Maudites Vacances (4) : Un Petit Tour En Voiture.
Nous voici tous les trois pour une virée en voiture. Mon copain Jonathan veut nous faire essayer sa super bagnole et c'est Corinne -ma femme- qui commence. Au moins, je suis rassuré. Jonathan ne va pas la baiser pendant qu'elle conduit. Vu ce qui s'est passé depuis hier après-midi et ce matin, j'en arrive à craindre le pire à chaque instant. Cocufié trois fois en 24 heures -et à chaque fois alors que j'étais présent-, je n'ai pas le moral au beau fixe. Pour parler vulgairement, j'ai compris que Jonathan était un queutard de première et que Corinne n'était pas insensible à ses coups de bite. J'en suis encore tout secoué mais il faut se faire une raison : je viens d'endosser le rôle du mari cocu, et je vais avoir du mal à changer la donne.
Corinne est au volant et elle découvre les joies de la conduite avec une voiture puissante. Effectivement, ça à l'air de décoiffer. Jonathan nous emmène sur l'autoroute pour pousser un peu sur le champignon. Corinne est super contente, c'est la première fois qu'elle essaie une huit cylindres.
- Bon, vas-y, là tu peux accélérer. T'inquiète pas, il n'y a pas de radars, tu peux appuyer sur le champignon.
- Wouaou ! Génial ! Je suis à 160 en un clin d'il. 180 ... Je continue ?
- Pas de problème, fais-toi plaisir !
Je suis à l'arrière, et c'est vrai que la voiture ne bouge pas, elle est comme scotchée à la route. On ne la sent pas peiner.
- 200 ... 220 ... C'est magique, ce truc ! Il y a de quoi prendre son pied !
J'ai peut-être l'esprit mal tourné, mais cette réflexion me fait irrésistiblement penser au fait que Corinne prend un peu trop son pied grâce à Jonathan. Apparemment, je ne suis pas le seul à faire cette association d'idée, car il récupère la balle au bond.
- T'es une vraie sensuelle, toi, à prendre ton pied à tout moment. Ça t'excite de conduire une bagnole puissante comme ça ?
À peine a-t-il dit ça qu'il pose sa main sur le genou de Corinne.
- Dis-donc, c'est pas le moment, je conduis alors retire ta main de là ...
- Moi, je pense que c'est le moment, au contraire.
Jonathan joint le geste à la parole et caresse la cuisse de Corinne, remonte la robe plus haut. Évidemment, à plus de 200 km/h, Corinne reste les mains sur le volant et les yeux sur la route, mais elle ne semble pas plus outrée que ça. C'est moi qui réagis :
- T'es fou, arrête, c'est dangereux à cette vitesse, on pourrait avoir un accident ...
Je viens à peine de finir ma phrase que je me rends compte de mon ridicule : il est en train de caresser les cuisses de ma femme sous mon nez et tout ce que je trouve à dire c'est que c'est dangereux ! D'ailleurs, il a l'air de s'en foutre complètement puisqu'il continue de plus belle. Maintenant, la robe de Corinne est remontée jusquà la lisière de sa culotte et il lui caresse l'intérieur des cuisses. On a un peu ralenti, mais ça va encore drôlement vite. Jonathan s'enhardit.
- Mmmm
Cest super excitant de te caresser comme ça. Tu peux pas résister, tes obligée de subir
- Espèce dobsédé ! Tu crois que cest le moment ? Arrête !
- Oh, que non ! Tas la peau trop douce, tes trop appétissante
Et puis, jai envie de voir ce qui se passe dans ta petite culotte. Je parie que tu commences à mouiller
- Tes con ! Je conduis, cest vraiment pas le moment
- Tas quà ralentir un peu, après tout, on nest pas si pressés
Corinne na pas attendu Jonathan pour diminuer sa vitesse, on est à 160 et elle ralentit encore.
- Cochon, obsédé, vicieux ! Tu mériterais que je te file une baffe ! Oh, je
Je
Arrête !
- Mmmm
Cest bien ce que je pensais, ma chérie : tu mouilles déjà comme une vraie petite salope
Moi, je suis tétanisé, je ne sais pas où il faut regarder : la route et les accidents potentiels ? le compteur de vitesse ? Le visage de Corinne qui commence à encaisser le plaisir qui monte ? La main de Jonathan qui saventure sous la culotte de ma femme et explore sa fente ou titille son clitoris ? Les cuisses de Corinne qui ne semblent pas vouloir se refermer pour empêcher Jonathan de mener son exploration intime ? Quoi que je fasse, où que je regarde, cest langoisse qui monte.
- Ohhhh
Ohhhh
Je ten prie
Non
Ohhhh
Mmmmm
- Putain, cest super, tu démarres vraiment au quart de tour ! Une vraie formule 1 ! Jai toujours rêvé de piloter des modèles hauts de gamme, et toi, tes une affaire
Je trouve la comparaison plutôt vulgaire, mais ce nest évidemment pas ça le pire. Ce que je constate, cest que Jonathan est à nouveau en train de faire jouir ma femme devant moi sans que je puisse faire quoi que ce soit pour len empêcher.
