Au Bureau Avec Le Chef (Suite)
Cette histoire est une suite aux précédentes publications "Imprévu à l'hôtel avec le patron !"
Nous étions un jeudi lorsque mon patron Christian vint à mon bureau. Jétais en train de faire un classement des principaux dossiers concernant les pièces achetées qui étaient sous ma responsabilité. Habillé dun jean et dune chemise de couleur rouge à carreaux, il sassit sur le bord de mon bureau et croisa les bras avant de baisser le regard dans ma direction. Je lobservai tout en conservant quelques dossiers dans mes mains.
-Tu vas bien Claire ?
-Oui, Christian !
Il se tut un moment et me regarda les yeux pétillants. Je le contemplai, étonnée :
-Quest ce qui se passe ? lui demandai-je alors sans comprendre ce quil voulait.
-Nous sommes bientôt à la fin du mois, Claire, il nous faut absolument retourner les prix des projets de développement. Tu sais que cest mon rôle de tout synthétiser !
-Oui
-Mais je suis en retard ! Et je voudrais que tu me donnes un coup de main
-Ben, pas de
-Je voudrais te demander de faire quelques heures supplémentaires ce soir pour travailler avec moi. Tu pourras les récupérer quand tu le souhaiteras si tu es daccord !
Je me tus alors que je venais tout juste de comprendre ce quil me demandait. Lors de notre précédente visite chez lun de nos fournisseurs dAllemagne, nous nous étions un peu égarés dans nos relations et il avait su tirer profit de moi. A deux reprises, il mavait sodomisé.
Je tournai la tête pour balayer du regard le reste du bureau. Mes collègues, au nombre de trois, se désintéressaient complètement de la conversation.
-Alors, tu es daccord ? insista mon chef.
Je réfléchis à ce que ma décision allait impliquer. A coup sûr, cela devrait se terminer par une relation inappropriée entre lui et moi. Il me regardait fixement, glissant ses yeux le long de mes mèches blondes qui coulaient sur mes épaules.
-Oui !
-Merci Claire ! Tu es vraiment une bonne collaboratrice.
Sur ce, il se redressa, éloignant ses fesses de mon bureau et tout en me faisant un sourire agréable quitta mon espace de travail pour retourner à son bureau.
Comme je lui avais promis, je fis quelques heures supplémentaires ce soir-là. Il était venu me retrouver aux alentours de 17h45 pour me demander de laccompagner dans son bureau personnel dans lequel il sétait déjà attaché à répertorier en tas les achats effectués dans le mois chez les différents fournisseurs. Il me confia un ordinateur portable et me demanda de remplir à la main les données de suivi des commandes. Je mattelai à ma tâche sans rien dire tandis que lui retourna à sa place pour faire de même sur son propre ordinateur.
Pendant le travail, la discussion vaqua à une multitude de sujet divers. Mais en aucun cas, il me rappela les actes que nous avions commis lors de notre déplacement. Quant à moi, bien entendu, je nosai soulever le sujet, consciente que cétait avant tout mon patron et non un simple collègue. Lorsque 19h arriva, il passa une commande de pizza livrée à la société pour nous aider à passer la soirée. Mais il restait encore un bon tiers de documents à traiter ce qui nous laissa finalement peu de temps pour la restauration. Pour ma part, après le repas, je me hâtai de remplir mon tableau dans lidée de ne pas rentrer trop tard chez moi. Jétais redevenue confiante. Nous étions dans la société et il nallait sans aucun doute pas réitérer ses demandes passées ce soir.
Vers 21h, Christian mannonça finalement quil en avait terminé avec ses dossiers. Il ne men restait, dans mon cas, plus que deux à traiter, si bien que nous étions sur le point de terminer ce que nous avions à faire. Tandis que je mattelai à rentrer les chiffres correctement dans les cases prévues à cet effet sur mon ordinateur, il se leva de sa chaise en cuir et fit le tour de son grand bureau.
-Je suis bien heureux que tu sois restée pour maider à terminer ce travail, Claire.
Je hochai la tête pour confirmer que javais compris son remerciement mais ne décrochai pas mon regard de lécran afin de ne pas me perdre dans ma démarche de recopiage dinformations. Soudain, il posa ses mains sur mes épaules et des deux pouces me massa à la base de ma nuque. Je stoppai tout mouvement et patientai, immobile, plutôt surprise par ce geste déplacé. Il se pencha sur moi et se mit alors à me délivrer de lents baisers qui se perdaient dans ma chevelure dorée sur le haut de mon crâne. Je tournai la tête et tentai de le trouver du regard.
