtalon du 75", et cela aurait été ridicule si il n'était pas aussi sexy. En effet sur ses photos on pouvoir voir que c'était un beau black très musclé avec une gueule d'ange. Il était bien plus sexy que les autres mecs du site, si bien que le choix fut vite fait : ce serait avec lui que je baiserai et pas avec un autre.
"Salut belle tigresse, comment tu t'appelles ? Moi c'est Kévin ! " m'écrivit il.
"Salut l'étalon ! Moi je m'appelle Katherine."
Nous fîmes rapidement connaissance, puis il me dit :
"Ton pseudo est un peu exagéré à mon avis !"
"Ah non je t'assure, au lit je suis une vraie tigresse !" Lui répondis-je.
"Ouais peut être, mais je crois pas que tu sois indomptable, t'es une fille, les filles ça se fait facilement dompter au lit !" Affirma t il.
"T'as l'air bien sur de toi ? D'après mon expérience, c'est les mecs qui se font facilement dominer ;)"
"Pff, moi tu me domineras jamais, je vais te faire l'amour pendant des heures, je vais te baiser tellement fort qu'après tu me supplieras pour que je reccomence."
"T'es bien prétentieux, fais attention à toi il se pourrait que je t'enseigne l'humilité..."
"Tu rêves ! Mais je suis prêt à te laisser essayer quand tu veux !"
Je ne lui avouais pas, mais je commençais à être sérieusement excitée par notre discussion. J'avais hâte de le voir en vrai, et son attitude provocante me donnait une folle envie de le soumettre et de le remettre à sa place.
"Samedi prochain à 16h, chez moi, ça te va ?"
"Quoi dans une semaine ? Ca fait trop long, je suis dispo toute la semaine tu sais ?"
"Oui moi aussi, mais j'ai envie de te faire languir pendant une bonne semaine".
"T'es vraiment une allumeuse toi ! Ca sera un vrai plaisir de te baiser et de faire couiner !"
"A Samedi mon étalon, j'espère que t'as les reins solides, sinon il se pourrait bien que je te les brise ;)"
Après cet échange, je lui donnais mon numéro de portable et me déconnectais du site, plus excitée que jamais. Pendant toute la semaine, Kévin et moi échangeâmes de nombreux SMS coquins, tous plus provocateurs les uns que les autres. Chacun d'entre nous deux semblait sur de dominer l'autre, et chacun d'entre nous deux avait hâte que la "bataille" commence. Kévin me supplia plusieurs fois pour qu'on se voie plus tôt, et bien que j'en fus tentée je refusai à chaque fois : l'attente me rendait folle moi aussi, mais je savais qu'elle rendrait les choses meilleures encore le moment venu. J'aurais pu me défouler sur un de mes nombreux plans cul, mais je savais que faire monter le désir me rendrait plus sauvage.
Vint enfin le Samedi. Je me levais en pleine forme, et plus excitée que jamais. Mes parents devaient accompagner mon petit frère de 14 ans à son match foot à 16h, et ils ne reviendraient pas avant 20h. Autrement dit j'allais avoir 4 heures avec mon bel appolon noir. C'était largement suffisant...
Je reçus un SMS de Kévin :
"C'est le grand jour bébé ! Ce soir tu vas gémir, crier, hurler et même pleurer ! Et demain tu pourras plus marcher tellement je t'aurai démonté! Tu te prends pour une tigresse sauvage, mais demain tu ressembleras plutôt à un chaton apprivoisé !"
"Je t'attends canasson, j'espère que t'es bon perdant..."
Vers 15h je me préparai à recevoir Kévin. Je rangeai ma chambre, et choisis ma tenue : un débardeur noir au décoleté généreux, et un mini short serré qui moulait mes fesses à la perfection.
"Je suis là, ça va chauffer pour tes fesses !". Il était enfin là, le jeu allait pouvoir commencer !
Je descendis et ouvris la porte d'entrée. Il descendit de la voiture et mon impatience grandit : il était très sexy, vêtue d'une chemise blanche entrouverte qui laissait voir son torse musclé et qui mettait en valeur sa peau noire, le reste de sa tenue était assez banale, mais ça ne faisait rien, je ne comptais pas le garder habillé très longtemps...
"C'est quoi cette tenue sérieux, tu t'es prise pour un cow boy ou quoi ?" Dit il d'un ton goguenard.
