Une Nouvelle Étape Avec Ma Surprenante Belle-Maman

Un peu effrayé par la réaction qu’elle pourrait avoir, j’ai eu du mal à faire comme si de rien était lorsque j’ai revu belle-maman le lendemain de nos échanges sensuels buccaux… Les jours se sont suivis sans que nous ayons pu être seuls pour en discuter. Je voulais tout de même savoir si elle regrettait ou si elle avait apprécié… Et qui sait, peut-être était-elle tout simplement comme moi et avait un avis partagé selon les moments et qu’elle ne savait pas trop comment continuer en faisant ou en ne rien faisant !!!
Ce n’est que la semaine suivante lorsqu’elle est revenue dormir à la maison que j’ai pu en savoir un peu plus… Comme chaque semaine nous nous adonnons aux mêmes rituels un peu logiques, souper, les s au dodo puis peu après ma femme (qui se lève tôt) et belle-maman et moi devant la TV, chacun sur son canapé respectif ! A peine ma femme partie que je me retourne vers belle-maman, le cœur palpitant et la gorge serrée. Je ne sais pas comment aborder le sujet et bien que j’aie visionné cet instant mille fois dans ma tête depuis une semaine, je reste muet, la fixant droit dans les yeux. La tension est palpable, l’instant est pesant, presque insoutenable… Puis belle-maman se lance pour me sauver de ce silence devenu si lourd malgré le bruit de fond de la TV :
B-M : Tu as aussi beaucoup cogité à propos de ce qui s’est passé la semaine dernière ?
Moi : Plutôt oui ! C’est de la folie !!!
B-M : Oui, je ne sais pas ce qui nous a pris ? Tu es le mari de ma fille ! Tu te rends compte ???
Moi : Oui, ce serait une catastrophe si elle venait à l’apprendre… Tu imagines ??? Nous devons à tout prix garder cela comme notre secret, tu me le promets ?
B-M : Oui, tu as raison, on aurait tous les deux beaucoup à perdre, ça doit non seulement rester entre nous mais il ne faut surtout pas recommencer !
Moi : Tu regrettes ?
B-M : Oui, je suis vraiment perturbée depuis une semaine !
Moi : Moi je ne regrette rien.

C’est dingue, j’ai passé une semaine à retourner cela sans cesse dans ma tête et même que ça n’a pas de sens et que c’est immoral, je ne peux m’empêcher de penser à ce que j’ai ressenti… Et c’était tellement agréable que je ne peux en garder qu’un merveilleux souvenir. Tu comprends ?
B-M : Non, tu ne dois pas penser comme ça, pense à ma fille, c’est ta femme, la mère de tes s, tu ne peux pas lui faire cela !!!
Moi : Mais elle ne le saura pas puisque nous nous sommes promis de ne rien dire… Et en plus, c’est fait, nous ne pouvons pas changer le passé, nous l’avons fait !
B-M : Mon dieu oui, je sais bien ! C’est cela qui me panique le plus !
Moi : Et le plus fou c’est que malgré le côté immoral, je me suis caressé plusieurs fois cette semaine en pensant à ce que nous avons échangé. C’était fou mais tellement bon… Tu n’as pas apprécié ? Réponds-moi franchement ?
B-M : Non… On ne peut pas… Tu dois oublier ça !
Je me lève alors et vient m’asseoir à côté d’elle… Elle a un petit geste de recul quand le lui prends la main. Je la retiens pourtant et lui dit que je n’oublierai jamais ça car ça fait partie de ma vie désormais. Que ce phantasme qui dormait depuis tellement longtemps s’était enfin concrétisé et qu’il viendrait et reviendrait me hanter tant que je vivrai!
B-M : Comment ça tellement longtemps ?
Moi : Eh bien oui belle-maman… Tu n’es pas naïve à ce point tout de même ? Je phantasme sur toi depuis le premier jour où je t’ai rencontré ! Mais je ne pouvais pas imaginer qu’un jour cela se concrétiserait. Tu n’as jamais remarqué la façon que j’ai de te complimenter, te dévisager ?
B-M : Non… Je pensais que tu étais simplement comme ça, sans arrière-pensée…
Moi : Eh bien non, tu vois ! Je t’ai toujours désiré secrètement. Je me suis caressé des centaines de fois en pensant à toi, en imaginant qu’il se passerait quelque chose… Mais j’avais tellement peur que tu me repousses ou que tu me prennes pour un fou que je n’ai jamais pu te l’avouer.

B-M : Je te fais à ce point de l’effet ? Je ne te comprends pas… Tu te rends compte de la différence d’âge qui nous sépare ? Tu es un beau mec qui pourrait avoir facilement des minettes de 30ans et tu phantasmes sur une grand-mère toute usée qui est en plus la mère de ta femme !!! Tu n’es pas normal mon cher gendre !!!
