Les Démons De La Sensualité Vulgaire
Je me suis précipité dans cette enseigne qui commercialise de nombreuses marques de vêtements. C'est une très grande boutique installée sur deux étages d'un immeuble. Plus de 300 mètres carrés consacrés à des vêtements, des accessoires, du maquillage et d'autres produits. Il n'y a là que des marques de standing, destinées à une clientèle prête à investir pour se différencier. Le magasin est tenu par une équipe de jeunes vendeurs dynamiques.
Ce jour-là, il y a du monde. Les clients ont afflué pour trouver de bonnes affaires ou des vêtements à ne pas rater. Les vendeurs sont également très occupés. Ils passent d'un stand à un autre. Je flâne quant à moi, errant sans but précis. En quête d'un vêtement qui me taperait dans lil, comme on dit. Je me suis un moment penché sur un rayon, pour examiner les chemises que l'on y a déposées. Et quand j'ai redressé la tête, je l'ai vue.
Pas extraordinaire, à vrai dire. Une jeune vendeuse, de taille moyenne et plutôt mince. Un chemisier noir impeccable, une jupe plissée assez ample faite d'un tissu brillant. Son visage maquillé à outrance, ses lèvres opulentes, son style bling bling, sa stature un peu mince pour des tissus un peu amples. Non, cette fille ne m'a pas particulièrement intéressée. Sa vulgarité m'a rebutée. J'ai levé le visage par simple curiosité et je m'apprête à replonger dans mes vêtements. Je n'ai pas envie de lui parler, je veux lui faire comprendre par mon indifférence que je n'ai besoin de rien. Je veux juste qu'elle s'éloigne de moi. Qu'elle vaque à ses occupations, qu'elle disparaisse.
C'est bien comme cela que les choses auraient dû se passer.
La réalité est allée en sens contraire.
Mon regard s'est totalement figé sur ses jambes. Bien qu'un peu minces, elles sont d'une grande féminité accentuée par sa pause. Droite, les jambes légèrement écartées. Les mains posées sur ses hanches légères. Son collant noir moule admirablement ses formes et les fait ressortir.
Alors je l'appelle.
*
"- Excusez-moi, Mademoiselle.
- Oui ?
Elle s'approche de moi. Ses énormes lèvres dessinent un sourire commercial tandis que son regard charmeur pointe en ma direction. Elle s'approche en faisant voltiger sa jupe. Qui se soulève très légèrement. Laisse entrevoir un tout petit peu du haut de ses cuisses. Le tissu s'envole et écarte un air qui stimule mon imagination, mes envies, mes pulsions. De temps à autre, je me laisse aller à observer son chemisier. Mon regard est comme un cavalier errant galopant en direction de ses charmants petits seins.
Elle s'arrête à mes côtés. Je tente de me ressaisir mais je suis immédiatement enivré par son parfum bon marché. Elle est décidément vulgaire, cette fille. Mais rien n'y fait, je veux y voir une grâce cachée. Un silence gênant s'instaure, je dois parvenir à lui parler. Avec naturel. En me libérant de ce que je ressens. Je pointe soudain du doigt un polo.
- J'ai repéré ce polo et j'aurai aimé que vous m'en disiez plus ?
Elle est surprise par ma question dont je me rends compte après coup de la bêtise. Néanmoins, elle accepte de commenter le vêtement. Me fixant du regard, elle se lance dans une description. Je la regarde droit dans les yeux et m'approche d'elle. Elle ne s'inquiète pas particulièrement. Je saisis le polo et lui laisse s'en emparer pour mieux me le présenter. Puis je m'approche à nouveau, assez proche de son cou. Sa peau blanche. Je sens son parfum.
Alors je m'incline légèrement et viens poser ma main droite sur ses fesses. Elle l'écarte et se crispe légèrement, gênée.
Dans sa chute, sa jupe volette légèrement. Le temps se ralentit subitement, le temps que le tissu remonte. Mais ce plaisir est de très courte durée. Car la belle ne dévoile pas grand chose de ses cuisses. Elle les met simplement davantage en avant. Son chemisier moule à nouveau ses seins dont je devine les formes. L'espace d'un instant, je suis obnubilé par cette vision de rêve. La voyant si fragile, je meurs d'envie de me jeter sur elle, déchirer ses vêtements et la violer. Je résiste tant bien que mal mais les pulsions triomphent lentement de ma raison. Je m'avance d'une démarche d'automate.
Elle tremble, me fixe d'un air particulièrement apeuré. Elle craint ma réaction. Elle voudrait s'échapper mais j'appuie mon bras gauche contre le mur pour l'en empêcher. Je m'approche fortement de son visage. Je sens son souffle froid sortir de sa bouche. Je me colle presque à elle et sens sa poitrine se gonfler et se dégonfler rapidement. Elle a du mal à respirer. Sa tête se meut puis elle regarde mes bras, tétanisée. Elle tremble, ce qui la rend encore plus désirable. Lentement, très lentement, je me penche en avant et viens poser doucement ma main sur ses fesses.
Puis je colle mon visage contre sa joue. Et dans un murmure, je susurre au creux de son oreille :
- J'ai envie de toi !
