Leslie Rf02

Leslie RF02 – Rêves et fantasmes.
Lesbienne soumise, mais pas que… Suite

« Jean est entré dans le salon, entièrement nu, exhibant son membre raide et de belles dimensions.
Viviane lui a demandé de s’approcher de moi et prenant son sexe en main elle m’a dit :
- Vous voyez, ce soir vous aurez à vous occuper de membres tel que celui-ci, alors nous allons voir comment vous vous y prenez…
- Mais Madame…
- Quoi vous répliquez !
Et sans attendre elle se saisit d’une badine et m’en assène un coup sur les fesses en disant :
- J’aimerais que dès maintenant vous cessiez de répliquer !
Et me redonnant un coup de badine sur les fesses, elle rajoute :
- A genoux ma petite et sucez ce beau membre que vous offre Jean !
Voyant que j’ai une hésitation à me mettre à genoux devant Jean elle me dit :
- Alors, qu’attendez-vous, je sais que vous aimez les femmes, mais ne me dites pas que vous n’avez jamais sucé un sexe d’homme ?
- Si, Madame, mais…
- Alors, sucez petite effrontée !
Alors me mettant à genoux devant Jean, je prends son membre en main et ouvrant mes lèvres je le prends en bouche et commence, en m’appliquant, une fellation qui ne manque pas de mettre Jean dans tous ses états et le faire bander comme un âne.
Son membre entra mes lèvres prennent des proportions inimaginables et je frémis à l’idée que Viviane va lui demander de me défoncer avec.
En me regardant, Viviane ne peux que s’exprimer en disant :
- Je vois que quand vous le voulez-vous pouvez-vous appliquer.
- Oui, Madame. Je fais de mon mieux…
- Bon alors maintenant mettez-vous en levrette et présentez lui vos fesses.
- Ohhh, Madame, non s’il vous plait.
- Allons, ce n’est rien, il va juste tester vos trous en prévision de ce soir !
N’ayant pas le choix, et certainement désireuse de me faire pénétrer, je me mets en levrette et Jean s’installe derrière moi.


Je me sens humide, et Jean n’a aucun mal de me pénétrer la chatte me remplissant de son gros membre et me faisant cambre en disant :
- Ohhh ! C’est gros.
Il va et vient aussitôt en moi, me besognant comme un forcené, je sens le plaisir monté en moi et je jouis en gémissant doucement afin de ne pas attirer les foudres de Viviane sur moi.
Jean jouit une première fois, puis sans attendre il sorts son membre et le place sur mon œillet, me faisant frémir, puis il s’enfonce en moi me faisant hurler et je l’entends dire à Viviane :
- Elle est très serrée de ce côté-là !
- Je m’en doutais un peu, dit Viviane, travaille la bien qu’elle soit bien ouverte pour ce soir !
Jean m’a enculé pendant de nombreuses minutes, sous le regard lubrique de Viviane, puis ayant jouit une nouvelle fois au fond de mes entrailles, il s’est retiré et j’ai entendu Viviane dire :
- Alors vous voyez ma petite, ce n’est pas plus difficile que cela, j’espère que ce soir vous serez à la hauteur.
- Oui, Madame, dis-je, je ferais pour le mieux afin de ne pas vous décevoir…

Elle m’a raccompagné jusqu’à la porte du salon et dans le couloir je vois qu’il y a des photos de jeunes filles d’une vingtaine d’années en uniforme de soubrettes et sur chaque Viviane trône au milieu, ce doit être des photos de toutes ses soumises et me demande si ce soir quelques-unes de ces jeunes filles seront présentes à la soirée…
Mon trouble est tel qu’en partant du salon je suis restée nue et la jouissance de Jean s’échappe de mes trous pénétrés, m’humidifiant les cuisses. Je suis tellement sous l’emprise de mon excitation sexuelle que je ne fais rien pour remédier à la situation, seule ma main se glisse entre mes cuisses pour de brèves, mais oh combien délicieuses caresses, en regardant les photos de ces jeunes filles à demi-dénudées.
Et je suis retournée dans ma chambre pour prendre une douche, oh combien réparatrice.

Sur le lit étaient déposé des vêtements avec un petit mot :
« Habilles-toi pour ce soir dans cette tenue et rejoins le salon à dix-¬neuf heures.
»
Quand je suis sortie de ma douche, je me suis allongée sur le lit avant de mettre de côté les habits qui m’étaient destinés, en fait une parfaite tenue de salope pour partouze entre vicieux.
J’ai voulu regarder la télé, mais aucune chaine ne marchait, seul un menu, branché certainement sur un serveur proposait un listing de films de cul, rangés par centre d’intérêt. N’ayant rien de mieux à faire je me suis mis un film de lesbiennes et très rapidement devant les images, j’ai commencé à me caressé le corps.
C’est au moment où mon plaisir commençait à monter et que j’allais jouir, qu’un serveur est entré dans ma chambre avec un plateau repas, en disant :
- Votre déjeuner de mademoiselle !
Il était habillé d’un gilet de serveur noir avec un nœud papillon et d’un jockstrap, slip qui cache le membre mais laisse les fesses découvertes, la partie avant étant pleinement remplie, j’ai pensé qu’il devait avoir un sacré morceau dans le slip.
Mais me voyant nue sur le lit l’air hagard, la main droite plantée dans mon sexe et l’autre caressant mes seins, il m’a demandé ;
- Si mademoiselle a besoin que je l’aide qu’elle ne se gêne pas, je suis à son service, vous pouvez m’appeler Louis.
- Merci, Louis, ça ira, je vais me débrouiller seule…
- Comme il plaira à mademoiselle, je reviens dans une heure pour débarrasser, si d’ici là mademoiselle a changé d’avis elle n’aura qu’a m’en faire part.
Et il a disparu, en fait il était clair que Louis était l’homme à tout faire, y compris combler les manques passagers des hôtes de cette maison ...

