Maudites Vacances (3) : Nuit Calme Et Réveil Tonique.
Ma femme Corinne, mon copain Jonathan et moi-même sommes tous les trois en train de dîner ce soir et il y a comme qui dirait une drôle dambiance. Jonathan fait tout son possible pour détendre latmosphère (il y arrive plutôt bien, dailleurs), mais aucun de nous trois na évidemment oublié ce qui sest passé cet après-midi : Jonathan a baisé ma femme devant moi une première fois en mobligeant à me masturber, et il a remis ça plus tard alors que jétais misérablement caché derrière les rideaux. Je me sens ridicule et honteux car je nai rien perdu du spectacle puisque jétais aux premières loges à chaque fois. Je ne sais vraiment pas comment je vais faire pour éviter que ça recommence et ça explique mon air morose.
Juste avant lapéritif, il nous a signalé que sa copine arriverait vendredi, quils avaient fait un test de dépistage du VIH et quil était clean. Il a même négligemment tendu son certificat, comme si cétait une autorisation de baiser Corinne sans capote ! Incroyable, non ? En tout cas, en ce moment je fais clairement la gueule, mais ça na pas lair de trop les déranger puisquils font comme si de rien nétait.
De fil en aiguille, la soirée savance et lheure du coucher nest pas loin. Quand je demande où est notre chambre, Jonathan prend un air gêné.
- Je vais vous montrer les possibilités, mais il y a un problème avec les chambres de létage
- Comment ça ?
- Bon, suivez-moi, vous allez comprendre.
Je me demande ce que ça signifie. On se lève de table tous les trois, on rentre dans la maison (la journée a été si chaude quon a passé la soirée à essayer de se rafraichir dehors) et on grimpe à létage. Quand on arrive, je comprends le problème : comme la chambre est sous les toits et que le soleil a tapé toute la journée, on a limpression de rentrer dans un sauna. Corinne réagit aussitôt :
- Non, cest pas possible, il fait au moins 40 degrés là-dedans ! Il ny a rien dautre ?
- Si, mais cest la même chose
- Effectivement, quand on arrive dans la deuxième chambre sous les toits, cest le même problème.
- Mais, et toi ? Tu dors où ?
- Moi, je dors dans la seule chambre du rez-de-chaussée, cest plus frais.
On redescend pour finir la visite. Effectivement, la chambre de Jonathan, petite mais exposée au nord, est très agréable. Ce qui me frappe cest la taille du lit : deux mètres de large sur deux mètres de long.
- Écoutez, je suis désolé ; quand jai vu la chaleur des pièces de létage, jai compris pourquoi la location était si bon marché, mais cétait trop tard. Tout ce que je peux faire cest vous proposer quon dorme tous dans mon lit, il y a largement assez de place pour dormir à trois sans se gêner.
Un sentiment de terreur menvahit. Je vois le désastre qui sapproche comme une fatalité et la réaction de Corinne confirme mes inquiétudes.
- Oui, tu as raison, en tout cas moi, je ne dors pas là-haut, je nai pas envie de mourir de chaleur. Et toi, Nicolas, quest-ce-que tu fais ?
Le sang se fige dans mes veines : si je comprends bien, jai le choix suivant : ou bien je dors seul dans une pièce surchauffée pendant que Jonathan pourra baiser ma femme du soir au matin en toute impunité, ou bien je reste avec langoisse de me faire cocufier malgré tout, et avec en prime une place de spectateur privilégié ! Dans les deux cas, les insomnies, le ridicule et la honte sont au rendez-vous. Comme je ne suis pas vraiment capable dimposer mes conditions, jessaie de faire bonne figure.
- Bon, daccord, on peut essayer pour cette nuit, on verra bien ce que ça donnera, mais cest quand même pas lidéal.
- Allez, mon chéri, tu vas pas faire la tête, et puis Jonathan va être sage ce soir, nest-ce-pas ?
- Oui, oui,
Enfin, je vais essayer, mais je ne promets rien
Ces allusions au fait quils mont cocufié cet après-midi mexaspèrent autant que les petits regards complices quils se lancent. Que je fasse une scène ou pas revient au même : je me sens ridicule et nai dautre ressource que de rester aussi naturel que possible, même si je bous intérieurement.
