Annonce Mystérieuse
Lannonce était étrange, singulière dirais-je, mystérieuse :
Ma recherche est particulière mais je suis ainsi...simplement.....
Terriblement directe dans cette douce soumission. Que le garçon choisi respecte mes règles. Je suis le jeu et le mystère à l'état pur pour cette aventure indécente, sans violence ni douleur. Un mélange de saveurs pour un plaisir insolite
Il me tarde d'avance de lire vos messages avec une photo, sinon dommage, je ne donnerai pas suite.
Cependant, il s'agit d'une expérience particulière, d'un abandon aux plaisirs et aux désirs. Donc inutile de me laisser un message si d'avance vous ne vous prêterez pas à ce jeu, à cette délicate expérience.
Merci d'avance.
A très très bientôt, avec plaisir pour que le jeu commence.
Ma curiosité était piquée. Il était rate de trouver parmi le flot des annonces un postulat aussi attractif.
Sur un parking, vous vous serez garé... Une voiture s'arrête... Un signe du conducteur et vous me reconnaissez... Vous vous approchez de la portière arrière, l'ouvrez, et vous engouffrez, sans un mot.
Installée, je n'ai qu'un regard simple vers vous par rétroviseur interposé...
Vous posez la main sur mon épaule en guise de salut. Je pose la mienne dessus, en guise de réponse.
Le moteur redémarre. Je garde les yeux sur la route, mais quelques regards prétextés pour surveiller la circulation croisent le vôtre. Je vous vois onduler sur le siège arrière... Vous vous avancez doucement vers les sièges avant pour déposer à côté de moi un bout de tissu de dentelle... Je l'observe et le reconnais...
Un léger sourire se dessine sur votre visage...
Nous continuons notre route... Plus loin, un hôtel, puis son parking. Je me gare, coupe le moteur et sors. Vous restez... Je reviens de l'accueil puis monte les escaliers. Je sais que vous m'observez... que vous attendez.
"Chambre 129, 1er étage. Prends le bandeau à côté de toi. Mets-le avant d'entrer".
Vous observez autour de vous, inquiète de n'avoir rien vu jusqu'à présent. Dans le vide poche de la portière, un bandeau noir de soie se cache. Vous le serrez dans la main, puis vous quittez enfin cette antichambre. Vos talons sonnent sur les marches de métal et de pierre. 100..110..120... 129...
Votre respiration s'arrête un instant. Un regard de part et d'autre du corridor : personne. Ce sera la dernière chose que vous aurez observé avant que vos yeux ne s'occultent. A tâtons, vous poussez la porte... cette porte qui nous sépare, cette porte qui vous sépare de ce moment que nous attendions.... Vous vous avancez suffisamment dans la chambre. Pas un bruit, jusqu'à ce que vous perceviez le bruit du pêne de la porte. Vous sursautez intérieurement, votre coeur bat plus fort. Le "piège" s'est refermé... A moi d'en faire un piège sensuel...Vous guettez chaque bruit... Les secondes s'égrainent, des secondes qui vous paraissent interminables... Que fait-il ? Où est-il ?
Votre interrogation va trouver bientôt ses réponses...
Des doigts vous effleurent, longe votre cou... Ils s'insinuent sous votre veste... Habilement, ils la font glisser à vos pieds... Des lèvres viennent se poser sur le lobe de votre oreille... Une douce caresse d'origine inconnue parcourt vos bras, souligne chaque limite... Vous vous sentez observée, épiée, dévisagée... Le caraco que vous portez n'aura pas été un rempart plus impressionnant que votre veste...
Votre robe apparaît aux yeux de votre "bourreau"... La bretelle droite glisse, puis la droite... Visiblement, même vos vêtements sont contre vous... car la robe glisse et vous dévoile... presque nue...
La chaleur d'un corps se fait sentir...
La suite, plus tard, mais dans le réel....
Les jours passent sans qu'aucune réponse ne vienne.
