Jeanne &Amp; Andrée

Je ne sais trop ce qu'a mon épouse, Jeanne, est-ce son âge, à peine 35 ans, ou autre chose, je ne sais pas. Elle voudrait souvent que je la baise alors que je le fait déjà deux fois pas jour. Je lui ai même acheté un magnifique gode «  rabit  » qui la comble quand elle se branle devant moi. C'est celui de la dernière génération qui excite et le clitoris et l'anus. Avec la solution à l'eau pour adoucir la pénétration en apportant un supplément de plaisir, elle devrait être satisfaite.
Elle a acheté elle même des boules de geisha pour être souvent tentée par la baise. C'est vrai que je la surprend souvent nue sur le lit avec son jouet. Elle doit le faire exprès puisque dès qu'elle jouit, elle me demande la bite pour la sucer, et elle suce bien depuis notre première fois il y a des années.
Enfin un soir elle me dit vouloir essayer avec une autre femme. C'est son dernier fantasme  : être nue avec une autre, se faire sucer, branler et plus si affinité. Pour ça elle a une cible. Une proche voisine de son âge, célibataire par choix semble-t-il à la suite d'une déception amoureuse. Elle voudrait que je me cherche de faire les demandes nécessaires. J'ai beau lui dire que je ne vais pas demander à une femme de baiser la mienne. C'est à elle de prendre ses responsabilités. Elle en boude presque.
Plusieurs jours plus tard elle est souriante.
- Tu sais, j'ai baisé avec la voisine. Je ne pensais pas que ce soit si bon avec une autre femme. Je recommencerais souvent.
- Et moi alors  ?
- Je te branlerais en te racontant tout, absolument tout.
Je ne suis qu'à demi satisfait  : elle va s'envoyer en l'air avec une autre, pour me branler.
Je vais mener mon enquête pour savoir où et quand elles baisent. A mon avis c'est entre 14 heures et 17 heures chez la voisine. Je la connais de vue, elle est bien roulée, doit avoir des besoins sexuels égaux à ceux de Jeanne. En partant travailler je fait semblant de sortir alors que je reste planqué à l'étage au dessous.

Je me morfonds longuement. Pourtant vers 15 heures j'entends la porte de mon appartement se fermer. Sans doute ma femme qui sort. La porte en face de la notre se ferme aussi. Ainsi c'est Jeanne qui va rendre visite à son amante. J'ai constaté un regain de désir chez Jeanne, elle est bien plus gourmande depuis qu'elle a fait l'amour avec une autre. Il faut que je la sodomise plus souvent, qu'elle me suce aussi et surtout que je lui lèche l'anus. Un soir je m'aperçois que le gode n'est plus là. J'ai un doute  : il doit se trouver chez sa copine. Mais la suite de mes soupçon se confirme, c'est Jeanne elle qui me dit l'avoir oublié chez Andrée son amante.
- Elle me raconte sa dernière baise, pendant donc que j'attendais patiemment.
- Nous avons commencé par un long baiser comme ça  : elle me montre le genre de baiser échangé. Elle m'en fait bander tellement c'est particulièrement excitant.
- Ensuite nous nous sommes vite mises nues. J'avais justement le gode en main. Andrée m'a supplié de le lui mettre, ce que j'ai fait volontiers pendant qu'elle me branlait un peu comme toi, en mieux. C'est la première fois que je voyais le travail de cet engin. Elle a mis en route les billes qui tournait juste à l'ouverture de son con, une tête de lapin est vite venu sur son cul et l'autre sur le clitoris. Je comprends mieux pourquoi tu te branle quand tu me regarde. Elle n'a pas arrêter de soupirer comme une malheureuse qui manque de beaucoup de chose. Je n'ai pas pu résister je l'ai embrassée pendant qu'elle se branlait.
・ Elle a longuement jouit, ensuite elle a voulu me baiser avec le gode. Je me suis laissée faire  : j'ai jouis deux ou trois fois. Nous avons arrêté de jouer avec le gode, nous nous sommes mises en 69. Tu sais que j'aime quand tu me suce  : elle aussi aime me le faire. Là, je préfère ta langue  : tu me connais mieux qu'Andrée. Moi je la léchais partout dans son con, même son cul  : elle aime quand je lui mets des doigts dans l'anus. Je ne m'en prive pas, j'aime quand tu me fais ça.
- Après notre baise, je lui ai demande si elle ne voulait pas une vrai bite dans son con. Au début elle réponds toujours non. Aujourd'hui pour la première fois elle m'a répondu qu'elle voulait ta bite demain soir. Si tu veux je récupère mon gode pour me branler quand tu entre après le travail. Ensuite nous irons chez elle. Pas la peine de t'habiller, nous irons nus puisqu'il n'y a que le pallier à traverser.
