La Première Fois De Marius

La première des histoires qui m'a été conté par l'un d'entre eux. C'est en partie grâce à cela que j'ai pris la décision de venir sur ce site pour vous décrire la vie sexuelle des hommes de notre famille. Je ne m'en cache pas, je suis ici pour vous vanter les mérites d'une sexualité qui, sans être débridée, est libérée et s'axe sur le plaisir et non pas sur les interdits. Nous partageons notre vécu les uns avec les autres et cette histoire m'a été directement contée par l'intéressé.
C'est souvent dans la moiteur de l'été qu'ils viennent chez moi, j'ai la chance d'être un de ces grands père qui n'a pas a réclamer la visite de ses petits s, j'en suis d'ailleurs presque a réclamer ma tranquillité tant ma maison est devenue un lieu de villégiature prisé pour mes 4 fils et mes treize petits fils. Le lieu est, il est vrai, très agréable et très spacieux. Située dans le Sud de la France, ma propriété bénéficie d'un climat très doux et d'une grande piscine.
Le Soleil y tape souvent fort et c'est sans doute ce qui les met si à l'aise. Nus 99% tu temps, ils déambulent dans toute la propriété, parfois sous les yeux de promeneurs qui viennent à passer sur le petit chemin qui serpente à l'arrière du terrain. Leurs valises ne sont jamais bien épaisses et ils n'ont aucun secret les uns pour les autres. Je me plais à penser qu'ils n'ont aucun secret pour moi non plus, en tout cas je sais que certains préfèrent se confier à moi qu'à leurs parents.
Dans le petit salon des hommes, aujourd'hui transformé en bureau, il reste toujours le même canapé en cuir qu'il y avait quand j'étais petit et sur le mur, comme chez mon ami et beau frère Marius, une grande photo de mon père faisant face à une grande photo de moi. Tous les deux nous sommes dans notre tenue d'Adam et en grand format, photographiés en noir et blanc sur un fond de verdure similaire, le regard porté au loin, vers celui qui se trouve sur le mur d'en face, dans un simplicité qui ne manque pas de me rendre mélancolique quand je les regarde.

Au fur et à mesure du temps, une photo de chacun de mes quatre fils était venu s'ajouter de part et d'autre de la mienne et le tout formait une composition touchante qui donnait l'impression que nous étions tous frères puisque nous avions tous plus ou moins le même âge au moment de la prise de vue. Ces six jeunes éphèbes nus, musclés, le corps peint, portant fièrement ce manche à gros gland qui nous caractérise tant n'avaient jamais manqué d'impressionner et de faire fantasmer les visiteurs même si les piercings génitaux et la circoncision se sont beaucoup démocratisés depuis le temps où j'ai reçu le mien. Deux de mes belles filles s'étaient faite copier le portrait de celui qu'elles avaient épousé afin de l'accrocher dans leur chambre nuptiale. Ils y trônent toujours, en face du lit.
Je ne me rendais toutefois plus vraiment dans ce salon qui me rappelait trop de souvenir et en ai fait un bureau dans lequel je ne travaille pas puisque je suis retraité et la porte restait close. Plus tard ce fut la pièce ordinateur et l'obsession de mes petits fils pour internet m'a à y remettre très souvent les pieds. Ils ne savaient pas encore quelle était la vocation de cette pièce avant leur naissance mais l'avaient déjà adopté comme un lieu de réunion plus intime que le grand salon. Le vieux canapé et l'ordinateur étaient comme une invitation pour eux à regarder du porno en se malaxant le membre. C'est du moins ce que j'ai pensé quand je les ai surpris la première fois.
Le lendemain, je leur avait très simplement parlé de ce qui s'était passé. J'ai voulu qu'ils sachent bien que ce qu'ils faisaient était tout à fait hygiénique, bon pour la santé en tout point de vue mais que je leur déconseillait vivement d'avoir recours aux films pornographiques. Cette discussion en entraîna une autre à propos des photos qui garnissaient les murs. Ces photos qu'ils avaient toujours connu mais dont ils savaient finalement peu de chose. Ceux qui étaient présents ce jour là avaient entre 17 et 21 ans c'est-à-dire largement assez âgés pour être mis au courant de tout ça.

Très vite, ils ont souhaité faire de cette pièce la leur, c'est du moins ce que j'ai compris quand le premier m'a offert une photo de lui, exactement au même format, pour aller avec les autres. Par jalousie peut être, les autres lui ont presque tous succédé. Je fut impressionné par la variété des piercings choisis et dû faire plusieurs changement de place afin qu'ils puissent tous rentrer dans la pièce. chaque hiver, l'un ou l'autre d'entre eux profitait des températures fraiches pour procéder aux opérations nécessaires et, trois mois après, allait rendre visite au photographe. Ils m'envoyaient en suite toute les photos par email et je choisissait celle que je trouvais la plus appropriée pour le mur. Les autres n'étaient toutefois pas jetées car un grand nombre d'entre eux dispose de leur propre chambre où ils pouvaient les afficher. La virilité est réellement un objet de célébration chez nous et beaucoup de ces photos ont été rassemblées par l'un d'entre eux sur un blog dont je pourrais vous donner l'adresse si vous voulez. Je suis fier de voir qu'aucun d'entre eux n'a honte de ce qu'il est ou se trouve mal à l'aise par comparaison avec les autres même si certains avouent volontiers vouloir un peu plus de muscle à certains endroits, un ou deux centimètres de plus dans le caleçon ou dans les jambes, ou encore quelques kilos en plus ou en moins, aucun n'est pointé du doigt par les autres une fois le slip aux chevilles. La nudité est naturelle chez nous, je vis nu la plupart du temps et mes fils ont vécu nus dès l'âge de 16 ou 17 ans. Les femmes s'y sont habituées.
Les vêtements tombent généralement dès leur arrivée. Le temps de dire bonjour et de monter dans leur chambre, ils en ressortent dans le plus simple appareil. Levés le matin, en tenue d'Adam avec, le plus souvent, un gourdin d'enfer, ils prennent leur petit déjeuner, se lavent mais n'enfilent pas de vêtements. Au début j'étais gêné car certains n'étaient pas circoncis mais aujourd'hui ils le sont tous et ceux qui ne le sont pas ont, comme moi, un prépuce naturellement très court qui ne couvre plus rien.