Je vais chercher mes affaires, puis commence à me préparer pour la nuit. Quand jarrive dans le lit en caleçon, Jonathan est déjà là, dans la même tenue. Heureusement, il est tout à gauche, tranquillement en train de lire un magazine. Du coup je me précipite dans le lit et me mets au milieu, comme ça il ne restera que lautre bout du lit pour Corinne. Quand cette dernière arrive pour se coucher elle aussi, je frémis : elle a mis sa petite nuisette sexy légère et presque transparente qui réussit à mettre en valeur tout ce quelle est censée cacher : non seulement on distingue nettement les contours de ses formes avantageuses, mais aussi une grande partie de ses jambes, et même de ses cuisses. Quant aux pointes de ses seins qui semblent vouloir traverser le fin tissu, cest la cerise sur le gâteau ! Comme si ça ne suffisait pas, Corinne passe devant la lumière pour nous faire des effets de transparence. Une fois de plus elle arrive à ses fins : Jonathan a cessé sa lecture et regarde avec un air ahuri. Heureusement ça ne dure pas trop longtemps et Corinne ne tarde pas à se coucher.
Quelques minutes après cest lextinction des feux et nous voilà partis pour la nuit. Lobscurité nest pas complète car les chiffres lumineux du réveil donnent une très légère pénombre qui permet de distinguer vaguement les contours de la pièce et des meubles.
Au bout de quelques minutes, plus personne ne bouge et on semble se diriger vers une nuit sereine. Pour moi, avec le cerveau en ébullition, impossible de dormir. Les événements de la journée tournent en boucle dans ma tête et je narrive pas à me détendre. De plus, je me dis que si je mendors, on ne sait jamais ce qui peut se passer. Jai beau être entre Jonathan et Corinne, on ne peut jurer de rien. Les minutes, puis les heures passent ainsi sans que je réussisse à trouver le sommeil. De temps en temps, jentends un mouvement à ma droite ou à ma gauche, mais cest à chaque fois une fausse alerte : lun comme lautre semblent dormir et remuent dans leur sommeil.
Vers deux heures du matin, agacé, je me lève pour aller aux toilettes, mais quand je reviens, je constate que Corinne a légèrement bougé et que si je reprends ma place, je vais la réveiller car elle sest mise en diagonale et je nai plus assez de place entre elle et Jonathan. Je me résigne donc à changer de place et à me mettre de lautre côté, mais ça mangoisse parce que maintenant Corinne est entre Jonathan et moi. Jy pense tellement que je reste encore éveillé pendant deux heures, guettant le moindre frémissement ou le moindre soupir. Finalement, épuisé par tant de veille, je finis par succomber à la fatigue après quatre heures du matin.
Quand je me réveille, je mets un certain temps à réaliser où je suis et ce qui se passe. Le jour est levé, et je perçois des mouvements et du bruit à côté de moi. Je me tourne pour voir ce qui se passe. Corinne est apparemment encore à moitié endormie, dans cet état intermédiaire que je lui connais si bien. Elle bouge, sétire, se tourne et se retourne alors quelle na même pas encore ouvert les yeux. Je lobserve, les yeux mi-clos. Je ne vois pas Jonathan puisquil est de lautre côté. Bon, ça va, rien à signaler. Je nai vraiment pas assez dormi et je replonge à moitié. Pendant ce temps, ça bouge un peu plus mais je ny prends pas garde.
Quand jentrouvre les yeux à nouveau, je comprends trop tard ce qui vient de se passer. Dans un demi-sommeil, Corinne a du toucher Jonathan, peut-être même quelle la caressé en simaginant que cétait moi (puisque jai changé de place dans la nuit), et du coup il sest réveillé et a transformé ses désirs en réalité. Il a pris les choses en main, ou plutôt en bouche. Je vois une bosse sous la nuisette de Corinne car il est en train de lui faire un réveil sous forme de cunnilingus.
Elle a les yeux fermés, est encore à moitié réveillée ou déjà en train de se laisser aller, et gémit doucement, mais régulièrement. Jonathan recommence son truc qui a si bien marché hier : actif avec sa bouche, mais aussi avec les mains : il lui remonte la nuisette au-dessus de la taille, puis toujours plus haut, lui découvre les seins.