Je me redresse. Elle est estomaquée par une telle déclaration ! Elle se relève difficilement. Son corps est devenu lourd, terriblement difficile à manier. Elle s'avance comme une statue portée sur un chariot. La surprise est telle que son cerveau semble avoir déconnectée. Son regard s'est transformé et se vide subitement. Je suis devenu un assassin ! J'ai fait d'une jolie fille une poupée qui avance toute seule, machinalement. Sans vie, sans pensée, sans émotion. Un assassin ! Et pourtant, je rêve de la voir vivre par le désir.
*
Je la laisse marcher devant moi. Sa jupe volette très légèrement. J'admire la délicatesse de sa silhouette, sa minceur. De dos, elle est très jolie. Mon désir augmente. Alors je m'approche d'elle et saisis ses bras. Elle sursaute et tente d'avancer. Elle voudrait m'échapper mais je tire ses bras en arrière. Son corps bascule et je donne un coup de verge contre son fessier. Une fois, deux fois, trois fois.
- J'ai vraiment très envie de toi !
Elle est touchante ! Sa peur naïve m'amuse et m'émeut même un peu. Elle s'échappe et se prend à courir. Je la suis et admire ses jambes se dévoiler à moi. le haut de ses cuisses apparaît mais sa culotte demeure cachée. Curieusement, elle m'entraîne dans le rayon des sous-vêtements féminins ! Je n'en demandais pas tant. Je veux en tout cas y voir un symbole, presque un lapsus. Lorsque je la retrouve, elle est prostrée contre des piles de sous-vêtements. Je la regarde avec beaucoup de délice.
Puis je m'approche d'un mannequin. Une sculpture de fibre synthétique sur laquelle des sous-vêtements ont été posés. Tout en regardant la belle d'un air avide, je viens dégrafer le sous-vêtement du mannequin et le lui ôter. Je dénude ainsi ses seins.
Elle s'échappe et court à nouveau. Je ris de plaisir. Sa peur ine me charme décidément beaucoup. Mais je ne veux pas me faire une gamine. Dès que mes yeux se sont posés sur elle, je me suis pris à rêver d'une relation forte avec une jeune femme épanouie. C'est cela que je recherche. Je veux donc l'habi à la chose du sexe, l'habi et lui faire prendre du plaisir. Pas la peine de croire que je l'agresse. Bien qu'elle fuit devant moi, sa résistance est bien faible et je sens que son inconscient dissimule une forte libido derrière ses gestes si ins.
*
Je la retrouve un peu plus loin, dans un coin éloigné, auprès d'une cliente. Tentant de reprendre son calme, elle sourit le plus aimablement possible. Je profite des explications de la cliente pour me dissimuler derrière la vendeuse. Elle est gênée, cette jolie brune, mais elle ne peut rien faire. Je vais en profiter. Je viens littéralement coller mon pénis contre ses fesses ! L'audace paie ! La cliente ne dit rien et la vendeuse n'ose pas réagir.
- Chère Madame, tente la belle, dites moi comment je puis répondre au mieux à votre demande ?
- J'ai envie de coucher avec toi !
Elle sursaute en entendant cette phrase murmurée à nouveau dans le creux de son oreille. Elle sent mon pénis gonfler. Elle est vraiment très troublée. Elle tente de reprendre la conversation.
Alors ma main droite descend. Je m'empare du bas de sa jupe et tente de la soulever délicatement. Elle pousse un petit cri de surprise, se crispe fortement. Elle se recroqueville sur elle-même tout en m'arrachant la jupe des mains. Se faisant, elle se penche en avant et frotte son fessier contre mon pénis. Le contact m'excite fortement. L'odeur enivrante de son parfum, la chaleur de son corps, sa sensualité naturelle, maintenant ce contact provoquent en moi une flopée d'émotions. Des émotions si fortes que je ne parviens pas à m'empêcher d'émettre un râlement long et intense. Elle se tait en entendant de tels sons !
Collée contre moi, elle se réchauffe avec la chaleur de mon corps. Les phéromones que j'émets l'enivrent à son tour. Elle ressent l'intensité de ma jouissance et prend conscience de l'ampleur de mon désir. L'espace d'un instant, le temps s'arrête. Nous ralentissons nos faits et gestes. Le frottement de nos corps me semble durer des heures et je profite de ce moment merveilleux. Elle sent que je bande fortement, elle ne résiste pas. Son corps m'appartient temporairement.
Et puis la vie reprend son cours normal. Je saisis à nouveau le pan droit de sa jupe et tente de le soulever. Elle crie à nouveau et m'arrache le vêtement des mains. Puis je tente de soulever le coin gauche de sa jupe. Elle crie encore, rit nerveusement, saisit sa jupe et tente de se dégager. Je ne vois même pas le vêtement monter. Je décide de conduire une manuvre courte et rapide pour soulever son tissu et m'amuse de sa réaction choquée. Mais je ne m'y trompe pas. Derrière l'amusement, il y a l'érotisme de notre relation. Ses cris m'émoustillent, c'est évident.
*
Je passe alors le bras gauche autour d'elle et pose ma main sur son ventre. Je me serre encore un peu plus contre elle. Elle s'immobilise. Je vois en elle une sorte de déesse capable d'arrêter le temps. Malgré la peur qui la traverse comme un courant d'air un peu trop froid, son corps exprime des émotions tout autre. Je sens une volonté d'agir. Ou plutôt une maîtrise de son corps et de ses émotions. Une capacité d'y résister mais pas de les vaincre. Elle a peur, c'est incontestable. Ses jambes tremblent, son fessier s'agite involontairement contre moi. Mais cette fois, cela ne me fait pas bander. Une amitié naturelle se plait en place, à la faveur de mes prises d'initiatives qui la rassurent. Je veux croire qu'elle m'encourage, qu'elle m'incite à aller de l'avant. A vaincre sa résistance.