- Salopard, dégoûtant, profiteur ! Ohhh
Je
Aahhhh
Arrête !
- Jamais de la vie, ma chérie : tu commences tout juste à jouir. Jai envie de profiter du spectacle. Hein, que ça texcite de te faire tripoter comme ça ?
- Ohhh
Je
Daccord, si tu veux, mais laisse-moi, maintenant
- Réponds-moi franchement : tu aimes ce que je te fais, hein ? Vu comment tu mouilles, je nai pas de doute, mais dis-le bien fort quon tentende !
- Ahhh
Espèce de salaud, je
Oui , jaime ça
Ohhh
Je ten prie
- Tu ferais mieux de tarrêter pour que je puisse moccuper de toi comme il faut. Tiens, gare-toi là-bas, il y a un téléphone
Effectivement, on arrive à une aire de stationnement pour téléphone durgence et Corinne a suffisamment de lucidité pour ralentir et se ranger sur le côté, à lécart des voies de circulation. Voilà, cest bon, nous sommes arrêtés maintenant et tout risque daccident semble momentanément écarté. Mais ce nest pas pour autant que je suis rassuré, loin de là : maintenant Jonathan profite de la situation. Il continue avec sa main baladeuse et, pour avoir plus de place, recule le siège de Corinne à fond. Comme je le craignais, Corinne se laisse faire. Il réussit apparemment à lui procurer suffisamment de plaisir pour quelle nait pas envie de lui donner la baffe quelle lui promettait il y a seulement deux minutes. Vu les soupirs quelle pousse, je crois que je vais encore endurer le cauchemar du mari cocu.
- Salaud,
Oui, cest bon, continue, vas-y
Mmmm
Ohhh
Je
Oh, oui, jaime
Encore
Il glisse ses mains le long des cuisses de Corinne, détache sa ceinture de sécurité, revient sur les hanches, son ventre, ses flancs,
Il la prend sous les fesses, lattire à lui comme pour la fouiller encore plus profondément avec sa langue. Je suis subjugué mais toujours aussi scandalisé par leur indifférence à mon égard. On croirait que je nexiste pas. Pas un regard de compassion ou un mot dexcuse pour moi, Corinne se laisse faire sans résistance et se contente de pousser des petits cris, des gémissements, des gloussements
Elle encourage Jonathan qui ne se fait pas prier.
- Espèce de cochon lubrique, continue, oui,
Tu me fais jouir
Cest ce que tu veux, hein ? Ah, oui, ouiiii
Comme ça
Jaime ! Encore, oui, cest ça
. Ahhhh
Je suis écuré, émerveillé et surtout mort de jalousie et de honte : ce salaud a trouvé en deux jours comment la faire jouir comme une dingue alors que moi je ny suis pas arrivé en deux ans. Je suis vraiment un nul et je nai que ce que je mérite, je suppose.
Les choses se bousculent. Jonathan revient sur son siège, le recule à fond, du coup je me retrouve coincé et incapable de bouger. Il enlève son bermuda et son boxer en un instant, prend Corinne par les hanches et lattire à lui pour quelle vienne sasseoir sur ses genoux. Sur ses genoux ? Bien sûr que non
Je risque un coup dil par-dessus son épaule et jai la confirmation de ce que je craignais. Il bande comme un cerf et cest sur sa queue quil veut installer Corinne. Jespère jusquà la dernière seconde quil ne va pas y arriver, mais une fois de plus cest la déception. Entre les gestes sûrs et précis de Jonathan et la souplesse de Corinne, il ne faut que quelques secondes pour que le pire arrive : Corinne sassoit sur la queue de Jonathan et se fait enfiler le plus naturellement du monde, comme si elle nattendait que ça depuis le début. Quant à moi, je ne vois pas grand-chose puisque je suis sur le siège de derrière, mais je préférerais être sourd pour ne pas entendre les horreurs que débite Jonathan :
- Ouaiiisss
Génial ! Jadore rentrer dans ta chatte ! Cest super ! Tes vraiment une salope de rêve, je le crois pas ! Tiens, on va pas sarrêter en si bon chemin, je vais tenlever ton chemisier
Oh, putain que cest bon, je vais te dégager tes gros seins, ils sont à létroit là-dedans. Oui, continue à monter et descendre sur ma queue, cest super, jadore,
Coincé derrière le siège, je suis aux premières loges pour entendre, et je vois une partie de la scène dans le rétroviseur. Corinne donne le rythme pour se faire ramoner, accompagne le mouvement avec ce quil faut de halètements pour quon comprenne bien quelle apprécie le traitement. Japerçois de temps en temps son visage dans la glace : elle a les yeux fermés, elle se concentre sur lorgasme qui monte. Et puis, pour que le tableau soit complet, Jonathan continue de la déshabiller avec méthode, sans se presser.
