Leslie Rf06

Leslie RF06 – Rêves et fantasmes.
Lesbienne soumise, mais pas que… Suite et fin

« Quand je me réveille, la chambre et vide, je suis nue allongé sur le lit, il doit être huit heure du matin et j’ai une fringale d’enfer…
Je prends une douche et alors que je suis en train de me sécher, Viviane entre dans la chambre et me dit :
- On se réveille enfin ! Tout le monde est parti depuis longtemps.
- Pardon, Madame, mais je dormais, la soirée a été épuisante !
- Oui, j’ai vu. Mais bon, mes invités étaient contents de vous. Allez-déjeuner et revenez dans votre chambre, je viendrais vous voir ensuite…
Encore vaseuse, je vais prendre mon petit déjeuner où je retrouve Maryse, nous nous embrassons longuement puis nous déjeunons avant de retourner dans nos chambres.

Arrivée devant ma chambre, Viviane m’attend devant la porte d’entrée. Nous entrons et Viviane m’explique :
- Comme je vous le disais, tous les invités sont partis, sauf Gaston, il a flashé sur vous et Maryse.
- Ahhh !
- Il est resté car il s’est mis en tête de vous sodomiser ensemble à tour de rôle, votre complicité avec Maryse ne lui a pas échappé et il adore sodomisé des jeunes filles complices, un peu lesbiennes, les entendre gueuler en étant sodomisées lui procure un immense plaisir.
- Ohhh, Madame, mais membré comme il est nous allons avoir très mal.
- Ne vous inquiétez pas, j’ai prévu cela, avant de venir le rejoindre, Jean et Louis vont vous préparez tout l’après-midi, vous serez préparé par Jean et Maryse par Louis.
- Mais Madame…
- Aucune discussion ! Jean viendra à deux heures dans votre chambre, préparez-vous avant et rejoignez-nous au salon vers neuf heures ce soir.

Alors que Viviane est sortie de la chambre, je prends le temps de me regarder, je m’étudie nue dans le miroir de ma chambre et je vois une jolie jeune fille, aux seins pas trop gros mais arrogants, un ventre plat au-dessus d’un pubis glabre aux lèvres bien dessinées et apparentes.


Je me retourne pour voir mon dos, mon cul cambré aux hanches étroites pourrait être un peu large au goût des esprits chagrins, c’est sûrement ce que doivent dire les envieuses qui me jettent parfois des regards noirs quand leur maris me regardent de façon insistante.
J’ai du temps avant que Jean ne vienne me rejoindre dans ma chambre, alors je vais rejoindre Maryse dans la sienne, que je retrouve aussi nue que moi…
Comme moi elle a eu la visite de Viviane qui lui a expliqué la visite de Louis en début d’après-midi pour lui préparer l’œillet, elle est aussi inquiète que moi de se faire prendre le petit trou par Gaston et son membre monstrueux, mais elle me conte quelques aventures qu’elle a vécue avec détails, les soirées chez Viviane qui commencent à lui peser, au bout d’un moment elle me regarde et me dit :
- Mais j’ai l’impression que mes histoires t’excitent, t’as la chatte qui dégouline, petite cochonne.
- Arrête de parler et caresse-moi.

C’est vrai qu’elle a raison, cette petite vicieuse de Maryse, malgré la peur de continuer avec Viviane et ses fantasmes de soumission, et Gaston, je me rends compte que je suis dans une excitation incontrôlable et j’espère que Maryse va rapidement m’aider à calmer mon corps, car je sens que les envies montent de plus en plus vite.
Mon ventre est en feu et que ma chatte je sens réclame des caresses et en me collant contre Maryse, j’en profite pour entourer sa cuisse de mes jambes et comme nous sommes nues toutes les deux, c’est ma chatte humide que je colle sur sa cuisse.
Maryse ouvre les bras et me serre contre elle et pose ses lèvres sur les miennes et je sens ses deux mains commencer à me malaxer le cul. Puis les doigts d’une de ses mains glissent vers mon pubis, tandis que l’autre s’attaque au sillon de mes fesses.
Je lâche un cri quand je sens un doigt suivre mes grandes lèvres qui, bien ouvertes, accueillent la visite de ce doigt avec plaisir. Puis il se fait plus conquérant et pénètre dans mon sexe, se balade en lui caressant parfois au passage mon bouton de jouissance.