Alors puisque tu me le demandes, je poursuis. Je suis patient, sache le. Faire tomber les barrières de ta résistance m'offre autant de victoires à mes assauts et mes initiatives. Je n'ai pas peur de tes cris hébétés. Sache le.
Je caresse doucement son ventre. Puis ma main droite recommence. Je tente à nouveau de saisir sa jupe. Une première fois par un geste alerte mais peu convaincu.Une deuxième fois plus brutalement, en tentant de la soulever de force. Elle résiste. Et de temps à autre, à nouveau elle se penche légèrement et à nouveau nos corps se touchent. Elle m'arrache un sourire gourmand et je me surprends à réitérer mes gestes. Uniquement pour l'obliger à se cambrer et se mouvoir contre moi. Le contact charnel de nos corps décidément ne me laisse pas indifférent ! Alors, n'y tenant plus, ma main droite se pose sur son ventre. Assez rapidement, avec autorité, mes mains remontent le long de son buste. J'atteins ses cotes, puis m'empare de ses petits seins. Je pousse un râlement de jouissance assez bas. Je bande davantage. Puis je commence à caresser rapidement ses seins tout en donnant des coups de queue contre elle.
Elle n'en sent que davantage l'intensité de mon désir. Mes mains délaissent rapidement sa poitrine. Je me recule avec pudeur. Je veux la frustrer et je sens que j'ai réussi. J'ai touché ses tétons et je les ai senti gonfler légèrement. Sa poitrine commence à marquer la force de sa respiration. Elle aussi ressent des choses fortes. Les émotions submergent doucement son environnement. Sa vue se trouble et peut-être que les nombreux nuages qui obscurcissent sa vision sont progressivement chassés par le vent du désir.
Je me recule encore puis m'avance vers elle et lui donne un coup de queue si puissant que je la projette au sol ! Elle tombe et s'arrête à quatre pattes. Je m'avance vers elle et la regarde durement, avec beaucoup de fermeté. Intimidée, elle ouvre grand les yeux. Sa bouche pulpeuse s'agite, sa langue sort très légèrement. Demeurant debout, je peux apercevoir le décolleté que son chemisier dévoile. Je vois une partie de ses seins. Elle a vraiment une jolie peau ! Ses beaux yeux émouvraient la pire créature au monde ! Elle est touchante et attire à elle une sympathie forte. Je vois en elle une qui tremble et une femme qui m'incite à agir, le tout dans une même enveloppe corporelle ! Je sens un sex appeal fort. Alors j'avance !
Je défais ma braguette et dénude mon pénis bandant que j'exhibe sous ses yeux intimidés. Elle contemple mon sexe avec de grands yeux curieux. Son air candide la rend encore plus jolie. Je prends un malin plaisir à montrer la grosseur et la longueur de mon pénis. Je le promène autour d'elle tandis qu'elle le regarde encore et encore.
*
Alors je n'hésite pas longtemps. Je m'approche d'elle. Elle me voit m'approcher dangereusement de ses lèvres plantureuses. Elle détourne rapidement la tête en poussant un petit cri craintif. Son refus me plait. Je m'enfonce dans sa joue. Je m'approche à nouveau de sa bouche et elle tourne la tête dans l'autre sens. Je poursuis, une troisième puis une quatrième fois mais elle refuse de sucer. Je me penche en avant, saisis son visage, le pointe vers le ciel. Puis j'approche la pointe de mon pénis dans l'espoir de percer une ouverture. Elle détourne ses lèvres que je puisse y poser mon sexe.
Machinalement, elle s'allonge sur le dos. Je l'enjambe, m'avance. J'immobilise mon sexe au-dessus d'elle. Je resserre mes jambes autour de sa tête. Cette fois, je veux croire qu'elle ne peut plus m'échapper. Ma verge grossit machinalement, elle la regarde un peu épouvantée. Puis je m'abaisse lentement. Enfin, je vais réussir à poser ma queue sur sa bouche ! Enfin ! Enfin !
Pas du tout !
Elle réussit à se faufiler entre mes jambes. Elle m'échappe une nouvelle fois tandis que je continue de m'abaisser. Puis elle se redresse rapidement sur ses jambes et s'immobilise derrière moi. D'une main sûre d'elle, elle saisit ma verge et commence à me masturber !
Ses mains sont un peu fraîches mais très agréables. Ses doigts sont fins, sa peau est douce. Elle caresse bien, elle a une certaine expertise de la masturbation.
- Si je te fais éjaculer, tu n'auras peut-être plus envie de me sauter ? me glisse-t-elle langoureusement à l'oreille.
Je me redresse, j'ai envie qu'elle me caresse. Elle presse sa main fortement contre mon sexe et j'aime vraiment ça. Chaque mouvement m'arrache un soupir de délice. Je râle de plaisir. Je sens en même temps le danger de jouir avant de pouvoir la prendre. Car oui, cette fille, je veux la déshabiller et la sauter. Je veux lui faire l'amour avec force. Alors après quelques instants de bonheur, je saisis sa main et m'extirpe d'elle. Je me lève et l'amène à faire de même. Je la retourne et me colle à elle. J'enfonce mon sexe dans son fessier.
