Qui L'Eut Cru Partie V Installation

Partie V :

Lundi 10 novembre.

Françoise vient de terminer son repas, elle n’a presque rien touché dans son assiette.
Elle attend encore quelques minutes dans l’espoir de voir arriver Stéphane.
Elle ne l’a pas revu depuis samedi après midi.
Elle lui a pourtant envoyé un message, dès qu’Alexandra et son mari ont enfin quitté la maison, hier vers 17 heures. Elle lui disait qu’il pouvait venir la rejoindre.
Elle n’a reçu aucune réponse.
Elle est restée toute la soirée à se morfondre devant son portable.
Epuisée, elle s’est endormie dans le canapé, dans lequel elle s’est réveillée toute habillée à 3 heures du matin.
Depuis, elle cherche une explication.
Elle a envisagé toutes les hypothèses, peut-être ne veut-il plus d’elle, ou alors il s’est amusé avec elle depuis le début, ou alors a-t-il eu simplement un empêchement, mais dans ce cas il aurait appelé !
Toute la matinée, elle a essayé de l’apercevoir, mais cela n’est pas facile, d’autant qu’elle ne veut en aucun cas, se faire remarquer, elle espérait au moins le voir à la pause de midi.

Le voici enfin qui s’assoit en face d’elle.

-Je suis désolé pour hier soir, j’aurais du t’appeler.
-Je n’ai pas compris…
-Je sais, mais j’ai des gros problèmes…
-Qu’est ce qu’il y a ?
-J’ai du faire face à une grosse échéance par rapport aux dettes dont je t’avais parlé, tu sais du temps de mon associé, et je n’ai pas payé le loyer, quand je suis sorti hier après midi, le proprio en a profité pour mettre mes affaires dehors.
-Mais il n’en a pas le droit.
-Tu penses, il n’y a même pas de bail, puis ces types là ne plaisantent pas, crois-moi.
-Mais où tu as dormi alors ?
-Chez une amie.
-Mais pourquoi tu ne m’as pas appelée ?
-Je sais c’est con, mais j’étais pas bien…ce n’est pas glorieux comme situation.
-Mais comment tu vas faire ?
-Je n’en sais rien, il faut que je trouve quelque chose, ma copine ne peut m’héberger qu’une semaine, son mec revient la semaine prochaine.


-C’est qui cette fille ? ne peut s’empêcher de demander Françoise l’air inquiet.
-Une ex, mais ne t’inquiètes pas, c’est terminé il y a longtemps, répond Stéphane l’air de rien.
-Ecoutes, tu n’as qu’à venir chez moi, cela te laissera le temps de trouver une solution.
-Non, non, je ne veux pas te déranger, puis ça me gêne.
-Ne soit pas ridicule, c’est la meilleure solution.



Stéphane savoure l’instant, il se félicite de son audace, il n’aurait pu imaginer que les choses aillent aussi vite.
C’est hier après midi, qu’il a pris sa décision, lorsqu’il a reçu le message de Françoise lui demandant de venir le rejoindre.
Après l’épisode de la voiture, où il n’y est pas allé de main morte, Françoise manifestement en redemandait, il fallait alors pousser son avantage au maximum.
Il n’en pouvait plus depuis longtemps, de son meublé crasseux, et depuis qu’il avait découvert le confortable pavillon de Françoise, cela devenait encore plus difficile.
Dans ces cas là, son imagination lui fait rarement défaut et son histoire a été payante.
Son sac à dos est déjà dans la chambre d’amis.

Il n’en finit plus d’examiner la spacieuse cuisine ultramoderne, devant lui Françoise s’affaire à leur préparer un repas, qui s’il en croit la bonne odeur, s’annonce des plus prometteur.
Il a l’impression d’être arrivé au paradis.

Elle porte un pantalon noir avec des petites fermetures éclairs en bas des jambes, un haut noir avec une veste plus longue à manche noires et avec un motif vert foncé et noir au niveau du dos, ses chaussures sont couleur vieux rose avec un talon épais.

