Première Rencontre
Je te récupère à la Gare, enfin. Tant de mois se sont passés
Ce moment est pour moi inespéré. Arrivé dans le parking, je touvre la porte de la voiture et tu me souris en soulignant mon geste. Une délicieuse effluve de vanille que javais déjà senti tout à lheure en taccueillant vient caresser mes narines. Tu prends place sur le siège et jobserve avec plaisir la courbe de tes jambes lorsque tu pivotes pour tinstaller.
Je fais le tour de la voiture sans te quitter des yeux. La voiture démarre et jentame la manoeuvre pour sortir. Je sens alors ta main se poser sur ma cuisse. Nos regards se croisent, complices, et nous nous sourions. Difficile de me concentre toutefois avec ta main sur ma cuisse. Dautant plus quelle se fait aventureuse. Elle remonte le long de ma cuisse mais sarrête juste à mon entre jambe. Je ne dis rien, même si ce geste me fait intérieurement beaucoup deffet.
Jarrive à sortir du parking et une lumière vive nous éblouie.
- Il me tardait darriver, me confis-tu
- Moi, il me tardait que tu arrives
javais hâte enfin que nous nous retrouvions.
Nous parcourons les rues de la ville vers une destination dont je suis le seul à connaître. Mais la circulation est dense et nous sommes stoppés par quelques embouteillages.
Mon impatience se lit sur mon visage. Ta main se fait plus insistante
- Ne tinquiète pas, mon Ange, nous y arriverons tôt ou tard, lessentiel est que nous soyons ensemble, me dis-tu sur un ton rassurant
- Tu as raison, tu es là et cest tout ce qui compte
Tu te penches vers pour me tendre tes lèvres. Je tembrasse délicatement. Ta main passe dans mes cheveux : tu ne te contenteras pas dun simple baiser. Tes lèvres sentrouvrent et invitent ma langue à sy glisser. Je ne me fais pas prier. Nos yeux se ferment en se délectant de cet instant magique.
Mais cette pause est interrompue par la reprise du trafic et quelques coups de klaxon qui nous somment davancer.
- As-tu mangé dans le train ?
- Non, juste picoré
Je tavoue jétais anxieuse
- Tu ne vas pas rester ainsi tout de même ?
- Non, non, je nai pas très faim, mon Ange,
- Ah, écoute, si tu veux me faire plaisir, il va falloir que tu manges
ou alors un petit morceau ?
- Bon, daccord, pour te faire plaisir.
Sur la route, je marrête dans un petit supermarché
- Reste là ma puce, je reviens
Je me dépêche pour ne pas te faire attendre trop longtemps. Je reviens quelques minutes après.
- Quas-tu pris alors mon Ange ?
- Deux petites salades, tomates cerise, jambon et deux bouteilles deau.
Tu inspectes la poche que tu tempresses de mettre à tes pieds. Nous repartons aussitôt.
Quelques minutes plus tard, nous entrons sur le parking dun hôtel.
Ton regard a du mal à dissimuler ton inquiétude.
- quas-tu ma puce ?
- Heu, dis-moi mon Ange
- Oui ?
- Et si je te décevais ?
Je te souris
- Et si je te décevais ?
- Mais non, allons, on ne ta jamais dit quil ne faut pas répondre à une question par une question ?
- Ma puce, il nest pas question de faire une compétition... Il sagit dêtre ensemble, dêtre nous-même. Je ne suis pas là pour me mesurer à toi
- Je comprends mon Ange, excuse moi
- Non, il ny a pas dexcuse : il sagit simple dêtre toi, simplement.
Rassurée, tu sors de la voiture avant même que jai pu touvrir ! Je prends ton sac dans le coffre et je mavance vers la réception. Toi, tu restes discrètement sur le parking, baigné par une douce chaleur printanière. Depuis laccueil, à travers la vitre, je tobserve. Tu es rayonnante, douce, magnifique
Tu fermes les yeux sous le soleil
Je te sens bien, je veux que tu sois bien.
Le réceptionniste me tend la carte de la chambre
de notre chambre
Je me décide à sortir, à briser ce joli tableau
Tu maperçois et tu te diriges vers moi, un magnifique sourire aux lèvres. Nos mains sunissent tandis que je cherche le n° de la chambre.