Passant les bras autour d'elle, je pose les mains sur son ventre. Je commence à me balancer d'avant en arrière. Assez lentement pour qu'elle sente la pénétration au travers de sa jupe, son collant et sa culotte. Je m'enivre de la chaleur de son cou sur lequel je dépose de doux baisers. Puis j'accélère le rythme de mes pénétrations.
- Tout ce que je veux, c'est te prendre.
Une pénétration. Puis une deuxième, troisième. Cinq fois en tout et puis se sentant prise au piège, elle commence à danser ! Une manuvre absolument incroyable. Je la vois ôter ses chaussures. Le plaisir me gagne immédiatement. Je ressens l'impression furtive d'être plus proche que jamais du passage à l'acte. Si elle retire ses chaussures, je pourrai plus facilement ôter son collant ! Cette perspective me fait encore bander davantage.
Rapidement, elle entame une danse. Plus exactement, elle gesticule devant moi. Son ventre se dandine impunément contre mes mains. Elle gigote son fessier contre moi. Elle adopte un rythme soutenu. Elle prend plaisir à jouer avec moi. Je veux croire que la tenir entre mes bras la rend davantage vulnérable, que je vais pouvoir la déshabiller. Mais en entretenant ma passion, elle se rend maîtresse de mon corps. Elle domine ma volonté. Elle joue. De temps à autre, elle se redresse et s'abandonne en arrière contre moi. Je la retiens tout en me contenant tant que je le peux. Et le sentant, elle intensifie sa danse et notre relation.
Je remonte rapidement les mains le long de son corps et elle me laisse caresser ses seins puis redescendre sur son ventre.
Satisfaite de me mettre ainsi en ébullition, elle s'échappe de mon emprise et s'enfuit vers un rayon voisin. Lorsque je l'y retrouve, elle s'apprête à conseiller une cliente. N'y tenant plus, je viens derrière elle, l'att et la plaque violemment contre un mur. Puis, de manière autoritaire, ferme et plus rapide, je pénètre son fessier. Je crois qu'elle a apprécié la fermeté de mon action. Je souffle fortement dans son cou pour chauffer son corps. Je saisis ses bras, les remonte lentement. Plaque ses mains contre le mur et y pose les miennes. Je les caresse. Ses bras sont petits mais si doux ! Son fessier également est très tendre. J'embrasse nerveusement son cou.
Elle s'abandonne admirablement aux assauts !
Elle arrive pourtant à se retourner et me plaque dos contre le mur. Puis elle se colle à moi, provoquant immédiatement une montée de plaisir. Mon sexe s'enfonce dans mon fessier. La chaleur de son corps augmente. Son corps me parait plus léger, plus fragile que jamais. Elle me parait légère. Est-ce que ça y est enfin ? Vais-je pouvoir la dénuder ?
*
Sans prévenir, elle se penche en avant. Je sens son corps La voir ainsi m'excite au plus haut point. Elle descend lentement jusqu'à former un angle à 90°. Je me sens à deux doigts d'éjaculer, je résiste. Je respire et résiste comme je le peux. Elle le sait. Elle sourit de plaisir. Pour elle, c'est un jeu, je devine son envie de me pousser à l'éjaculation.
Elle se redresse. Je suis content d'avoir résisté. Je pense avoir gagné une manche, l'avoir frustrée. Bonne perdante, elle s'avance d'un pas pour me laisser me reposer. Pas vraiment celui de me remettre ! Elle se recule contre moi, enfonçant mon sexe à l'intérieur de son fessier. Cette fois, nous sommes l'uns contre l'autre. Ses cheveux se promènent sur mes lèvres. Elle pose les mains sur ses cuisses et se penche lascivement en avant. Lentement mais avec des gestes amples.
A nouveau, elle forme un angle de 90°. Les jambes écartées. Une position d'une incroyable vulgarité ! Les formes de ses fesses s'impriment dans sa jupe. Je vois même les contours de sa petite culotte. Elle s'avance et donne même des coups de fesses contre mon sexe pour accroître encore mes pulsions. Elle se sent à deux doigts de la victoire. La perspective de salir sa jupe me tente mais je veux encore résister. Je ne supporte pas l'idée de jouir sur une fille aussi cavalière !
Et pourtant, les pulsions montent. Je me contiens de plus en plus difficilement. Alors, dans un éclair de lucidité, je la saisis par les épaules et la redresse. Je dépose un baiser affectueux sur son épaule et susurre à son oreille :
- C'est à l'intérieur de ton corps que je veux gicler !
Elle sursaute ! D'un coup, elle se redresse et s'approche des cabines d'essayage.
*
Je la suis. Elle saisit des vêtements et s'apprête à aller les ranger. Je la contemple un instant. Sa jupe courte remonte quand elle se penche. Je vois l'arrière de ses cuisses. Son collant met vraiment bien en valeur ses jambes tandis que sa jupe magnifie les formes de sa silhouette fine. Le désir augmente. Quelque chose a changé en elle. Je sens qu'elle a de moins en moins peur. Je perçois une attitude de défi à mon égard. Une attitude coquine, assortie à sa vulgarité. Je lis dans son regard qu'elle veut me faire éjaculer.