"Ose me dire que ça te fait pas bander" Répliquai je.
"J'avoue que t'es aussi bonne que sur tes photos, ça fait plaisir".
Il se tenait juste devant moi, je pouvais sentir son impatience, et moi même je tremblais légèrement de désir. Soudain sans crier gare, nous nous jetâmes l'un sur l'autre et nous embrassâmes furieusement. Il me prit par les fesses admirant leur rondeur et leur fermeté, et me colla contre lui, puis l'une de ses mains quitta mes fesses pour venir masser mes seins, je commençais à haleter de plaisir. Nous entrâmes dans ma maison, il claqua la porte et me plaqua violemment contre elle. Il me souleva et m'embrassa le cou puis me lécha le décolleté en me massant vigoureusement les seins. Il était clairement physiquement plus fort que moi, et si je voulais le dominer, j'aillais devoir utiliser la ruse. J'employai donc la technique de la fausse soumise : je me laisai faire, et me mis à gémir de manière exagérée, et à dire des trucs comme : "oh vas y j'adore, continue ! Oh ouiii!". Ainsi il prendrait confiance, et baisserait sa garde. Ca marcha comme sur des roulettes, il s'interrompit et me dit plein d'assurance :
"Ha ha dés les préléminaires t'es déjà à moi ! Je t'avais dit que je ferais de toi ma chienne, mais je pensais pas que ça serait aussi facile !"
"Oui, j'avoue que je capitule ! Allons vite dans ma chambre que tu puisses me baiser !" Dis je en continuant de jouer la comédie.
Nous montâmes en hâte dans ma chambre, notre impatience nous obligea à abréger les préliminaires. Sans plus de cérémonie je lui arrachais sa chemise et lui léchais les pectoraux, tout en caressant ses magnifiques abdos. Puis je jetai mon chapeau sur ma table de nuit, me débarassai de mon débardeur, et fis voler soutien gorge, mini short et culotte. Je me retrouvais nue, à part que j'avais gardé mes bottes (faire l'amour avec mes bottes de cow boy était un fantasme). Pendant son tour il fit valser jean caleçon et tout le reste. Je pris le temps d'admirer la magnifique verge de Kévin : elle était énorme, 22 cm de long à vue de nez, et au moins 13 cm d'épaisseur !
"Mon engin t'intimide hein ?" me dit Kévin fier de lui.
En vérité elle ne m'intimidait pas du tout mais elle m'excitait terriblement, rien qu'à la voir je mouillais comme pas permis ! Mais fidèle à mon rôle de fausse soumise je fis néanmoins semblant d'être effrayée :
"J'avoue que oui, tu me feras pas trop mal hein ?"
"Ca chérie je peux pas te le prommettre... Tu m'as provoqué et chauffé toute la semaine, alors maintenant t'étonne pas si je te déchire le cul !"
Il n'avait donc aucune pitié... Je saurais m'en souvenir le moment venu...
En attendant il me jeta sur le lit, et vint me baiser en missionaire. Je me laissai faire, attendant mon heure pour reprendre le dessus... et je dois avouer que profiter de la situation n'avait rien de trop désagréable : j'étais tellement mouillée que la pénétration se fit sans difficulté, et Kévin put donc entamer des vas et viens très rapides tout de suite. Son énorme queue me défonce littéralement, et à chacun de ses coups de rein je lâche un gémissement. Puis mon plan finit par fonctionner : il baisse sa garde, et vient se coller contre moi, m'écrasant de tout son poids. Se faisant il commet une erreur mais je n'en profite pas tout de suite, désirant profiter de son corps qui m'écrase et se grosse queue qui me défonce. Il accélère encore le rythme, ce qui me plaît énormément. Je l'embrasse furieusement, pendant qu'il continue de me baiser. Je suis au 7ème ciel, il avait pas menti, il est doué ! Fier de lui il me dit :
"T'aimes ça hein petite pute ?"
J'en profite alors pour retourner la situation à mon avantage : profitant du fait qu'il soit contre moi, j'enroule mes jambes autour de sa taille et mes bras autour de son cou, et je le renverse. Une fois au dessus, je m'empale fièrement sur son sexe. Après quoi je lui dis avec un sourire provocateur :
"Oui, maintenant je vais adorer ça !"