-Christian ?
Il glissa ses mains le long de mes bras et me frictionna tout en poursuivant ses baisers. Je le sentais inspirer mon parfum alors quil se noyait dans mes cheveux. En passant sa paume sous mon aisselle, il mimprima un geste qui me signifiait quil désirait que je me lève de ma chaise. Jobtempérai et comprit immédiatement ce quil attendait de nouveau de moi. Mes idées selon lesquelles il ne ferait rien dans les salles de lentreprise furent immédiatement balayées de mon esprit. Rien ne semblait le retenir de baisser ma culotte à nouveau. Il ne désirait plus quune seule chose de moi : mon cul serré de 21 années.
Alors que je me remis debout devant lui, il écarta dun geste du bras la chaise rouge sur laquelle jétais demeurée assise un instant plus tôt. Il sen débarrassa ensuite du pied avant de venir se coller contre mon dos. Il glissa sa main droite entre lui et moi et par-dessus ma jupe mi longue et volante, il attrapa lune de mes fesses bien rondes. Il me poussa en avant contre la table et se mit à tripoter longuement, à lintérieur de sa paume, ma forme rebondie. De son autre main, il menlaça, plaçant son bras contre mon ventre juste sous ma poitrine.
-Tu mexcites, Claire ! Depuis la dernière fois, jai envie de toi !
-Christian, je
Nous sommes dans lentreprise.
Il me pelotait toujours plus, enfonçant ses longs doigts dans la chair de ma fesse tendre. Puis subitement, il me relâcha et fit courir sa main le long de ma cuisse, descendant toujours plus bas le long de mon corps de jeune fille.
-Il ny a personne, tu nas rien à craindre. Les personnes de la sécurité arrivent vers 22 heures, nous avons près dune demi-heure devant nous
Arrivé sur lourlet de ma jupe bleue, il passa sa main sous mon vêtement pour attr ma cuisse ferme. Il ne tarda pas à remonter rapidement à laveuglette jusquà mon intimité. Je le sentis alors, encore une fois, se saisir avec délectation de ma fesse droite, tandis que sa paume caressait dune geste excité le tissu de ma culotte de soie.
-Laisse-moi recommencer. Jen ai besoin, sinon je vais devenir fou !
Il remonta son bras gauche sur moi et attrapa lun de mes seins au travers de mon chemisier. Il le comprima longuement en me soufflant toujours plus son plaisir au creux de lune de mes oreilles. Je le laissai faire, prenant appui des deux mains sur la table devant moi. Il faisait ses attouchements pervers sous ma jupe et triturait ma poitrine. Je ressentis le plaisir prendre possession de mon corps.
-Tends-moi tes fesses, Claire ! Penche-toi !
Il me poussa dans le dos si bien que je fus contrainte décarter lordinateur portable afin de ne pas labîmer puis me pliai en deux à la demande de mon patron. Sans en attendre davantage, il me souleva la jupe dun geste vif. Après lavoir retourner sur mon dos, il plaça ses deux mains de part et dautre de mes hanches.
-Oh, regarde-moi si ce nest pas beau tout ça !
Je tournai le regard pour lobserver. Il avait les yeux rivés sur mes fesses exposées. Je devinai quil contemplait ma jolie culotte blanche qui moulait comme elle le pouvait mes fesses rebondies et ma tendre petite chatte. Je ne portais pas de bas, si bien quil avait également tout le loisir de suivre avec délectation la courbe de mes jambes.
-Ne bouge pas, sil te plait !
Je me contorsionnai quelques peu pour tenter de savoir ce quil était en train de faire et je le vis alors, sans aucune honte, commencer à détacher le bouton central de son jean. Il voulait me baiser sans préliminaire et cest ce quil semblait bien compter faire. Il se mordait les lèvres tandis quil se laissait aller à son excitation. Finalement, il réussit à écarter les pans de son pantalon après avoir baissé sa braguette. De la simple ouverture, je devinai un slip rouge déjà déformé. Il finit par tout descendre sur ses cuisses et délivra son sexe épais qui sexhibait à lhorizontale, pointant dans ma direction. Christian se rapprocha rapidement de moi et sans me le demander, baissa ma culotte. Je me tendis, consciente de la première douleur que jallais être sur le point de ressentir. Je savais que ma chatte le désintéressait et que ce sera, en passant par mon cul, quil me pénétrerait.