Un des derniers en date est Marius, le bien nommé. C'est celui d'entre eux qui a le plus pris du côté de mon ex épouse et donc de Marius. Je l'appelle "mon petit boeuf" car c'est un garçon d'une force prodigieuse. Assez musclé, il a la capacité de soulever tout ce que le autres n'arrivent pas à soulever mais cette musculature est le résultat d'années de travail car il était parti de rien. Très proche de son père, mon fils Patrice, il ne se séparait que rarement de lui et passait son temps dans ses bras, à lui faire des bisous et des câlins ce qui est assez rare pour un jeune homme de 18 ans. A l'âge de 16 ans, alors qu'il n'avait encore jamais connu de femme, son père lui a pris un rendez-vous chez l'urologue pour lui faire retirer le prépuce. Celui accepta de pratiquer en même temps ses piercings. Comme d'habitude, un portrait vint immortaliser tout cela. Nous étions nombreux ce jour là, il y avait Patrice et Marius bien sûr et plein d'autres.
Marius était parmi les seuls qui ne se déshabillait pas complètement, gardant toujours un boxer au milieu de cette étalage de nudité que devient ma maison pendant les mois d'été. Patrice était de la vieille école, comme moi, et lui avait interdit de montrer son anatomie tant que celle-ci se serait pas celle d'un homme. Cette habitude s'était si bien imprimée sur Marius qu'il dû presque le forcer à retirer ses habits le jour où ils sont venus accrocher cette photo. Monté dans sa chambre après son arrivée, le garçon en était ressorti en marcel et sous vêtements comme à son habitude. Afin d'éluder la question, Patrice lui dit simplement "Passe moi tes habits, je vais les ranger là" et, penaud, le jeune homme retira ses oripeaux révélant à toute l'assistance son corps d'homme formé. D'ordinaire nous ne prêtons jamais attention aux corps des autres, la nudité est naturelle, nous nous connaissons tous par coeur, mais là, comme c'était la première fois, la curiosité l'a emporté et Marius se trouva au centre des regards.

Tous les deux ont hérité de cette queue courte et épaisse qui caractérise la famille de ma femme, 'mon beau frère et ami Marius et feu son père Jean). Cette "canette de coca" agrémentée du gros gland champignon qui, lui, vient de mon côté. Tous les deux ont été tendus au maximum, même au repos leur revers rosé s'étale sur un tiers de la hampe, rien ne bouge. Il avait deux petits anneaux en haut de corole du gland, un de part et d'autre du frein (qu'il n'était pas question d'ôter) et un anneau fin et ouvert dans l'urètre. Il nous confia avoir voulu pousser la ressemblance avec son paternel au maximum. De tous ses cousins, Marius avait l'attirail le plus complet, en tout quatre percements qui copiaient trait pour trait ceux de son géniteur qui, lui, se les étaient fait posé progressivement sur une période de vingt ans. Toutes ces boules s'entrechoquaient parfois et faisaient un bruit métallique et viril dont le jeune homme ne prenait absolument pas la mesure. Les boules qui terminaient ses bijoux étaient interchangeables et ce jour là, il avait choisit des sphères en or jaune 24 carats que lui avaient offert Patrice ce qui donnait un côté byzantin à son membre dont nous nous demandions bien comment il allait pouvoir rentrer dans le vagin, l'anus ou la bouche de qui que ce soit. Patrice se gonflait de fierté car la ressemblance entre eux deux était patente, Marius était peut être même un peu plus épais. Très fier des mensurations de son engin, il affichait sur le mur de sa chambre nuptiale une photo en gros plan de cet outil à côté d'une règle en métal, montrant bien qu'il ne faisait que 16cm en érection, c'est-à-dire beaucoup moins que beaucoup d'autres autour de lui, mais il se plaisait à répéter que les ses 16cm faisaient plus d'effet que les 18, 20 ou 22 que d'autres membres de la famille arboraient. Il entendait bien insuffler à Marius cette fierté que le jeune homme allait de toute façon ressentir le jour où il entendrait pour la première fois les cris de plaisir de ses partenaires sexuels, les trous remplis de toute cette chaire et raclés par ce métal inquisiteur et érogène.