Il tente de me renverser, mais je le tiens fermement par les épaules, le clouant au sol (ou plutôt au matelas). Fière de moi je remets mon chapeau de cow boy : et la chevauchée fantastique commence ! J'entame des vas et viens rapides, et lui refusant sa défaite donne des coups de rein en soulevant son bassin : à chaque fois, je décolle, mais je réplique à chaque fois par un autre coup de rein qui le "recadre". Cette "bataille" dure environ 20 minutes, nos coups de reins sont de plus en plus violents, et de plus en plus délicieux, nous gémissions tous les deux sous nos assauts brutaux et répétés. Ni Kévin ni moi ne voulons renoncer, chacun de nous veut l'emporter sur l'autre : c'est à celui ou celle qui sera le plus endurant, nous nous regardons dans droit dans les yeux en signe de défi, je le griffe il me claque les fesses, il m'insulte, me traitant de pute, je le traite de petite bite et de couille molle (ce qui est d'une mauvaise foi absolue d'ailleurs), bref à nous voir comme ça on dirait plus que nous sommes ennemis que partenaires : c'est une vraie bataille et chacun de nous veut gagner ! Cette situation m'excite comme jamais, je prends mon pied comme rarement je l'ai pris : c'est si bon de baiser un mec comme une furie, de faire l'amour sauvagement sans aucune retenue ! La bataille est rude et je commence à m'essoufler mais mon expérience me permet de tenir le choc aisément. Pour Kévin en revanche l'affaire est plus compliquée : comme il est en dessous de moi, il doit faire de gros efforts pour me donner des coups de rein, le mouvement n'est pas aisé, d'autant qu'il doit me soulever en plus, et que bien que je sois mince, je pèse mon poids ! Au bout d'un quart d'heure, il commence à fatiguer, et ses coups de reins faiblissent. Je sens alors que je prends le pas sur lui, et accélère le rythme de mes attaques. Il tente alors de me renverser, mais implacable je le maintiens en dessous de moi. 5 minutes plus tard, il est tellement épuisé que je ne sens même plus ses coups de rein : je réalise alors que j'ai gagné, il ne peut plus rien faire ! Un sentiment de puissance m'envahit telle une vague, je lui souris d'un air narquois pour le narguer, et ma victoire me donnant des ailes, j'accélère encore le rythme de mes coups de reins. Avoir gagné m'excite moi énormément et semble le vexer lui terriblement ce qui me ravit encore plus ! Pendant encore 25 minutes, je le baise à ma guise le toisant d'un air dominateur et moqueur, et me foutant de lui (...) je me fais énormément de bien en le baisant, chacun de mes coups de rein m'arrache un cri de plaisir, de temps en temps je me regarde dans le miroir de mon armoire, et cela m'excite énormément : je me vois moi, la belle cow boy brune indomptable entrain de baiser mon étalon noir. Kévin lui, si il est vexé d'avoir perdu semble en revanche prendre son pied, il gémit et se tord de plaisir. Si il est soumis cela ne l'empêche pas d'être un peu actif, en me caressant le dos les fesses et les seins. Vers la fin, il se redresse et me lèche ma poitrine, je le laisse faire tout en surveillant qu'il ne reprenne pas le dessus. Puis je le repousse sur le matelas, et entame le sprint final. Je me lance dans de gigantesques coups de reins qui nous font tous deux hurler de plaisir jusqu'à ce que finalement, on atteigne l'orgasme en même temps. Alors, épuisée et victorieuse, je m'effondre à ses côtés. Nous restons ainsi côte à côte un long moment, reprennant notre souffle, profitant du plaisir que nous a procuré cette partie de jambe en l'air, moi savourant ma victoire, et lui ruminant sa défaite.
Après 5 minutes de repos, je luis dis :
"Alors ? Je t'ai bien eu sur ce coup là hein ? Je t'avais dit que je te dompterai."
"T'as triché, tu m'as pris par surprise." Dit il de mauvaise grâce
"Je peux pas tricher, le sexe est un sport sans règle, pas de règle pas de tricherie !" Dis je amusée.
Il ne répondit pas mais semblait vraiment vexé, ce qui m'amusait beaucoup.
"Avoue que t'as aimé ? T'as vu que c'était bon d'être soumis par moi ?" lui dis je.
"J'admets que t'es douée, mais c'était que le premier round attends de voir le deuxième !" Dit il d'un ton de défi.
