Leslie Rf05

Leslie RF05 – Rêves et fantasmes.
Lesbienne soumise, mais pas que… Suite

« J’ai juste le temps de relever un instant la tête pour embraser le salon du regard et voir ce qui s’y passe…
Maryse et Daniel sont toujours dans leur coin du salon, elle est sur le canapé en levrette et se fait défoncer la chatte par Daniel qui derrière elle la tient par les hanches et la baise à grands coups de reins, elle hurle à chaque pénétration.
Déborah et Diane sont avec Louis et Jean, Diane et Déborah, sur le côté en position inverse, sont en train de se lécher la chatte mutuellement, tandis que les hommes, Louis et Jean, derrière elle les sodomisent avec vigueur. De temps à autre ils sortent de leur petit trou pour se faire sucer par l’autre qui suçait celle qui sodomisait, elles hurlent ensemble un plaisir non feint.
Gaston, dans le fauteuil, regarde d’un œil attentif tout ce qui se passe dans le salon, je remarque que malgré qu’il soit toujours aussi digne, son pantalon est ouvert sur son sexe dressé, long et gros, un sexe énorme qui ferait peur à plus d’une femme, mais dans ce salon il n’y a que des gourmandes initiées, et Viviane à ses côtés, le branle tranquillement en regardant elle aussi ses protégées.

Me sortant de mes pensées j’entends alors Claude dire :
- Je vais bien te la préparer !
Et je sens les mains de Claude se poser sur mes hanches, une brève caresse de son gland sur mon sexe complètement humide et d’un coup de reins pénètre ma chatte en me tirant un gémissement de plaisir…
Pendant que Claude me baise, j’entends Viviane et Marie parler.
- Alors tu as un nouveau jouet ? Demande Viviane
- Oui ! Regarde ! répond Marie après quelques secondes.
- Humm… intéressant !
- Tu m’aides à l’enfiler.
Ma curiosité est trop forte, je tourner la tête et je vois Marie nue avec sa poitrine arrogante et le bas ventre paré d’un harnais, un ceinturon lui entoure la taille et une lanière qui lui descend aussi entre ses jambes et rejoint le ceinturon, un gode en forme de sexe est fixé dessus.

Je n’ai pas le temps d’admirer plus l’objet car Claude changeant d’orifice, commence à m’enculer vigoureusement me faisant hurler en me cabrant comme une pouliche folle…
Claude se lâche dans mon conduit serré, je sens son sexe frôlé mes parois intimes quand il rentre et ressort, son sexe imposant me tire des cris et je frémis lorsque mon ventre s’embrase, le feu coule en moi, irradiant chaque partie de mon corps et je jouis en perdant le contrôle, à la limite de la perte de connaissance.

Florence se lève et disparait un instant, puis je sens Claude s’échapper de mon cul, laissant mon trou vide et ouvert, et aussitôt après deux mains me prennent la taille et je sens quelque chose me pénétrer en profondeur.
- Regarde ! Ça rentre comme dans du beurre, siffle Marie. Voyons si mon jouet va être aussi efficace que ton sexe !
Munie de son engin diabolique, Marie après m’avoir enfoncé son gode dans la chatte et après quelques va et vient d’un mouvement rapide, change de trou et m’enfonce l’engin dans le cul…
J’entends son bassin taper de plus en fort mes fesses, je feule de plaisir. Il ne faut que quelques minutes pour que j’atteigne une nouvelle fois l’extase, mon corps se cambre, ma gorge lâche un râle puissant et interminable et l’orgasme m’envahit…

Viviane est maintenant à genoux entre les jambes de Gaston et lui suce le membre avec avidité, sa bouche est complètement déformée par le sexe énorme de Gaston, mais Viviane est une professionnelle et elle en a certainement vu bien d’autres…
Soudain quand elle sent que Gaston est bien dur et aussi pour pouvoir surveiller ses filles, se redresse brusquement et enjambant Gaston se place au-dessus. Puis relevant sa jupe au niveau de sa taille, elle nous montre qu’effectivement elle a un porte-jarretelles pour tenir ses bas, mais ne porte pas de culotte, et descendant sur Gaston elle s’empale sur lui en grimaçant un peu, mais en disant :
- Waouh ! Les filles, si vous saviez comme c’est bon…
Maryse et Daniel ont été rejoints par Diane, alors que Maryse se fait sodomiser par Daniel, Diane équipée d’un gode ceinture encule Daniel qui hurle de plaisir en disant :
- Oui, fait moi le cul salope pendant que je fais celui de ta salope de copine !
Déborah restée seule avec Louis et Jean, se fait prendre en sandwich, Louis est dans son cul et Jean dans sa chatte, ce n’est que feulement et soupirs que laisse échapper Déborah de sa bouche entrouverte.
Florence surexcitée va vers Gaston, les yeux complètement remplis de vice, elle n’a pas encore été pénétrée tout comme Marie, Viviane la voyant s’approcher comprends et lui fait place. Florence enjambe Gaston et comme Viviane s’empale sur Gaston, mais Florence contrairement à Viviane ne s’empale par la chatte mais le cul directement.
- Hoo, hoo !
Florence gueule en s’enfonçant le pieu de Gaston dans le cul.
- Hoo, c’est gros, mais c’est bon…

Mes seins s’entrechoquent et s’agitent en tous sens sous les coups répétés que subit mon arrière-train. Je sens qu’une nouvelle vague de jouissance monte de plus en plus en moi, mes cris et gémissements reprennent de plus belle, mélange de cris, de pleurs et de râles. Marie se lâche aussi :
- Vas-y ! Gueule ton plaisir petite chienne !
J’explose une nouvelle fois, je ne crie plus, j’hurle.
Finalement, Marie me laisse enfin et je sens qu’elle libère mon cul, mais deux secondes plus tard je l’entends hurler de douleur, me retournant je vois Viviane qui équipée d’un gode ceinture est en train d’enculer Marie qui hurle en la suppliant d’arrêter.
Mais Viviane continue, jusqu'au moment où Marie en pleurs gueule son plaisir.
La soirée se termine, il est temps d’aller se reposer.

Viviane s’approche de moi et me dit :
- C’est bien ma petite, vous avez été à la hauteur, allez dans votre chambre vous reposer, il n’est pas impossible que la nuit sera courte…
J’ai quitté le salon, accompagnée de Maryse, complètement ivre de plaisir et nous avons été dans ma chambre où après une douche bien chaude prise ensemble, nous nous sommes affalées, nues sur le lit pour nous endormir…
Mais les corps parfois réclament de la douceur après un moment de plaisir intense, le câlin d’après le plaisir, ce moment où complètement relâchées il est possible de se laisser aller dans la confiance auprès d’un corps chaud qui nous rassure, moment intime que les femmes réclames et que peu d’hommes savent donner…
Nos corps, collés l’un à l’autre, nous restons immobiles dans le silence de la chambre, l’esprit vagabonde en repensant à la soirée et frémissent parfois sur une pensée plus érotique qu’une autre, puis sans savoir pourquoi, comme muent par un désir dépassant nos volontés, nos mains commencent à bouger, découvrent nos corps, à la recherche du frisson qui nous fera basculer, nos mains redécouvrent nos seins, nos ventres, nos intimités encore sensible après cette soirée de luxure, puis elles s’aventurent plus loin et vont dans nos sillons fessiers et découvrent nos œillets entrouverts et frémissant, puis nous nous aimons simplement en douceur avant de sombre dans le sommeil intense, rassurée d’avoir près de nous une complice… »

A suivre…