Il attrapa sa verge dune main et se plaqua contre moi. Je sentis son gland sinfiltrer entre mes fesses et glisser de haut en bas pour chercher lentrée de mon trou étroit. Jentendis mon patron suffoquer de plaisir alors quil fouillait sur mon corps du bout de son sexe. Il trouva finalement ce quil cherchait et simmobilisa. Je patientai quil mouvre.
-Tu ne peux pas savoir depuis combien de temps je rêve de me placer de nouveau là-dedans, Claire ! Cela en devient une profonde obsession
-Faites vite, sil vous plait !
Il hocha la tête sans vraiment mécouter et poussa son bassin en avant. Et mon cul sécarta. Je me pinçai les lèvres de douleur tout en le sentant me pénétrer lentement. Encore une fois, jétais à la merci de mon chef et me faisait sodomiser comme une vulgaire secrétaire à qui lon demandait des services contre-nature.
Il tenait toujours sa verge et poussait de plus en plus fort pour mouvrir davantage à son exploration aveugle. Je lentendis pousser une profonde expiration alors quil se mettait à son aise dans mes entrailles. Il finit par mattr la taille et pilonna gentiment entre mes fesses serrées. Lui, autant que moi, ne dirent mot. Lui, sattachait à ouvrir toujours plus mon anus pour chercher son fantasme au bout de son acte. Moi, je me laissai pénétrer, penchée en avant, avec la profonde impression de recevoir une barre bien rigide dans mon cul.
Il remua du bassin une trentaine de secondes jusquà ce que son mouvement saccélère pour atteindre un rythme plutôt soutenu. Il avait trouvé la profondeur qui lui convenait et sattachait désormais à rechercher le moment ultime où il exploserait tout son plaisir en moi. Je maccrochai des deux mains à la table qui tambourinait contre le mur suite aux coups de butoir de mon chef. Détournant alors le regard, je découvris dans le reflet de la vitre qui souvrait sur un extérieur obscur, notre humiliante imbrication. Son sexe, lisse et long, se laissait admirer lors de chacun de ses retours de pénétration. Et moi, cassée en deux, je lui offrais mon cul.
-Ce que tu peux être bonne, Claire ! Putain ! Tu vas me rendre cinglé
Cest alors ce moment-là quil choisit pour me faire reculer sur lui, me décrochant de la table sur laquelle je prenais appui. Toujours fourré en moi, il fit quelques pas et morienta en face du mur. La culotte au bas de mes cuisses, je vacillai un instant mais il me rattrapa puis violement mécrasa contre le mur. Il me comprima de toute la force de son corps sur le plâtre blanc de la salle. Il me secoua puis poussant vers le haut en saidant de la pointe de ses pieds, senfonça au plus profond de mon cul. Ce geste puissant me fit décrocher un petit cri de douleur et de surprise. Sans aucune honte, il mencula alors longuement contre le paroi de son bureau tout en ne manquant pas de me peloter les fesses de ses deux mains rugueuses. Je ne semblais plus compter pour lui, seul son pénis bien vissé en moi et mon anus quil lenserrait, lui suscitaient une passion extrême.
Il rugit et je le sentis enfin se délivrer puissamment entre mes fesses. Il éjaculait sans réserve dans mes entrailles et je fus contrainte daccepter de me faire souiller par ce patron pervers qui ne désirait de moi que mon corps de jeune fille. Il magrippa en tremblant puis me couvrit la nuque et le cou de rapides baisers de bonheur et de joie. Il prenait son pied à menvoyer ses giclées de sperme au plus profond de mon corps.
-Ce que tes bonne ! Ce que tes bonne
Ton cul
Il me bourra en donnant trois derniers coups de hanches puis je le sentis se tarir. Il expira ensuite longuement dans mes oreilles de tout le plaisir ressenti suite à cette soirée passée entre collaborateurs dentreprise.
-Jadore te faire ça, Claire ! Cest si bon ! Tu es si tendre
Il conserva sa position en moi une bonne demie-minute, jouant de mes mèches dans sa bouche, puis il me relâcha. Je retombai sur mes talons lorsquil sextirpa de moi. Ma jupe retomba. Dun geste du regard sur les vitres, je le vis reculer, le sexe désormais tout mou et prendre un moment pour remonter son pantalon. Quant à moi, jétais toute décoiffée, ma chemise était débraillée et après avoir vu que ma culotte pendait toujours entre mes genoux, je me penchai pour la remonter, conservant honteusement le sperme de mon patron dans mon cul. Christian me sourit et replaça lune de mes mèches blondes harmonieusement sur mon épaule.
-Jai vraiment honte de ce que je suis en train de faire subir à ma femme ! Mais jai trouvé mon meilleur fantasme et cest toi, Claire !
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