Aux Sources De Ma Sexualité, Partie 3
Notre lune de miel pris la tournure d'un véritable retour aux sources et en même temps d'un voyage scolaire. Philippe, l'ami à mon père qui n'avait eu que des filles en mariait deux dans l'année avec des hommes de leur choix et nous avons été chargé de les ramener en vacances avec nous sur l'île où mes parents s'étaient rencontrés. Armand était aussi de la partie. Les avions de l'époque n'étant pas ce qu'ils sont aujourd'hui, il fallu faire des escales mais nous arrivâmes finalement à bon port après plusieurs trajets par air et mer. Marius et un de mes frères étaient de la partie.
Nous n'y étions jamais allé mais j'imagine que les choses n'avaient pas beaucoup changé depuis les années 20-30 puisque nous avons du arpenter des kilomètres de jungle à pied avant d'arriver à bon port. Bizarrement, un vieil homme nous a immédiatement reconnu ce qui était assez étonnant étant donné nos traits plutôt européens. Il ne reconnu pas les autres bien entendu mais on lui expliqua, en même temps qu'au reste du village, pourquoi nous étions là.
Les femmes enfilèrent une tenue traditionnelle, les hommes retirèrent leurs habits, même les futurs maris des filles de Philippe, complètement médusés en dans une incompréhension totale de ce qui leur arrivait. L'un s'appelait Paul, l'autre s'appelait Victor. Ils ne se connaissaient pas, il ne nous connaissaient pas vraiment et pourtant ils étaient là, nus au milieu de la jungle, en train de regretter de nous avoir suivit dans ce voyage. Il n'avait pas vraiment eu le choix, Philippe les y avait poussé très vivement. C'était de beaux garçons même si Paul n'était pas très sportif et avait un peu d'embonpoint, du moins au début de ce voyage qui allait les transformer.
Les membres de notre famille, dans ce village perdu, furent très heureux de voir que nous partagions au moins une partie de leurs traditions. Nous y restâmes en tout un mois, réservant les deux autres mois du périple à des visites d'autres pays de la zone.
Armand était le plus exotique d'entre nous aux yeux de cette peuplade. Sa peau d'un blanc laiteux parsemée de taches de rousseur ainsi que ses cheveux et ses poils d'un roux flamboyant faisait un gros effet auprès des femmes locales. D'une manière générales, les membres de cette peuplades étaient estomaqués par le fait que nous soyons physiquement aussi différents d'eux mais partagions une grande partie de leurs coutumes et de leur façon de penser. Pour ma part, je parle même un peu leur langue. C'était un tout petit village formés de très peu de familles et ses habitants étaient conscients de l'enfermement dans lequel ils vivaient et ces moeurs sexuelles libérées étaient pour eux un bon moyen de "diversifier leur patrimoine génétique". Savoir qui était réellement le père de l' importait peu, le mari de la mère était réputé être son père et personne n'allait plus loin. Les hommes stériles n'existaient pas puisque, l'un dans l'autre, chacun arrivait à s'arranger avec un voisin pour ne pas perdre la face. Le village arrivait ainsi à ne pas disparaître et les étrangers étaient assimilés dès que possible. Leurs traits étaient d'ailleurs bien différents de ceux des autres peuplades de la région et il y avait fort à parier que les visiteurs occidentaux comme Jean, Philippe ou mon père n'y laissaient pas que des souvenirs. L'homosexualité d'Armand n'y était pas stigmatisée dès lors qu'il montrait les photos de ses s aux locaux, des s qui lui ressemblaient comme deux gouttes d'eau et attestaient de sa fécondité.
Irène m'avait interdit de répondre aux demandes pressantes d'hommes souhaitant que j'offre une saillie à leur femme. Marius, Paul, mon frère et Victor n'étaient pas encore pères ce qui voulait dire qu'Armand avait toute l'attitude pour répandre son liquide fertile sur le village.
Ce voyage n'était toutefois pas purement touristique car Marius, mon frère, Armand Irène et moi avions une mission, celle de faire de ces deux quasi inconnus, des hommes aptes à épouser les filles de Philippe.
