Jean, Mon Fiancé
Depuis toujours ma famille est naturiste. Mon père est fonctionnaire municipal dans une petite commune du sud, aussi dès quil rentre de son travail il se met nu dans la maison, le jardin ou la piscine. Comme ma mère ou ma sur nous ne portons de culotte que pendant deux ou trois jours, chaque mois, comme toutes les femmes ;
Bien sur ce qui ne nous connaissent pas trouvent cela étrange de nous voir en famille, chez nous toujours nus. Depuis que jai fini mes études je respire bien mieux. Jai trouvé un travail à domicile qui me permet de vivre comme je lentends et non comme veulent les autres.
Il nous arrive quelques rares fois de nous vêtir pour recevoir de la famille. Le plus ennuyeux a été quand mon cousin Momo est venu passer ses vacances avec nous. Cest ma mère qui avec diplomatie la convaincu de vivre comme nous. Les premiers jours, il était toujours à regarder les bas ventres de nous tous. Pour nous nous ne le remarquions même pas : une bite est une bite, cest tout.
Il ma surprise un jour que jétais étalée au soleil nue, bien sur les jambes ouvertes comme souvent quand il se postait devant moi, son regard fixe sur ma chatte. Je voyais sa queue grossir sans arrêt : monsieur bandait. Il nétait pas le premier à montrer sa bite devant moi, surtout en érection. Par accident ce réflexe arrivait à mon père bien monté de ce coté là. Il savait débander avant de créer un quelconque sentiment sexuel. Alors que là, avec ce nouveau converti, je mattende à tout.
Sil me lavait demandé normalement jaurais sans doute apaisé ses sens en le masturbant. Malheureusement pour lui il ne ma rien demandé de correct, au contraire :
- Tu ne veux pas que je te baise ?
- Tu sais ce quest la politesse avec une fille ?
- Ben quoi, je ne demande rien de particulier, nous sommes nus, nous pouvons tirer un coup.
- Je ne tire jamais un coup, je fais lamour quand je veux, avec qui je veux, pas comme tu fais en bandant.
- Il te la met ?
- Oui, souvent, dès quon a un moment, surtout les jours de soleil, sauf sil pleut des cordes et encore, cest bon de baiser sous la pluie froide. Jaime sentir leau venir entre mes fesses, me mouiller le petit trou pour que ça coule encore sur ma chatte.
Il me regarde avec un air tellement con que je pense bien quil a cru toutes les âneries que je viens de dire. Du coup mon but est atteint : il débande. Joublis de lui dire que Margot, ma sur entre ce soir de la fac.
Par contre ce qui est vrai est que Jean, mon copain vient ce soir pour manger et rester avec moi la nuit. De de coté là mes parents sont permissifs, jai un ami, un amant, ils étaient déjà comme moi à mon âge. (Une fois ma mère me disait quelle avait beaucoup aimé faire lamour avec mon père la première fois chez elle dans sa chambre, la porte ouverte pendant que ses parents regardaient la télé.)
Dailleurs il me tarde quil soit près de moi, jaime sentir ses mains sur mon corps. Jaime son goût quand je lèche sa peau et la présence dans mon ventre de sa bite : cest venu dès la première fois, toujours à cause de mes parents pour qui baiser nest pas défendu puisque ça fait du bien. Jen mouille tellement jai envie de lui.
Momo sest assagi, il a enfin compris que vivre en naturiste nest pas obligatoirement être pute. Pour passer mon envie je plonge dans la piscine suivie de Momo. Nous sommes bien au frais. Je regarde par hasard sa bite : il recommence à bander.
- Ecoute moi bien Momo, tu bande encore, alors une fois pour toute branle toi quon en finisse.
- Je vais le faire devant toi.
- Non tu te tourne, je ne veux pas de voir jouir.
Il ménerve à force à bander sans cesse. Enfin il se tourne, je peux voir son épaule droite avoir des mouvements rapides. Japerçois vaguement un nuage de sperme sur leau. Enfin il a jouit, il va me fiche la paix.
Je me rattrais tout à lheure quand mon Jean me suceras.
Je redescends vers le séjour. Ma mère met la table : je remarque quelle met un couvert de plus : ma sur vient !!
Je lavais totalement oubliée, pourtant nous sommes très proche, Sauf sans doute sa moralité : elle aime les aventures avec les hommes. Cest une fille qui couche dès le premier soir, qui aime les partouzes et les filles. Pour elle le sexe est un but unique dans son existence. Voilà une solution pour Momo.
Lheure tourne lentement, enfin Jean arrive : il est vite nu, il laisse ses affaires dans ma chambre avant de venir dans le séjour. Jean nest pas nimporte qui, il est médecin hospitalier spécialiste du cur. Momo entre à linstant encore mouillé de son bain. Comme dhabitude il regarde la bite de mon amant. Evidement, il est désavantagé par la taille. Nous attendons Margot : quand elle arrive elle embrasse tout le monde, y compris Jean : elle ne connait pas encore Momo. Quand elle sait qui il est, elle lembrasse aussi.