- Je vais téplucher comme une banane pour bien profiter de toi, ma belle. Voilà, comme ça, cest tout bon, tas plus besoin de ce chemisier. Tiens, je te retire ta jupe pour pas la froisser. On va soccuper de ton soutien-gorge maintenant
Y-a-pas à dire, moins tas dhabits, mieux ça te va !
Il la pousse un peu en avant pour accéder à lagrafe de son soutien-gorge, et, au moment où celle-ci cède, cest un niveau de plus pour Jonathan comme pour moi. Son dernier vêtement, son dernier rempart qui va libérer ses merveilleux seins. Pour moi, cest lhorreur car je sais que Jonathan va sen occuper comme il sait si bien le faire. Pour lui, cest le bonheur : le soutien-gorge dégrafé, il caresse doucement le dos de Corinne pendant que cette dernière continue à aller et venir sur sa queue.
- Mmmm
Cest trop bon, continue à te faire ramoner, je vais moccuper de tes seins ma chérie
Il ménerve à lappeler ainsi « ma chérie », cest presque insupportable ! En tout cas, avec une délectation perverse, il dégage tout doucement les bretelles de son soutien-gorge, puis enlève ce dernier complètement, et, comme prévu, passe à laction : il prend un sein dans chaque main, les pétrit, vérifie que les mamelons sont bien fermes, les titille un peu, les pince.
- Je serais prêt à me damner pour te peloter les seins, ma jolie. Tas vraiment les nichons les plus bandants que jaie jamais vus. Continue de te faire limer comme ça, on nest pas pressés, je vais te faire reluire aussi longtemps que tu voudras
Cest pas possible ! On va quand même pas repartir sur une baise-marathon, non ? On est sur lautoroute, les voitures passent à 130 km/h juste à côté de nous, nimporte qui peut sarrêter dun instant à lautre, et eux, ils sont en train de baiser tranquillement sous mon nez en prenant leur temps ! Je manifeste ma désapprobation.
- Vous feriez mieux de vous dépêcher, cest vraiment pas lendroit pour faire des trucs comme ça !
Jai conscience dêtre ridicule, mais je ne vois vraiment pas quoi faire dautre en ce moment.
- Doucement, doucement, on fait ce quon peut, on ne va pas bâcler le travail
Je trouve ce genre de réflexion particulièrement vulgaire, mais au point où jen suis
Malgré tout, jai limpression que Corinne a accéléré le rythme, car elle sagite sur la queue de Jonathan avec de plus en plus dénergie, pousse des cris de plus en plus forts, bref, elle a à nouveau un orgasme pour leur plus grand bonheur et mon plus grand malheur.
- Regarde-ça comme elle prend son pied, ce serait dommage de linterrompre ! Et toi, ma poule, continue de tempaler sur ma queue, on voit bien que taimes ça, lâche-toi, je parie que ça file la gaule à ton mec, faut pas le décevoir
Le pire, cest quil a raison, je bande à nouveau à la vue de ma femme qui se fait baiser sous mes yeux en poussant des cris de plaisir. Quant aux commentaires de Jonathan, cest pire que tout : plus je suis scandalisé, plus je bande ! À ny rien comprendre
- Putain, tas les plus beaux airbags du monde, toi, jarrive pas à men lasser : cest super
Oh, la vache, oui, continue à faire du rodéo sur ma queue, jaime
Oh, oui, salope, comme ça, cest bon
Oh, non, cest pas possible, cest trop de la balle, tes vraiment une super bombasse, continue comme ça, oui, ouiii
Aahhhh, salope, tu vas me faire juter,
Pas besoin de lire dans une boule de cristal pour comprendre ce qui va se passer. Visiblement, la situation ne va pas séterniser, ce qui dune certaine façon me satisfait, mais dun autre côté me désespère : ils ont tous les deux un orgasme qui les submerge et moi je me contente dêtre présent avec une frustration monumentale dans mon pantalon. Les secondes qui suivent confirment mes craintes : ce sont des cris, des grognements et des feulements des deux côtés, ça monte en puissance, ça saccélère, ça explose
- Oui, ouiiii
Salaud
Encore
Bourre-moi ! Ouiii
Défonce-moi !
- Ahhhh
Tiens
Prends ça
Et ça !
Tiens ! Saalopppe ! Aaahhhhh !
Je commence à connaître la chanson. Cette fois-ci, il ne faut pas que je me plaigne, Jonathan naura même pas limé ma femme dix minutes avant déjaculer en elle. Car je suppose que cest bien ce quil est en train de faire : il se bloque, pousse un long râle de plaisir, sagrippe à Corinne et limmobilise. Encore plus soudainement que les fois précédentes, on passe de la fureur au calme en quelques secondes. Les instants qui suivent sont si pesants que je décide de sortir de la voiture.
- Bon, maintenant, ça suffit, magnez-vous pour vous rhabiller, on rentre. Je vais maérer deux minutes en attendant.
Ce nest pas ça qui va me rendre de lautorité, mais jai besoin dair : cocufié quatre fois en deux jours, il me faut bien ça pour digérer. Maudites vacances !
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