Coupée dans mon plaisir, j’ai déjeuné en regardant un autre film, où des êtres bien membrés faisaient l’amour à des jeunes filles, me faisant repenser à la bosse de Louis qui déformait l’avant de son jockstrap.

Je venais de finir de déjeuner, lorsque Louis est revenu dans ma chambre chercher le plateau repas. Dans l’état où j’étais, je n’ai pu m’empêcher de lorgner sur son jockstrap, toujours déformé par la belle bosse qui m’avait tant attiré quelques instants plus tôt.

Voyant que mon regard était porté sur un endroit précis, Louis me demanda :
- Je vois que mademoiselle est intéressée par une chose bien précise, puis être utile à mademoiselle ?
- Euhh, dis-je en m’étranglant un peu.
- Ne vous en faites pas, dit Louis, j’ai l’habitude.
Et se rapprochant de moi, assise sur le bord du lit, il sortit son membre du son jockstrap pour me le présenter à la commissure de mes lèvres.
Un sexe au repos, mais au combien volumineux, Louis me dit :
- Si mademoiselle veux bien se donner la peine, ce serait avec plaisir que je me laisserais sucer…
Sans hésiter, j’ai entrouvert mes lèvres pour engouffrer ce sexe qui se mit aussitôt à grossir dans ma bouche, et peu de temps après, il me déformait la bouche étant dans l’incapacité de l’engloutir entièrement.
Pendant un long moment, Louis s’est laissé sucer, en soupirant parfois, puis lorsque j’ai senti qu’il était bien dur, Louis me demanda à nouveau :
- Mademoiselle voudrait-elle se faire pénétrer ?
- Ohhh, Louis, comme j’aimerais !
Il m’allongea sur le dos, les fesses au bord du lit et me prenant par-dessous pour lever mon bassin afin d’avoir ma vulve à la hauteur de son membre, il me pénétra de son membre dur et bien épais.
J’ai hurlé sous l’effet de me faire distendre mes chairs intimes et par la sensation d’être complètement remplie, puis sous l’action de ce membre allant et venant en moi.
Je ne sais combien de temps Louis m’a possédée ainsi, sans jouir, puis lorsqu’il s’est retiré de moi, après trois orgasmes successifs, il a pris le plateau après s’être rajusté et avant de quitter la chambre, Louis m’annonça :
- Dans la dernière pièce de l’aile de la maison, vous avez un hammam et un jacuzzi, si mademoiselle le désire elle peut utiliser les installations et peut-être auras-t-elle la chance d’y rencontrer des jeunes filles comme elle qui participeront à la soirée de ce soir
- Merci Louis, dis-je, je vais voir et peut-être que je m’y rendrais.

- A votre service mademoiselle, dit Louis, si vous avez besoin de quoique ce soit, sonnée et je viendrais. Bonne après-midi mademoiselle.
Et une nouvelle fois il disparut…

Je suis restée un instant inerte sur le lit, puis je suis allée dans la pièce en question…
Lorsque j’entre dans la pièce, je vais directement au hammam où deux jeunes filles sont déjà présentes, l’une aussitôt m’interpelle et me dit :
- Tu es la nouvelle ? Moi c’est Maryse et voici Diane.
- Je suis Leslie.
- Installes-toi, dit Maryse, nous venons de commencer.
Elles sont nues dans cet endroit où la vapeur règne, nous enveloppant de sa chaleur humide, ce hammam est constitué d’une seule pièce où la température doit progressivement et automatiquement monter.
Diane est une très jeune fille, peut-être tout juste vingt ans, blonde aux tous petits seins, elle arbore une vulve aux lèvres apparentes surmontée d’une petite touffe de poils, comme un trait au-dessus de sa vulve taillé finement et assez raz. Quant à Maryse, une femme dans la trentaine, brune aux seins bien formés sans être pour autant volumineux, sa chatte glabre laisse apparaitre ses fines lèvres brunes et un joli rubis orne son nombril.
Je m’installe et commence à me laisser aller dans cette ambiance chaude et remplie de vapeur, au bout d’un moment je ruisselle de tout mon corps et Maryse me demande :
- Veux-tu que je te passe le gant de crin ?
- Oui, dis-je, pourquoi pas ?
- Après Diane te passeras le savon noir !
Maryse se rapproche de moi et commence à passer sur mon corps le gant, je sens en même temps sa main libre me frôler le corps de caresses douces mais néanmoins sur des zones bien précises…
L’effet des caresses sur moi est immédiat et je commence à me tortiller et à gémir doucement tandis que sa main se pose sur ma chatte, ses doigts trouvent mon clitoris déjà dressé et commence à le titiller. Diane vient rejoindre Maryse et c’est une farandole à quatre mains qui effleurent mon corps.
Puis ensuite les deux complices se retirent en me laissant dans un état indescriptible.
Diane avec un sourire dit :
- T’inquiètes pas, nous ne te laisserons pas ainsi…

Après un bain dans l’eau froide, nous nous remettons sur les dalles chaudes, puis après dix minutes, la séance de caresses recommence et cela se termine en une sorte de trio lesbien où nous jouissons sous les multiples caresses. Puis Diane m’enduit le corps de savon noir et nous passons sous la douche avant d’aller au jacuzzi.
Nous nous retrouvons au jacuzzi, où Déborah, une autre jeune fille est déjà installée, bien jolie, mais je ne vois que son buste et sa jolie frimousse…

Lorsque je suis retournée dans ma chambre pour me préparer, je me suis aperçue qu’il ne me restait que très peu de temps pour me préparer.
Allais-je arriver en retard et avoir les remontrances de Viviane ? »

A suivre…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!