Sur sa jupe, sur un mur, sur le sol. Peu importe mais elle veut que le sperme gicle de manière visible. Moi, pendant ce temps, je continue de la contempler. Elle est tout à fait délicieuse. Je suis déjà fier de moi. Je l'ai fait passer d'une attitude passive et craintive à une envie forte de reprendre le contrôle. Une relation intense nous unit. Teintée de jeu, teintée d'érotisme. Alors je me décide à m'approcher d'elle. Je pose mes mains sur ses bras. D'étonnement, elle lâche les vêtements et me laisse l'entraîner dans une cabine. Je referme le rideau derrière nous.
La chaleur de nos corps réchauffe la petite pièce un peu froide. En fermant le rideau, c'est comme si je nous coupais des bruits extérieurs, nous isolant tous les deux. J'enfonce mon sexe dans son fessier puis je passe mon bras gauche autour de sa taille. Elle penche la tête, le regarde avec tendresse. Une complicité certaine s'est instaurée entre nous. Une espèce d'étrange amitié qui s'est formée autour du sexe. De mon envie de la prendre ; de son envie de me faire jouir.
Et puis je passe la main droite sous sa cuisse. Je la soulève et pose son pied sur un siège. Lentement, je caresse sa peau douce et chaude. Son collant est velouté. J'apprécie son corps. Je la caresse doucement. Elle regarde amoureusement ma main. Elle est très tactile, cette fille. J'en profite ! Je glisse alors mon pénis entre ses cuisses ! Elle le sent et sursaute un peu. Un petit cri qui augmente au gré que j'enfonce mon sexe. Je le promène d'ailleurs d'avant en arrière tout en continuant de la caresser.
Alors seulement, je soulève lentement sa jambe droite. Elle me laisse faire, conservant pendant ce temps son équilibre.
- Qu'est-ce que tu comptes faire ?
Je ne réponds pas.Mon silence créé un climat presque mystique qui l'a fascine. Décidément, elle se rend compte qu'elle aime que je la surprenne. Elle est finalement reconnaissante quant au fait que je n'ai pas répondu. Alors moi, je débride mes pulsions. Je remonte mon pénis et l'agite contre sa petite culotte. Puis je m'avance et la serre.
- Et si nos parties génitales se frottaient l'une à l'autre ?
Je soulève encore un peu plus sa jambe.
- Je maîtrise maintenant ton centre de gravité ! Laisse moi te déséquilibré.
Un sourire curieux illumine son visage. Puis doucement, je la repose au sol. Ses cuisses se referment sur ma queue et je me balance avec délice. Ma main droite remonte lentement le long de sa cuisse. Très lentement. J'atteins une hauteur extrême puis je la pose sur son fessier. Elle me laisse caresser sa petite fesse.
Pendant ce temps, elle serre au maximum ses cuisses. Puis, profitant de mon excitation, elle se balance d'avant en arrière. Je réalise d'un coup qu'elle me masturbe ! Instinctivement, mes mains viennent s'accrocher au mur pour me soutenir. Dès son premier voyage, je pousse un énorme soupir. Je sens mon corps bouillonner ! Elle l'a également senti, elle continue à se balancer.
- Tu vas jouir ! s'exclame-t-elle. Tu vas jouir contre le mur !
Maintenant, je laisse échapper des râlements de détresse ! Je me sens à deux doigts de lâcher ! Je ne peux pas résister, elle a trouvé comment triompher. Je crois que je perds la partie. Ca y est, je vais éjaculer. Ca y est...
Je parviens à m'extirper in extremis de ses cuisses. Je la laisse frustrée. Elle reprend sa respiration. Elle y croyait tellement qu'elle s'est mise en apnée ! Je la sens un peu énervée. Alors je me penche sur elle et dépose de doux baisers sur son cou. Je parviens à maîtriser sa colère. Je souffle sur son courroux un doux vent de paix.
Mes mains se glissent ensuite sous sa jupe et se promènent sur les côtés de son fessier. Je remonte lentement. J'atteins le haut du collant. Elle le sent mais ne réagit pas. Alors, j'atteins l'extrémité. Puis mes pouces s'introduisent sous le collant. Je commence à descendre. Sa peau est vraiment un délice. Je suis content de pénétrer cette terre inconnue pour moi. Je descends et atteins sa petite culotte. Je la regarde d'un air de défi. Elle me laisse faire. Je passe mes doigts sous sa culotte et les pose sur ses fesses. Elle pousse un cri de surprise et se dégage brutalement de moi ! Je me mets à rire.
Je la laisse m'échapper et me donner un coup de coude. Elle s'écarte, remet son collant et sa culotte puis ouvre le rideau et s'en va. Non sans m'avoir adressé un clin dil suggestif !
*
Je quitte la cabine. Elle saisit à nouveau des vêtements déposés sur une table. Moi, je m'empare de ses mains et l'entraîne lentement dans une deuxième cabine. Elle me laisse faire. Je ferme le rideau et nous sommes à nouveau seuls. Un voile nous sépare du reste du monde.
Je m'assois devant elle. Elle me laisse regarder, du sol, sous sa jupe. Je ne vois pas sa culotte mais j'admire la beauté de ses cuisses. Elle ne comprend pas tout de suite ce que je lui propose. C'est un nouveau défi ! Je l'invite à me chevaucher et à tenter une nouvelle fois de m'exciter.
