Qui L'Eut Cru Partie Iv Confirmation
Partie IV :
Samedi 8 novembre 2014 :
Stéphane envoie au moins son dixième texto depuis ce matin.
Il sait quelle reçoit sa fille ce week-end, cest juste un moyen pour maintenir la pression, il ne veut pas la laisser trop réfléchir, il alterne messages enflammés et messages coquins, il lui dit quil laime, quil pense à chaque instant à elle, quil a encore envie delle, quil aimerait la caresser partout
.quil ne peut plus se passer delle, il lui propose de la voir quelques minutes dans laprès midi, lui demande de trouver une excuse pour sabsenter
il veut la rendre folle, folle de lui.
Maman, tu es avec nous là
tu as lair bizarre aujourdhui, jai limpression que tu ne mécoutes pas.
Eh oui, excuse moi, ma chérie, Je suis juste un peu fatiguée.
Françoise ne parvient plus à se concentrer, sa fille et son gendre sont arrivés depuis hier soir, elle qui habituellement se fait une joie de les recevoir, ne les écoute même pas.
Même Hugo, son petit fils quelle aime tant, ne parvient pas à capter son attention, ses pensées reviennent sans cesse vers Stéphane.
Elle na quasiment pas dormi de la nuit et passe sont temps à lire ses texto et à y répondre.
Elle sest promis plus de cent fois de lui parler, Il ne faut pas que les choses aillent plus loin, et pourtant elle passe son temps à vérifier son téléphone..
Elle la mis en mode silencieux, et chaque fois quelle constate quun nouvel envoi est signalé, cest le souffle court, le cur battant, quelle découvre le contenu du nouveau message.
Elle ne se reconnaît plus, elle a limpression dêtre redevenue une adolescente.
Tout à lheure, il lui a dit quil avait envie de la caresser partout, cela a suffit pour quelle soit toute retournée, elle était alors dans la cuisine, en train de donner son goûter au petit Hugo, elle na pu alors sempêcher de mouiller sa culotte, elle en était morte de honte et pourtant cétait si bon de ressentir cet émoi, elle a limpression de perdre la raison, mais aussi pour la première fois depuis longtemps, elle se sent vivante.
Maintenant, il lui demande de trouver une excuse pour sabsenter.
Ils se sont quittés hier matin, hier, il était en déplacement toute la journée, ils nont pu se revoir depuis, elle meurt denvie de le retrouver, mais comment faire, les s vont se poser des questions, puis ils sont venus spécialement pour être avec elle, non, ce serait indigne, ce nest même pas la peine dy penser.
Puis, il faut regarder les choses en face, cette histoire est impossible, il faut arrêter maintenant.
Stéphane attend, installé dans sa voiture garée dans un petit chemin qui senfonce dans un petit bois.
Il nest quà quelques centaines de mètres de chez Françoise, par texto il lui a donné rendez-vous à cet endroit repéré ce matin, elle a dabord répondu que ce nétait pas possible, il a précisé quil était déjà sur place, quil lattendait, après quelques minutes, elle a fini par écrire quelle allait essayer.
Cela fait bientôt une demi-heure, il commence à trouver le temps long.
Il navait pas prévu de la revoir ce week-end, il savait que sa fille était chez elle, mais il a la trique depuis ce matin.
Comme il en a lhabitude, il a dabord failli appeler une fille quil a draguée il y a quelques jours dans un bar et qui lui avait laissé son numéro à tout hasard, puis il a réalisé quavant tout cest de Françoise quil avait envie.
Il sourit, cest la première fois que ce genre de truc lui arrive, il ny comprend plus rien, cette quinquagénaire, qui na pourtant rien dexceptionnel ne quitte plus ses pensées. !
Sen est presque comique.
Dabord confiant, il en vient à se demander si elle va vraiment venir, il avait pourtant bien limpression depuis ce matin à la lecture de ses messages que le poisson était bien ferré, comme on dit.
Voici que sa C3 flambant neuve sengage enfin dans le petit chemin.
Il descend et à peine a-t-elle coupé le moteur, quil sinstalle à ses côtés, se penche vers elle, lembrasse, essaie de sa langue, de franchir ses lèvres, en vain
Il sarrête, la regarde, elle porte un pantalon noir avec des bottines, une tunique foncée.
Hum tu mas manquée ma chérie, jai fait que penser à toi
.et toi tu as pensé à moi ?
Tu sais bien que oui
mais tu nes pas raisonnable, tu sais bien que ma fille est à la maison
tous ces messages que tu menvoies, il faut pas, ils vont finir par se douter de quelque chose
et ça je ne veux pas, je peux pas continuer comme ça Stéphane
il faut quon arrête
hier, on a fait une énorme bêtise
Chut chut chut, dit-il en caressant sa cuisse par-dessus son pantalon remontant vers lentrejambe tout en lembrassant dans le cou.
La respiration de Françoise devient plus forte.
Je sais que tu as envie de moi.
Sil te plaît non
Steph
Cétait bien nous deux lautre nuit non ?...je sais que tu as aimé ça
Oui mais
Tu es toute excitée là
ne dis pas le contraire
lui susurre-t-il dans le cou en la caressant au niveau du sexe
Hum !