L'alimentation pour le moins spartiate de cette peuplade eu pour effet de faire perdre du poids à Paul ce qui n'était pas une mauvaise chose pour ce bon vivant. gâté, il était complètement inadapté à cet environnement. Du moins au début. Victor était plus sportif mais tout aussi perdu. Qui aurait cru qu'au bout de quelques semaines il sauraient non seulement fabriquer un arc mais aussi l'utiliser. Le plus dur intervint à la fin du séjour, au moment où il nous fallu, Marius, mon frère et moi, les faire passer par le rituel d'entrée dans l'âge d'homme qui, pour eux, avait, avant cela, seulement consisté en une communion et une confirmation. Des rituels, qui, si vous voulez mon avis, consistent surtout à manger et à recevoir des cadeaux. Ce qui les attendait était nettement plus sportif et a nécessité une petite dose de contrainte physique. Coincés au milieu de cette jungle, ils ne pouvaient pas aller bien loin et c'était le but de toute cette manoeuvre. De cette forêt, ils devait ressortir des hommes neufs, des hommes propres comme disaient mes parents. Choqués par notre nudité, ils gardaient leurs habits et avaient finis par trouver normal d'être les seuls hommes couverts du village. Ils s'empêtraient dans la boue, se prenait dans les branchages mais n'en démordaient pas. Au bout d'une semaine à transpirer dans ce climat humide Victor fit tomber la chemise, puis le pantalon, révélant de très beaux attributs à travers un sous vêtement ample et blanc tels qu'on en portait à l'époque. Aucun d'eux n'osait faire de remarque sur notre anatomie modifiée pourtant identique à celle de ces indigènes du bout du monde. Les gros bijoux argentés posés sur des sexes à la peau tendue étaient pourtant patents mais ils n'osèrent pas piper mot.
Un soir, alors que nous veillions au coin du feu fut organisée la cérémonie qui, le soir suivant, allait les transformer en hommes.
Tout se passa comme prévu. Ils nous en voulurent un peu mais nous les persuadâmes de notre impuissance face à la volonté du chef. A notre retour, ils avaient déjà cicatrisé. Pendant tout notre voyage, nous les avions initiés à l'exercice physique et ils y avaient pris goût mais ne s'attendirent pas à nous voir le pratiquer chez nous dans la même tenue d'Adam que dans la forêt primaire. La première fois que nous nous sommes revus arriva à peine quelque jours après notre retour. Nous avions convenu d'aller nager dans un lac. Tout le monde était là et c'était la première fois qu'ils étaient admis aux rendez-vous de la tribu de mon père. Philippe était là, impatient de voir si nous avions réussi à les rendre conformes à l'idée qu'il se faisait d'un gendre idéal. Il ne fut pas déçu.
Arrivé au point de rendez-vous, nous sortîmes de la voiture pour retirer nos vêtements. Ils ne prirent que quelque secondes pour comprendre qu'il ne serait pas question de maillot de bain et reposèrent les leurs dans leur sac. C'est à ce moment là qu'ils comprirent qu'ils faisaient dorénavant partie d'un groupe.
Le soir venu, de retour à la maison, ils affrontèrent avec dignité le regard des femmes qui n'était ni vicieux ni intéressé mais juste attiré par la nouveauté. Je fut chargé de les initier à leur nouvel engin.
Le petit salon réservé aux hommes était devenu très exigu. Ce soir là, nous nous y entassâmes après le repas pour contrôler l'aptitude et les talents de Victor et Paul. Leurs érections étaient fréquentes, gênantes pour eux et dures comme le fer. Ils n'avaient pas pu se toucher depuis très très longtemps et je leur apprenais à masser ce tout nouvel outil. Avec des huiles et de la douceur, je les initiais au plaisir solitaire mais avant cela, il devait gicler sans rien et en public. Philippe regardait la scène avec attention comme pour se convaincre qu'il n'avait pas fait un trop mauvais choix. Les deux garçons étaient surs d'eux, changé par ce voyage à la fois dans leur esprit et dans leur chaire.
Ils étaient avides de découverte et de plaisir, trop longtemps enfermés dans des carcans qui les empêchaient de jouir. Ils n'allaient plus être seuls pendant longtemps et épousèrent leurs promises quelques mois plus tard.
Sous l'action bienfaitrice de ces femmes qui n'avaient que leur plaisir en tête, ils partagèrent de temps à autre nos nuits, à Irène et à moi finalement convaincu qu'un petit plaisir entre hommes étaient aussi le bienvenu.
Ayant engrossé ma femme directement le soir de notre nuit de noce puis deux autres fois coup sur coup, elle m'encouragea à aller me satisfaire avec Paul, ou Marius ou Victor afin de lui laisser un peu le temps de respirer avant la quatrième fois. Nous pratiquions peu la sodomie mais elle aimait me regarder posséder un autre homme.