Il se dit que ce serait encore mieux si elle faisait un petit effort pour s’habiller un peu plus sexy.
Elle se retourne et lui sourit.
Il ne peut s’empêcher de penser qu’il va la baiser ce soir, et il ne le ressent pas comme une corvée, bien au contraire.


A 21 heures 15 :

Stéphane regarde le feu qu’il vient d’allumer et qui crépite dans le foyer de la cheminée qu’il a laissé ouvert, cela fait des années qu’il n’avait pas pu profiter de ce spectacle simple mais toujours agréable.

Il a apprécié le repas, une omelette aux ceps minutieusement préparée, accompagnée d’un bon bordeaux qu’elle lui a laissé choisir dans la cave à vin, qui se situe dans le garage qui est derrière la cuisine ; il n’en avait jamais vu d’aussi grande, pourtant il a visité quelques maisons dans sa carrière, elle doit contenir au moins cinq ou six cents bouteilles, peut-être plus, il n’avait que l’embarras du choix.
Il a compris que son mari devait être un amateur de vin, c’est d’ailleurs peut-être pour cette raison qu’elle lui a parlé un peu de lui durant le repas, il n’a pas trop insisté de peur de plomber l’ambiance de la soirée.
Sciemment, il est resté un peu distant afin de voir comment elle allait se comporter.

Françoise, qui en termine avec les rangements dans la cuisine, appuie sur la télécommande posée sur le meuble de la salle à manger, tous les volets roulants se ferment en même temps.
Gênée, elle ne sait plus trop comment se comporter, Stéphane lui semble différent ce soir.
Peut-être est-ce à cause de ses problèmes d’argent.
Depuis ce midi, elle n’arrive plus à penser, elle ne sait plus si elle a pris la bonne décision en lui proposant de l’héberger, elle a l’impression d’être dépassée par les évènements, ce qui n’est pas son tempérament habituellement.
La seule chose dont elle est certaine, c’est qu’elle était impatiente de se retrouver avec lui ce soir, et que l’idée qu’il s’installe chez cette fille lui était carrément insupportable.
Peut-être qu’il regrette déjà ce qui s’est passé, d’où son côté distant, elle sait parfaitement que leur histoire n’a aucun avenir de toutes façons, malgré tout elle ne peut s’empêcher d’appréhender de le perdre.
En cet instant, elle voudrait qu’il prenne l’initiative, qu’il vienne vers elle, qu’il la prenne dans ses bras, mais rien ne se passe.

-Je t’ai préparé une serviette de toilette dans la salle de bains, si tu as besoin de quoi que se soit, il ne faut pas hésiter à demander.

-Je te remercie.
-Bon…et bien moi je vais prendre ma douche.
-Tu me rejoins dans la chambre après ? demande Stéphane.
-Eh… oui ? répond Françoise comme soulagée.

Françoise, nue devant la commode de sa chambre, hésite, son cœur bat la chamade.
Curieusement, sous la douche, les paroles de Martine, son amie d’enfance, lui sont revenues à l’esprit, elle lui disait toujours, il y a quelques années que pour garder un mec, il fallait d’abord lui faire plaisir au lit.
À l’époque, elle ne prêtait pas trop attention, à ce qu’elle considérait comme des plaisanteries un peu grivoises de son amie très nature.
Elle finit par choisir une petite nuisette noire toute transparente.
Le sous vêtement très court lui recouvre à peine les fesses.
Elle s’observe dans le miroir fixé au dessus de la commode, elle ferme les yeux, se souvient qu’elle portait parfois cette nuisette pour exciter Jean-Pierre, qui les dernières années, il faut bien le dire, la touchait de moins en moins.
L’émotion la submerge.
- mon pauvre amour, qu’est ce qui m’arrive ? Marmonne-t-elle.
- Pas mal ! !