Cest bon hein ?
Hum
arrêtes !
Tes sûre ? Moi je crois que tu aime ça, je parie que tu as déjà mouillé ta culotte petite cochonne !
Hum ! Stephane
.sil te plaît
Cest pas vrai ?
Hum
Dis le !
Quoi ?
Que je te fais mouiller et que tu veux ma queue.
Mais
Jean Pierre était un homme assez timide, pudique et surtout très respectueux avec elle, jamais il naurait osé lui parler de cette façon.
Françoise est choquée par les paroles de Stéphane, mais paradoxalement elle découvre quelles ont un effet incroyable sur elle.
Allez dis le !
Hum
oh oui tu me fais mouiller
sentend-elle répondre comme si une autre parlait à sa place.
Et ?
Et ?
je veux
je veux ta queue
oh mon Dieu, répond-elle en pleurnichant.
Tu vois, cest pas bien compliqué de se laisser aller
.allez chauffes-moi toi aussi, dit-il en attrapant sa main pour la poser sur sa braguette.
Françoise hésite quelques secondes, puis terriblement tentée, finit par masser la baguette bien dure quelle perçoit sous la toile du pantalon.
Tu sens comme je bande, cest toi qui me mets dans cet état ma chérie
.attends
je veux que tu la caresses, dit-il en déboutonnant son jean.
Non Stéphane, on na pas le temps
.je dois repartir
ma fille
oh tu es fous
.
Oh oui comme ça, branles-moi chérie
.oh cest si bon !
Françoise écarlate, ose à peine regarder le mandrin quelle serre un peu maladroitement entre ses doigts et quelle fait coulisser de plus en plus rapidement.
Continue comme ça encore ! crie-t-il en lui pressant le sein gauche de sa main droite.
Françoise branle la queue de Stéphane.
Ah
vas moins vite maintenant
là
voila, cest bien
regarde-la
..regardes ma queue Françoise !
Françoise gênée, finit par fixer la colonne de chair au bout turgescent qui coulisse toujours dans sa main.
Regarde-la, je suis certain que tu en as envie, pas vrai !
Hum !
Pas vrai !
Oui !
Allez, défais toi, enlèves tes frusques, dépêches toi.
Françoise qui na plus aucune volonté, se contorsionne sur son siège comme elle peut, pour faire glisser en un temps record le vêtement, e de retirer au passage ses bottines.
Stéphane observe pour la première fois, les cuisses certes un peu fortes mais appétissantes malgré tout.
La culotte aussi.
Le sous-vêtement noir glisse à son tour découvrant une touffe noire bien fournie.
Recule ton siège et couche le dossier, dit-il en laidant à trouver les bonnes manettes.
Stéphane ne peut sempêcher de regretter cyniquement à cet instant, quils auraient été beaucoup plus à laise dans le 4x4 BMW .
Avec difficulté, il réussit à se positionner sur Françoise qui fait de son mieux pour écarter les cuisses.
Dimanche 9 novembre 2014 :
Il est trois heures du matin, Françoise na toujours pas fermé lil.
Tout son esprit est plein de Stéphane.
Elle serait bien incapable de se souvenir dune seule des paroles échangées ce soir avec sa fille et son gendre.
Ils doivent regagner Paris en fin daprès midi, elle ne peut sempêcher de compter les heures, elle nen éprouve même pas un minimum de culpabilité, la seule chose qui lui importe à cet instant, cest de savoir si elle verra Stéphane demain soir, tout le reste na plus la moindre importance.
Il lui a dit quil passerait peut être.
Et la voici, qui malgré elle, nespère plus que ça, le moment où elle va le retrouver.
Son corps se souvient encore de cet après midi, lorsquil était en elle, elle a même limpression de sentir son souffle tout contre sa peau, là dans son cou.
Cétait si intense, il est venu sur elle, son sexe était en elle, quelle sensation délicieuse de se sentir ainsi possédée!
Et dire quen dernier, avec Jean-Pierre, les rapports devenaient difficiles, douloureux même, à tel point quil lui fallait utiliser un lubrifiant !
Vraiment elle ny comprend rien, avec Stéphane, il n'y a plus aucun problème.
Elle na jamais été prise avec une telle force, sen était presque bestial, elle sest retrouvée pour ainsi dire pilonnée par son amant.
Elle, qui jusqualors, naurait jamais envisagé la sexualité autrement que dans la douceur, a ressenti un plaisir insoupçonné sous ces assauts virils. Dans lobscurité ses joues sempourprent, un filet de miel sécoule de sa fente, lorsquelle se remémore linstant, où cuisses écartées, les mains agrippées aux épaules de Stéphane, elle la supplié de ne pas sarrêter, alors que malicieusement, il avait marqué une pause sans lâcher son regard.
S'en s'en rendre compte, sa main s'est égarée entre ses cuisses, ses doigts parcourent timidement sa fente humide, s'attardent légèrement sur la petite excroissance située plus haut, puis perdant toute retenue, les yeux mi-clos, elle finit par s'astiquer frénétiquement le clito jusqu'à ce qu'une décharge de plaisir envahisse tout son être.
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