Je Revois Le Fils De Ma Meilleure Amie
Nous sommes maintenant à la mi-août, et je suis débordée de travail! Je n'ai pas eu le temps de voir mon amie un seul soir de la semaine, j'enchaînais réunion après réunion, pour finir tard, et recommencer tôt le lendemain. Il va sans dire que je me réjouissais du samedi pour avoir un peu de temps pour moi.
Hélas, un contre-temps inattendu vint bouleverser mon emploi du temps en mode cocooning que je m'étais planifiée pour le weekend. Je dus me rendre au travail encore une fois le samedi matin, pour finaliser les dernieres modalités d'un contrat avec un nouveau client. Travaillant dans le domaine financier, mon habillement professionel est assez strict. La plupart du temps je porte le tailleur avec une jupe, ou plus rarement avec un pantalon. Ce matin ne faisant pas exception à la règle, je m'étais vêtue d'un ensemble gris foncé, la jupe m'arrivant juste au dessus du genou. Pour le reste je portais un chemisier blanc, un soutien-gorge en dentelle blanche, un string en dentelle noire, des bas noirs et escarpins à talons, noirs également.
La réunion se passait bien lorsque j'entendis mon téléphone vibrer dans mon sac; je me suis dite que j'irais voir lors de notre prochaine pause. Un peu plus tard mon téléphone se mit à sonner. Je m'excusai auprès des personnes présentes avec moi pour répondre. C'était mon chef qui voulait savoir comment se passait notre session. Après avoir raccroché je suis allée voir si j'avais reçu un message. Effectivement, un texto non lu envoyé par Pierre, le fils de ma meilleure amie.
"Salut je suis en ville tu voudrais qu'on déjeune ensemble?"
Je lui répondis que j'étais au travail, que je ne savais pas quand cela allait se terminer et qu'il ne devait pas compter sur moi, mais que je lui ferai signe à la fin de la séance.
Nous avons terminé vers 14 heures. Je suis descendue au garage pour prendre la voiture, mais avant de démarrer j'ai appelé Pierre.
- Salut c'est Karen, je suis désolée pour ce matin, j'étais coincée au travail avec des clients.
- Pas de problème, je comprends très bien. Je suis allé manger avec un ami finalement, mais il avait prévu de faire des choses cet après-midi, du coup je suis allé faire les magasins de mon coté. Est-ce que tu voudrais aller boire un verre maintenant ?
- Ecoute je pensais rentrer mais pourquoi pas, si tu veux. Ou peut-on se voir ?
Il m'expliqua qu'il m'attendrait à tel arrêt de bus et qu'il y serait dans moins de 10 minutes, je le verrai facilement en passant devant. Un quart d'heure plus tard je m'arrêtai rapidement pour le laisser monter dans la voiture. Nous nous sommes fait la bise et avons pris des nouvelles l'un de l'autre depuis la dernière fois que nous nous sommes vus, ce qui était dans son lit 10 jours plus tôt. Depuis que j'ai parlé de celà à mon amie je me sens totalement libre par rapport à la culpabilité qui m'envahissait les premiers jours, et je ne dirais pas non pour recommencer avec lui.
En roulant je remarquai qu'il me regardait de bas en haut, il ne me lachait pas du regard. Il me dit :
- Tu es vraiment très belle habillée comme ça, dommage que je ne te vois pas plus souvent avec ces vêtements, je trouve que cela te donne un air très classe et autoritaire.
- Merci pour tes compliments, mais je ne peux pas vraiment arriver au bureau et jeans et t-shirt, bien que cela me soit plus agréable.
Il continua à me dévorer du regard, allant du haut de ma poitrine aux genoux, la jupe étant remontée à hauteur de mi-cuisse du fait de la position assise au volant. En m'arrêtant au feu rouge je me suis tournée vers lui pour dire :
- Tu veux vraiment aller boire un verre ?
- Oui pourquoi ?
- Même dans cet état ?
- Que veux-tu dire par là ?
- Regarde ton entrejambes...
Un bosse pas discrète du tout s'était formée au bas de son ventre, et je doute que cela aurait été une bonne idée que d'aller au café dans cet état. De mon coté, la vue de son érection grandissante provoqua dans mon bas-ventre des picotements annonciateurs du début de ma lubrification vaginale.