Moi : Alors tu as tout faux, tu es magnifique et désirable… En plus, je ne pouvais pas imaginer que tu sois aussi bien même dans mes phantasmes le plus fous… J’ai tellement adoré mercredi passé… Si tu savais !!!!
Elle ne répond plus et comme ma main tient toujours la sienne, je la serre avec douceur et la bosse sous mon pyjama ne peut que confirmer à belle-maman ce que je ressens à l’instant… Elle baisse la tête et voit mon émoi. Mon autre main se pose sur son genou et remonte lentement… Elle tente de me repousser en articulant un « non » aussi peu convaincant qu’inaudible… Je reprends ma caresse et arrivé en haut de la cuisse je sens qu’elle s’abandonne déjà et que ses cuisses se relâchent. Sa main quitte la mienne et vient attr mon membre dressé de désir. Ma main passe l’élastique de son training et voyant que nous sommes tous deux gênés par nos habits, nous les faisons glisser et nous nous en débarrassons. Je la fais basculer doucement en arrière et la couche sur le dos, elle se laisse faire et poursuit le mouvement en posant un pied sur le dossier du canapé et posant l’autre à terre. Elle est toute ouverte et je plonge ma tête à l’endroit de tous mes désirs… Je peux enfin apprécier ce sexe que j’ai si souvent rêvé, si souvent imaginé, si souvent désiré… Il n’est pas superbement entretenu et plutôt naturel. J’adore ça et le fait qu’elle possède des lèvres plutôt volumineuses me comble encore plus… Je passe mes doigts dans les poils humides et vient ouvrir ce fruit du plaisir afin de lui dévorer. Elle fait de légers gémissements et je lui fais signe de rester silencieuse en posant mon index sur sa bouche… Pour toute réponse, elle le prend dans sa bouche et suce son jus dont il est tout englué.
Ca me fait l’effet d’une décharge électrique qui me pousse à lui dévorer le minou tout de suite ! Je pose donc ma bouche sur sa fente entrouverte et passe ma langue sur toute sa longueur. J’entame un lent et délicieux vas-et-viens qui lui procure de petits soubresauts de plaisir. Je la lèche maintenant avec acharnement, lui gobant ses grosses lèvres charnues, lui enfilant un puis deux doigts, lui titillant le clitoris avec délicatesse mais insistance… Je prends mon pied et fait durer cet instant que j’affectionne plus que tout. Observant sa chatte avec minutie pour que je puisse m’en souvenir au mieux lorsque je me branlerai en repensant à elle… C’est à ce moment que je réalise que son petit trou à l’air lui aussi très appétissant et faisant mine de rien, mes coups de langues se font plus amples et viennent de plus en plus près de sa petite rosette toute plissée… Elle ne réagit pas et je continue mon cunni sans insister plus, je ne veux pas qu’elle se braque maintenant, j’ai trop envie de la prendre ! Je me redresse alors et vient placer mon gland au beau milieu de cette moule détrempée. Je le fait glisser de haut en bas en prenant bien soin de le frotter contre son pubis poilu puis entre ses grosses lèvres… Quelques aller-retour et je me décide enfin à pousser mon gland dans sa grotte, lentement, très lentement, cm par cm je vois ma queue disparaître dans la chatte de belle-maman ! C’est tellement jouissif que je crois que je vais éjaculer comme un jeune puceau au moment même où j’entre en elle… Mais ce n’est qu’une surinterprétation de mon plaisir intense… Je suis en train de baiser belle-maman. Je vois son corps bouger sous mes coups lents et profonds, elle respire assez fort et n’a pas ouvert les yeux depuis que je suis en elle, elle gémit, elle aime et moi aussi ! J’accélère un peu en faisant de mes mouvements des gestes plus secs et plus bestiaux, nos corps s’entrechoquent et claquent à chaque coup de reins. Je sens que mon plaisir monte et voulant que ça dure encore, je me retire et la redresse.