Cher inconnu,
Votre imagination semble prolifique voire audacieuse... Mais sera-t-elle au rendez-vous ? Moi, oui en tous cas. J'attends l'instant où du virtuel, vous passerez eu réel...
Ma proposition semblait être à la hauteur. Il ne me fallut que quelques jours pour organiser cette rencontre. Je pris mes dispositions et lui ai envoyé un email en retour pour lui présenter mes directives. Rendez-vous fut pris pour le lendemain après-midi.
Je la récupère à l'angle d'un café dans lequel elle m'attend. Comme nous ne nous connaissons pas, j'ai convenu de mettre un ruban bleu au rétroviseur droit de ma voiture, suffisamment long pour qu'elle l'aperçoive. A quelques minutes du lieu, je m'arrête pour lui envoyer un SMS afin de l'avertir de mon arrivée imminente. En guise de réponse, je n'ai qu'un "OK". Je repars aussitôt.
Je m'avance. A quelques mètres, j'aperçois une femme élancée aux larges lunettes de soleil. Sans en avoir l'air, elle inspecte les voitures qui descendent la rue. Elle m'aperçoit et me fait un signe de la main comme on halerait un taxi. Je stoppe ma voiture un peu après elle afin qu'elle entre directement derrière. Elle s'approche et ouvre aussitôt la portière pour s'installer. Aucun mot de sa part. Je croise un court instant son regard dans le rétroviseur. Mais déjà, les voitures derrière moi s'impatiente et m'interpellent de quelques coups de klaxons. Je redémarre et me concentre sur la route. Elle, elle prend un air détaché. J'ai vraiment l'impression d'être un chauffeur de taxi !
La route se passe. Nous avons je pense tous les deux un avantage sur la situation : elle a été écrite... Enfin jusqu'à un certain point. J'attends alors la suite de ce qui était écrit. Elle ne tarde pas. Je vois son visage disparait un instant de mon champ de vision. Puis, elle réapparait à hauteur de mon épaule.
De mon côté, je plonge la main dans le vide poche de ma portière. J'en extrais un bandeau de soie de la même couleur que je dépose sur l'appuie-tête du siège. Doucement, je le vois glisser derrière... Le pacte est scellé : je saisis le dessous que je mets dans la poche de ma veste.
Je tourne une dernière fois pour entrer dans le parking de l'hôtel. A mon tour de prendre un air détaché. Sans un regard pour elle, je sors. J'ouvre le coffre et prends un sac de voyage. Je me dirige vers la réception de l'hôtel. Heureusement pour moi, à cette heure-ci, la réception n'est pas submergée ! J'en ressors deux minutes plus tard. Je fixe la voiture et je discerne le regard de la belle qui m'observe. Sans un signe, je m'engouffre dans le corridor qui mène à l'escalier puis aux étages. Je n'ai pas difficultés à trouver la chambre. Je prends vite mes marques. Je repère l'agence de la chambre : un grand lit, deux tables de chevet, un petit bureau... Dans le fond, une penderie et la porte de la salle de bain.
Je me mets à l'aise. Je sors quelques "accessoires" de mon sac et je le range dans la penderie. Une dernière inspection et j'envoie un SMS avec le n° de la chambre. Je n'attends pas de réponse cette fois.
Les minutes passent... longues. Je ne m'attends pas à ce qu'elle accoure toutefois.
Soudain, j'entends des pas dans le couloir. Mon coeur se met à battre fort. Mais mon excitation est de courte durée lorsqu'ils s'éloignent. Je commence à me demander ce qu'elle fait lorsque la personne se ravise et repasse. A l'ombre sous la porte, je comprends qu'elle est juste derrière. On frappe trois coups discrets.
Jéteins la lumière. Je me mets derrière la porte et, la main sur la poignée, je l'ouvre. Un halo de lumière éclaire la pièce. Une silhouette familière se dessine sur le sol.