Patrice est strictement monogame, il n'a jamais trompé sa femme et ne va jamais en club échangiste.
Sa femme est, de l’avis de tous, très belle et faisait largement moins que son âge. Aux dires de Patrice, cela fait maintenant plus de 25 ans qu’elle lui donne largement plus que la dose de sexe dont il a besoin. Chef d’entreprise, elle s’était fait aménagé un bureau insonorisé pour pouvoir accueillir son mari pendant les poses déjeuner. Comptable, son bureau se trouve à la maison ce qui lui donne la possibilité, parfois l'obligation, de la trousser, au moins une fois par jour. Restée à la maison pour travailler, elle lui envoyait depuis le début du séjour, des messages et des photos cochonnes d’elle même. Possédant plusieurs godes, dont certains dans les tiroirs de son bureau, rien ne la faisait plus jouir, selon elle, que le piercing de son mari. Elle en était devenue accro dès le premier jour de leur rencontre. A l’époque, il avait 18 ans, comme tous les hommes de ma famille ou presque, il avait eu le gland percé et l’avait rencontré dans une grande école où ils faisaient leurs études. D’une famille très catholique, elle voulait rester vierge jusqu’au mariage mais a baisé avec lui le premier soir, uniquement par derrière, elle lui disait qu’elle était de toute façon convaincue que ce serait avec lui qu’elle se marierait. L’Histoire lui a donné raison. Le jour même de leur mariage, il lui explosa l’hymen dans la voiture qui les conduisait de l’église au lieu de la fête, concevant par là même leur premier . C’est d’ailleurs au cours d’une levrette que les premières contractions se déclarèrent. Trois jours après sa sortie de l’hôpital, alors qu’elle se reposait chez sa mère à la campagne, il l’engrossa une seconde fois sous la douche, continuant ainsi une belle tradition familiale. 
A chaque fois elle continuait à travailler pratiquement jusqu’au bout et lui réclamait toujours plus de sexe. Quand ce n’était pas un petit coup sur son bureau, c’est elle qui passait sous le bureau, se plaignant même lorsque l’éjaculation n’était pas assez abondante à son goût. Ils avaient décidés de ralentir le rythme au niveau de la conception d’s après le troisième fils qui était venu sans prévenir suite à une sodomie qui avait manifestement débordé.
Elle vivait donc avec 5 mecs presque tout le temps à poil quand la température passait au dessus de 25°. Ils allaient sur des plages naturistes et dans des villages naturistes beaucoup beaucoup plus sages que le notre, elle ne supportait pas de devoir partager son mari mais était sur la même longueur d’onde quant à leurs fils, allant même jusqu’à les convaincre, avec succès, de la nécessité de se faire circoncire et percer, ne serais-ce que pour ressembler à leur père et pour améliorer le plaisir de leurs futurs partenaires.
Tirant une sorte de fierté de son mari, elle n’était pas contre un peu d’exhibition de temps en temps mais veillait à ce que les autres ne le touchent qu’avec les yeux. Tantôt dominatrice, tantôt soumise, elle était imprévisible de ce côté là. Certains jours, elle se faufilait dans son bureau pour lui pomper le dard entre deux réunions, docile et caressante, elle se mettait à genoux devant lui pour vénérer son membre viril ou soulevait sa jupe, sous laquelle elle ne portait rien, pour qu’il la prenne vite fait sur une table basse. Serrant ses fesses au maximum, elle cherchait à le satisfaire complètement et rapidement. Il n’enlevait même pas ses habits, se contentant de faire passer sa queue à travers de sa braguette et la jetait hors de son bureau quand il avait fini. D’autres fois, elle était dominatrice. Souvent en fin de journée, après s’être faite humilier comme elle le voulait, baisée comme une secrétaire vicieuse qui recherche une promotion et mise à la porte le cul plein de sperme. Elle le sommait alors de venir lui lécher la chatte dans son bureau. Il devait inventer une excuse pour s’absenter et exécuter son devoir conjugal. Elle lui pressait la tête contre sa chatte à l’en presque, mouillait sur sa face et le laisser retourner au travail avec le visage collant. D’autres fois, elle le forçait à se mettre complètement à poil au milieu de son bureau et faisait exprès de ne pas fermer le verrou. Il devait se branler devant elle pour qu’elle jouisse du spectacle en se touchant sous ses habits. Elle accumulait du désir comme ça au fil de la journée, d’abord en le satisfaisant d’une pipe sous la douche au réveil et d’un petit coup tiré à la pause de midi, soumise et avide, elle construisait sa propre frustration en le faisant jouir le plus vite possible. En fin de journée, elle le faisait se branler directement devant elle ou via webcam et le soir venu, alors qu’il était fatigué et prêt à dormir elle commençait les choses sérieuses. Le chevauchant ou même à quatre pattes, elle se faisait plaisir, l’utilisant comme un jouet et retardant son éjaculation jusqu’à ce qu’il en ait presque mal à la bite. Chaque soirs il savait ce qui l’attendait, il devait bander encore, éjaculer le plus tard et le plus abondamment possible. Le soir était sa baise à elle, il n’était qu’un jouet, un gros jouet. Quand on lui demandait comment il faisait pour bander autant, il nous répondait que c’était une question d’habitude. Une bite, plus on s’en sert, plus elle fonctionne, disait-il. Il en allait de même pour les éjaculations. 
Tout ça, il me l'avait raconté directement à l'occasion de discussions très intimes que j'ai l'habitude d'avoir avec beaucoup d'autres hommes. Vierge au moment de son mariage, il avait été confronté à ce désir ardent et bouillant et était venu me demander conseil, me demander si c'était "normal". Pour moi, la seule chose anormale dans cette histoire était que cette femme arrivait à accueillir en elle, plusieurs fois par jour, un mandrin aussi épais qui aurait explosé n'importe qui d'autre. Ces deux là étaient faits l'un pour l'autre d'un point de vue mécanique. La discussion sexuelle est quelque chose de très naturel pour moi et Patrice savait déjà bien avant son mariage, que chaque époux a pour mission de satisfaire les besoins sexuels de l'autre. Je pensais à cette époque que l'appétit gigantesque de cette femme baisserait avec le temps, ça n'a pas été le cas et il avait dû s'y faire. Jeune et peut être plus prude, elle lui réclamait des saillies mais, très vite, elle compris qu'un seul rapport lui suffisait à l'engrosser. Elle masquait alors ses grossesses pour qu'il la baise encore et encore mais il voyait très bien que ses fils n'étaient pas des prématurés de 5 mois. Il préférait ne pas relever et donner à cette femme ce qu'elle voulait de lui. Constamment moite, elle appréciait autant la bonne baise du soir qui s'étirait en longueur qu'un petit coup d'un quart d'heure entre deux portes, d'autant qu'elle ne portait souvent pas de culotte. Jamais, en vingt ans, il n'avait eu à réclamer du sexe ni même à lui faire des avances mais elle appréciait un simulacre de temps en temps. Alors, il s'approchait d'elle et passait sa main sur sa vulve, bien entendu humide, et lui susurrait à l'oreille quelque chose comme "j'ai envie de toi". Elle lui répondait systématiquement par la négative "on a pas le temps", "j'ai des choses à faire", "il y a des gens dans la pièce d'à côté" ce qui était souvent vrai mais dont elle n'avait en fait strictement rien à foutre. Il le savait. Il soulevait sa jupe et introduisait sa bite d'un seul coup en elle, et lui disait quelque chose de rabaissant comme "Tu vas me vider les couilles". Il l'a boudinait dix minutes et giclait abondamment en elle. Ces fois là, elle jouissait quasiment à coup sûr rien que parce qu'elle aimait ne pas être, pour une fois, celle qui commençait les hostilités.