Je mapproche de la porte. Tu es tout contre moi, ta main se pose sur ma hanche
Le sésame souvre enfin. La chambre est un peu dans le noir. Je profite de la lumière de la porte pour mavancer et prendre un peu mes repères. Mais très vite, la pénombre revient et je réalise que tu as fermé la porte. Je me retourne vers toi. Face à face ultime, apogée de notre rencontre, moment si souvent évoqué, écrit, attendu
Qui de nous brisera cet instant magique ?
Tu tapproches de moi. Tes mains glisses sur ma chemise et sous ma veste, qui tombe le long de mes bras et fini à terre. Ton visage sapproche du mien, les yeux mi-clos. Nos lèvres se retrouvent, moins pudiques. Nos langues se tutoient, se mêlent
Je passe la main dans tes cheveux pour découvrir un peu plus ton visage
A mon tour, mes doigts saventurent sur les bretelles de ton caraco. Elles tombent négligemment le long de tes épaules.
Tes doigts suivent mon col, puis, un à un, défont chaque bouton. Ma chemise nest plus un obstacle et ma peau douce et lisse soffre à toi. Tu abandonnes mes lèvres, ma bouche désireuse pour parcourir mon cou, mon torse. Mes doigts parcourent toujours ta chevelure.
Tu deviens audacieuse
Je sens tes mains explorer la bouche de ma ceinture. Ton visage disparait. Je sens sur moi une main qui mexplore. Doucement, délicatement.
A mon tour, je laisse tomber mon pantalon. Mon boxer trahit mon excitation. Le contraire aurait été étonnant ! Ce qui avait pressenti au toucher sexpose à moitié cacher.
Puis, tu tapproches de cette bosse. Tes doigts passent sous lélastique et tu descends doucement mon boxer. Je comprends très vite tes intentions quand je sens un contact humide sur le bout de mon sexe.
Je prends ton visage de mes mains pour tinviter à lever les yeux
- Me puce, jadorerais, vraiment, mais je ne veux pas commencer ainsi
3333 je ne veux pas te voir ainsi, à genoux devant moi me prendre en bouche
Tu mérites quon te mérite
Alors, viens
Tu me regardes, interloquée. Je me dis peut-être que peu dhommes ont su résister à tant dattention. Je pourrais craquer moi aussi, mabandonner à cette bouche si douce, à cette langue experte
Mais je veux prendre sur moi pour rendre cette journée encore plus belle.
Coupée dans ton élan, tu te laisses guider.
Tout dabord, je tinvite à te redresser. Jôte ton petit caraco blanc qui cachait à mes yeux un délicieux soutien-gorge de dentelle de la même couleur. Dune main, je tapproche du lit pour que tu y assois. Je prends une de tes jambes et enlève doucement la botte, puis lautre. Je ne peux mempêcher de distinguer sous ta jupe ce qui semble être une jolie culotte coordonnée avec ce que jai déjà vu
Lexploration continue
Tu tapprêtes à tallonger, mais je te ratt et te fais te relever. Cette fois ci, tu auras un homme à tes genoux
Je reviens prendre une dose de potion de douceur à tes lèvres
puis le bout de ma langue descend le long de ton cou. Tu frissonnes. Ma langue se heurte au liseré de ton soutien-gorge. Je suis cette limite de dentelle jusquau creux de tes seins. Au travers de ton soutien-gorge, je devine leur pointe se dresser. Je ne peux mempêcher dy apposer un doux baiser, en leur promettant de revenir plus tard
.
Ton ventre soffre à ma portée. Je laisse courir mes lèvres dessus, sur tes hanches, autour de ton nombril.
Il est temps que je vérifie ce que jai aperçu. Je saisis ta jupe et la laisse tomber à tes pieds.
Je peux enfin tadmirer, dans une forme de pudeur touchante. Je tobserve, terriblement tenté
Je mapproche alors de toi par derrière. Tu inclines la tête. Nos corps se touchent, brulants.
Dun simple geste de la main posé sur ton épaule, tu comprends que tu dois me suivre. Je te guide jusquau lit où délicatement je tinvite à ty allonger.