Du bout des lèvres, je souffle un peu d'air chaud vers elle. Je tends les mains vers l'avant pour tenter de la localiser. Mes doigts effleurent une manche. Aussitôt, je m'empresse de remonter le bras jusqu'au cou. Je fais le tour de sa nuque pour redescendre de l'autre côté. J'ai cerné l'objet de mon envie. Je reviens vers les cheveux mi-longs que mes doigts ont survolés. Je les écarte délicatement. Mes lèvres viennent juste s'y déposer. Elle frémit.
Mes mains ne sont pas en reste. Tout en douceur, je les pose sur ses épaules. Mes doigts passent dans le col de sa veste et astucieusement, se retrouvent bientôt sur sa poitrine que je devine de bonne taille et ferme. Ainsi, je n'ai plus qu'à ôter lentement sa petite veste qui vient choir à ses pieds. Mon plan se déroule comme convenu jusque-là.
Je perçois au passage deux petites bretelles. Je pourrais me contenter de les laisser glisser comme feu sa veste. Au contraire. Abandonnant sa nuque délicieuse, j'en saisie une du bout des lèvres et bientôt des dents. Je glisse ma langue dessous, et tel un crochet, je la saisie pour l'amener le long de son bras. L'autre n'aura pas une meilleure fin.
Je fais un pas en arrière, mais pas de trop pour ne pas perdre mon inconnu dans l'obscurité. Je décide de faire une pause, tant pour réfléchir à la façon de mener la suite que pour la faire languir. J'avais pris la précaution de garder dans la poche arrière de mon pantalon une plume d'oie. Désormais, c'est elle qui la touchera. Je sens une légère résistance lorsqu'elle entre en contact avec son épaule. Je l'incline et commence à dessiner en aveugle ses courbes. J'ondule, je m'égare, je cherche. Je crois ressentir sur tout mon corps la sensation de cette caresse.
Au passage, j'aide son petit haut à glisser jusqu'à sa taille. Son dos nu devient un nouveau terrain d'exploration... En éclaireur, ma plume parcourt ce champ sensuel. Je réussis à m'agenouiller derrière elle juste à la hauteur de sa taille. Ma langue se substitue à la plume et vient gouter le creux de ses reins. Un léger gout de métal me fait comprendre que j'ai trouvé la fermeture. Mes lèvres continuent de savourer son dos tandis que mes doigts saisissent le zip. Il coulisse sans contrainte. Je m'engouffre dans ce nouvel espace. Sa peau est légèrement chaude, satinée au toucher. Je n'ai que faire de cette jupe. Je la sais maintenant presque nue.
Mes doigts longe son coude et ma main saisit son poignet. Je la guide vers le lit. Là, je massois devant elle. Immobile, elle attend. Je caresse ses cuisses, le bas de ses fesses. Mon visage s'approche de sa poitrine. Je sens sur mon visage une dentelle travaillée. J'embrasse au travers ses tétons durcis. Ma langue dessine le dessus du balconnet et s'égare entre ses seins. Il se gonfle au hasard d'une grande inspiration de sa part.
Sous mes baisers, ses bras passent dans son dos et saisissent la fermeture de son soutien-gorge.D'un tour de main, je perçois que la pression sur la poitrine se relâche. Le soutien-gorge tombe sur mes genoux, révélant à ma bouche gourmande une poitrine généreuse comme je les aime. Cette fois, plus de contrainte : je peux les prendre en bouche pleinement, mordiller leur extrémité, les lécher à volonté.
Je descends le long d'une ligne imaginaire jusqu'à son nombril. Je le déguste comme on savourerait un fruit délicat. Je m'écarte, les mains posées sur ses fesses. Je remonte lentement jusqu'au liseret de son tanga. Il est à ma merci. Il suffit que je descende les mains le long de ses jambes pour que je dévoile à mon appétit gourmet son intimité.