Marius n'avait pas du tout l'air de suivre cette voie. Le garçon était encore un grand bébé sans tête qui ne pensait qu'à jouer au rugby, faire de la musculation, manger en quantités astronomiques, jouer à la console et se réfugier dans les bras de son père à la moindre occasion. Il avait fallu presque le forcer pour qu'il prenne une chambre à lui tout seul lors de ses visites chez moi car il avait l'habitude de dormir avec son père mais cela ne pouvait plus durer. Dorénavant séparé de lui, il le serrait dans ses bras chaque matin, se collait contre lui dans le canapé, lui préparait son petit déjeuner et l'aidait à s'occuper des petits frères. Accomplis dans le plus simple appareil, ses actions apparaissaient encore plus attendrissantes et il y avait réellement quelque chose d'animal entre ces deux hommes.
Ce fils modèle accomplissait tout ce que lui commandait son paternel qui tentait tant bien que mal de le faire grandir. Toujours ensemble, les parents rêvaient à un peu plus d'intimité, d'autant que la mère étaient une femme très occupée par son travail. Patrice avait alors quasiment ordonné à son fils d'avoir une meilleure vie sociale et celui-ci s'est exécuté de la même façon que si on lui avait demandé de faire la vaisselle. Il s'était mis à sortir de temps en temps au lieu d'occuper constamment la maison avec ou sans ses amis. Moi, j'étais convaincu que seule une fille pouvait ouvrir un jeune homme à un monde au delà de sa famille et j'en parlais souvent avec Patrice qui me confessait ne pas voir l'ombre d'une conquête féminine à l'horizon. Le garçon n'était pourtant pas repoussant. Rien que son corps aurait du suffire à les attirer comme des mouches. Il avait, en plus de cela, une peau impécable, des yeux bleus magnifiques et des cheveux d'un noir profond. Sans me vanter, il me ressemble un peu à son âge.Il n'était toutefois ni dragueur, ni spécialement porté sur le sexe. Cela ne l'empêchait pas d'entretenir scrupuleusement sa pilosité qui paraissait taillée à la française. Pas un poil ne dépassait, tout était contenu aussi bien sur ses joues que son torse, son ventre et son pubis. Il ne faisait ça pour personne, il faisait ça parce qu'on lui avait dit de le faire. Sans se demander si, avant toute chose, ce travail ne devait pas servir à faire plaisir à quelqu'un.
Son père lui a aussi ordonné de s'habiller de façon plus sexy. L'été, ce serait short court, marcel et tongs, l'hiver ce serait chemises près du corps et jean moulant. Le gamin s'exécuta et se trouva très bien mis en valeur par ces nouveaux vêtements. Il découvrit qu'il avait les fesses très musclées et très bombées, les cuisses très larges et Patrice vit très vite la différence dans le regard des filles. Pourtant, toujours rien à l'horizon. Il avait alors 18 ans et notre incompréhension était totale. On en est venu à nous demander si tout fonctionnait, après tout, contrairement aux autres qui se baladaient avec des érections fermes et décidées et qui ne rechignaient jamais à satisfaire leurs besoins en présence des autres, lui, ne laissait rien paraitre.
Et puis un soir se passa quelque chose d'assez étrange et c'est là que commence réellement mon histoire.


Nous étions tous les trois chez moi, les autres devaient arriver un peu plus tard, ils étaient pris dans un bouchon je crois. Nous mangions. Le petit s'occupait de nous comme d'habitude, il servait, desservait, versait de l'eau et cuisinait même parfois. Nous étions assis en face de lui, tout se passait normalement quand, à l'occasion d'un petit blanc dans la conversation, il annonça de façon péremptoire : "J'ai la gaule, ça vous dirait une petite branle après? J'ai un truc à vous raconter." Ce n'était pas du tout dans ses habitudes et il ajouta, "Rien que d'y penser je bande et je sais que si je vous la raconte je vais vouloir me faire gicler alors autant que je le fasse en même temps !" Moi j'avais l'habitude des autres cousins qui me détaillaient leurs histoires de pipes dans les vestiaires en se malaxant le tube sans vergogne, je n'étais pas à ça près. Patrice non plus.