Je désignais son sexe, désormais tout mou, et lui dis qu'il faudrait attendre qu'il ait repris du poil de la bête. En attendant, réalisant que j'étais toute crade (pleine de sueur et d'autres fluides corporels), je partis prendre une douche.
Tout en me douchant, je ressassais avec plaisir ce qu'il venait de se passer, j'avais vraiment pris mon pied, et j'étais très contente de ma victoire, mais je ne pouvais m'empêcher de ressentir une pointe de déception : ça avait été un peu trop facile, il m'avait suffi de faire semblant d'être soumise pour prendre le dessus assez facilement. J'espérais que le "2ème round" serait plus corsé !
J'étais sous la douche depuis 10 minutes environ, quand je sentis une présence derrière moi. Je sursautaits : Kévin m'avait rejointe silencieusement dans la douche ! Je fus prise d'une légère panique car la douche était exigue, on avait peu de place pour bouger (on tenait à peine à deux dedans) : impossible pour moi de le dompter dans cet espace exigu. J'allais devoir me laisser faire ! Il le savait bien d'ailleurs. Il me prit par les hanches et m'attira contre lui, puis me murmura à l'oreille :
"T'as un cul magnifique, tu me fais bander t'as pas idée. Je vais te baiser sauvagement, et cette fois tu ne pourras rien faire contre ça".
Je ressentis un peu d'appréhension... et en même temps pas mal d'excitation, il y avait bien longtemps que je n'avais pas été soumise par un mec, et je me dis que ça devrait être bon... Il commence par m'embrasser la nuque, tout en me massant les seins, puis tout un coup il me pénétra sec. Ses 22 centimètres emplirent mon vagin d'un seul coup, et je poussai un gémissement.
"C'est bien gémis sale pute !" Cria t il.
Puis, il entama des vas et viens rapides allant et venant en moi très facilement, comme dans du beurre, il me limait à un rythme rapide, avec sa main gauche il me massait les seins, et avec sa droite il me titillait le clito. J'étais totalement prisonnière dans ses bras, défoncée par son énorme queue et malmenée par ses mains. Je prenais énormément de plaisir à être baisée ainsi, mais j'essayais de ne pas trop le montrer et de ne pas gémir, je ne voulais pas lui faire ce plaisir ! A un moment, il me plaqua contre la paroi de la douche : je suis coincée entre lui et la vitre, tout l'avant de mon corps est compressé contre la vitre, tandis que l'arrière de mon corps subit les assauts dévastateurs de Kévin. Ainsi coincée, je ne peux presque pas bouger, et je dois dire que quelque part j'adore ça ! Du coin de l'oeil je vois Kévin s'activer à me défoncer, il y met de plus en plus d'entrain, le plaisir monte en moi, et je dois serrer fort les dents pour ne pas gémir à flot continue. Soudainement et brutalement, Kévin me retourne il plaque dos à la vitre, me soulève et me re-pénètre. Il me dit avec un large sourire :
"Je veux te regarder pendant que tu jouis sous mes assauts ma chienne".
Il reprit alors ses coups de butoir, et décidée à ne pas lui donner satisfaction, je tâchai de rester impassible, genre "tu me fais rien, je sens rien là". C'était malheuresement mission impossible : son énorme queue rentrait violemment jusqu'au fond de moi à chacun de ses coups et me faisait un bien fou. Malgré mes efforts je faisais plein de grimaces de plaisir, et je poussais des petits gémissements que j'essayais sans succès de retenir. Cela rendait Kévin très fier de lui, et il accéléra encore jusqu'à ce que j'ai un orgasme qui me fit pousser un véritable hurlement de plaisir.
On sort tous les deux de la douche. Je suis encore tremblante de plaisir et lui a le sexe toujours en érection. Il est très fier de lui et me dit :
"Alors je t'ai bien niquée hein cochonne ? J'ai bien vu que t'as kiffé !"
Je ne répondis pas : c'était mon tour d'être vexée. Comblée sexuellement, mais vexée dans mon orgueil. Je compte bien prendre ma revanche, mais il ne m'en laisse pas le temps : aussitôt sortis de la salle de bain, il me prend et m'enporte vers ma chambre. Là il me jette sur le lit comme une vulgaire poupée de chiffons. Usant de sa force, il me força à me mettre à 4 pattes sur le lit. Je tentais de me débattre, mais il me maintint dans cette position. Il me dit :
"Je vais te baiser en levrette, c'est parfait pour la chienne que t'es !"
