La Fête Au Village
Pendant des années nous allions dans un village des Alpes une partie de nos vacances au moment de sa fête annuelle. Ce village était le berceau familial de mon beau-père, mon mari connaissait tout le monde du plus ancien au plus jeune et moi au bout de dix ans de mariage et du haut de mes trente et un ans, je commençais à bien m'intégrer. Pendant cette semaine de fête la population devait être dix fois supérieure au reste de l'année où un peu plus de soixante retraités y vivaient à demeure. Mon chéri Richard était très sollicité par ses copains qu'il ne voyait que huit jours par an et lorsque pendant le bal de la fête je l'ai cherché pour qu'il m'accompagne à lautre bout du village faire un besoin urgent, impossible de le retrouver. Charles, un copain d'une cinquantaine d'années m'a proposé de m'accompagner chez lui situé juste derrière la place où avait lieu la fête. Cétait un bel homme très grand, mince marié à une femme de dix ans sa cadette qui traînait une réputation sulfureuse, le reste de l'année, ils vivaient en banlieue marseillaise avec leur fille adolescente, son accent le trahissait dès qu'il parlait, avec moi, depuis les dix ans qu'on se connaissait, il avait toujours un beau sourire et un mot gentil, lorsque je lui faisais la bise, il avait toujours l'air un peu gêné. Revenons notre histoire, dès qu'il m'a indiqué la salle de bain où ou y avait le coin toilettes, je me suis précipitée, étant pudique dans ces moments, jétais rassurée car il ne pouvait pas mentendre dans ce moment très intime. Une fois ma foufoune bien séchée et ma culotte remontée sous ma minijupe, je me suis penchée devant le lavabo pour me laver les mains, j'ai entendu la porte s'ouvrir, Charles est venu derrière moi et s'est plaqué dans mon dos, j'ai été surprise car il n'avait jamais eu un geste équivoque en plus de dix ans, étant très libre sexuellement, je l'ai laissé faire. Ses bras ont entouré ma taille pendant que ses lèvres se posaient sur mon cou, un frisson m'a parcouru, j'ai reculé mes fesses vers lui en signe daccord.
J'ai été rincer ma foufoune puis on s'est rhabillé, on a rejoint la fête comme 2 copains, Charles était inquiet pour les conséquences avec mon mari qui était aussi un de ses amis. Je l'ai rassuré en lui expliquant notre mode de sexualité. Un jour où sa femme était partie en Suisse avec des copines, j'ai pu passer l'après-midi avec lui dans un lit en prenant nos aises et notre temps, j'ai pu découvrir le goût de sa verge, il a pu connaître celui de ma fleur, il a été effleurer de sa langue l'entrée de mon anus mais surtout on a pu se donner longuement l'un à l'autre.
Aujourd'hui Charles est un vieillard veuf depuis un an, lorsque je le vois et lui fait la bise, il parait tout timide et gêné. Depuis cet été de mes trente-et-un ans, on n'a plus eu aucun rapport intime mais notre amitié à été rene. Depuis cet été j'aurais pu refaire l'amour avec lui plusieurs fois pendant ces semaines de fête, il aurait suffit d'un geste de ma part, plusieurs fois, j'ai hésité mais je ne sais pas pourquoi je n'ai jamais fait le petit geste qu'il attendait. Avec le recul jai parfois des regrets, c'était un très bon amant ce qui ne fut pas le cas pour tous mes partenaires.
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