Là, devant moi, elle se tient désormais nue. Que vais-je faire de ce corps ? J'ai envie de l'honorer à sa juste valeur. Mettre à profit l'excitation qu'il m'a procurée pour le combler. Je prolonge l'attente. Je la sens impatiente mais attentive à chacun de mes mouvements. Profitant de ma position, je décide de la surprendre. Mes mains la tirent vers moi et la déséquilibre. Je la sens vouloir se rattr, mais je l'accompagne de mon visage jusque sur le lit. Sa poitrine repose sur moi. D'un geste, je glisse sur le côté et l'abandonne à plat ventre. Mes doigts caressent son dos depuis la nuque jusqu'à la naissance de ses fesses.
Je m'éclipse doucement. Tel un serpent, je rampe du lit pour me retrouver à ses pieds, juste derrière elle. Je remonte ses jambes douces et infinies jusqu'à l'objet précédent de mes attentions. Mes doigts heurtent les deux liens. Je m'y accroche et redescends. J'imagine alors ce que j'aurais découvert à la lumière. J'ai déjà deviné ses formes et cette frustration visuelle ne fait que décupler mon envie. Depuis ses chevilles, je remonte les mains jusqu'à ses fesses que je caresse fermement. Je passe sous son ventre pour linciter à se mettre sur le dos. Les mains repassent sur son ventre et, symétriquement, je redescends le long de son pubis, de l'intérieur de ses cuisses jusqu'aux chevilles.
Je les saisis pour écarter ses jambes. Elle se laisse faire. Anticiperait-elle mes envies ou serait-ce une demande de sa part ? A genou au pied du lit, je glisse sur les draps à plat ventre. L'espace devient de plus en plus exigu. J'arrive à son entre jambe.
Je caresse le haut de son pubis, imberbe. De l'index, je dessine chacune de ses lèvres. J'en explore leur forme bombée. Je m'égare entre et je perçois un suintement familier. J'en enduis délicatement mon majeur et mon index. Je "traine" encore sur ce relief passif et prometteur.
J'avance mes lèvres pour gouter la douceur que j'ai découverte. Ma langue s'étire pour prendre une grande lampée. En remontant, je glisse malicieusement la pointe entre les lèvres. Je m'engouffre dans le sillon qui s'écarte sans résistance. Bientôt, je bute contre une proéminence. J'en fais le tour pour le jauger. Il semble conciliant... Je le soulève, puis je le prends entre les lèvres. Sous mon audace, la belle se cambre m'offrant pleinement le fruit de son désir. Je plonge alors littéralement dedans pour le dévorer... mais avec délicatesse. J'avoue alors avoir un double plaisir immense : celui de gouter son excitation et celui de gouter le fruit de mes préliminaires...
Je ne sais si c'est la situation, le gout ou l'envie, mais je me sens pris d'une frénésie dévorante. Je faufile ma langue au plus profond d'elle autant que je le peux. Mes doigts viennent en renfort. L'un commence à entrer en elle et la masse intérieurement. Je veux lui en donner plus : un second vient en soutien. Tout mon être se consacre à la découverte de cette zone et au plaisir que visiblement je lui procure. Je sens ses jambes se relever, riper sur le bord du lit, se tendre. Son bassin ondule, tourne, se cambre. A chaque signe, égoïstement, au lieu de m'inquiéter de ma partenaire, je redouble d'attention.
Après de longues minutes, je retire mon visage. J'entends une respiration haletante et à la fois profonde. La situation m'incite aussi à reprendre mes esprits, ivre de son nectar.
Je me hisse sur le lit et je m'allonge sur le dos à côté d'elle. Sa main se tend, hésitante, vers moi. Elle rencontre tout d'abord mon bras qu'elle délaisse pour s'attarder sur ma poitrine. Elle me découvre. La douceur de ses gestes contraste avec l'ardeur que j'ai déployée précédemment. J'en suis presque confus. Après une reconnaissance superficielle, ses gestes sont plus précis. Je sens ses doigts sur mon bas ventre. Bientôt, mon sexe est entouré. Après quelques massages évocateurs, je sens le lit bouger sous ses mouvements. Elle s'est tournée de côté vers moi. Son alène chaude vient caresser mon visage, puis mon cou et ma poitrine. Je devine son itinéraire sensuel à la seule chaleur de son corps.
