Jeu Pervers
A cette époque, la libération sexuelle avait déjà produit ses effets et le sida nétait pas encore la tragédie que nous connaissons.
Jétais invité à une soirée entre potes par Bob, que javais eu loccasion de connaitre intimement, et deux de ses copains. Il y avait Marc, un étudiant de nos âges, et Raymond que tout le monde appelait Ray. Bob était une sorte de macho, pas méchant mais aimant imposer ses vues à ceux qui lentouraient.
Nous avons diné tranquillement puis Bob proposa de jouer aux cartes. Notre choix sarrêta sur le poker classique, avec des jetons. La soirée passa agréablement, chacun gagnant et perdant au gré de sa bonne fortune mais bientôt il ne me restait plus rien pour miser. Bob me demanda daller chercher une bouteille car la soif gagnait les gosiers, ce que je fis sans difficulté.
En revenant ils étaient en train de parler à voix basse, éclatant parfois dun rire sonore. Après un verre, ils se sont levés et mont entouré.
- Tu as perdu, tu nous dois quelque chose. Allez, une mise à lair !
Javais déjà subi ce genre dhumiliation alors, si cela pouvait leur faire plaisir
Ray me prit les bras pendant que Bob me faisait une balayette pour me faire tomber. Marc sempara de mes chevilles pour mimmobiliser à terre, je ne pouvais plus bouger. Bob, doucement, se pencha sur moi, défit la ceinture puis le bouton de mon jean et sappliqua à défaire un à un les boutons de ma braguette, non sans sattarder sur mon membre en passant. Je tentais de protester et de me débattre mais une violente paire de gifles me tira des larmes. Il saisit le jean au niveau des hanches, prenant soin dattr la ceinture du slip en même temps, et tira vers le bas, forçant afin de faire passer le bassin. Il amena le tout jusquaux chevilles et en profita pour remonter ma chemise jusquaux épaules. Me voici nu des jambes au torse, dans limpossibilité de bouger, devant ces trois males.
- Tenez le bien, quil ne bouge pas, dit Bob.
Tout dun coup un flash éclaira la pièce, puis un second. Bob me prenait en photo dans cette situation humiliante.
- Si tu nes pas sage, je distribuerai ces photos de toi.
Je savais quil en était capable car il développait lui-même ses clichés.
Il sassit sur mes jambes, malaxa mes couilles dune main et prit mon sexe flasque dans lautre en commençant à me masturber. Il ne faisait pas dans la dentelle et ses mouvements étaient tout sauf de douces caresses. Malgré moi, ma queue commençait à prendre du volume, ce qui amusait tout le monde. Il continua ainsi jusquau moment où, nen pouvant plus, jéjaculais sur sa main et sur mon ventre, déclenchant un grand éclat de rire parmi les voyeurs.
- Salope, regarde ce que tu as fait, me dit-il en me montrant sa main souillée, nettoie ça !
Il me posa la main sur la bouche et me força à lécher le sperme puis il prit un mouchoir, essuya mon ventre et le fourra dans ma bouche en guise de bâillon.
- Comme ça, tu ne gueuleras pas !
Il se retourna vers Marc qui mavait lâché et lui dit :
- Vas chercher du beurre !
- Tu ne vas tout de même pas
- Vas chercher et ne discute pas !
Tout le monde avait encore en tête la fameuse scène du film « Dernier tango à Paris », la demande de Bob ne laissait planer aucun doute sur la suite des évènements.
Marc revint avec le beurre demandé. Javais déjà été sodomisé et, je dois lavouer, cest une pratique que japprécie mais jétais bien décidé à ne pas paraitre me rendre aux désirs de ce petit macho sans rien faire.
- Mettons-le sur le ventre, dit Bob.
Aussitôt dit, aussitôt fait, les trois gaillards mont retourné sans peine, offrant maintenant mes fesses à leur regard.
Bob se plaça derrière moi et commença à malaxer mes fesses, les écartant au maximum, jouant avec ma rondelle. Je faisais des efforts désespérés pour les tenir serrées et je me tortillais afin déchapper aux doigts inquisiteurs, cest alors que je reçus deux claques sonores et violentes sur les fesses, marrachant un cri étouffé par le bâillon.
- Arrête sinon je prends la ceinture !