- Enlève ça, ma belle, tu nen as plus besoin pour ce que je vais te faire
Il parle doucement, comme sil ne voulait pas me réveiller. En tout cas, Corinne ne peut plus faire semblant de dormir. Elle se laisse faire sans résister et abandonne sa nuisette. Dès cet instant, Jonathan se jette sur elle avec voracité, lui caresse les seins, les embrasse, les lèche avec application, les mordille. Elle commence à pousser de petits cris. Cen est trop et je me redresse pour réagir :
- Non, mais cest pas vrai, vous nallez pas remettre ça !
- Excuse-moi, mon vieux, mais comment veux-tu que je réagisse si ta femme me réveille en se frottant contre moi. Regarde la trique quelle me met !
Il est agenouillé, assis sur ses talons et les jambes écartées, fier de son énorme braquemard tendu vers le plafond.
- Putain, quest-ce quelle est chaude, un vrai volcan ! Cest trop bon de la palucher, elle aime ça et elle en redemande. Cest pas possible de résister !
Je suis incapable de répondre. Je regarde Corinne qui se fait tripoter sans résistance. Elle ne daigne même pas ouvrir les yeux. Elle se contente de sabandonner aux caresses de Jonathan en gémissant et en poussant des « Mmmmm
» et des « Ohhh ! », comme pour lencourager.
Fou furieux, je me lève et me dirige vers la salle de bains en grommelant un : « Vous faites chier, tous les deux ! ». Malheureusement, ça ne change rien : je me regarde dans la glace avec un air morose et pendant ce temps, on dirait que Jonathan est passé à la vitesse supérieure car jentends déjà Corinne pousser des petits cris. La suite est encore pire :
- Oh ! Mais tes encore raide comme un pieu, toi !
- Allez, fais-moi un bisou sur le bout de la queue
Oui,
Mmm
cest bien, comme ça
Ah, oui, salope, cest bon, cest génial, continue
Ohhhh
Putain, tas une bouche de déesse, toi,
Ouii
vas-y, suce-moi bien à fond, oui, cest ça,
Mmmm, jadore !
-Mmmm
- Oui, oui, comme ça, caresse-moi les couilles, cest super,
Tes un super suceuse, tes vraiment trop bonne
-Mmmm
- Ouais
Branle-moi la tige
Jadore
Oh, non de dieu, tas une super bouche, ma mignonne
Tu vas voir ce que je vais te mettre
-Mmmm
Moi qui espérais quen sortant de la chambre ça irait mieux, je me surprends à surveiller et écouter chaque mot, chaque soupir, chaque gémissement et cest pire que tout ! Ce que jentends ne laisse aucun doute : cette salope de Corinne est en train de sucer la grosse queue de Jonathan et je crains bien quil néjacule dans sa bouche ou passe à autre chose. Je me risque à regarder par lentrebâillement de la porte et ça confirme toutes mes craintes : Corinne sacharne sur la queue de Jonathan, la suce tout en la branlant dune main et en lui caressant les couilles de lautre. Jonathan me voit et réagit aussitôt.
- Ta femme est une super bombasse, tas vraiment de la chance. Allez, viens voir de plus près, je sais que ten as envie, pas la peine de te cacher, on est entre amis !
Je me sens une fois de plus ridicule à me planquer dans la salle de bains. Jai honte comme un gamin que lon surprend la main dans le sac alors que cest quand même lui qui se tape ma femme ! Entre temps, il a changé de position. Il tire Corinne par les cheveux pour quelle arrête de le sucer, puis lallonge sur le dos.
- À moi de jouer, ma belle, tu vas voir, moi aussi je sais faire des trucs.
Il lui écarte les jambes et sallonge sur elle, puis sinstalle tranquillement et se met en position pour lui faire un missionnaire. Ça ne traine pas, il trouve très vite son chemin et pénètre Corinne une fois de plus. Elle sursaute et pousse un long gémissement pendant quil lui enfonce sa queue aussi profondément que possible et simmobilise.
- Regarde ta femme comme elle aime se faire enfiler. Allez, approche-toi, sois pas timide, je vais te la faire gueuler de quoi te faire bander comme un cerf, tu vas voir.
- Jaime pas ça du tout, si tu veux savoir.