- Je ne sais quoi dire après ces aveux. Il me tarde d'être à demain pour une baise en trio. Je n'ai jamais pratiquer ce genre de gymnastique. J'espère surtout être capable de faire jouir deux femmes.
- En attendant,, il faut croire que les épanchements entre les deux femmes n'ont pas suffit à éteindre les ardeurs de Jeanne. Ce soir elle veux que je l'encule après qu'elle me suce et enfin, si je peux la baiser normalement. C'est la première fois qu'elle accepte de me sucer après une sodomie. Elle se donne comme jamais, elle en jouit souvent plus de deux fois à chaque position. J'ai particulièrement apprécier de sentir le prépuce glisser lentement le long du gland quand je l'enculais. Il y avait longtemps que nous n'avions pas autant pris de plaisir pendant une sodomie. Je l'ai senti jouir plusieurs fois autour de ma bite. Son sphincter me serrait tellement à chaque spasme que j'ai failli jouir plusieurs fois.
Elle n'a jamais cessé de se plaindre ou de me donner son avis sur ce que je faisais, sur son de plaisir :
Oui, encore, entres plus fort, plus loin, sorts la pour la remettre encore une fois. Oui, baises moi fort, recommence encore dans le cul. Mets moi là au fond du cul. Je suis une salope qui aime baiser avec toi et les filles.
Et plus elle en disait, plus j'avais envie d'elle. Quand je suis sorti de son cul qu'elle a voulu me sucer aussitôt, je n'étais pas tellement d'accord et pourtant elle m'a prit en bouche rapidement. Elle a prit toute la partie haute de ma queue pour la mordre un peu, me faisant ainsi débander légèrement.
Elle gardait mon gland dans la bouche, me tenait la bite par le bas, sa tête bougeait en aller et venues régulières au début, puis rapidemes par la suite. Mes couilles caressées comme jamais, elle voulait entrer un doigt puis deux dans le cul. Elle l'a fait sans que je le veuille réellement. Quel plaisir plus profond, plus libertin que cette façon de me donner du plaisir, surtout nouveau.
Elle était placée de telle façon que je pouvais me venger en mettant moi aussi deux doigts dans le cul et le con ensemble. Je crois lui avoir donné une dose encore inconnue de sperme alors qu'elle m'avait fait jouir déjà. Nous sommes restés ainsi sans bouger un instant, jusqu'à ce qu'elle me dise son impatience de me voir baiser sa maîtresse. Elle arrivait à me faire bander encore. A croire qu'elle voulait assécher mes burnes.
- Baises moi en mettant deux doigts au cul.
- Tu es une salope.
- Je sais, tu verras demain.
- Je baiserais ta copine devant toi.
- Oui, j'aimerai de voir baiser une autre fille. Je me branlerais aussi en même temps.
- Tu la baiseras aussi ?
- Bien sur, je ne vais pas te la laisser tout le temps. Je la veux aussi, sa tête entre mes cuisses, j’aime ça.
Cette fois c'est trop, je la baise encore une fois rapidement. Je mets longtemps pour jouir, elle non, elle en profite au maximum :
- Oui, baises moi, mets moi la profond, comme dans le cul tout à l'heure. Donne moi ton jus dans le ventre, baises moi longtemps.
C'est un peu contre ma volonté je suis particulièrement dur à jouir maintenant après tout ce que nous avons fait. Je lui donne un peu de semence avant de m'écrouler presque sur elle. Je m'endors aussitôt. Je suis réveillé le lendemain par sa bouche qui me lèche complètement la queue. Je bande bien sur. Elle se branle en me suçant jusqu'à ce que je décharge dans sa bouche.
- Voilà, c'est fini jusqu'à ce soir.
- Tu ne vas pas te branler dans la journée ?
- Mais oui, qu'elle idée tu as, moi ne pas me branler ? Te me connais bien pourtant.
C'est heureusement samedi, je ne travaille pas aujourd'hui. Je flemmarde au lit jusqu'à midi, je me lève juste pour me laver comme un chat. Je réserve une toilette générale pour la fin d'après midi.
Jeanne fait comme moi, sauf qu'elle prend sa douche quotidienne pour se caresser avec le jet d'eau chaude. Aujourd'hui je la regarde en bandant, elle se branle le cul comme ça lui arrive de plus en plus souvent. Je me garde bien de me toucher : je pense à ce soir.