Je ne peux pas résister plus longtemps, je m’affale sur le lit en gémissant, les jambes largement écartées pour faciliter les caresses de Maryse, qui se déchaîne en enfonçant son doigt profondément et brutalement en moi.
Je me cabre sous l’effet de surprise et de plaisir, et donne la possibilité à Maryse d’exécuter un savant va-et-vient rapide de son doigt dans mon sexe.
Puis au bord de la jouissance, c’est sa langue que je sens venir explorer les parties intimes de mon corps en fusion.
Il n’en faut pas plus pour m’arracher de nouveaux cris de plaisir et enfin j’atteins l’extase. Ma jouissance explose rapidement, mon corps se tend et mes cris deviennent plus rauques.
Encore un doigt en moi, Maryse se penche pour déposer un dernier baiser sur mon sexe.
Je lui rendrais la pareille et ensuite nous jouirons ensemble…

Puis je suis retournée dans ma chambre, un peu secouée des jouissances que Maryse venaient de me procurer, et je me suis allongé sur le lit nue, pour attendre la venue de Jean…
Je ne sais pas pourquoi, mais en moi un combat venait de naitre, celui de mon corps réclamant de nouveau plaisir et me disait de rester et celui de mon esprit qui me commandait de m’enfuir et de partir au plus vite.
Je n’ai pas eu le temps de trouver la réponse car déjà Jean entrait dans la chambre, nu comme un vers, une bouteille de whisky dans une main et deux verres dans l’autre.
Jean se place sur le bord du lit et me demande :
- Tu veux un verre ?
J’opine de la tête en disant oui, en pensant qu’un verre d’alcool fort me donnera du courage pour aller jusqu’au bout de ce qui m’attends, et tout d’abord de me faire sodomiser par Jean, puis par Gaston après…
Il me tend mon whisky et dit avec d’un ton moqueur :
- A la petite enculée !

Je me redresse un peu pour boire d’un trait le verre que Jean m’a servi, aussitôt mon corps est remplit d’une douce chaleur, alors j’écarte les cuisses pour dévoiler ma chatte à Jean qui commence à s’exciter et se sert son troisième verre.

Alors pour continuer de l’exciter, je prends mes seins à pleine main et commencent à jouer avec, Jean est aux anges, puis mes doigts descendent le long de mon corps et passent sur mon ventre, mes mains glissent vers mon pubis, trouvent ma chatte, écartent mes lèvres pour dévoiler l’intérieur de mon intimité
Puis un doigt joue avec mon sexe et s’enfonce dedans, pénètre ma vulve, laissant mes lèvres l’avaler. Je reste ainsi, l’autre main caressant mes fesses at allant à la recherche de mon petit trou…
Les yeux de Jean sont rivés sur ma chatte, Jean bande comme un damné, alors je le provoque en disant :
- Elle te plait ma chatte de petite cochonne ?
- Oui, elle est magnifique ! Réponds Jean.
- Alors, qu’est-ce que tu comptes faire maintenant ?
- Je vais te baiser petite salope, mais avant enfile ça !

Il me tend la guêpière qui était posée à la tête du lit, je l’enfile et la ferme puis j’enfile les bas et alors que je termine d’attacher les bas aux jarretelles, je lui demande :
- Alors, t’en pense quoi ?
- Que je vais te sauter dessus dans quelques secondes, tellement tu es sexy.
- Tu vas me sauter dessus ?
- Oui car là t’es vraiment trop craquante !
Je remarque que la bouteille est vide, Jean l’a terminer pendant mon habillage.
Toujours provoquante je le nargue en profitant de l’instant pour me regarder dans le grand miroir. Effectivement, c’est sexy et provoquant, ma poitrine est relevée par le bustier et laissée nue par la forme seins nus, mes aréoles sont bien visibles et mon pubis est accessible.
- Je vais mettre de la musique, dit-il.
Il att une télécommande et une musique douce envahit la pièce et aussitôt il m’att le bras, m’attire vers lui et me saute dessus comme pour me violer.
Son membre dur frappe à l’entrée de mon intimité et pénètre ma chatte d’un coup de reins.
Je me sens remplit quand Jean bute au fond de moi, une douce chaleur envahit mon ventre, il fait deux aller-retour très doux afin que je sente bien son membre en moi, puis il commence à me pistonner avec entrain et vigueur.