Quand elle redescend de sa chambre, nue comme il est de règle, Momo la regarde un peu comme le loup de Tex Avery la bouche ouverte. Sa queue recommence à monter. Margot la regarde intéressée. Pour elle une nouvelle bite est bonne à gouter. Par politesse elle le laisse tranquille, comme ils vont se mettre à coté de lautre à table, je sais déjà que cest elle qui va prendre la bite dans sa main pour le masturber ? Jespère seulement que mon père ne la verra pas faire.
Je la regarde, elle nattend même pas la fin du repas, elle caresse les cuisses de notre cousin.
Le repas se termine dans de bonnes conditions. Nous allons prendre le frais dehors. Margot est très près de Momo. Je connais la suite, pas nos parents qui de toute façon les laisseront faire. Momo doit être intimidé puisque cest encore Margot qui prend la bite dans sa main. Elle ne le branle pas encore une fois, elle lattire sur elle. Emprisonné entre les cuisses relevées de ma sur, Momo na que la solution de la lui mettre.
Ils me donnent envie : je demande à Jean. De me baiser aussi : il refuse par respect pour mes parents qui rentrent certainement pour faire lamour. Javais une envie folle de jouir avec la bite de Jean, je lai toujours encore plus. Il bande fortement. Ma main a peine à faire le tour de sa queue. Pourtant je le prends dans la bouche. Si mes lèvres ont peine à le tenir, elles arrivent à le prendre un peu dans la bouche ; jai enfin son gout un peu acre dans la bouche. Lui me caresse la chatte à sa façon ; sil branle le clitoris, il sattarde souvent dans mon puits. Je ne sais pas comment il fait : il est le premier à me faire gémir si fort. Je laime de plus en plus surtout quand il pose un doigt précurseur sur mon cul. Il le laisse en place en venant sur moi, mes jambes souvrent encore un peu plus. Je sens sa bite entrer dans mon ventre, les chairs de vagin sécartent en me donnant ce plaisir immense dêtre sa proie. Jenroule mes jambes autour des siennes pour quil me possède complètement. Cest formidable de lavoir en moi surtout quand il me défonce comme il fait : je ne peux pas tenir longtemps : dans un petit cri je jouis autour de lui. Il sort de moi, change de trou pour menculer. Il na pas à forcer je suis habitué à sa grosseur à tel point que si quelquun dautre me sodomisait je ne jouirais pas pareil.
Nous navons même pas eu le temps de regarder ma sur baiser avec notre cousin. Maintenant ils sont en 69. Dieu seul et le diable sait ce quils ont fait avant et ce quils vont faire après, ma sur est capable de le maintenir en forme jusquau lever du jour.
Jean veut me baiser dans le lit. Après tout cest là que nous jouissons le plus. Je murmure que je veux le sucer : il est daccord à condition de me sucer avant. En montant les escaliers, il sarrête au milieu, me retiens pour membrasser sur la bouche en me mettant une main entre les cuisses. Je le laisse me masturber, même si une personne de la famille passe. Je ne tiens plus sur mes jambes juste avant de jouir : je maccroche à son cou. Je sens sa bite bien dure ; je vais me régaler de la sucer encore. Je fini de jouir, quand il me porte dans la chambre.
Juste avant de me poser, il me demande de lépouser. Que réponde à cette question quand on est porté sur les bras dun type qui bande et dont vous rêvez de le sucer la queue. Je ne réponds rien que par un baiser. Il me pose délicatement : je réponds que jaccepte à condition quil me baise toujours bien.
Il me fait écarter les cuisses, me fait ressortir le bouton avec sa langue avant dembrasser toute ma fente avec sa langue comme dans ma bouche. Il oubli le bouton pour mettre sa langue dans mon puits ; il la fait tourner à sa façon : je jouis plusieurs fois avant quil en sorte, alors que jaurais voulu quil ne parte point. Il ne fait que déplacer le bout de sa langue quil durci ; il me la met directement dans le petit trou. Je ne sais comment résister à ce nouvel orgasme qui arrive trop vite.
Maintenant il se retourne pour me donner sa bite en gardant tout mon sexe à sa disposition. Je trouve le gout de ma chatte sur sa bite qui jessais davaler. En forçant pas mal jarrive à la prendre presque toute entre mes lèvres. Ma langue arrive à lécher son gland.
Ce qui devait arriver arrive, je reçois son sperme dans la bouche. Cest un peu acre et merveilleusement bon : cest son sperme. Au même moment je jouis fortement : je crois lui avoir donné une part de ma cyprine dans sa bouche. Nous sommes quittes, chacun a eu les liquides sexuels de lautre.
Jai encore une petite envie. Je touche sa bite, il bande encore. Je vais sur lui pour entrer sa queue dans mon cul. Jaime être assise sur lui dans ce cas : je peux me donner encore un peu plus de jouissance en me branlant. Cest-ce que je fais : il regarde ma main bouger sur mon sexe. Mon corps décrit des avant-arrières sur lui, sans que je fasse des allers et retours. Pour nous cest largement suffisant pour jouir une dernière fois.
Le lendemain la première personne que nous voyons est ma mère qui nous demande si la nuit cest bien passée :
- Merveilleusement bien. Nous allons nous marier.
- Enfin, vous voilà rangés
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