Il nest plus question de cacher à mes yeux ta poitrine. Tu las bien compris et le soutien-gorge séclipse. Comme promis, je reviens vers ta poitrine, offerte, pleine de désir. Je mapproche de toi par le côté, Me toucher, me caresser te tente et tu laisses ta main remonter le long de ma cuisse, puis dessus. La pointe de ma langue fait le tour de ton téton, puis le cercle sagrandit pour se resserrer à nouveau
juste au moment où je me décide à le gober. Du coin de loeil, je tobserve, les yeux fermés
ton visage sagite sous mes caresses et mes baisers
Ta main saventure et glisse entre mes jambes
Tu tombes par hasard sur mon sexe tendu
Tu lenveloppes, le caresse
Jhésite à me laisser faire, à te laisser faire pendant que je continue à dévorer ta poitrine
Quil me serait facile de me redresser, de mapprocher de ton visage
de voir ton regard satisfait de ce que je lui propose, complice de ce que tu veux me donner
Mon dieu que cest tentant, et tes caresses ne maident pas dans ma décision
Une idée me vient à lesprit. Je saute du lit et jatt la poche de nos déjeuners improvisés. Tu me regardes, étonnée.
- Tu as donc si faim que ça ? me demandes-tu
Je reviens avec lune des barquettes de salade. Sous tes yeux, je louvre, sans un mot. Tu restes perplexe. Tu me vois fouiller dedans. Jen ressors satisfait, 3 petites tomates cerise
Tu me devines
Je pose une tomate sur ton nombril, lautre entre tes seins
La troisième, juste à la limite de ton tanga. Les fruits sont frais et je te vois te crisper au contact avec ta peau
Cela me plait
si un simple fruit frais te fait cet effet
Mon parcours gustatif et sensuel commence. Je prends une de tes jambes que je lève jusquà mon visage. Jembrasse tout dabord ta cheville. Je prends ton talon entre mes lèvres. Puis ma langue ose sortir et dessine un trait imaginaire jusque derrière ton genou. Là, je peux faire une petite pause. Toute la longueur de ma langue ne suffit pas à parcourir cette zone
Je men délecte pourtant. Je ne suis pas au bout de mon périple. Je continue mon ascension par lintérieur de tes cuisses. Une récompense my attend sous forme dune première tomate. Mon visage posé sur ton bas ventre, de la langue, sensuellement je la déstabilise et lattire vers ma bouche. Tu contemples la scène, sans trop oser bouger. Le fruit explose dans ma bouche
. Ma langue a encore faim
Je surligne les coutures de tanga... huuum
si seulement
Je glisse sur tes hanches que je dévore. Puis, je remonte sur ton ventre que jembrasse
Enfin, une autre réponse. La tête face à lui, je fonds sur ton nombril, bouche ouverte
Le fruit disparaitra dun coup
Je reste fixé sur ton nombril. Mes lèvres collées dessus, je les écarte et commence à explorer cet orifice. Tu tagites
tu apprécies visiblement mes baisers, mais je pense que tu es torturée entre lenvie de me caresser et celle de te laisser faire
Je sais que tu nes pas habituée à ce quon soccupe de toi ainsi, sans te demander de contrepartie. Jen avec délice.
Cette fois, je tenjambe, à cheval sur ton bassin. Je me penche vers ta poitrine. Enfin, tes doigts plongent dans mes cheveux et mattirent vers le dernier fruit. Ma langue remonte jusquentre tes seins et écope le fruit dun coup
. Je ne suis quà quelques centimètres de tes lèvres
Je rampe, le corps collé au tien
Je sens ton souffle court lorsque tu perçois la pression de mon excitation heurter ton pubis. Je peux dire que nos dessous nous sauvent !
Jembrasse le haut de tes seins, puis je remonte jusquà ta bouche. Ton appétit na rien à envier au mien. Tu prends mon visage entre les mains pour mieux me guider, mieux me garder près de toi. Je sens tes seins contre les miens, je sens leurs pointes effleurer les miennes
Je bascule sur le côté
Je passe les mains sous ton dos pour te mettre sur le ventre. Je te sens un peu déçue, mais aussi curieuse. Tu places tes mains sous ton visage pour tinstaller. Là, je sais que tu ne me vois plus
mais tu me sentiras
Assis sur tes jambes, je laisse glisser mes mains le long de tes cuisses. Je remonte sur ton dos, descends sur tes épaules. Au passage, je mattarde sur tes fesses, pointées. Après quelques va-et-vient, je me décide enfin à tenlever ce dernier tissu, délicieux, mais qui mempêche de te contempler pleinement. Ton tanga glisse le long de tes jambes et va finir sa course au pied du lit.