Avec un régime sexuel pareil, Patrice était devenu le plus puissant d'entre nous. Habitué à bander sur commande plusieurs fois par jours, il accusait l'absence de sa partenaire avec des érections dures et fréquentes que beaucoup, y compris moi, lui envient.
Quand elle n'est pas là, la branlette est réellement sa meilleure amie. Gêné ce soir là pour je ne sais quelle raison, Patrice ne l'était pas quand il pilonnait sa femme sous mon toit. Elle était encore plus exhibitionniste que lui et profitait souvent du manque de place et du nombre important de personnes présentes lors de nos rassemblements pour satisfaire son mari en présence d'autres. Souvent contraints de partager leur chambre voir leur lit avec Marius et ses frère c'est dans le couloir qu'elle le pipait, debout et adossé contre un mur, alors que n'importe qui pouvait les voir. Il n'échangeait jamais sa femme avec un autre, pas plus qu'elle ne l'échangeait, mais ils aimaient partager leur sexualité avec d'autres couples. Un bain dans la piscine était le moment idéal pour une pénétration furtive, face à moi et sans aucune gêne. La bronzette faisant souvent se dresser les queues, une pipe arrivait aussi sec. Quand les s n'étaient pas là, n'importe quel adulte pouvait être spectateur de leurs ébats. Si, comme ce jour là, madame n'était pas présente, alors ses érections devaient être calmées à la main, c'était alors "Je reviens dans dix minutes" qui annonçait ce qu'il allait faire. Parfois il ne prenait pas la peine de se déplacer. Nous étions habitués. Le, tintement de ses bijoux métalliques était familier pour nous, il se satisfaisait sans lubrifiant, juste en massant sa hampe. Il soufflait très fort et caressait son corps parfois poilu, parfois épilé, d'homme de la quarantaine en pleine possession de ses moyens.
Peut être habitué à faire le show, il se touchait comme un acteur porno. Il a de loin la peau la plus tendue nous tous. Il ne lui en reste pas un centimètre, rien ne parait bouger mais il y trouve son compte. Le plus souvent, toutefois, c'était sous la douche que ça se passait et, comme souvent, au milieu des autres qui étaient aussi en train de se doucher ou devant le lavabo. Il utilisait alors de généreuses rasades de gel douche.
Il faisait de grands allers retours de haut en bas du membre là où nous nous concentrions principalement sur notre gland. On avait vraiment l’impression qu’il faisait ça pour un film de cul, ou pour les yeux vicieux de sa femme. Habitué à s’exhiber devant elle, il extériorisait beaucoup plus que nous ses sensations, comme si elle regardait toujours. Il ponctuait son récit de :
- “Ah, ça fait du bien !” “Putain les gars je l’attendais cette branlette !” “Ma queue est raide, je pourrais vous assommer avec!” 
Puis tout d’un coup ce furent :
"Ah je crois que ça vient là !" "ah oui ça vient" "Regardez comment gicle un vrai mec !". 
Debout dans la douche il se pliait en arrière pour faire pointer sa queue en avant contre la cloison transparente qu’il utilisait pour faire frétiller son anneau. Son manche, bien plus gros que les nôtres, expulsait alors sa frustration par grosses lampées visqueuses qui se collaient à la cloison. En même temps qu’il giclait, il nous arranguait : “Ah, vous avez jamais vu ça hein !”. Ses grosses boules étaient remontées tout contre son manche, il exultait. Après avoir littéralement couvert la cloison de sperme, il soupira, détendu. 
Voir quelqu'un se donner du plaisir ça donne ment envie et parfois d'autres le suivaient. Après le sport, tous ou presque le suivaient. Il était souvent l'instigateur de ces séances de plaisir solitaire à plusieurs. Marius n'était pas du tout versé dans ce genre de choses mais de temps à autre, Patrice lui assénait de façon sèche "Il faut entretenir la tuyauterie !" et le garçon se faisait gicler à contre coeur au début, mais avait l'air manifestement satisfait à la fin. Il larguait toujours des quantités astronomiques de sperme ce qui était à la fois bon signe et mauvais signe puisque cela voulait certainement dire qu'il ne se vidangeait pas très souvent. Or, une bite, plus on l'utilise, plus elle fonctionne.

Nous sommes donc un peu tombés sur le cul ce soir là quand il offrit de nous raconter une histoire qui, manifestement, le faisait déjà bander. Ses bijoux étaient calés dans sa chaire gonflée, plus aucun ne bougeait. Je crois que c'est la première fois que je l'ai vu bander. Il a tout de même pris le temps de débarrasser, le gourdin toujours saillant, de saisir un rouleau d'essuie tout avant de nous emmener dans le petit salon.
Assis sur le canapé, les jambes écartées, il offrait à la vue sa matraque tendues sur une paire de couilles démesurément grosses. Pas plus longue que 15 ou 16cm, son tronc, sa canette de coca, son rondin, appelez le comme vous voulez, était si épais et avait l'air si dure que je me demandais si les anneaux n'allaient pas se tordre ou se rompre. Il se branlait sans lubrifiant, en ne stimulant que la hampe ce qui lui donnait déjà pas mal de travail tant sa main peinait à en faire le tour.
Par politesse ou par réflexe, je prenais mon pénis en main et commençait à le masser, espérant qu'il arriverait à durcir rapidement. Beaucoup moins épais que les leurs, ma queue et longue, elle fait 16cm au repos et 20 en érection. J'ai le prépuce naturellement court mais je l'ai faite retendre vers l'âge de 50 ans car il avait recommencé à retomber sur mon gland. Mon noeud est très épais et très rouge et est percé d'un anneau et d'une barre qui le traverse de haut en bas (voir ma photo).