Les heures sont longues quand on attend une friandise. Enfin l'heure arrive. Nous sommes nus pour traverser le palier, Jeanne ouvre la porte sans frapper. Je sens ma queue ballotter dans tous les sens : je ne suis pas encore très excité. Jeanne l'ait puisqu'elle embrasse Andrée sur la bouche, comme une normalité. Là, je commence à bander.
Jeanne me présente : mon mari qui te la mettra où tu veux.
Andrée vient vers moi, m'embrasse aussi sur la bouche. Son baiser est profond, comme le fait Jeanne. Elle s'empare de ma queue, commence à me masturber juste deux ou trois coups. Elle s'adresse à Jeanne :
Tu ne m'avais pas dit qu'il était si bien monté. Où tu aime qu'il te la mette.
- Partout, ces derniers temps au cul.
Elle entre bien dans ton cul ?
Parfaitement. Elle entrera aussi dans le tien si tu écartes bien tes fesses.
Je le ferai. Branles moi avant.
Sans hésitation aucune Jeanne pose sa main sur la chatte d'Andrée. Elle entre directement trois doigts au fond du con de celle que je vais baiser. Ma queue me démange, surtout quand je vois Andrée branler ma femme. Leur orgasme ne tarde pas.
Dès qu'elles finissent je prend Andrée dans les bras. Je l'embrasse pendant que ma femme lui caresse les fesses. Andrée s'abandonne à moi, elle prend ma queue encore cette fois pour la sucer en se penchant en avant, offrant ainsi son cul à ma femme qui en profite pour entrer deux ou trois doigts. Elles s'entendent à merveille. Je ne suis pas sucé longtemps. Andrée me demande d'aller me coucher avec elle. Nous voici trois dans la chambre. Andrée est couchée sur le lit, les jambes dehors, écartées. C'est une invitation à un cunnilingus que je ne fait pas : Jeanne le fait aussi bien, sinon mieux que moi. Andrée jouit vite. Je la couche sur le dos, vais sur elle entre ses jambes. J'ai envie de son sexe. Je veux la baiser. Jeanne, ma propre femme aide à la pénétration. Elle a pris ma bite en main, choisi le moment propice pour que j'entre dans un con entièrement mouillé. Je suis prisonnier des jambes d'Andrée. J'entre lentement pendant qu'Andrée commence à gémir et parler :
Oui ; baises moi, fort, plus fort. Y a longtemps que je n'ai pas eu de pine dans le con, mets moi la bien, fait moi jouir.
Jeanne vient l'embrasser pendant que je la baise. D'avoir exagéré la veille je suis long à jouir. Andrée elle ne se gêne pas pour avoir je ne sais combien d'orgasmes. Jeanne elle commence à se branler avant de poser son con sur la bouche d'Andrée. Elle me fait face, nous nous embrassons à pleine bouche.
Arrive le moment où Andrée veux changer de position, elle se met en levrette. Avec Jeanne nous comprenons ce qu'elle veux. Jeanne passe sa main sur le sexe entièrement noyé de cyprine pour la recueillir et la mettre sur l'anus offert. C'est encore la main de ma femme qui dirige ma queue vers le cul d'une autre. Elle semble y prendre un plaisir malsain. Andrée écarte ses fesses avec ses mains. Je pénètre très lentement dans un cul veuf de bite depuis longtemps.
Je dois forcer l'entrée juste un petit instant, ensuite j'entre rapidement à fond. Ma femme se met sous celle que j'encule pour lui prendre le clitoris dans la bouche. Andrée recommence à gémir d'une drôle de façon, comme si je l'égorgeais. Je ne peux pas aller bien loin : je jouis dans son cul : c'est sans doute ce qui la fait jouir aussi.
En récompense je reçoit un baiser profond de ma femme. Elle prend ma bite en bouche pour me faire bander encore. Je ne l'ai pas encore baisée. Il faut qu'elle ait sa part. Elle me donne son sexe en 69. Bien sur elle me fait bander. Elle me veut dans le vagin. Cette fois c'est Andrée qui me guide. C'est encore plus excitant ainsi. Je lime ma femme quand elle se tourne sur moi, elle me donne son cul pendant qu'elle se branle comme souvent. Andrée elle se sert du gode laissé hier par Jeanne. Voir le gode dans le con d'une autre m'excite encore plus. Je lime profondément. Je sens les spasmes du cul de ma femme qui à la fin me font jouir au fond de son anus.
Je n'en peux plus, les femmes s'arrangent entre elles, en 69 et autres positions que je ne connais pas.
Maintenant c'est Andrée qui vient le soir chez nous. Quelques rares fois Jeanne n'est pas là, ça ne nous empêche pas de baiser. L'inverse se produit aussi. Je ne sais combien de fois je suis arrivé chez moi pour les voir baisant dans la chambre.