Sur ces paroles poétiques, il me pénétra d'un coup sec. A nouveau sa queue me remplit d'un coup, et à nouveau je serrais les dents pour ne pas gémir. Il reprit ses grops coups de reins me défonçant littéralement, c'était trop bon je ne pus me retenir : je poussais des gémissements en flot continu. Refusant d'abandonner le "combat", je donnais quand même des coups de reins, histoire d'avoir un minimum de contrôle et de le rendre fou. Mais il répliquait par des coups de rein encore plus fort, et encore plus violents, pour me recader. Je gémissais et vibrais de plaisir, m'abandonnant totalement à lui, reconnaissant (temporairement) ma défaite. Fier de lui il accéléra encore le rythme, et je me mis carrément à crier des "ah tu fais trop du bien, ooooh ouii continue comme ça" ! Je je jetais un coup d'oeil au miroir : cette fois ci la cow boy indomptable que je voyais tout à l'heure était belle et bien domptée. Mon bel étalon noir m'administrait des coupds de reins si forts que je m'accrochais au drap pour ne pas valser contre le mur. De plus en plus sauvage, Kévin commença à me donner des grosses claques sur les fesses, et à me tirer les cheveux. C'était humiliant mais aussi très bon.
"Tu kiffes ce que je te fais hein sale pute ? Je t'avais dit que je te dominerais, moi les meufs j'en fais toutes mes chiennes !".
Après ces belles paroles, il me retourna et me plaqua contre le matelas, me maintenant immobile avec ses mains. Je tentais de me débattre un peu, mais il me tenait en son pouvoir et je ne pouvais rien faire. Je le mordis, pour le provoquer et cela fonctionna un peu trop bien : il prit mes jambes et les mit sur mes épaules, et entreprit de me baiser sauvagement.
"Tu me mords salope ? Prends CA et CA et CA !" dit il en ponctuant chacun de ces "CA" par un énorme coup de rein qui m'arrachait un cri de plaisir. "C'est bien couine connasse !". Il me sauta ainsi pendant de longues minutes, me baisant si bien que j'en avais le tourni. Il me regardait droit dans les yeux d'un air supérieur et conquérant, me défonçait, allant et venant en moi, et m'insultait copieusement : il triomphait, jamais un mec ne m'avait baisée comme il le faisait maintenant, j'étais à lui, c'était tellement bon. En une demi heure, j'eus quatre monstrueux orgasmes. Je perdais complètement la tête, je ne savais plus du tout où j'en étais, plus qu'une chose comptait : sa queue qui me allait et venait en moi à un rythme incroyablement élévé, qui me faisait tellement de bien ! Je gémissais, hurlais, je griffais Kévin et le mordais, mais ce n'étaient que de pâles rébellions en comparaison de ce qu'il m'infligeait. Au bout de mon 5ème orgasme, il s'interrompit enfin. Il n'en n'avait cependant pas fini avec moi. Il prit sa ceinture de pantalon, et une de mes ceintures qu'il trouva dans mon placard, et m'attacha les mains aux barreaux du lit. Après 5 orgasmes, je n'étais plus en état de lutter et me laissai faire sans résister. Il me dit :
"Pff tu te prenais pour une tigresse indomptable ? Regarde toi ! T'es une chienne soumise !".
Sans me laisser le temps de répondre, il câla sa queue entre mes deux seins, et entama des vas et viens, me faisant frémir de plaisir. Il fit ça pendant un gros quart d'heure, jusqu'à ce qu'il gémisse et semble proche de l'orgasme. Alors il me fourra sans ménagement sa queue dans ma bouche et entama des vas et viens dedans, m'étouffant à moitié. Il finit par jouir sur mon visage en disant : "prends toi ça sur ta face ! T'as voulu me dominer regarde toi maintenant !" Effectivement, enchaînée à mon, propre lit, le corps encore tremblant du plaisir qu'il m'avait infligé, le visage ruisselant de sperme, je ressemblais plus que jamais à une petite soumise. Mais qu'à cela ne tienne : il avait gagné une bataille pas la guerre.
Néanmoins Kévin avait eu son orgasme et sa vengeance et commençait donc à se rhabiller. Je compris qu'il allait partir et me priver de ma revanche. Je regardais l'heure : il était 17h 30, j'avais encore tout mon temps pour me venger ! Je lui dis donc :
"Tu t'en vas ?"