Le gamin était surexcité et commença son récit immédiatement.
De passage dans les bureau de l'entreprise de sa mère, il avait du rester environ un quart d'heure à attendre devant la porte de son bureau avant qu'elle ne sorte d'une réunion qui s'était éternisé. Ce temps d'attente lui avait permis d'observer les gens autour de lui et de discuter avec une des secrétaire, une fille qui avait entre 20 et 30 ans qui fut immédiatement curieuse d'en apprendre plus sur lui dès lors qu'elle eu pris connaissance de son nom de famille. C'était une fille très jolie grande rousse et dotée d'une grosse poitrine, qu'elle n'étalait toutefois pas à la vue de tous.
"Votre mère est juste en réunion, elle devrait arriver rapidement" lui avait-elle dit, d'un air entendu qu'il ne comprit pas tout de suite.
"Qu'es ce que vous voulez dire par "juste" en réunion?".
"Oh, rien rien, c'est juste que si elle avait été avec votre père je vous aurez dit de repasser plus tard…"
Les deux savaient très bien ce qu'il se passait dans le bureau quand Patrice rendait visite à sa femme.
"Votre mère a bien de la chance" se risqua-t-elle à ajouter.
En face d'elle, Marius était pris d'une sensation nouvelle. Le regard plongé dans ses seins, il voulait la posséder. Peut être es ce vraiment ce jour là qu'il est devenu un homme, en tout cas cette envie de faire sienne cette femme qui parlait à mots couverts mais sans gène de choses très crues le pris tout d'un coup.Dans son short en jean, déjà très moulant du fait de ses cuisses musclées, il bandait dur comme fer. Il se pencha sur son comptoir, les bras laissés nus par un marcel très aéré, et tendis ses biceps, fourrant de force le regard de la jeune femme sur ses pectoraux saillants et poilus. Le jeune homme était en fait naturellement doué pour séduire mais ne le savait pas. Il se contentait d'attirer le regard de la jeune femme vers les même zones qui l'attirait chez elle. Et elle regarda.
Deux jours après, une excuse vaseuse le ramena dans ce bureau, cette fois-ci vêtu d'un de ces joggings de sport très larges qui tombent sur la queue et la rendent paradoxalement très voyante. Il n'avait rien mis en dessous et bataillait dans son esprit pour ne pas bander. Elle avait cette bosse saillante et très détaillée sous le nez alors qu'il patientait devant elle. Elle pouvait voir la forme de ce qu'il lui proposait. Elle pouvait en voir la taille et surtout la circonférence. Elle avait envie d'être ce tissus qui glissait sur la chaire généreuse de la virilité du jeune homme. La matière paraissait pourtant épaisse, on était au mois de juin. Elle risqua "Vous n'avez pas trop chaud dans ce pantalon?". Il lui répondit naturellement "Non, ça va quand on ne porte rien en dessous". Elle dégluti un peu. Soulevant son paquet pour le pas s'asseoir dessus, il posa ses fesses sur une chaise et continua d'attendre.
La troisième fois, ce fut un short de footballeur qu'il décida de porter. Quelque chose de large, très large, de très aéré dans une matière fine. Il arrivait toujours à la bonne heure pour être sur d'avoir à patienter. D'habitude il restait debout devant elle, au plus près de son bureau, accoudé dessus même, et la laissait regarder ses biceps et ses pectoraux. Cette fois-ci il s'assit face à elle, dans l'espace d'attente, les jambes bien écartées. Son tuyau se faufilait contre sa jambe, son gros gland pointait par le short et un de ses piercings reflétait la lumière jusque dans les yeux de la pauvre fille. Au moment de partir elle lui dit "Vous ne portez jamais de sous vêtements?" et il lui répondit, nonchalamment, "très rarement en été". Ils savaient très bien tous les deux que ce petit jeu devait cesser ou aboutir à la satisfaction des deux parties.
La quatrième fois intervint un peu plus tard. Cette fois-ci il s'arrangea pour suivre son père lors d'une des ses visites au bureau. Il entra dans le bâtiment dix minutes après lui, traversa l'étage et arriva devant le bureau de la secrétaire qui gardait l'entrée de celui de la patronne. Elle n'était pas là. En tout cas pas à son bureau, mais la porte qui menait au couloir aboutissant au bureau de la patronne était ouverte. Il y faisait noir mais pas assez pour ne pas voir une ombre furtive penchée contre une vitre. On ne pouvait pas la reconnaitre mais il savait que c'était elle. Il ferma la porte derrière lui, il faisait à présent très noir dans ce couloir et seul la lumière qui passait au travers des stores qui masquaient tant bien que mal ce qui se passait dans le bureau venait éclairer le visage de Marius et celui de la jeune voyeuse qui se délectait de ce qu'elle observait. Elle le vit arriver mais ne se redressa pas. Elle ne pris pas non plus la peine de remonter la culotte qu'elle avait tendue entre ses chevilles, juchée sur ses talons hauts. Elle tomba à genoux et, arrivant face à elle, il laissa tomber son short à terre.