A nouveau, je peux me délecter de la douceur de tes jambes. Je les embrasse, et je monte inéluctablement jusquà tes fesses. Cette fois, rien ne mempêche dy poser les lèvres. Mais ma langue ne peut contenir sa curiosité. Elle saventure juste en haut de cette ligne qui les sépare. Je descends à la limite de ce que tu mautorises
. Si je mécoutais, je ne résisterais pas
Mais je veux ton plaisir, et ton plaisir est mon plaisir. Mes lèvres se posent sur le bas de ton dos, remontent doucement
La position nest pas évidente, si bien que je finis par mallonger sur toi
Position idéale pour tembrasser dans le coup et déborder avantageusement sur tes lèvres...Nous restons ainsi quelques minutes, peau à peau.
Tu sens parfaitement mon sexe tendu de désir pour toi, qui, hasard des anatomies, est venu reposer juste entre tes fesses. Tu ondules délicatement pour le prendre entre. Mais avec mon boxer, la prise nest pas évidente. Cependant, tes mouvements auront le mérite dexalter mon excitation.
Je me redresse libérant ton corps de mon emprise. Je m'assois à tes pieds, les jambes croisées. Tu sembles émerger dun doux sommeil. Tu tournes ton visage pour me voir et tu me rejoins. Non sans mal, tu arrives à tasseoir entre mes jambes. Face à face, plus rien ne nous empêche de nous embrasser. Tu me serres dans les bras tendrement, tu membrasses.
Puis, te ravisant, tu técartes et rompt la position. Je tobserve alors me repousser en arrière, si bien que je me retrouve allongé sur le dos. Je pourrais me rebeller, mais je dois te laisser un peu assouvir tes envies. Je suis presque à ta merci. Tu me rejoins, te mettant au-dessus de moi. Tu viens membrasser goulûment, puis tu glisses sur mon torse
Tu prends un malin plaisir à jouer de la pointe de tes seins sur mon torse
Mes mains se crispent dans les draps. A ton tour, tu prends plaisir à couvrir mon torse, mon ventre, mes hanches de baisers, de coup de langues. Tu prolonges cette attente en tournant autour mon boxer. Tu mordilles délicatement la bosse quil dissimule maladroitement. Tes doigts parcourent mon corps. Féline, tapie entre mes jambes, tes yeux malicieux mobservent. Puis, comme pour échapper à mon regard, pour me priver de ce sens, tu viens à mes côtés. Tu me fais partiellement dos et ta tête cache ce que tu observes. Je sens ta langue dessiner des ronds sur mon bas ventre. Je sens tes doigts caresser mon entre jambe. Je narrive pas à te deviner, à savoir où tu es tant tu taffaires.
Je sens alors tes doigts glisser sous mon boxer. Bientôt, ils en prennent possession. Mon sexe jusqualors protégé, est acculé, cerné. Dun coup de poignet, lélastique de celui glisse sur tes mains et le libère. Libération toute relative, car je le sens convoité
jusquà ce que je sente lhumidité de ta langue pointer sur mon gland. Par petits coups, tu le titilles. Les assauts redoublent. Enfin, ta bouche se referme sur lui et tes lèvres en assurent lemprise.
Je ne sais ce qui se passe dans ta bouche, mais je sens que ta langue tourne autour de mon sexe. Tes lèvres épousent chaque veine, chaque forme. Ta tête alterne des mouvements rapides et lents. Jaimerais tatteindre, mais tu as choisi une excellente position. Je ne peux que caresser tes cheveux et ton dos. fellation4Jaimerais tant par mes doigts te faire ressentir le plaisir que tu me donnes. Ta bouche me gobe littéralement, tandis que tes mains sattaquent à mon entre jambe. Je ne peux pas bouger.
Ton emprise sintensifie, Ton étaux se resserre sur ma verge gonflée de plaisir. Tes caresses sintensifient. Sentirais-tu ma jouissance venir ou souhaites-tu la provoquer ? Jai des scrupules à mabandonner ainsi à toi, à me laisser dévorer avec tant de délectation sans pouvoir te faire participer. Ton assiduité est payante. Tu le sens, je tente de mécarter, de me retirer, mais tu redoubles deffort pour obtenir ce que tu cherches
Je mavoue vaincu. Mon sexe dans un dernier baroud dhonneur se raidi encore plus, avant de déverser dans ta bouche son nectar. Mon soulagement saccompagne dun râle long.
Ta bouche relâche son emprise. Tes lèvres courent le long de ma verge. Elles se font satin.