Sentant un relâchement dans la manière de mimmobiliser, je réussis à dégager mes chevilles des mains de Marc. A ce moment, une violente douleur embrasa mes fesses, me faisant pousser un hurlement que le bâillon rendit presque inaudible : la ceinture venait de sabattre en travers de mes fesses, laissant sans doute une trace qui aurait du mal à disparaitre. Vaincu, jabandonnais toute résistance, espérant que cela irait vite.
Marc repris mes chevilles pendant que Bob se mettait à califourchon sur mes jambes, empêchant ainsi tout mouvement. Il se pencha et me dit à loreille :
- Mauvais choix, ça aurait pu bien se passer mais maintenant tu vas regretter ta rébellion !
Ses doigts sinsinuèrent dans mon sillon fessier, écartant les globes, passant et repassant sur ma rondelle. Dun coup, il tenta dintroduire un doigt en moi, le passage étant difficile je poussais un gémissement de douleur.
- Vous voyez, il aime être pris à sec !
Il parvint à introduire son doigt en poussant, sans se soucier de mes gémissements, et chaque mouvement déclenchait en moi une sensation de brulure. Cest un deuxième doigt qui vint rejoindre le premier, avec toujours autant de difficulté et autant de douleur. Bob sen servait comme de ciseaux, les écartant et les rapprochant pour assouplir ma rondelle.
- Je suis bon prince, je vais te préparer pour mettre ma queue.
Il ressortit ses doigts, prit du beurre et commença à menduire lorifice, faisant de nouveau pénétrer ses doigts qui, à ce moment, glissèrent plus facilement.
- Il va ressembler à une tartine, ricana Ray, déclenchant le rire des deux autres.
Jugeant son travail achevé, Bob abandonna le beurre, se positionna au-dessus de moi, son torse au-dessus de mon dos, et plaça son gland contre mon anus. Dune poussée, il sintroduisit et ne sarrêta que lorsque son pubis toucha mes fesses. Je poussais un long gémissement de douleur. Il commença des mouvements amples, ressortant presque avant de revenir au fond de mon rectum, puis accéléra la cadence.
Il faut lavouer, le beurre est excellent pour la cuisine mais nest quun pis-aller pour la pénétration et les effets du graissage commençaient à ne plus se faire sentir. Je sentais lirritation envahir mes parois intimes et Bob navait toujours pas fini. Ce nest quaprès de longues minutes que je le sentis se raidir et pousser un cri : il venait de jouir en moi. Il resta un moment affalé sur mon dos à reprendre son souffle. Bob se retira et dit :
- Bon sang, quel bon cul il a ! A toi, Marc, ne fais pas ta chochotte et montre lui que tu es un vrai mec !
Marc ne devait pas être très habitué à ce genre dexercice car Ray lencouragea à son tour.
- Vas-y, ne nous dis pas que tu préfèrerais être à sa place ?
Marc enleva donc son pantalon et son slip et vint placer ses jambes de chaque côté des miennes. Il présenta son membre à lentrée et poussa son gland.
- Il faut remettre du beurre, ça ne rentre pas, dit-il.
Bob entreprit de lubrifier à nouveau lentrée de mon trou en disant :
- Mais si, ça rentre, nai pas peur, encule le à fond.
Marc replaça son gland qui, cette fois, pénétra sans trop de difficulté. Cest par de petits mouvements rythmés quil me baisa, la douleur avait presque disparu, sa queue étant un peu moins épaisse que celle de Bob. Il jouit beaucoup plus rapidement en poussant un cri.
Cétait maintenant au tour de Ray, je ne mattendais pas à beaucoup de sollicitude de sa part et je ne fus pas déçu. Il mencula dun coup, comme Bob, sans prendre garde aux petits cris de douleur que je poussais derrière mon bâillon. Ce fut donc le troisième homme à me remplir le cul de son foutre chaud.
Ils me firent me relever, tout pantelant, le foutre mêlé à ce qui restait du lubrifiant coulant de mon cul. Jétais humilié et javais mal mais les trois autres semblaient samuser des larmes qui coulaient sur mes joues.
- Alors, ma poule, ta cheminée a été bien ramonée ? Tu as envie dune autre tournée ?
Non, cela suffisait largement et je me dirigeais vers la salle de bain, le pantalon et le slip entravant toujours ma marche. Bob resta adossé à la porte pendant que jeffectuais une rapide toilette, ne perdant rien du spectacle. Quand jeus fini, il me barra la route, mempêchant de sortir.
- Tu me plais, ma salope, jai encore envie de ton cul mais je suis bon prince, je te laisse pour ce soir. A bientôt, ma chatte !
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