Une Nounou Trés ' À Cheval '

cela a demandé six mois avant de trouver une nounou afin de faire arder notre fils Enzo âgé d'un an .
Nous avons fini par trouver une jeune femme divorcée qui vient juste d’avoir son agrément et son premier à garder, elle habite à deux kilomètres de chez nous sur la route qui mène a mon bureau, ma femme Emma part carrément a l’opposé, c’est donc moi qui suis chargé de le déposer cinq fois par semaine a sept heures du matin, le soir comme ma femme quitte plus tôt c’est elle qui le récupère

Ma récompense c’est qu’à cette heure matinale elle me reçoit sans faire de chichis , une longue chevelure brune défaite sur ses épaules, de beaux yeux en amandes qui se passent de maquillage, encore en robe de chambre mal attachée, lorsqu’elle prend Enzo dans ses bras celui-ci gigote plus ou moins et accentue l’ouverture par laquelle je vois une nuisette qui change tous les jours de couleur, en dentelles très ajourée qui laisse apparaitre la naissance d’une poitrine libre de toutes entraves et n’en souffre absolument pas
Audrey, c’est son prénom, et au fil des jours tient a ce que je m’en serve, en retour elle m’appelle par le mien : Lucas

Ce matin mon fils est particulièrement énervé, il gesticule tellement qu’un sein déborde de la nuisette , Audrey rougit un peu en voyant mon regard se poser sur ce beau mamelon de chair blanche, soudain Enzo, étant donné qu’il a tété sa mère durant quelques mois, flaire le sein et se jette dessus pour gober le téton, émue mais pas fâchée elle le repousse doucement de sa tétine dressée, le petit sourire qui accompagne ce trouble prouve que ça ne la gêne pas et ne cherche pas à rectifier sa tenue accusant mon fils d’être un petit coquin !

- Excusez le il n’a pas perdu l’habitude du sein maternel !
- C’est normal j’aurais dût m’habiller davantage
- ǒaurait été dommage pour moi ! vous savez comment on reconnaît un qui tète sa mère ?
- Non ?
- Hé bien, l’ qui à accès aux seins tous les jours affiche un large sourire tandis que le père qui en est privé tire une tronche de deux kilomètres !
- Ha oui ! ça vous a traumatisé a ce point là d’être privé de seins ?
- Vous ne pouvez pas imaginer a quel point !

Audrey n’a rien répondu mais elle a pris son temps avec un sourire énigmatique pour rajuster sa tenue comme pour me faire profiter encore de sa gorge
Les jours suivants, avec l’arrivée du printemps la chaude robe de chambre a été troquée par un kimono en soie s’arrêtant juste au dessus du genou, et comme chacun le sait, la soie… ça glisse …et dessous il n’y a plus de nuisette, avec le temps et la confiance qui s’est installée, je suis autorisé à aller jusque dans la cuisine

Enzo vient de faire ses premiers pas, Audrey le prend par la main et de ce fait se penche en avant …deux melons tout rond n’attendent que mes mains … elle se rend compte que je mate car je reste muet, elle ne peut pas lâcher le gamin et me laisse admirer ses seins … je fais un effort surhumain pour ne pas les empoigner, pire, par respect je fais demi-tour pour repartir car mon fils vient de s’agripper au kimono qui s’ouvre carrément , cette fois j’ai eu droit pendant quelques secondes au corps dénudé de la nounou , mes yeux se sont immédiatement portés sur sa toison noire taillée en forme de cœur
J’aime énormément Emma et je ne l’ai jamais trompée, mais cette vision de rêve me fait douter …dans ma voiture, à l’abri des regards, je me suis soulagé avec ma main gauche pour faire retomber la raideur de mon membre, dans la droite un kleenex pour récupérer proprement ma semence, cette vision de rêve m’a poursuivie toute la journée au point que mon patron m’a demandé si j’étais souffrant, je lui ai répondu qu’effectivement j’avais mal au crâne

Le lendemain j’appréhendais la confrontation …même si elle n’est pas passée sous la douche Audrey est encore plus rayonnante que la veille, elle m’invite à la suivre dans la cuisine

- Je vais faire jouer Enzo dans la pièce fermée réservée a cet effet, il s’y éclate et ne risque absolument rien, c’est là qu’il joue lorsque je vais faire mes ablutions a la salle de bain…hier vous êtes partit comme un voleur ?
- Mettez vous à ma place …vous voir nue …
- Et si c’était prémédité ? vous m’avez émue avec votre ‘privation’ de poitrine
- Oh, j’y survivrais …
- Suivez-moi Lucas …
- Où ça ?
- A la salle de bain …j’ai un souci de machine à laver le linge
- Mais je ne suis pas bricoleur !
- J’aimerais simplement votre avis sur son fonctionnement, lord de l’essorage elle secoue si fort que je la retrouve souvent au milieu de la pièce

Je suis la femme en regardant son p’tit cul danser sous le kimono, elle entre et s’adosse à la machine à laver qui ronronne

- Hé bien ? Qu’a-t-elle de spécial ?
- l’essorage va démarrer dans un moment
- Que fait-ont en attendant ? je dois aller travailler !
- Prévenez votre patron que vous ne serez pas là ce matin …
- Pourquoi ?
- Pour ça ….