Ta tête se redresse. Tu arrives à te tourner pour enfin me regarder avec un grand sourire. Ma main tinvite à me rejoindre à côté de moi. Une jambe par-dessus la mienne, tu viens te blottir tout contre moi. Je caresse dune main ton dos et ta chevelure, tandis que la tienne soccupe de mon visage et de mon torse.
Pourtant, je ne suis pas satisfait. Au bout dun moment de caresses et de baisers, je mécarte de toi et je viens madosser à la tête du lit. Je tapote sur le lit pour te faire comprendre de venir tasseoir entre mes jambes. Complice, tu me souris et texécute, curieuse.
Aussitôt installée, mes mains tenserrent. Je descends le long de tes bras. Je remonte sur tes seins que je caresse. Dune main, je prends ton visage pour le porter à mes lèvres. Diversion, tandis que lautre descends entre tes jambes. Jy ai la surprise dy trouver une des tiennes. Nos doigts se mêlent, puis sétirent, entre croisés. Qui guide qui ?
Mon index atteint le haut de tes lèvres. Je les dessine doucement. Je les parcours sur toute leur longueur
Mes doigts simprègnent de ta cyprine. Tu te plaques tout contre moi et jarrive à percevoir ton excitation par les battements de ton coeur.
Mon majeur saventure à écarter délicatement tes lèvres. Il évolue dans un monde de douceur
Je continue mon exploration. Je retarde le moment où jirai plus profondément
Je préfère thabi à moi. Mes mouvements deviennent plus amples. A chaque fois, je me retiens à proximité de ton vagin
Il suffirait
Tu saisis fermement mon autre main. Tes doigts se referment sur elle au gré de mes allers et venues. Je plis légèrement mon majeur et au passage suivant, il ségare en toi. Lindex et lannulaire restent sur tes lèvres, puis jenfonce autant que je peux le majeur
Jatteins enfin cette douce paroi, tapie tout au fond. Aurais-je fait mouche ? Ta main semble me le confirmer en venant se poser fermement sur la mienne pour minviter à mancrer profondément en toi.
Mon doigt alterne des petits cercles et des va et viens en toi
Quel plaisir de tavoir au bout deux. Jimagine celui que jaurai en étant en toi.
Puis, en taidant de ta main, tu te relèves un peu. Au début, je pense que cest pour mieux tinstaller. Mais lorsque ton autre main disparait dans ton entre jambe et cherche à tâtons, je comprends mieux. Je mécarte comme je le peux et je viens taider. Je saisis mon membre redevenu dur, installé entre tes fesses, pour labaisser. Ce nest pas évident. Hé, je ny peux rien, la nature ma fait ainsi ! Mais tu y arrives et tu reprends ta position.
Maintenant, tu peux à loisir caresser le bout de mon gland. Je reprends mes caresses, bien décidé à te donner du plaisir, à te remercier à ma façon, à te faire participer à notre plaisir. Elles sintensifient, et je sens au rythme de ta respiration que ton plaisir approche. Tes doigts humectent mon gland de ta liqueur. Tu le fais participer aux prémices de ton orgasme. Que ta main est douce ! La paume de ma main posée sur le haut de tes lèvres, jespère bien faire participer ton petit bouton
Nous continuons ainsi quelques minutes, tous deux complices de ton futur plaisir
Mais je te sais partageuse et tu nes pas en reste de caresses pour mon sexe qui pointe entre tes jambes. Et je te soupçonne davoir une idée derrière la tête (ou du moins, au bout des doigts) au regard de la précision de tes gestes
Tes jambes sécartent un peu plus tandis que ta tête sabandonne sur mon épaule. 8637Ta respiration cesse un instant, puis tu resserres ton étreinte sur nos mains unis. Je sens au bout de mon doigt ton petit palais se contracter. Tes doigts plaquent autant quils peuvent mon sexe contre le tien
si bien que je sens monter enfin un plaisir que je nimaginais pas revenir si vite
Je sens des spasmes dans mon bas ventre et un bien être menvahir. Tes doigts plongent dans ma liqueur et remontent sur tes lèvres
Nos lèvres sunissent dans un baiser tendre et fougueux à la fois.
- Merci mon Ange
- De quoi ? De mavoir fait jouir deux fois ? Non, merci à nous
Nous restons ainsi, nous caressant mutuellement, dans de tendres gestes explorateurs et respectueux
. Je suis bien avec toi, enfin, oui, et jespère tavoir montré combien
Promis, la prochaine fois, je me laisserai faire
mais juste un peu...
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