Irène est pourtant une véritable chatte en chaleur et, en ces temps sans réelle contraception, elle était très gênée de ne pas pouvoir jouir de ma bite sans immédiatement se retrouver avec un polichinelle dans le tiroir. Pendant les premières années de notre mariage elle était enceinte quasiment tout le temps et mon père était au summum de la fierté. A cette époque là je me consacrais entièrement à elle, pas par devoir mais simplement parce qu'elle me prenait toute mon énergie et tout mon sperme. Elle était particulièrement excitée à l'idée de faire l'amour quand nous allions passer quelques jours chez mes parents. Dans mon ancienne chambre d', elle aimait, dès qu'elle entendait couler l'eau dans la douche de la salle de bain adjacente, fourrer ma queue dans son vagin toujours humide. Le seconde fois que je l'ai engrossé intervint d'ailleurs dans cette chambre. Elle était restée se reposer une semaine là bas après son accouchement afin de bénéficier de l'aide d'un maximum de personne. Fatiguée, elle ne pouvait pas laisser libre court à ses pulsions. Les premiers jours, elle me faisait me branler devant elle et finissait toujours par prendre mon manche dans sa bouche. Elle recevait de nombreuses visites dont celle de la femme de Victor, Marie, qui, à cette époque là, avait du mal à l'engrosser. Victor n'était pas quelque de très porté sur le sexe, une petit branlette quotidienne et hygiénique lui suffisait. Bien sur il ne rechignait pas à se faire sucer de temps à autre et était relativement endurant pendant l'acte mais cela ne paraissait pas suffire à son épouse qui s'en plaignait allègrement à la mienne. Elles organisèrent donc une rencontre entre couples afin de pimenter leur vie sexuelle. Ce fut la première fois que nous participâmes à ce genre d'orgie mais tout arriva sans que l'on s'en aperçoive. Debout devant ma femme, je me faisais pomper comme souvent à cette époque quand Victor et son épouse entrèrent dans la chambre. Tout était évidemment prévu entre les deux femmes et les deux furent invités, à mon immense surprise, à rester alors que nous étions manifestement en train de nous faire plaisir. Victor ne put refuser, il ne put non plus refuser de se faire pomper par son épouse sans mettre en jeu sa propre virilité. Le charme opéra, il était très excité par ce qu'il voyait. Ma femme voulu que je la baise, je n'étais pas sur que ce fut une bonne idée, elle était peut être encore fragile mais elle insista avec tant d'empressement que je du céder. A quatre patte sur le lit, la vulve tendue vers moi, je ne pouvais refuser.
Piqué au vif, Victor retourna sa femme et commença à la pilonner. Elle en avait apparemment bien besoin car elle gémissait fort, très fort et ponctuait ses halètement pas des "tu me fais tellement de bien !". Les deux femmes jouirent très vite. Elles étaient en manque flagrant d'une bonne queue et très contentes que nous la leur donnions mais elles s'étaient fourrées elle même dans un pétrin qu'elle ne soupçonnaient pas. Aucun de nous deux n'accepterai de jouir le premier et cette baise orgiaque qu'elles avaient provoquée allait durer très longtemps. Le plaisir était pourtant très intense pour tout le monde et les femmes, à bout de souffles au bout de plusieurs orgasmes, resserraient leurs orifices au maximum pour nous tirer notre semence. Irène voulu boire mon sperme pour que je laisse sa chatte tranquille mais il en était hors de question. Marie, à présent en missionnaire, tentait de protéger son clitoris endolori avec une main mais son mari la lui bloqua et les frottements de son pubis sur le sien achevèrent de lui tirer un orgasme mêlé de douleur. Périodiquement, il se retirait quelques minutes, la queue dure comme la pierre et bandée fièrement vers l'avant, pour reprendre ses esprits et durer plus longtemps. Il en profitait alors pour lui caresser encore le clitoris qu'un simple effleurement suffisait à contenter. Pendant ce temps là, elle lui doigtait le cul dans l'espoir de le faire gicler mais il tenait bon et réinvestissait son vagin avec une force incroyable. En fin de compte, il la gratifia d'une giclée abondante qui ruissela en dehors de son trou et deux secondes après je déchargeais dans Irène. Les deux femmes étaient à bout et fertilisées par notre sperme.
Marie confessa peu après que cette petite orgie entre couple avait relancé la machine du côté de Victor qui, dorénavant, ne la laissait plus souffler.
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