- Tu n'arriveras pas à me faire éjaculer sur ton collant !
Piquée au vif, elle se prend au jeu. Elle écarte les jambes et m'enjambe. Sa jupe volette au gré de l'air. Elle s'agenouille vivement et s'assoit littéralement sur moi. Puis, posant les mains sur le mur, elle commence à se balancer d'avant en arrière. Elle promène son vagin contre mon pénis, me regarde d'un air incroyablement aguicheur. La vulgarité de ce moment est certaine mais après tout, c'est finalement bien ce que je recherche ! Je la laisse m'allumer et effectivement, le contact de nos corps me donne l'illusion de me rapprocher toujours plus d'un acte sexuel ! Je m'habitude à sa vulgarité qui ne me choque plus du tout. Le sexe rendrait-il plus ouvert ?
Son regard torride est incroyable ! Sa bouche est pulpeuse, elle déborde d'une sensualité débridée ! Son corps se dandine merveilleusement au-dessus de moi. Je sens son envie de me vaincre. C'est un jeu pour elle, je le sens.
- Donne moi encore plus l'envie de te prendre !
Emoustillée par mes remarques, elle accélère le rythme. Elle commence à lâcher de petits cris lascifs aigus. Elle jette en pâture ses seins à mes regards. Je profite de son état pour glisser mes mains sous sa jupe et caresser ses fesses. Enfin, je prends son postérieur en main ! Ses fesses ne sont pas énormes mais elles me plaisent beaucoup. Je les pousse de temps à autre pour la soulever. Pour augmenter le plaisir, elle pousse de petits cris d'orgasme, agite ses seins avec une plus grande virulence. Mais je résiste bien.
- Dénude ton bustier !
Etonnée par un tel ordre. Elle s'interrompt brutalement, me regarde avec curiosité. Ses yeux grands ouverts expriment beaucoup de plaisir. L'envie manifeste de gagner ce duel. L'envie de me plaire aussi. Déterminée, elle saisit sa chemise et la déboutonne doucement devant moi. Un très beau bustier apparaît sous mes yeux ébahis. Assez fin mais des formes protubérantes. Elle porte un joli soutien-gorge noir. Elle ôte son chemisier puis dégrafe son soutien-gorge, le retire totalement.
Puis elle se penche en avant, me laisse embrasser ses seins. Je passe les bras autour d'elle et caresse son dos pendant que je suce ses seins. Une forte tendresse nous unit à ce moment-là. Comme un moment amoureux délicat. Un bonheur, un silence que ponctuent mes baisers et ses petits murmures de plaisir. Ses seins gonflent, ses tétons aussi. Elle adore mes baisers. Ma main droite vient caresser son deuxième sein qui gonfle instantanément. Elle me laisse la pencher un peu plus en arrière tandis que je baise son buste, son ventre. Un peu partout. Des baisers tendres, humides, chauds pourtant. Et puis je m'arrête.
Elle est consciente d'avoir perdu cette bataille. Elle me regarde, comme sonnée par sa défaite. Elle ne réussira pas à me faire éjaculer ! Mon plaisir n'a pour autant pas diminué. Elle a retiré ses chaussures et dénudé son buste. Elle pose délicatement ses mains autour d'elle et se masse dans une impression d'inconfort très gênante. Elle se sent un peu vulnérable. Elle a un peu peur.
Alors je l'att et l'entoure de mes bras protecteurs. Malgré la lascivité qui nous unit, elle apprécie un acte de complicité tendre. Elle s'appuie sur moi, ses seins se posent sur mon torse. Je bande fortement et elle le sent mais elle apprécie de pouvoir s'abandonner ainsi à moi. Le silence est total à présent. Un silence qu'aucun de nous ne brise. Elle a posé sa tête sur mon épaule, me laisse caresser son cou et son dos. Et moi je n'envisage même pas de profiter de la situation. Je suis content.
Plusieurs longues minutes s'écoulent tandis que nous nous étreignons délicatement. Puis, elle se lève. La poitrine fière. Cette fille est très vulgaire mais elle porte sa vulgarité avec beaucoup de charisme. Sa vulgarité m'obsède, me direz-vous ? Oui peut-être. Peut-être que draguer ainsi cette fille brise un tabou personnel. Un rejet préconçu que mon inconscient peine à accepter. Tant pis. Elle est impressionnante, cette gamine. Le désir me reprend instantanément. Quant à elle, elle quitte la cabine, un sourire au coin des lèvres.
*
Je sors à mon tour. Je viens l'emprisonner par derrière, elle me laisse faire. Nous nous balançons tendrement de gauche à droite. Une complicité amicale à présent. Puis je glisse mes mains sous sa jupe encore une fois et menace son collant. Je commence à tirer dessus. Elle se crispe subitement et poussant un petit cri effaré, elle se refuse à moi, me rejette. Elle se dégage de mon étreinte et m'échappe. Pas longtemps, je viens la plaquer, doucement, contre un mur. Je pose une main près de son épaule gauche, l'autre sur sa taille. Puis j'enfonce mon pénis dans sa jupe, l'appuie contre son pubis. Le contact l'émeut, elle rougit adorablement.
- Je ne me sens pas prête à me donner à toi, il faudra aller me chercher.