"Hé oui beauté ! Je t'ai bien défoncée maintenant je me casse !"
"Tu peux pas me baiser encore ?" Dis je en adoptant un ton faussement suppliant.
"Quoi ? T'en as pas eu assez ?" Fit il surpris.
"Non t'avais raison quand tu disais que tu me baiserais tellement bien que j'en redemanderais. S'il te plaît encore ! C'était tellement bon !
"Ha ha ! Tu vois que t'es ma chienne soumise, je te l'avais dit !" Dit il triomphant.
J'étais toujours attachée, mais je sentais que je pouvais me libérer... Je continuai de jouer la soumise :
"Je veux te sucer s'il te plaît"
Il bandait déjà de nouveau à fond ! Ce mec devait avoir du viagras dans les veines, je voyais que ça !
"Vas y" dit il en me fourrant à nouveau sa queue devant la bouche. Je l'observais rapidement : ll avait un air fier et dominateur, il transpirait l'auto-satisfaction : tout cela changea en une fraction de seconde. Car jamais il n'avait été sucé par une fille aussi douée que moi : j'entamais directement des vas et viens très rapides avec ma bouche, inondant cette belle verge de salive, lui léchant le gland, le pompant comme jamais personne ne l'avait fait. Son masque d'arrogance vola en éclat, son visage se décomposa sous le plaisir que je lui infligeais. Sans les mains, juste avec ma bouche et ma langue,je parvenais à le maîtriser totalement. Je me libérais d'un coup sec, et plantai mes ongles dans ses fesses tout en accélérant encore le rythme de ma fellation. Il poussa un rugissement de plaisir et de douleur mêlé. Puis, je me redressais et le jetais contre le matelas. Je vins sur lui et m'empala sur son énorme queue. J'entamais ensuite des allers retours qui le firent grimacer de plaisir. Il se redressa et tenta de me renverser, mais rapide comme un serpent, j'enroulai mes jambes autour de sa taille, l'emprisonnant dans mon étreinte, et ondulai du bassin à un rythme effréné le paralysant de plaisir. Je lui attrapai les cheveux à l'arrière du crâne et tira dessus, l'obligeant à me regarder droit dans les yeux. Je me délectai de voir son visage décomposé par le plaisir que je lui infligeais, de sentir son corps vibrer sous mes coups de reins : j'avais complètement repris le pouvoir, il était à ma merci. Je le plaquai ensuite contre le matelas, le forçant à s'allonger de tout son long, et le baisai en andromaque. Je faisais de rapides vas et viens, mes cheveux et mes seins se balançant au rythme de mes coups de reins, sa queue se cognant au fond de mon être à chacun de mes coups de reins, déclenchant des vagues de plaisir en moi. Kévin, se tordait de plaisir, gesticulait, semblait prendre un pied énorme, il poussait des cris de plaisir :"oh Katherine vas y ! Oui continue s'il te plaît t'arrêt pas ! Aaaah tu vas me !". Je tenais ma vengeance : un sourire narquois aux lèvres, je le toisais d'un air dominateur, et jouissait de la vision de son magnifique corps vibrant sous mes assauts. Implacable je continuais mes coups de rein à un rythme soutenu, le plaisir me brouillait la vue, mais je continuais à le baiser, jusqu'à ce que tous les deux nous explosâmes dans un nouvel orgasme dévastateur. Nous effondrâmes tous les deux, hors d'haleine. Toutefois je n'en n'avais pas fini avec lui, je voulais pas finir sur un match nul, mais sur une victoire totale.
Tandis qu'il récupérait encore, je fonçais vers ma table de nuit, où j'avais rangé quelques outils qui pouvaient être utiles. Je pris deux paires de menottes, et revins sur le lit pour attacher Kévin. Celui ci hébété par l'orgasme qu'il venait d'avoir ne se débattit que mollement. Je l'attachai sans problème.
"Qu'est ce que tu fais ?"
"C'est mon tour de d'attacher et de te baiser à ma guise"
"T'es pas rassasiée ? T'as du avoir une dizaine d'orgasmes au moins ! Moi j'en peux plus !"
"Non j'en veux plus encore !" Dis je.