Mouillant bien son membre avec sa salive, elle le massait plus qu'elle ne le branlait, passant sa main avec avidité sur chaque centimètre carré de peau, faisant tréssaillir les nombreux piercings qui la constellent. Elle léchait sa queue de haut en bas, malaxait ses couilles puis, reprenant son gland en bouche, se fit plus vindicative et le branla fermement. Il haletait de plus en plus, la main posée sur sa tête. Confronté à ce monstre de chaire et de métal, elle avait l'air de savoir parfaitement ce qu'elle faisait. Peut être était-ce les heures d'observation entre les lamelles du store du bureau de la direction, il ne le savait pas.
Sentant qu'il allait jouir, il lui ordonna de prendre dans la bouche, puis ce fut l'orgasme, le premier vrai orgasme de sa vie. Les yeux fermés, il entrait dans une sorte de transe dans laquelle il n'entendait ni ne voyait plus rien.
Il émergeait, ouvrait les yeux, elle était là, toujours à genoux devant moi, rassasiée par son foutre. Il n'avait jamais autant giclé.


"Oh les mecs, je vais gicler là !
Pris dans son récit, nous ne avions autant perdu la notion du temps lui mais il nous ramena à la réalité un court instant. Sa quincaillerie teintait bruyamment. Il se leva et approcha un essuie tout de l'extrémité de son gland.
"Attention, attention….Ahhh ahhh, oh putain ça fait du bien !".
Le morceau de papier était trempé de foutre, mou et collant.
"Celle là ça faisait un moment que tu l'attendais !" a ajouté Patrice.
"Au moins depuis hier soir !"
Il essuya son anneau et repris place dans son fauteuil. Aspergeant son membre d'une lampée de lubrifiant, il recommença sa branlette et son histoire. Nous étions estomaqués.




"Lèche moi la chatte, lui a-t-elle alors asséné." ce qui fut loin de le prendre de court tant il avait rêvé de bouffer son minou pendant des semaines. Il ne l'avait jamais fait mais se souvenait des conseils que nous lui avions donné. Il savait où placer sa langue pour lui donner du plaisir, il savoir où enfoncer ses doigts. Garçon modèle bien éduqué, il avait tout retenu et était avide de mettre en pratique.
Il léchait là où on lui avait dit de lécher, doigtait là où on lui avait dit de toucher. Adossée contre le mur, elle l'avait à ses pieds et pressait ma tête contre sa chatte avec fermeté.
Mais le garçon n'avait pas la passivité de Patrice et eu envie de lui lécher la chatte par derrière. Il la fit mettre à quatre patte et plongeait ma langue dans son intimité en caressant son clito. Elle ne tarda pas à jouir voilement, sans prévenir. Il sentait son vagin se contracter autour de sa langue, elle laissait échapper des "oui, oui oui oui oui" à la chaîne et mouillait à grandes eaux.
Elle reprenait ses esprits, toujours à quatre pattes à terre, alors qu'il faisait coulisser un préservatif sur son mandrin.
Il commençat par la prendre en levrette, faisant pénétrer sa queue trop vite dans son ventre, il lui arracha un petit cri qui suscita une réaction de Patrice, interrompant le récit du jeune homme.

"Je t'ai pourtant bien expliqué qu'il fallait y aller doucement avec ton engin !"
"Je sais, mais sur le coup j'avait trop envie. Elle me présentait sa chatte toute mouillé, j'avait trop envie de la pénétrer !"
A cette exception près, le gamin faisait tout de même un sans faute pour le moment. Je l'encourageais à reprendre son histoire...