Françoise sursaute, Stéphane est juste là derrière elle, torse nu en caleçon, elle le voit dans le miroir, il att sa taille, se colle dans son dos, l’embrasse dans le cou.
Elle ferme les yeux, prête à s’abandonner, mais dans un sursaut de lucidité elle tente de se dégager.
Non s’il te plaît, pas dans cette chambre, allons ailleurs.

Stéphane hésite, il comprend tout de suite qu’elle ne veut pas de lui dans ce qui était la chambre conjugale, en un instant il décide de la culbuter ici et tout de suite, comme pour lui montrer qu’il est maintenant son homme.
Il la maintient, toujours placé derrière elle, il se décale, sa main gauche par derrière s’insinue entre ses cuisses, ses doigts atteignent la fente, déjà humide.
Il titille le clito déjà érigé.
De son autre main, il caresse un sein à travers le tissu soyeux, il fait rouler le téton entre ses doigts, et lui fait sentir sa queue bien raide contre sa cuisse, Françoise s’abandonne déjà.

-Humm !
Il abandonne un instant le clito pour venir caresser les fesses bien pleines, qui tel un aimant, attirent sa main.
-Humm ton cul me fait bander.
A ces mots, Françoise sans réfléchir, caresse la queue à travers le caleçon.
-Voilà occupes toi de ma queue.
Dans un état second, Françoise se retourne, s’agenouille, baisse le caleçon et prend le sexe bandé en bouche.

Stéphane, les yeux fermés, savoure, Françoise lui suce la queue !
Cette femme l’étonne de plus en plus, elle se débrouille bien, alternant les séquences où elle joue de sa langue avec application et celles où elle le pompe consciencieusement.
Il n'y a pas de doute, ce n'est pas la première fois que Françoise DUVAL suce une bite !

-Oui c’est bien, bien à fond là, dit-il en lui appuyant sur la nuque
-Arrrg…Françoise est prise d’un haut le cœur lorsque le gland atteint sa luette.

La situation excite Stéphane à tel point, qu’il aimerait lui envoyer son foutre dans la bouche, mais ce soir, il a envie de poursuivre les réjouissances.

-Viens

Il l’entraîne vers le lit et la fait se coucher en travers, il s’agenouille sur le sol, et l’attire vers lui en la saisissant au niveau des hanches, puis lâchant prise il écarte les cuisses au galbe trop prononcé.
Sous ses yeux, la chatte poilue et béante !

Françoise gémit, elle perçoit la langue qui parcourt ses lèvres intimes, qui pénètre son vagin puis qui remonte sur son clito pour le titiller.
Les mains dans les cheveux de Stéphane, elle découvre des sensations exquises.
Si Jean-Pierre lui léchait parfois le sexe, c’était avec une certaine délicatesse, alors que Stéphane fouille carrément son intimité, ce qui déclenche chez elle des ondes de plaisir.
Stéphane, le nez et la bouche maculés de cyprine ne sait plus où donner de la tête, il a toujours aimé bouffer les chattes et celle de Françoise l’inspire.
Histoire de pimenter les choses, il continue son cunnilingus endiablé tout en promenant maintenant son index entre les fesses de sa maîtresse, et le voici qui entreprend un petit massage circulaire au niveau de l’anus, qui a l’air d’être bien apprécié, s’il en croit la respiration de Françoise dont le rythme est devenu plus rapide.
Il prolonge ainsi un petit moment, jusqu’à ce que son doigt glisse de quelques centimètres dans l’orifice, affolant de plus en plus Françoise, puis…
-J’ai envie de te baiser mon amour…tu veux bien.
- Oh oui…viens vite...dit-elle en se reculant sur le lit pour l’accueillir.
-Tourne-toi, je veux te prendre en levrette.
-Tu crois ?
-Ne me dis pas que tu ne l’as jamais fait ?
-Si mais il y a longtemps.
-Allez ma belle, oui voilà, comme ça, écartes un peu les jambes…Oh qu’est ce que tu es bonne Françoise ! !

































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