&Quot;L' Fin

L (suite)
L ne résiste pas quand il s'agit de baiser. Pierre ne rechigne pas pour la lui mettre. Qu'elle la veuille devant, derrière dans la bouche ou les mains, il prend de plus en plus de plaisir. L est douée. Il va en profiter. L accepte de se plier à ses désirs les plus fous. Un jour, il lui demande de se faire poser un anneau à une lèvres d'en bas. L accepte ce début de soumission. Quand la petite plaie est entièrement fermée, Pierre offre une chaînette en argent qu'il passe lui même dans l'anneau. Elle est sa soumise acceptée. L est fière d'être ainsi distinguée. Elle ne réalise que plus tard qu’être une soumise ne lui donne que des devoirs, même si les orgasmes sont au programme.
L s'en aperçoit vite quand Pierre l'offre un soir à ses amies, hommes et femmes. Toujours munie de sa chaînette, elle se présente presque nue au cours du repas. Tous voient les traces de sa soumission. Quand Pierre lui demande de se donner aux invités, elle ressent le creux du désir dans sa chatte. Elle est attirée par une jeune femme, presque trop jeune que lui lèche un sein, qui passe une main sur la chatte, qui la caresse. L y trouve son plaisir. Elle en trouve encore plus une, assise sur les genoux de la fille elle se faire branler. L ouvre bien ses jambes sur sa chatte mouillée. Elle accepte les caresses lesbiennes. L prend un drôle de pied pour sa première expérience avec une autre fille. Il rend comme elle peut la caresse.
Pierre rompt le pacte avec la fille. L doit se donner à un homme, un vrai avec une queue invraisemblablement grosse, un monument rare. A juste titre L craint la venue dans son sexe de cet enfin qui tient plus de la bite de cheval que d'un homme. Elle ne se doute pas de l’élasticité de ses chairs à cet endroit.
L est couchée au bord de la table, lui est entre ses jambes. L regarde effrayé la queue qui va l'ouvrir en deux. Il est là, au bord, juste entre les jambes. Pourtant c'est L qui la prend dans une main pour la diriger vers son con.

Elle pose le gland juste à l'entrée, serre les dents, fait coulisser le morceau dans sa moule. Elle a la surprise de ne sentir que du bien quand il entre. Il va jusqu'au fond : elle en jouit déjà. Elle peut se permettre une légère fantaisie en mettant deux doigts dans le cul de celui qui la baise. La seule gêne vient de la chaînette qui passe dans sa raie. Elle reçoit une énorme quantité de semence. Quand cet amant sort d'elle il est remplacé par la bouche d'une autre fille. Elle aspire, lèche tout le sperme englouti, lui donnant un autre orgasme.
L est satisfaite des jouissances obtenues, de la dégradation dans la queue Pierre. Elle accepte tout venant de lui : il est son maître, il peut en faire ce qu'il veut.
Il la donne à deux hommes. L pense qu'elle va avoir une double pénétration. Elle aime bien se faire jouir ainsi. Il ne s'agit plus de la même chose. Elle doit se mettre en levrette. Elle sent deux bites qui se dispute le passage dans la raie des fesses. Il espère qu'ils en vont pas venir ensemble. Entre les espoirs de L et la réalité il y a un monde.
Ils sont bien deux sur son anus. Une pine entre facilement. Elle sort pour laisser l'autre enculer à son tour, puis, il recommencent. L ne sait plus comment réagir à cette sodomie particulière. Elle fait une demande spéciale : est ce que les deux ne pourraient pas entrer ensemble. Les deux bites sortent pour revenir liées par elle ne sait quoi. Elle se trouve enculée par deux pines à la fois. Ses chairs sont grandes ouverte. Elle a mal qu'au début. La douleur vite passée, L ressent ce magnifique plaisir qu'elle adore, celui de la sodomie. Le plaisir nouveau n'est pas doublé, il semble à L que c'est dix fois meilleur. Quel bonheur de sentir les deux queues éjaculer au fond de ses boyaux.
Pierre ajoute un autre ordre : il faut qu’elle lèche sa queue sans le faire jouir La tâche est ardue, comment sucer une queue sans la faire juter ;
Elle caresse les couilles, y passe rapidement sa langue, remonte doucement vers le frein du gland. L sent encore le goût de la queue. Pierre se retire. L doit lécher deux filles l'une après l'autre. Elle s’acquitte de cette tache avec un plaisir non dissimulé. Elle aime bien les moules baveuses qui laissent tomber leur venin. Son cul libre, elle le donne à une autre bouche, celle d'une amie de celles qu'elle lèche. La langue déborde du cul vers le con où elle entre. Qu'elle se fasse baiser par une langue de fille d'homme ou une vraie queue, elle a le con rempli, ce qu'elle adore.
Pierre a une autre intention. Sensuelle comme elle est L peut fort bien chercher elle même des amant là où on les trouve : dans la rue.
Ce n'est pas de la prostitution, c'est l'étage au dessus. Là, elle choisi ses amants ou amantes. Elle commence à préférer les jolies filles. Ses joies sont dans des 69 lesbiens. Souvent Pierre s'invite pour enculer une des participante qui accepte toujours ou presque un bite dans le cul en plus de la langue et des doigts agiles de L. Elle y prend goût : elle ne veux plus baiser normalement. Il lui faut des excitation plus forte qu'elle trouve en baisant dans des club, devant une foule de spectateurs enragés qui peuvent le lui mettre quand ils veulent. Et là, elle trouve des amants des amantes.
Pour L, la meilleurs baise se fit à trois, avec un homme et une autre fille aussi chaude qu'elle. Quel plaisir d’être léchée et baisée ou enculée.