Elle le fit asseoir et se posa sur lui, contrôlant la vitesse de cette première pénétration. Sa queue étant assez courte, le corps de sa partenaire était totalement en contact avec le sien, ses lèvres vaginales touchaient ses couilles. Sa chatte moulait parfaitement les formes de la grosse queue du gamin. Elle plaquait sa vulve contre son torse et le chevauchait ainsi en fourrant la tête de son partenaire dans ses seins. Le premier orgasme ne tarda pas. Pendant trente seconde, elle serra sa queue si fort qu'il crût qu'elle allait la faire exploser.
Elle accepta une nouvelle levrette. Les couilles à nouveau pleines, il la bourrinais sans ménagement ne sachant pas vraiment quand ça allait finir. La sensation était royale mais un homme circoncis, même percé, a toujours plus de problèmes à jouir dans une capote. Le jeune fille serrait fort sa chatte, c'était plutôt des spasmes de plaisir, des orgasmes peut être, qui s'enchainaient dans un gémissement étouffé par le short de sport du jeune homme qu'elle mordait à pleines dents. En accélérant ses va et viens, il accélérait ses petits cris et chaque choc de son pubis contre les lèvres de sa partenaire déclenchait en elle un une rasade de plaisir. Elle supporta ce traitement un bon quart d'heure mais elle n'avait pas les heures de vol de sa patronne et commença, après plusieurs orgasmes, à sentir des crampes dans ce muscle tant sollicité par cette bite large et hérissée. Lui, pouvait encore continuer des heures, accroupi derrière elle, il la niquait comme un animal en rut. Tendu sur ses grosses cuisses, il s'accouplait avec elle comme devaient le faire les premiers hommes mais sa queue, moulée dans le latex, n'était pas encore prête pour la saillie. Raide, grosse, dure et invasive, sa bite continuait de la pilonner sans vergogne alors qu'elle était trop fatiguée pour jouir. La sodomie n'était pas non plus une option, son petit trou n'était pas préparé à un tel mandrin. Il lui fallait faire jouir cet homme où elle n'en sortirai pas indemne. Excitée par l'endurance d'un tel amant, par la grosseur de son membre mais en même temps percluse de douleurs à force d'avoir été défoncée, elle ne savait plus quoi faire. Elle avait fantasmé des dizaines de fois sur la queue de Patrice mais elle n'avait jamais compris que se la prendre était un sport en soi et maintenant qu'elle avait sa copie conforme dans le minou, elle se bénissait et se maudissait à la fois d'avoir tenté le diable. C'était la douleur la plus exquise qu'elle ait jamais ressenti, comme une sorte de lassitude d'un vagin trop gâté par le sort. Son clitoris endolori par tant de caresses était devenu ultra sensible, elle sentait même les courant d'air qui passaient dessus. C'est à ce moment là qu'il frappa, sans prévenir, administrant de petite tapes sèches et rapides sur ce morceau chaire rosé et sur stimulé. Il soignait le mal par le mal, la caresse n'était plus à l'ordre du jour. La première tapes fendit l'air sans qu'elle la voit venir et la fit hurler de douleur, les dents toujours serrées contre ce short qui puait l'homme en rut. Elle voulait lui demander d'arrêter mais elle n'eut pas le temps. La seconde tape s'abattit sur sa vulve à la vitesse de l'éclair visant précisément le clitoris qui était devenu plus dur que jamais. Il appuyait son autre main contre le morceau de tissus qui l'empêchait d'ameuter tout l'étage, elle criait mais à la troisième tape, elle ne voulu plus qu'il arrête. Elle assumait la douleur pour le plaisir qu'elle lui apportait. Et puis ce fut l'orgasme final, violent et tapageur qui la prit dans un total abandon d'elle même. Les jambes tremblantes, la chatte en larmes, elle grognait comme un animal sauvage, trempant le sol de sa mouille dans un concert de plaisir et de douleur mêlés. Parcouru de spasmes, son vagin se serrait autour du pilon de Marius, voulant à la fois l'avaler et l'expulser comme un corps intrus.
A ce moment là, il savait qu'elle ne pourrait plus supporter ses coups de queue. Seule une femme habituée aurait pu. Il se félicitait des conseils que lui avait donné son père qui avait compris dès le début que Marius avait reçu de lui cette bénédiction/malédiction qu'était ce mandrin court et énorme. Ce gros morceau de chaire qui faisait surtout fantasmer celles qui n'arriveraient jamais à l'assumer jusqu'au bout. Comme tous les jeunes hommes, Marius avait mesuré sa bite, il avait vu 16cm. Il était allé sur internet et s'était aperçu qu'il était à peine au dessus de la moyenne, partant de là, il n'avait pas compris quand Patrice lui avait expliqué qu'il aurait peut être des problèmes à trouver des partenaires qui pourraient le satisfaire. Le soir de ses 18 ans ils s'étaient assis pour une petite discussion entre hommes, la queue dans la main, ils ont tout mis sur le tapis et aujourd'hui les paroles de Patrice résonnaient dans l'esprit du petit quand il voyait sa partenaire peiner à suivre le rythme. Sa première saillie n'était pas pour aujourd'hui mais il avait été prévenu. Il se désengagea d'elle, elle souffla et retira de sa bouche l'habit qu'elle mordait. Totalement dans l'imitation de ce qu'elle avait vu sa patronne faire, elle remercia son amant pour les orgasmes qu'il lui avait donné mais ajouta qu'il lui faudrait quelques jours avant que sa petite chatte ne soit à nouveau prête à accueillir cette queue. Elle jeta un coup d'oeil dans la pièce d'â côté, y voyant la queue sur laquelle elle avait tant fantasmé sortir de la vulve de sa patronne, avec un cordon de sperme et de mouille pendant à son bout. Ils allaient sortir du bureau dans peu de temps, Marius bandait toujours comme un poney.

- T'aurais dû m'envoyer un message ! J'aurais trouvé un moyen de donner du temps pour lui jouir dessus!
L'exclamation de Patrice nous sorti du récit.
- T'inquiètes, c'est pas grave. C'est pas comme si c'était la seule occasion que j'avais de baiser et puis j'avais déjà giclé avant... -Lui a-t-il rétorqué.
- J'ai toujours cru que tu n'écoutais rien des conseils et des avertissement qu'on te donnait mais en fait t'as tout retenu ! - Ai-je alors félicité Marius.

Cette petite tape sur le clito, c'était moi qui l'avait testé il y a longtemps et qui en avait fait part aux autres, un jour où la discussion avait viré sur le sexe et les façons de faire jouir une femme. Le petit l'avait mis en pratique dès sa première fois. Son récit avait gonflé ma queue au maximum, j'étais dur comme un jeune homme de vingt ans. Quittant mentalement la conversation pendant un instant, je faisais abstraction de Patrice qui prodiguait quelques conseils supplémentaires pour me concentrer sur ma bite. A présent debout devant le bureau, je lui ai fait cracher, en quelques coups de mains, de grosses lampées de sperme qui sont venus s'écraser sur un mouvoir que j'y avais étendu. Très vite suivit par les deux autres, je vidangeais mes bourses dans un râle propre à ceux qui mettent du temps à jouir. La suite de l'histoire serait pour le lendemain.

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