Je la guide pour qu’elle se mette à genoux sur le canapé en me montrant son dos. Elle tend son cul en arrière comme pour m’inviter à ne pas la faire attendre et c’est évidemment ce que je fais en m’enfonçant en elle illico ! Cette fois j’y mets toute ma passion et je suis littéralement entrain de la pilonner. Je vois son cul et ma bite qui disparaît à chaque voyage dans sa moule qui est littéralement dégoulinante. C’est là que ses fesses bien écartées dévoilent une nouvelle fois sa rosette toute offerte… Et puisque j’y suis désormais, je tente le coup et pose mon pouce sur son petit trou. Elle ne réagit pas plus que ça alors j’appuie et doigte son cul pendant que je la lime. La coquine semble même apprécier alors je me retire et pose mon gland sur son petit œillet. J’appuie tout doucement et m’enfonce dans ce nouveau fourreau. Ce n’est pas la première fois, c’est sûr mais pourtant il est tout serré et c’est un délice. Je la lime désormais tout en luis titillant le clito alors qu’elle a pris l’initiative de se doigter la chatte… Il n’en faut pas plus pour que je sente monter ma sève et je lui dis doucement : Oh, je vais jouir belle-maman, où veux-tu que je vienne ? Pour toute réponse elle se retourne et vient sucer ma bite alors qu’elle sort de son cul… Etonné mais trop excité pour redescendre, elle me pompe quelques secondes et je lui déverse ma semence dans la bouche. Quelle jouissance puissante, j’en ai des convulsions. Comme la semaine passée elle avale tout et me ripoline la queue comme une diablesse, je ne la reconnais pas du tout !
Ayant tout de même peur que ma femme se réveille, nous nous réajustons rapidement et faisons mine de regarder la TV. Mais pas moins de 30 secondes se passent et ma main est à nouveau en train de fouiller la foufoune de belle-maman, mon envie n’est pas assouvie, j’en veux encore et je crois qu’elle en est exactement au même point que moi car sa main est dans mon pyjama et me branle doucement… Comme nous venons tous deux de jouir, nous prenons le temps de nous caresser, c’est un moment calme et doux : Seul la TV perturbe le silence et balance son bruit de fond. Mais heureusement qu’elle est allumée car elle a quand même su camoufler nos ébats !
Ma main est toujours entre les cuisses de belle-maman, elle se faufile, je la doigte et lui titille le clito sans relâche, elle apprécie sans bruit tout comme moi qui me fait lentement masturber pour me redonner vigueur après cette première tranche de plaisir… On regarde la TV sans la regarder toujours en nous caressant mutuellement. Après plus d’un quart d’heure à nous tripoter, je la regarde et elle tourne la tête vers moi. « Je n’aurais jamais pu imaginer cela de toi, Belle-maman, tu te rends compte ? On est fous mais c’est trop bon, n’est-ce pas ? » Lui dis-je en chuchotant ! Elle ne répond pas alors je reprends : « Tu sais, je trouve ton corps et ton sexe magnifiques et j’ai encore envie de toi, de te lécher, te caresser, te sucer… Tu aimerais faire un 69 avant d’aller dormir ? » Cette phrase raisonne dans ma tête plusieurs fois, je ne sais pas comment j’ai pu dire ça à Belle-maman, tout est décidément très bizarre mais elle a tout de même ma bite dans sa main et je suis en train de la doigter… Je ne rêve pas, elle se penche alors vers moi pour m’embrasser alors que mes doigts ont pris la vitesse supérieure. Nos langues se mélangent, elle me fait basculer lentement en arrière et de quelques gestes rapide, elle se retrouve à l’envers en-dessus de moi avec sa moule devant mon visage à nouveau assoiffé de désir. Elle me prend dans sa bouche et moi je recommence mon jeu préféré en ne manquant pas d’introduire mes doigts dans ses deux petits orifices tout dilatés… Là encore, le jeu dure assez longtemps et au bout d’un moment c’est elle qui se redresse et vient s’asseoir sur mes cuisses en tendant sa poitrine en avant. Je lui retire son t-shirt qu’elle avait gardé et lui malaxe ses gros seins pendant… Là encore ça pourrait déplaire à certains mais moi j’adore car ses tétons sont encore bien réactifs et épais… Pendant que je la caresse, elle s’est avancée et s’est empalée sur ma queue redevenue raide et gonflée de désir. Ondulant lentement, je sens monter la sève sur ce va-et-vient lancinant et profond. Oh Belle-maman, comme c’est divin, je vais jouir tout au fond de toi maintenant, lui susurrais-je à l’oreille. Et cette fois elle me répond : « Oui, viens, viens, encore, je suis là, tu vas me faire jouir aussi… » . Sortis de la bouche de Belle-maman ces mots ont l’effet de décupler mon excitation et je me sens arriver aux portes du paradis… Je me trémousse et bouge plus vite avant de me cramponner à ses épaules et me crisper tout au fond de sa caverne baveuse et y déverser mon deuxième flux de jouissance… Elle me serre et écrase ses seins contre ma poitrine avec des sursauts de plaisir plaquant elle aussi son pubis contre moi pour me maintenir tout au fond d’elle… Ouahhhhhhhhhhhhhhh MMMMhhhhhhhhhhhhhh

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