Je commence à jouir, mon corps entier est pris de tremblement, des gouttes de sueur perlent sur tout mon corps, je suis à la limite de la rupture, à la limite de me pâmer, il faut dire que Louis me pistonne maintenant depuis plus d’une demi-heure.
Soudain il s’arrête, me laissant quelque peu frustrée de ne pas avoir jouis tout mon saoule ; il me regarde et me dit :
- Montre-moi ton cul de salope maintenant, que je t’encule !
Il me libère du poids de son corps et rajoute ;
- Allez mets-toi en position, petite salope !
Je m’exécute et me place en levrette, les reins bien cambrés afin de lui montrer tout ce qu’il désire voir de mon anatomie intime, alors il s’exclame :
- T’as vraiment un super cul de salope !
Il se place derrière moi entre mes jambes bien écartées et je sens son gland se poser sur ma rosette, je frémis car Jean est quand même bien membré, et je sens son gland pousser sur mon anus tentant de passer la barrière de mon muscle anal.
J’ai un peu mal et je gueule, je le supplie d’arrêter, mais son gland force et ouvre mon anus et s’insère dedans. Je me sens posséder et remplie, il glisse doucement son membre au fond de mon cul et me voilà enculer comme une chienne…
Il va ainsi forniquer pendant près d’une heure, avant de jouir au d=fond de mon ventre, me laissant le petit trou endoloris et sensible.
Avant de partir, je l’entends me dire alors que je gis sans force à plat ventre sur le lit :
- Te voilà bien ouverte, t’es une belle petite enculée…

Je reste ainsi sans force pendant un long moment, le cul douloureux et soudain u sentiment de honte m’envahit, comment ai-je pu en arriver là, accepter de subir tous les outrages et attendre patiemment d’être enculée à nouveau par un membre de folie.
La peur me gagne, la rage inonde mon esprit, alors je décide de partir…

J’att mon sac de sport, et le remplit le plus vite possible de mes affaires présentes, puis mon manteau dans l’armoire de la chambre que j’enfile rapidement ainsi que mes chaussures et je m’enfuis par la porte de la chambre en faisant le plus doucement.
La peur de réveiller Jean me fait forcer l’allure et je suis enfin dans le couloir, la porte refermée je vais directement à la chambre de Maryse, je vois de la lumière filtrée par le bas de la porte et doucement je frappe à sa porte en disant :
- Maryse ? C’est Leslie, tu peux m’ouvrir ?
Aussitôt la porte s’ouvre et Maryse me fait entrer et referma la porte derrière moi en me demandant :
- Que se passe-t-il ?
Je lui explique mon envie de quitter ce lieu avant de tomber dans la débauche et de me faire déchirer le cul par Gaston et lui propose de partir avec moi.
Maryse est habillée et en deux minutes son sac est prêt, décidée à me suivre, elle me regarde et me dit :
- Je ne suis pas sûre que tu te rendes compte, t’as vu comment tu es habillée ? Me dis Maryse un sourire aux lèvres.
Je jette un coup d’œil sur ma personne et je vois que mon manteau est largement ouvert sur mon corps nu, mis en valeur par ma guêpière.
Il fait nuit, personne me verra, dis-je.
Peu de temps après nous sommes près de ma voiture et nous nous empressons de monter dedans. Sur le chemin je lui explique que je peux l’héberger et que je suis amoureuse d’elle…
- Ca me plait et je suis d’accord pour que tu m’héberge, mais avant de t’avouer que je suis amoureuse de toi, accélère un peu car j’ai des envies à assouvir…
- Alors toi, dis-je, t’es vraiment une petite vicieuse ! »

Sortant de mon rêve, je me suis retrouvée en sueur, le sexe bandé et j’ai presque regretté de ne pas être une femme…

A suivre…

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