Je relève machinalement le bras droit lorsqu'il heurte sa cuisse. Au même moment, un souffle léger caresse mon membre. Ses lèvres douces viennent à sa découverte. Par petits coups, sa bouche le goute. Enfin, je le sens disparait dans un mouvement lent. Je ne suis pas en reste de mon côté. Mes doigts ont redécouvert son antre de plaisir et s'évertuent à lui rendre chaque sensation. Ses attentions sont délicates et appliquées. Sa main gauche est venue se poser sur mon bassin pour m'immobiliser. Le rythme est soutenu et je décide de ma laisser aller à ses envies.
Elle alterne des massages de sa main, de sa bouche, de ses lèvres et de sa langue. J'aurais dû être plus "cruel" tout à l'heure me mets-je à penser ! Mais alors que mon sexe avait repris vigueur, elle stoppa, nous sans laisser un dernier baiser sur mon gland. Qu'avait-elle en tête ? Je le découvre rapidement.
Elle se retourne et me chevauche. Je suis désormais à quelques centimètres de son visage, sous le couvert de ses cheveux mi-longs qui effleurent ma poitrine. Elle défait le bandeau qui cache encore ses yeux puis saisit mes poignets qu'elle lie avec délicatesse au-dessus de ma tête. Après s'être assurée de sa prise, elle sassied sur moi. Son sexe humide vient emprisonner entre nous ma verge toujours tendue de désir. Sa main vient me caresser doucement. Puis, elle se redresse légèrement tout en le gardant en main. Mon gland ressent la douceur de sa chair rose qu'elle laisse parcourir. Ce n'est cependant qu'un avant-gout de ce qu'elle avait en tête. A chaque balayage de mon extrémité le long de ses lèvres, elle prenait soin de l'enfoncer un peu plus. Bien entendu, elle eut vite fait de ma faire parcourir tout ce qu'elle pouvait m'offrir de l'extérieur. C'est alors qu'elle me donna pleinement l'accès à son intimité profonde. Attaché, je ne pouvais que me laisser faire. Jusqu'à présent, j'étais accompagné de sa main, guidé par son sillon. Là, je sens comme une libération, une ouverture qui s'offre à moi. Mon sexe entre en elle.
Elle jauge de ma raideur en bougeant son bassin comme pour me caler en elle et m'accueillir chaleureusement. Désormais, c'est elle qui a les cartes en main. Elle va et vient sur moi et son mouvement samplifie. Parfois, elle se laisse retomber sur moi pour me prendre tout entier. Nos corps s'entrechoquent, claquent sous ses assauts. Je ne peux rien voir de la scène, si ce n'est une ligne de lumière sous la porte qui disparait au gré de ses mouvements. Ainsi à sa merci, confié à son ardeur, son désir, je découvre enfin que je le suis aussi à son plaisir... Je me sens me raidir au fond d'elle. Elle le perçoit et se cambre encore plus. Quelques mouvements supplémentaires suffiront à m'avouer vaincu et à me rendre en elle... Elle me laisse m'enfoncer une dernière fois en elle, au plus profond... Est-ce pour son plaisir ou le mien ? Je sens mon membre lâcher prise longuement en elle... Interminables plaisir, divin...
Le plaisir est de courte durée cependant. Elle se redresse, non sans prendre soin de défaire mon lien de principe. J'attends, j'observe. Des bruits de tissus se font entendre. La chambre se remplit à nouveau d'une lumière éblouissante à mes yeux. Son corps se dessine, de dos dans l'embrasure de la porte. A sa main je vois pendre le bandeau. Elle le laisse tomber au sol, sans même se retourner.
Je reste là, l'esprit encore plein de son image monochrome, de son parfum, de son gout. Je me résous à me lever et à allumer la lumière pour me rhabiller lorsque mon téléphone vibre. Un SMS est arrivé :
L'obscurité aura été notre complice. La prochaine fois, la lumière sera notre allier.
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