- Menteur ! Tas encore une bosse qui te déforme le caleçon. Montre voir ta queue si tu lose !
- Ça ne prouve rien ! »
- Si, ça veut dire que ça texcite de voir ta femme se faire baiser, et tu vas être servi !
À peine a-t-il dit ça quil commence à aller et venir dans le vagin de Corinne, et le résultat ne se fait pas attendre : soumission, gémissement, puis petits cris. Cest reparti pour un tour. Il accélère la cadence et sadresse tantôt à elle, tantôt à moi.
- Ton mec est en train de mater et plus je te nique, plus ça le fait bander, regarde ! Allez, viens, approche-toi, montre à ta femme que tu bandes encore pour elle, sinon elle va se vexer
Plus il me ridiculise et moins je suis capable de lui répondre, comme si ses arguments étaient inattaquables. Entre temps, je suis sorti de la salle de bains, mais je reste à la porte, indécis, incapable de prendre une décision, balloté par les événements, avec mon caleçon tendu par lérection. De son côté, Jonathan continue de ramoner ma femme en missionnaire, relevé sur les coudes pour pouvoir lui prendre les seins à pleines mains pendant quil la lime impitoyablement. Parfois il lembrasse fougueusement et lui roule des pelles interminables, à dautres moments il se concentre davantage sur ses seins. Pour me donner une contenance, je fais mine de chercher mes vêtements et de vouloir mhabiller, mais Jonathan ne lentend pas ainsi.
- Ten vas pas, sinon je baise ta femme toute la matinée.
- Cest bon, tu mas déjà fait le coup hier. Jen ai marre.
- Ok, cest toi qui lauras voulu.
Je mets rapidement ma robe de chambre et décide daller dans la cuisine. Ce nest pas très glorieux, mais bon, cest tout ce que jai trouvé pour linstant. Je reste ainsi plusieurs minutes à réfléchir, mais je ny arrive pas. Les cris de ma femme traversent la porte de la chambre et me vrillent les tympans. Je ne sais pas si je me fais des idées mais jai limpression quelle gueule de plus en plus fort et quil est en train de la faire jouir comme une folle. Parfois cest lui qui crie des obscénités que je voudrais ne pas entendre. Si je ne fais rien pour arrêter ça, il va en faire son esclave sexuel. Plus ça va, plus ça monte en puissance. À un moment, ça devient plus calme et jespère que cest fini, mais ça repart de plus belle. Je crois quil est effectivement capable de mettre ses menaces à exécution et de ne pas éjaculer pour pouvoir la baiser toute la matinée. Il va falloir que je me plie à ses caprices et que jy retourne.
Quand jouvre la porte de la chambre, il est en train de la prendre en levrette en lui tenant fermement les hanches pour bien senfoncer en elle à chaque coup de reins. Quand il arrive au fond Corinne pousse automatiquement un cri et encaisse le coup. Il est ravi de son petit jeu et rayonne.
- Ah, je savais que tu viendrais. Tu vois, jaime bien la prendre aussi comme une chienne, cest super excitant. Et puis, elle a un cul denfer, ta nana ! Bon, alors, tu te décides à te foutre à poil, oui ?
Je retire ma robe de chambre comme si jallais me coucher. Un sursaut de dignité ridicule me fait dire :
- Je nai pas bien dormi, je vais me recoucher un peu.
- Oui, cest ça, mais retire ton caleçon.
- Bon, bon, si tu veux, je men fous
En fait, je ne men fous pas, mais bon, on fait ce quon peut
- Ta femme, cest une merveille : doù que tu la prennes, où que tu la touche, cest toujours génial.
Puis, tout à coup, il recommence à la pistonner à toute vitesse. Corinne crie aussitôt, gémit, halète et supplie :
- Non, salaud, arrête, jen peux plus
- Mais si, ma belle, ma queue est encore raide et celle de ton mec aussi. Je vais te baiser jusquà ce quil se décide. Moi, ça me va. Et lui, peut-être quil veut que tu te fasses limer toute la matinée !
- Arrête de dire nimporte quoi ! Elle en a marre et moi aussi, alors arrête.
- Tais-toi et branle-toi ! Et regarde ta nana, tas vu comme elle prend cher !? Je parie que tu savais pas quelle pouvait jouir si longtemps.