Audrey vient de laisser choir son kimono, nue, l’air mutine la bouche entrouverte, un bout de langue rose passe sur sa dentition impeccable, si je ne fait rien je vais passer pour un poltron, si j’agis … je trompe ma femme …le choix est vite fait, sans la quitter des yeux j’empoigne ses seins a pleines mains, elle ferme les yeux et gonfle sa poitrine

- Ouuuuuuiiiiiii Lucas, pelotez moi les nichons autant que vous le voulez
- Ils sont merveilleusement fermes
- Tétez moi …aspirez très fort mes bouts
- La machine va bientôt essorer ?
- Je vous préviendrais, pourquoi ?
- Vous allez voir …

Tout en aspirant le téton je défais ma cravate, les boutons de ma chemise, elle s’arrache a mes sucions et se jette sur moi pour m’aider à quitter le pantalon je garde mon boxer transformé en chapiteau qu’elle observe avec avidité

- Vite ! Elle va essorer …

D’un coup de rein elle s’assied sur la machine les cuisses ouvertes, exhibant explicitement le désir de sa chatte

- Vient, prend moi tout de suite…

Entre ses poils courts ses lèvres gorgées de sang, entrebâillées, transpirent de mouille, je vire mon slip et pointe ma bite sur la vulve, il était temps, dans un bruit d’enfer la machine s’emballe, je me retrouve enfoncé dans sa chatte incandescente sans avoir fait un effort, secouée comme un prunier ses seins vibrent sur mon thorax, elle se cramponne a mon cou devenant un véritable vibromasseur humain, nous ne faisons que nous maintenir enlacés, nos dents s’entrechoquent, la machine fait tout le reste, elle serre son con sur ma queue que je maintiens raidie au maximum en bandant mes muscles fessiers, le résultat ne se fait pas attendre je me répand en elle, sa jouissance se traduit par des plaintes entrecoupées comme des sanglots par les secousses qui ne s’arrêtent qu’avec la fin du cycle, nous haletons comme deux coureurs de marathon, ce qui nous fait éclater de rire

- Et si je reprogrammais sur essorage ?
- Pas avant que tu m’aie nettoyé la bite avec ta bouche
- Prend ma place sur la machine …

Audrey prend ma queue en mains et de sa langue entièrement sortie lèche les sécrétions mêlées encore humides, mes testicules sont malaxées, un doigt fureteur s’aventure même vers mon anus, mon phallus est à nouveau opérationnel, j’ai trop envie de réitérer l’expérience de l’essorage pour lui décharger bêtement dans la bouche

- Reprend ta place, je vais te nettoyer la moule avant de faire repartir la machine à laver
- Gourmand ! dépêchons nous ton fils ne va pas tarder à rouspéter d’être tout seul

Accroupi, en admiration devant cette lézarde odorante d’où ne s’arrête pas de s’écouler de la mouille mélangée a mon foutre, je darde ma langue et lape cette fente de bas en haut décalottant au passage son clitoris rendu sensible par l’orgasme récent, provoquant chez elle un sursaut comme atteinte d’une décharge électrique

- ARRÊTE !! Arrête, je vais encore jouir ! Pénètre moi, je programme l’essorage en direct !
- Comme tu veux, écarte les cuisses

Le fruit de notre jouissance forme une épaisse trainée blanchâtre le long du hublot de l’appareil, j’ai juste le temps de m’emboiter entre ses cuisses avant que la machine ne redémarre pour un cycle infernal, ses bras et ses jambes m’enserrent comme deux colliers, ma bite est brassée dans son vagin devenu lui-même essoreuse a couilles qui elles même sont si malmenées que j’ai l’impression que mes testicules font des cabrioles dans leur poche
Je dois repousser Audrey, qui, grisée par le plaisir me mord le cou, que dirait ma femme si je rentre avec un hématome ? Ma maitresse se raidie, son étau de velours presse, ou plutôt, ‘essore’ mon membre qui lui fait honneur en crachant sa semence au plus profond de ses entrailles ! soudainement ‘l’engin’ rend l’âme dans un sinistre bruit de ferraille et s’arrête définitivement

- Cette fois je crois qu’elle est foutue !
- Ouais … tu crois que la neuve sera aussi efficace ?? …

Hélas la nouvelle acquisition était certes très efficace pour le linge mais peu performante pour une partie de cul ! De toute façon, peu de temps après, nous avons dût mettre un terme a nos relations car Enzo mimais a sa maman qui venait le récupérer certains gestes familiers que j’avais envers la nounou !

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!