Je fus interrompue dans mes pensées par le klaxon de la voiture de derrière qui n'appréciait visiblement pas que je n'accorde aucune attention au feu qui venait de passer au vert. Après avoir démarré je dis à Pierre :
- On va boire le verre chez moi, ça te dit ?
- Oui volontiers, je veux bien.
- Très bien alors allons-y.
Je me suis garée dans le garage, puis nous sommes allés prendre l'ascenseur. Comme il bandait toujours je lui ai prêté un vieux journal pour tenir devant lui, au cas ou une personne entrerait dans l'ascenseur. Nous sommes finalement arrivés à mon étage incognito, j'ai ouvert la porte et nous sommes entrés chez moi. Il est familier des lieux, étant déjà venu à de maintes reprises avec sa mère lorsqu'il était plus jeune. Nous sommes allés au salon et je lui ai demandé ce qui lui ferait plaisir. Il m'a littéralement répondu :
- Toi.
Ce mot m'a excitée de plus belle, et je me suis approchée de lui, pour lui caresser le sexe à travers du pantalon.
- Tu dois être un peu serré là-dedans non ?
- Oui effectivement j'ai connu mieux.
- Tu veux que je t'aide à l'enlever ?
Sur ce, j'entrepris de déboutonner sa ceinture, puis je dégrafai ses jeans pour les baisser aux chevilles. J'ai cru que son sexe allait transpercer le tissu de son caleçon, que je m'empressai de baisser lui aussi. Ainsi me retrouvai-je devant lui pour la deuxième fois en 10 jours, caressant du regard son beau sexe bandé. Sa queue ne pointe pas droit devant lui mais bien vers le haut, et elle est légèrement recourbée vers le haut si bien que son gland touche presque son ventre. Je lui ai retiré le reste de ses vêtements par la même occasion, le mettant à nu, alors que pour ma part j'étais encore en vêtements de travail.
Avant d'entreprendre quoi que ce soit, je lui ai dit :
- Attends, ne bouge pas, je reviens.
Je suis allée à la cuisine pour chercher un mètre de couture, je voulais simplement mesurer l'objet de tous mes désirs. Verdict, un très très beau 25 cm de long (mais vous le saviez déjà) pour 6 cm de diamètre à la base. Un gland volumineux chapeaute cette belle tige. Je pris sa main pour l'entraîner dans ma chambre, ou je le poussai sur le lit, et lui dit :
- Ne fais rien, regarde-moi tout simplement.
J'ai commencé à m'effeuiller, d'abord le veston, puis le chemisier que j'ai déboutonné et fait glisser sur ma peau, puis j'ai tiré la fermeture-éclair de ma jupe, pour la laisser coulisser le long de mes cuisses à mes pieds. Je me suis retrouvée en sous-vêtements, bas et talons devant Pierre, qui bandait de plus belle. Je retirai les chaussures, puis vint me placer à califourchon sur ses cuisses. Je sentais le tissu humide de ma petite culotte frotter entre ma chatte trempée et sa cuisse.
- Qu'est-ce qui te ferait plaisir, dis-moi... Je suis tout à toi en ce jour...
Comme il ne disait rien, je me suis saisi de sa queue et ai commencé des va-et-vient tout en lui massant ses bourses de l'autre main. Je me suis allongée sur le lit pour approcher mon visage, son gland est entré dans ma bouche dont la langue tournouyait dans tous les sens. Il m'a dit :
- Si tu continues je vais te jouir dans la bouche. Par contre je n'ai pas oublié ce que tu m'as dit la dernière fois, que tu aimes sentir un homme éjaculer au fond de toi. Après que tu sois partie je n'ai pas pu m'empêcher et je me suis branlé encore plusieurs fois, mais ensuite je n'ai rien fait. Je voulais en garder le maximum pour la prochaine fois que l'on se verrait, même si je n'avais aucune idée quand cela allait se passer.
- Oh Pierre, tu es sérieux ? Tu as fait ça pour moi, c'est vrai ?
- Oui ce n'était pas évident, j'avais envie de me branler tous les jours, mais j'ai résisté.
Ces mots m'ont électrisée, je n'en pouvais plus d'acceuillir sa verge en moi afin qu'il me remplisse de sa semence chaude.
- Tu voudrais me prendre comment cette fois ?
- Par derrière, je peux ?
- Par derrière, c'est-à-dire ? Quel endroit ?
- Pardon je voulais dire en levrette, dans ton sexe...