Je me mis à califourchon sur lui et l'embrassai doucement afin de réveiller tranquillement le désir en lui. J'accélérai ensuite progressivemennt le rythme du baiser jusqu'à ce qu'il devienne franchement sauvage. Après quoi je lui léchai les oreilles, lui mordis le menton (ce qui le fit frisonner d'excitation) et je descendis sur son cou, puis sur son torse, embrassant longuement ses pectoraux, je descendis encore, glissant ma langue entre ses abdos en béton, le faisant frémir de plaisir. Je descendis toujours plus bas, j'étais maintenant au bas de son ventre, et approchais de son sexe qui était de nouveau en érection. Il me dit :
"Vas y, suce moi bébé j'adore ce que tu me fais".
Je souris d'un air sardonique et dit :
"Justement, je pense que je vais te faire attendre un peu".
Et au lieu de descendre comme il le voulait tant, je remontai et repartis à l'exploration de son corps. Je fis durer le supplice un quart d'heure, Kévin tremblait de plaisir, et en même temps, semblait en proie à une énorme frustration. Charitable, je mis fin à son supplice et entrepris de le sucer. Je commençais doucement, en léchant son sexe de la base jusqu'au sommet. Cela le fit vibrer de plaisir et il poussa un léger gémissement. Après quoi je pris son sexe en bouche, et entamai des vas et viens. Je commençai par aller doucement, puis à mesure que le plaisir en lui montait j'acclérai le rythme, allant plus vite et plus loin, me délectant de ses cris de plaisir. Sentant qu'il était proche de la jouissance, je m'arrêtais, je n'avais pas envie de finir par une fellation je voulais un dernier orgasme, et je voulais finir par une dernière chevauchée.
J'arrêtai donc de le sucer, et remis mes bottes et mon chapeau de cow boy, et revins sur Kévin pour m'empaler sur lui. J'entamai des vas et viens, d'abord lents, puis j'augmentais le rythme progressivemennt, et me réjouissais de voir son visage se décomposer de plaisir, à mesure que le tempo de mes coups de reins augmentait. Au bout de quelques minutes nous étions nous tes les deux dans un état indescriptible. Kévin gémissait, se tordait de plaisir et me disait "continue bébé, aaah j'adore ça ! Aaah c'est trop BON !", à un moment il tenta de se redresser pour me renverser, mais les menotes le clouèrent sur place : il était immobilisé, à ma merci. J'adorais ça, contempler ce bel étalon sauvage, totalement dompté, vaincu après cette dure bataille, immobilisé, à ma merci. Chevaucher cette énorme queue me faisait un bien fou, à chaque va et vient elle me cognait le fond de mon intimité, me faisant lâcher un petit gémissement de plaisir. Je finis par avoir un orgasme plus puissant encore que les précédents, si forts et si intenses que ma vue en fut brouillée pendant une demi minute, et que j'eus l'impression de m'évanouir de plaisir. Je m'effondrai, ivre de plaisir à côté de Kévin.
J'étais totalement rassasiée, mais pas Kévin qui bandait toujours comme un taureau en rut. N'étant pas du genre à laisser les couilles d'un mec bleuir sous prétexte que j'avais atteint l'orgasme, je décidais de finir le travail. De plus j'avais une idée... Je détachai Kévin et le fis s'asseoir. Puis je l'obligeai à pencher sa tête au dessus de sa queue.
"Qu'est ce que tu fous ?" me demanda t il.
"Tout à l'heure tu m'as éjaculé sur le visage, maintenant je vais te rendre la pareille" lui répondis je.
De la main droite je le tenais par la nuque, et de la main gauche je commençais à le branler doucement.
"T'y arriveras pas ! Je peux me branler pendant des heures, tu te feras une entrose au poignent avant de m'avoir fait jouir !" Affirma t il en me défiant.
"Je suis la reine des branleuses, lui rétorquai je, dans 5 minutes t'auras ton visage inondé de sperme".
Joignant le geste à la parole, j'accélérai le rythme de ma branlette, allant et venant avec ma main à un rythme rapide. Dés les premières minutes, il commença à grimacer de plaisir et à gémir doucement, et je sentis qu'il serait aisé de venir à bout de sa réistence. J'accélérai mes mouvements de poignet et me délectat de voir son visage se décomposer sous le plaisir que je lui infligeais. Je le vis serrer les dents pour tenter de ne pas jouir, mais j'étais trop douée, et vins aisément à bout de sa résistence. Il finit par éjaculer à grand jet en plein sur sa face, la maculant de sa propre semence.