- C'est bien ce que je compte faire !
Je l'embrasse alors sur la bouche. Une embrassade longue, pleine d'autorité. Elle embrasse bien. Ses lèvres sont larges, délicates, humides. Sa langue virevolte adroitement autour de la mienne. L'étreinte dure quelques minutes là encore. De temps à autre, elle regarde mon pénis qui gesticule. Je sens une envie croissante de se donner à moi mais une résistance intérieure l'en empêche.
Alors, je la saisis la retourne doucement et, avec lenteur, la penche en avant sur une table d'exposition de vêtements. Elle se laisse écraser les seins sur le bois de la table. Je m'approche d'elle et dépose de langoureux baisers le long de son dos. Cette initiative la met en ébullition. Chaque baiser lui arrache un violent frisson qui lui fait lever les poils de son corps. J'en profite pour caresser ses bras qui se décontractent et se meuvent dès à présent très lentement. Comme alourdis.
Mes mains dévalent lentement son corps. Je viens saisir son collant à l'abri des regards, sous sa jupe. Je réalise en cet instant comme je maîtrise son corps. Elle s'offre littéralement à moi. Publiquement, malgré la pudeur qui devrait s'imposer, j'entre comme je veux. J'ai l'impression d'entrer impunément sous une tente privée. Elle ne s'en offusque pas, elle ne me rejette pas. Elle m'accueille avec dignité, envie.
Elle me laisse retirer son collant, dénudant ainsi des jambes et des cuisses absolument splendides. J'ôte le vêtement puis m'agenouille pour la contempler. Deux superbes jambes que je prends plaisir à caresser. Sa peau est tendre et son corps réagit fortement à mes caresses. Elle me laisse aussi regarder sa culotte noire. Puis elle se retourne, une main posée sur sa jupe. Je sens la peur parcourir à nouveau son corps. Elle me regarde d'un air intimidée, la bouche encore plus délicieuse.
Je suis partagé. Un peu agacé qu'à nouveau elle se crispe. Voir sa nervosité m'irrite légèrement. N'ai-je donc pas gagné ta confiance ? Pourquoi réagir ainsi ? Mais après tout, chaque étape est maintenant plus difficile et je me calme en me rendant compte que se dénuder devant un homme n'est pas si facile que ça. Elle n'est pas une fille facile et il ne suffit pas le vouloir pour la posséder. Je fantasme sur ses cris d'orgasme mais ils se méritent et le chemin est encore long avant de les entendre. Et puis son regard est si tendre !
Sans aucune violence, j'éloigne sa main. Puis je soulève sa jupe et admire sa petite culotte pendant un instant. Je pose les mains autour de son corps tandis qu'elle s'allonge lascivement sur le dos. Puis je viens donner des coups de sexe contre sa culotte. Elle sursaute. Mon regard de feu, conquérant, l'immobilise. Les barrières tombent. Je lis dans son regard qu'elle comprend mes intentions. Je veux qu'elle se soumette entièrement. Un abandon total que j'obtiens cette fois par des assauts. Chaque coup de butoir lui arrache tout de même un sursaut d'étonnement, un petit soupir. Elle aime cela, je le sais. Satisfait, je donne des coups plus forts à sa culotte, lui faisant comprendre que le désir est plus vif maintenant que jamais.
*
Et puis je me relève et l'aide à se remettre debout. Elle laisse ses seins briller à la lumière, elle laisse les autres hommes la regarder et nous envier profondément. Combien de ces hommes rêveraient de la sauter ? Elle s'avance devant moi pendant quelques instants pour les contempler pendant qu'ils la reluquent.
Puis je l'approche à nouveau et pose une main sur son ventre. Je glisse ma main droite sous sa jupe et la pose sur son pubis. Je ressens immédiatement la chaleur de son corps tandis qu'elle est traversée par un spasme. Rapidement, je frotte ses lèvres vaginales avec deux doigts. Sa bouche s'ouvre de plus en plus grand tandis que ses soupirs sont progressivement remplacés par de petits cris. Je masse vigoureusement son vagin, d'avant en arrière. Puis plus fort. Cela pendant quelques minutes. Rapidement, elle se jette en arrière et s'abandonne contre moi tandis qu'elle tente de résister à l'assaut de ses pulsions. Mais rapidement, le rut déforme sa démarche, elle peine à tenir debout. Sa petite culotte s'humidifie fortement. Ses jambes lâchent bientôt et je dois la retenir tandis qu'elle s'agenouille. Totalement excitée, totalement essoufflée !
- Mon corps est à toi. Lâche-t-elle dans un murmure à peine perceptible.
Je m'avance devant elle et approche mon sexe de sa bouche. Elle me regarde un instant droit dans les yeux. Puis regarde mon sexe, ouvre la bouche et engloutit mon organe ! A nouveau, je suis choqué par la vulgarité de son geste. Ce n'est pas de la lascivité, cette fois. C'est de la gourmandise goulue. Et justement, ses lèvres me semblent énormes ! Pendant un court instant, je peine à réprimer un frisson de dégoût de me voir ainsi engloutir. A elle de me convaincre. Je crois qu'elle a senti ma gêne et que cela l'a amusée. La bouche remplie par ma queue, elle me regarde d'un air moqueur. Elle est satisfaite de se rendre ainsi maîtresse de la situation. Alors elle commence à mordiller doucettement mon sexe ! Pour m'arracher des sursauts, de petits cris. A mon tour de crier comme une fille. Je sursaute violemment à chaque fois. Elle enfonce légèrement ses dents pour me paniquer.
