Testeur Malgré Moi
Yves me laissa à peine le temps de le saluer que déjà il fermait la porte.
- On va faire une course, ne perdons pas de temps.
Je dévalais donc lescalier à sa suite, me demandant ce quil y avait de si urgent à faire alors que, pour une fois, jétais disponible pour lui.
Nous sommes arrivés devant la boutique dun cordonnier, lun des rares restants avec ce savoir-faire.
Yves est entré le premier, a salué et a demandé :
- Cest prêt ?
- Oui, je lai terminé hier soir, vous allez me dire si cela vous convient.
Il nous a fait passer dans la petite arrière-boutique toute encombrée de sacs, chaussures et morceaux de cuir. Il ouvrit un tiroir et en sortit quelque chose que je ne pouvais voir, Yves étant devant moi.
- Cela me semble parfait, dit-il, mais il faudrait essayer.
- Il y a un peu de place dans le coin, répondit le cordonnier.
Yves me prit par les épaules et mamena dans le coin de cette arrière-boutique. Il me montra ce quil tenait en main : un martinet fait artisanalement ! Je nétais pas très chaud pour faire un essai devant un inconnu de cet instrument dont je nignorais pas la destination.
Je le dis à Yves pendant que le cordonnier retournait dans sa boutique.
- Tu deviens pudique maintenant ? Tu as peur quon voit tes fesses, dit-il en riant ? Ne tinquiète pas, il en a vu dautres à son âge. Baisse ton pantalon et penche-toi en avant.
Le ton sur lequel il me donna cet ordre ne laissait aucun doute sur sa détermination, il ne me restait plus quà mexécuter.
Je défis donc mon pantalon et me penchais en avant, mains sur les genoux.
- Non, tu te fous de moi, cul nu sinon tu vas ten souvenir !
Je baissais donc mon slip et libérais ainsi mes fesses.
Un premier coup cingla mon postérieur, me faisant pousser un petit cri, puis un autre. Je nosais crier de peur dattirer lattention dun client ou du cordonnier. Celui-ci revint et dit :
- Jai fermé pour être plus tranquille.
Jétais donc pantalon et slip baissé, penché en avant, les fesses rougies devant mon ami et cet inconnu.
- Vous nêtes pas bien installés, dit le cordonnier, venez par ici.
Il dégagea le dessus dune table et me fit approcher.
- Il peut tout enlever, on ne sera pas dérangé.
Aussitôt dit, aussitôt fait, il souleva lune de mes jambes puis lautre pour dégager les vêtements devenus inutiles. La chemise suivit et je me retrouvais entièrement nu devant ces hommes.
- Vous permettez, demanda-t-il à Yves ?
Il me pencha en avant, plaquant mon torse sur la table, et me fit écarter un peu plus les jambes.
- Il bouge beaucoup ? Ai-je besoin de lattacher ?
- Pourquoi pas, comme ça il ne nous embêtera pas, répondit Yves.
Le cordonnier lia mes chevilles aux pieds de la table ainsi que mes poignets. Je ne pouvais plus bouger, jétais offert à leur bon vouloir.
- Comment trouvez-vous le manche, demanda-t-il ?
- Il tient bien en main, cest parfait.
Un coup cinglant frappa mes fesses sur la largeur me faisant pousser un cri.
- Jai ce quil faut !
Je me retrouvais alors bâillonné.
- Et les lanières, pas trop longues ?
Un autre coup, suivi dun second et dun troisième furent la réponse.
- Elles ont lair daller.
- Vous permettez, demanda le cordonnier ?
Je reçus alors un coup à la jointure des cuisses ce qui me fit me cabrer autant que mes liens le permettaient. Puis un autre en travers des cuisses puis de nouveau sous les fesses. Dans la position dans laquelle jétais, ma queue et mes couilles étaient aussi offertes et ces coups ne les épargnaient pas.
- Oui, ça semble aller, je navais pas pu lessayer en vrai faute dune cible
Yves reprit linstrument et men administra dix coups de suite, sans violence mais avec application. Je sentais mon postérieur en feu et javais hâte que ce jeu cesse, la honte sajoutant à la douleur.
- Il faudrait que vous me lameniez la prochaine fois que jaurai un instrument à faire ! Au fait, si vous permettez, jai quelque chose à vous montrer.
Il ouvrit un tiroir et en sortit un objet que je ne pouvais voir mais qui me fis néanmoins frissonner.
- Cest un beau cuir pour une strap, vous en utilisez une ?
- Parfois, répondit Yves, mais celle-ci me semble parfaite.
- Allez-y, ne vous gênez pas, si vous en voulez une, il doit me rester du cuir
Linstrument sabattit sur mes fesses en un claquement, me faisant sursauter. Puis un nouveau coup, suivi dun autre.
- Si vous permettez, vous devriez faire ainsi.
Le cordonnier prit linstrument et frappa quatre coups qui me mirent les larmes aux yeux.
Mes fesses nétaient plus quune brulure, une main se posa dessus, massant doucement puis se dirigea vers mon entrejambes et sattarda sur mes couilles. Elle remonta ensuite le sillon et sarrêta quelques secondes sur mon illet.
- Cest un beau cul, vous avez de la chance de pouvoir lutiliser comme bon vous semble.
- Je peux être partageur, dit Yves en riant !
- Je peux ?
- Avec protection, évidemment !
Le cordonnier séloigna puis revint. Il posa un doigt sur mon trou, je sentis quelque chose de froid. Il fit pénétrer son doigt, enduisant comme il le fallait lentrée de lendroit où il prendrait son plaisir. Jentendis le bruit dune ceinture quon défait, puis un vêtement qui tombe avant de percevoir celui dun préservatif quon met en place.
Les mains du cordonnier magrippèrent les hanches, sa queue pointant contre mon anus. Une poussée et le voici qui entre en moi, lentement, jusquà ce que je sente les poils de son pubis contre mes fesses en feu. Il commença des mouvements rapides qui me faisaient mal car le devant de mes cuisses appuyait contre le rebord de la table. Yves sétait mis devant moi, menleva le bâillon et moffrit sa queue à sucer.
Ils jouirent tous les deux à quelques secondes dintervalle, me laissant épuisé ainsi offert.
Le cordonnier se rajusta, défit les attaches de mes chevilles et de mes poignets et me libéra de ma position inconfortable.
Je nai pas reçu de nouvelle punition depuis ce jour mais je sais quYves a très envie dune strap comme celle quil a pu essayer. Je risque de redevenir testeur malgré moi.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!