Victorieuse une fois de plus, je jubilai, et pris mon portable, afin de prendre une photo de sa face pleine de sperme.
"Si t'es pas sage, je la balance sur facebook" Dis je hilare.
Il ne répondit pas, mais semblé un peu sonné. Ca devait être la première fois qu'une fille le dominait autant que je l'avais fait. Moi j'étais satisfaite d'avoir finalement eu le dessus sur lui, toutefois, je voulais en rajouter encore un tout petit peu, afin que ma victoire soit totale. Je fouillai dans ma table de nuit, jusqu'à y trouver l'objet que je désirais.
"Qu'est ce que tu cherches là dedans ?" Me demanda t il intrigué.
"De quoi t'infliger la petite humiliation finale !" lui répondis-je avec un sourire narquois.
"Tu peux plus rien me faire, là j'ai assez joui pour le reste de l'année, je pourrai plus bander !"
"Je sais, mais j'ai pas besoin que tu bandes..." Répliquai je doucement...
"Bah si tu veux que je te pénètre il faut bien" dit il sans comprendre.
"Mais qui a dit que c'était toi qui allais me pénétrer ?" Demandai je avec un sourire sardonique.
L'inquiétude apparut sur son visage, et se transforma en franche panique lorsque je sortis un gode de 25 cm de mon tiroir.
"Non non arrête fais pas ça !" Cria t il.
Je n'avais jamais sodomisé de mec, mais j'en avais trop envie : il m'avait provoquée toute la semaine, il m'avait baisée comme personne ne l'avait jamais fait, et il m'avait insultée de tous les noms (ce qui ne m'avait pas déplu comprenons nous bien) : il fallait que je lui rende la monaie de sa pièce.
Avec un sourire démoniaque je collais donc le gode à l'entrée de son anus. Et je lui dis :
"Supplie moi de pas le faire."
"Pitié, je t'en supplie fais pas ça, ça va me déchirer !"
"Appelle moi maîtresse." Dis je d'une voix sans âme (je m'amusais follement)
"Pitié, maîtresse !"
"C'est bon ça me va, je t'encule pas."
J'éloignai le gode de son anus, le soulagement se lit sur son visage. Puis je m'interompis et fis mine de réfléchir.
"En fait tu te souviens de ce que tu m'as dit tout à l'heure ?" Lui demandai je.
"Non, de quoi tu parles ?" Dit il sans comprendre.
"Tu m'as dit que tu me déchirerais le cul... La prochaine fois, méfie toi de tes menaces..."
Et avant qu'il n'ait eu le temps de comprendre, je lui enfonçai le gode dans le cul d'un coup sec. Il poussa un hurlement de plaisir et de douleur mêlé, et implacable je fis des vas et viens avec le gode. Il hurlait, se tordait gémissait, me suppliait d'arrêter, mais je continuais encore et encore, allant de plus en plus vite. Bien sur, je voyais bien que quelque part il aimait ça, sinon j'aurais arrêté. Je le sodomisais ainsi pendant un bon quart d'heure, avant de retirer le gode de son cul. Décidée à l'humilier jusqu'au bout (reconnaissez qu'il l'avait bien cherché) je lui enfonçais ensuite le gode dans sa bouche (je vous laisse imaginer le goût que ça avait), là encore je fis quelques vas et viens, puis le retirai. Je souris d'un air narquois à Kévin, et vins me pelotonner contre lui, épuisée par nos ébats, mais ravie et comblée. Je venais d'avoir une de mes meilleurs baises, et j'avais atteint presque une dizaine de fois l'orgasme en une après midi seulement ! Et cerise sur le gâteau, j'avais gagné notre petite bataille ! Tout cela m'avait follement amusée, jamais je n'avais encore dominé un mec à ce point, j'avais même été jusqu'à le sodomiser, ça m'avait beaucoup plus. La bataille entre Kévin et moi avait été rude, mais la victoire finale n'en n'était que plus savoureuse !
Je détachais Kévin, qui semblait à la fois avoir énormément apprécié, et semblait en même temps être un peu touché dans son égo. Je me dis que la prochaine fois, il sera surement plus poli !
La morale de cette histoire, c'est que finalement les sites de rencontre sont très bien pour faire des rencontres érotiques, en revanche si une belle fille vous propose un plan cul, pensez à fouiller sa table de nuit avant ;).
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