Je retirai mon soutien-gorge et ma culotte, ainsi que mes bas, me retrouvant ainsi totalement nue et offerte. Je me suis mise à 4 pattes et ai cambré mon cul, puis j'ai regardé par dessus mon épaule et je lui ai dit :
- Viens prends-moi, je suis prête.
Il a placé sa queue à la commissure de mes lèvres, puis je l'ai senti pousser pour écarter les parois vaginales avec sa verge, pour finalement venir buter contre le fond de ma chatte. Je poussai un gémissement de plaisir. Il m'a empoigné les hanches et a commencé les va-et-vient, en prenant bien la peine de sortir jusqu'au gland pour ensuite m'enfourner tout au fond, de plus en plus vite. Je n'ai pas tardé à jouir sous ses assauts, mais je savais que le meilleur restait à venir.
Je me suis affalée sur les coudes, la tête sur le coussin, n'en pouvant plus du bonheur de me sentir ainsi pénétrée. Nous gémissions tous les 2, puis j'ai senti son souffle se faire plus court et intense, ses doigts se crisper pour agripper mes hanches plus fort et ainsi me prendre entièrement, un dernier petit cri de sa part et puis l'explosion.
D'abord lui qui a poussé des râlements de plaisir, alors que sa queue m'envoyait giclée après giclée, j'ai cru que ça ne s'arrêterait jamais. Je cru défaillir en tombant en avant sur mes épaules, pendant que mon visage s'enfonçait dans le coussin, les larmes aux yeux, pleurant de bonheur et de plaisir, pendant que son sexe se vidait au plus profond de mon intimité. Je poussais mes fesses le plus en arrière possible afin de sentir sa queue toute en moi, et recueillir plus de sperme.
Nous sommes restés un long moment ainsi, ma chatte en feu, mon corps tremblant, des picotements partout. Puis je me suis écroulée en avant sur le lit, et il s'est couché à coté de moi. Je sentais le sperme chaud couler en moi, je vivais un moment de pur délice. Après avoir quelque peu récupéré je me suis retournée sur le dos, et l'ai attiré contre moi, pour lui poser la tête sur ma poitrine, restant ainsi à nous caresser l'un l'autre en nous regardant droit dans les yeux.
J'ai remarqué qu'il ne débandait toujours pas, j'en ai profité pour approcher mon visage et lui nettoyer la queue à coups de langue. Puis l'envie me reprenant, je l'ai monté et me suis empalée sur lui. Il a glissé au fond de moi, et comme je contrôlais désormais la situation j'ai imprimé un rythme destiné à satisfaire mon plaisir avant tout. Je n'ai pas tardé à jouir une fois de plus puis n'en pouvant plus, je me suis mise sur le dos, ai écarté mes jambes et il s'est introduit en moi de cette manière.
Pendant de longues minutes j'étais au paradis, ouvrant tantôt les yeux pour le regarder, tantôt pour les fermer pour mieux l'imaginer, me prenant sauvagement. Finalement il arriva au bout et déversa en moi un deuxième flot de semence. Les mouvements de sa queue en moi provoquaient un bruit de succion et le sperme coulait de ma chatte dans la raie sur mon petit trou. Nous avons terminé en sueur, puis nous sommes couchés sur le coté, l'un en face de l'autre, en nous regardant dans les yeux. Il m'a dit :
- Je n'ai jamais rien vécu de tel Karen, tu ne peux pas imaginer le bonheur que tu m'as donné aujourd'hui.
- Non c'est moi Pierre, je suis si heureuse d'avoir pu te donner ce plaisir, et aussi d'en prendre avec toi.
Nous avons fait une petite sieste au lit, enserrés sous la couverture, nos corps humides et mouillés de sperme et de mouille.
Cela fait maintenant presque 5 mois que Pierre est le seul homme avec qui j'ai des rapports sexuels, je n'ai plus envie de courir dans tous les sens pour trouver un homme pour un moment coquin, sachant que Pierre est presque toujours disponible. Et si quand bien même il ne l'était pas, j'ai ma meilleure amie Isabelle sur laquelle je peux toujours compter. Il s'est passé beaucoup de choses depuis que je les connais intimement, je vous raconterai d'autres histoires à un autre moment si vous êtes d'accord. Mais la prochaine fois vous raconterai une plus vieille histoire, qui m'est arrivée il y a environ 5 ans lors d'un déplacement professionnel.
Bisous. Karen
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