Effectivement, entre soupirs, halètements, gémissements et cris, on ne peut douter de ce que ressent Corinne. Malgré tout elle finit par trouver la force de parler :
- Allez, Sébastien, sil te plait, fais ce quil te dit
Vu comment les choses sont engagées, je crois que je nai plus trop le choix. Je mallonge dans le lit après avoir retiré mon caleçon.
- Cest bien, cest très bien. Tiens, jai une idée pour le dernier round. On va se faire un bon plan à trois, tu vas voir. »
Il sarrête alors puis sort sa queue de la chatte de ma femme. Corinne na pas trop le temps de réagir quil a déjà mis son plan à exécution : il sapproche, sallonge à côté de moi sur le dos et installe Corinneà califourchon, en position chevauchante. Jai loccasion de voir sa queue encore raide juste avant que ma femme ne vienne sempaler dessus. Avec un braquemard de cette taille, rien détonnant à ce quil arrive à la faire jouir comme ça.
- Allez, la belle, viens donc que je tenfile encore une fois pour la dernière ligne droite.
Obéissante, Corinne sassoit sur la queue de Jonathan et se fait pénétrer une fois de plus sous mes yeux. Encore un choc, puisque je suis allongé tout contre lui et que jai droit à un plan rapproché de sa grosse bite qui plonge dans la chatte de ma femme.
- Ohhhh
Vous êtes vraiment des obsédés, les mecs
- Mais cest toi qui nous met dans cet état, ma belle. Tes faite pour la baise et ce serait vraiment dommage de ne pas en profiter. Mmmmm
Oui, cest bon, cest super comme ça, jaime quand tu tempales sur ma queue
- Tu ne penses donc quà ça ?
- Je ne suis pas le seul : regarde la trique de ton mec.
Jen ai tant vu depuis hier que je ne suis plus à ça près : Corinne me regarde, comme si elle découvrait ma présence. De manière tout à fait naturelle, elle se met à monter et descendre sur la queue de Jonathan, alors quil y a deux minutes à peine elle demandait que tout cela sarrête. Cest donc elle qui donne le rythme et moi, jai définitivement disparu des écrans radars. Bien entendu, Jonathan, bien quallongé sur le dos, reste actif : il a une vue directe sur les seins de Corinne et ne se prive ni de les regarder, ni de sen occuper. Il les saisit à pleines paumes sans oublier de pincer les tétons qui sont toujours aussi durs.
- Mmmm
Tas vraiment des nichons de rêve, jadore ! Tiens, jai les mains occupées, tu pourrais être sympa avec ton mec et le branler, non ?
De mieux en mieux : maintenant cest lui qui demande à ma femme de me masturber : je crois décidément que rien ne me sera épargné ! Une fois de plus, Corinne obéit et se penche un peu, tend la main et me saisit la queue alors que Jonathan continue de la ramoner. La situation est totalement ridicule et incongrue, mais quand les doigts de ma femme commencent à me masturber, je ne peux mempêcher de trouver ça merveilleusement agréable.
Jai beau me sentir ridicule, minable et méprisable, je me surprends à me dire que finalement, il faut prendre son plaisir quand loccasion se présente, quand bien même ce ne seraient que des miettes. Jhésite entre me résigner et réagir violemment, mais ça ne dure que quelques instants. Comme les fois précédentes, je finis par me laisser entraîner dans ce jeu loufoque où jai le dessous. Au moins, si jy prends du plaisir, je naurai pas tout perdu
Me voilà donc masturbé par ma femme pendant que cette dernière se fait baiser et peloter par mon copain, et le pire, cest que le spectacle quils moffrent tous les deux contribue à mon excitation : les seins de Corinne qui bougent en rythme, la queue de Jonathan qui rentre et sort de son vagin, les cris et grognements qui accompagnent le tout
Je me fais branler au rythme des coups de queue quencaisse Corinne, du plaisir qui la submerge, et moi, je suis comme un toutou : tantôt jouvre les yeux pour me régaler du spectacle, tantôt je les ferme pour ne surtout rien voir, et dans tous les cas je monte inexorablement vers lorgasme à mon tour. Je trouve les commentaires de Jonathan à la fois insupportables et super excitants, comme sil sautorisait un vocabulaire que je nai jamais osé utiliser :
- Oui, cest ça, tes une vraie salope, tu te fais ramoner en branlant ton cocu de mari et ça texcite, hein ? Avoue, tas jamais fait un truc pareil, hein ?