- Attends que j'enfonce ma verge dans ton corps !
Ma remarque l'a calmée ! Et cette fois, elle redevient lubrique. Sa bouche est incroyablement chaude. Je bande fortement tandis qu'elle entame une fellation. Ses larges lèvres massent vigoureusement mon pénis. Elle suce vraiment bien ! Je me penche en avant tandis qu'elle accélère le rythme de ses sucées. Puis elle se met à lécher mon pénis. De petits coups de langue tandis qu'elle promène sa tête d'avant en arrière. Je me sens assailli par une vague énorme d'émotions et doit à nouveau lutter pour ne pas faire gicler le sperme.
Je retire à grand peine ma queue de sa bouche tandis qu'elle serre plus fortement les lèvres. Puis je m'éloigne d'elle sans attendre, descend et rejoins le rez de chaussée. Frustrée, elle me ratt et nous entraîne dans un coin consacré à la vente de chaussures.
*
Elle se promène. Je crois qu'elle reprend sa respiration mais aussi ses esprits. En fait, elle se donne du courage. Elle se dit qu'il est vraiment temps d'agir, de concrétiser cette histoire que nous vivons. Comment procéder ?
Elle a procédé de la manière la plus vulgaire possible ! Elle s'est agenouillée sur l'un des sièges clients, la tête en bas, le fessier redressé. De manière crue, elle expose à mes yeux son fessier et son vagin. Je soulève sa jupe et voit sa culotte mouler les lèvres. Je viens baisser sa culotte, elle écarte légèrement les cuisses pour ouvrir son vagin. C'est tout à fait cochon ! Et puis d'un coup, le doute l'a prise. Elle s'est rendue compte qu'elle est allée vraiment très loin. Elle s'est exposée comme jamais. Elle s'est livrée comme un quartier de viande au regard des clients ! Elle m'a laissé ôter sa petite culotte et son vagin est maintenant exposé à mes regards. je lutte moi-même contre un élan de nausée. Je suis très partagé entre l'envie de la prendre et le dégoût que m'inspire son comportement d'une vulgarité sans précédent. Elle le sait. Alors, elle a tourné la tête en ma direction.
Son regard est inquiet. Le doute se lit sur son visage. Elle s'y est prise comme elle a pu, elle est probablement désolée si c'est trop crue. Tant pis, je dois surmonter cela. Son regard un peu apeuré me donne envie d'agir rapidement. Je saisis alors mon sexe à pleines mains et le masturbe sous ses yeux. Je presse fort, je le frotte rapidement. Le sperme monte, je le sens. Elle écarte davantage les cuisses pour m'encourager. Elle est toujours inquiète mais elle m'incite comme elle peut. Je continue à me masturber, cela m'arrache quelques râlements. Je sens que j'ai envie d'éjaculer.
Puis je m'avance vers elle, je pose les mains sur ses hanches et la pénètre intégralement. Je lui arrache un cri de douleur. Puis je la pénètre par derrière. Des pénétrations intégrales, à rythme soutenu mais pas trop rapide. A chaque fois, elle cri, sa tête se balance légèrement en arrière, comme pour signifier qu'elle s'abandonne. Moi je m'avance un peu, pose les mains de chaque côté de son corps et accélère les pénétrations. A chaque fois, la moitié de mon sexe entre et sort. Mais il grossit, elle crie davantage. J'accélère, j'accélère encore.
- Prends moi ! Parvient-elle à crier.
Puis, je passe mes mains sur son ventre, la soulève pendant que je continue de la sauter. Cette fois, je la prend debout. Elle pose doucement les mains sur son ventre, ses cris m'encouragent. Elle pose sa tête sur mon épaule gauche et me montre son visage crispé par la douleur et le rut. Elle est en pleine orgasme et moi aussi. Du coup, de temps à autre, je la pénètre violemment. Je lui arrache un cri qui me donne l'envie de continuer à agir. Son corps se cambre de douleur.
Et puis mon corps se perd dans ses passions. Je ralentis le rythme de mes estocades mais donne des coups plus intenses. Elle sent un long tube entrer dans son corps à chaque fois. Je commence à souffler assez fortement. Je la pénètre, une fois, deux fois, trois fois. Puis je donne un coup plus fort, enfonce intégralement mon sexe et viens écraser mes testicules contre son corps. La douleur lui arrache un cri supplémentaire. J'en profite pour éjaculer. Une énorme masse de sperme envahit alors l'intérieur de son intimité. Je m'extirpe d'elle, la pénètre plusieurs fois. Puis, nouvelle pénétration intégrale et je l'ensemence. Elle sourit de bonheur et d'épanouissement tout en continuant de crier. Plus que jamais, elle s'abandonne sur mon épaule. Je vide mes bourses une dernière fois en elle. Puis je m'arrête et me retire.
Elle m'acclame par ses cris. Elle est essoufflée mais tellement ravie. Son corps est rempli de sperme. Je m'assois par terre, la garde dans mes bras. Tous deux, nous haletons. Nous sommes absolument ravis de ce qui vient de se passer. Je dépose un baiser sur ses joues et elle rougit, une dernière fois.
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