- Ohhh
Je
Je
Non
- Je men doutais, mais ça te plait quand même de te taper deux mecs en même temps, hein ? »
- Ohhh
Je
Oui
- Tentends ça, Sébastien ? Cest une première. Je parie quelle ta jamais branlé dans ce genre de situation. Je suis sûr que taimes ça, au fond.
- Fous moi la paix !
- Oh, mais cest quil se vexerait, ma parole ! Tu bandes comme un cerf, tu gémis comme une salope en te faisant branler par ta femme, tu la reluques en train de se faire tringler et tu vas me dire que taimes pas ça !?
- Je temmerde !
- Bon, bon, ténerves pas
Vas-y, Corinne, passe à la vitesse supérieure pour calmer ton mec sinon il va se fâcher et ça serait dommage, non ?
À peine a-t-il dit ça queffectivement, soumise et obéissante, Corinne accélère le rythme et se met à me branler de plus en plus vite. Je suis à la fois de plus en plus vexé et de plus en plus excité. Cest une situation dingue : ma femme me cocufie allègrement et obéit à Jonathan quand il lui ordonne de me masturber ! Je me trouve donc une fois de plus en position dinfériorité, et je suis complètement dépassé par les événements, dautant plus que Corinne sait exactement comment me faire jouir et que je ne vais pas tarder à succomber. Déjà, une partie de moi essaie de résister mais je sens bien que je ny arriverai pas : je commence à respirer plus fort, jarrive difficilement à réprimer des gémissements et je suis en train de me laisser complètement aller. Une fois encore jai perdu la partie et Jonathan savoure sa victoire. Il continue de commenter la scène :
- Taimes ça, on dirait, ça te plait de te faire branler
Tas bien raison
Oui, vas-y, la belle, continue
Regarde ton mec comme il apprécie le traitement
Tes une super salope, tu vas nous faire jouir tous les deux en même temps, hein ?
Maintenant jai fini de résister, je suis vaincu : comme une dernière humiliation, je commence à gémir continuellement mais garde malgré tout les yeux ouverts : ma femme fait du rodéo sur la queue de Jonathan, ouvre les yeux par instants, et, au vu de la frénésie qui lhabite, elle est visiblement submergée par un nouvel orgasme. Accessoirement elle me masturbe violemment comme si elle voulait me traire. Vision de folie : nous sommes tous les trois emportés par le plaisir et poussons des cris, des gémissements et des grognements à tour de rôle. Jonathan continue de déverser ses obscénités pour accompagner le tout :
- Ouais
Je te nique et je vais tengrosser, ma jolie, continue, je veux voir ton mec juter pendant que je te baise, oui, cest ça, branle-le, il ne demande que ça
Oui, cest bon
Ohhh
ouii
Salope, cest bon
. Je viens
. Ahhhh
Ouais
Ahhhhhhhhhh
. »
Cette fois cest Jonathan qui craque le premier et simmobilise en poussant un long cri. Je suppose quil est en train déjaculer. Cest presque insupportable, et pourtant, je me mets aussi à crier dans la foulée car Corinne, maintenant que Jonathan ne bouge plus, se concentre sur ma queue et accélère encore : je suis possédé par le plaisir imminent qui approche et ne vient pas, je suis dominé par lexcitation et lhumiliation, si bien que ce moment hors du temps dure plusieurs dizaines de secondes pendant lesquelles je ne sais pas moi-même ce qui marrive. Corinne et Jonathan me regardent tous deux pendant que je me lâche à mon tour et finis par juter sur mon ventre alors que Corinne presse ma queue comme pour mieux me vider.
Nous reprenons notre souffle tous les trois, sans un mot. Corinne quitte sa position et file vers la salle de bains. Moi, je cherche un mouchoir pour messuyer. Le silence qui suit est à la fois calme et oppressant. Cest Jonathan qui rompt le silence le premier, en essayant de détendre latmosphère :
- Wouaouh ! Voilà une journée qui commence bien !
Je ne lui réponds pas, mais une chose est sûre : je ne suis pas du tout de cet avis
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