Une Expérience Échangiste
Je navais fait queffleurer la question de léchangisme. A 49 ans, il me semblait que cétait le moment ou jamais daborder franchement cette forme de relation sexuelle. Je me sentais suffisamment mûre et sereine, encore bien dans mon corps et toujours à laise dans ma tête. Restait le plus difficile : convaincre mon mari. Oui, je sais, en général, cest linverse qui se produit. Mais voilà, nous sommes en 2015 et les femmes ne sont plus ce quelles étaient, ma bonne dame et mon bon monsieur !
Au cours dune discussion familiale autour dun poulet du dimanche, en compagnie de mon beau-frère et de ma belle-sur, le sujet était venu sur le tapis. Je lavais lancé, un brin provocante, histoire de voir comment mes commensaux allaient réagir. A ma grande surprise, mon beauf et sa femme échangèrent un sourire complice et après quelques sous-entendus, lâchèrent le pavé dans le poulet :
- Nous faisons ça depuis pas mal dannées ! Oui, nous allons régulièrement dans un club.
Mon mari regarda sa sur la fourchette en lair et la bouche bée. Il nen croyait pas ses oreilles.
- Toi, tu es échangiste ? Tu baises avec nimporte qui ?
- Dabord, je ne baise pas avec nimporte qui, comme tu dis, je choisis ! Cest une expérience que je te conseille, ça ne rend peut-être pas intelligent mais on se sent moins con !
La discussion embraya sur ce thème. Ma belle-sur, prénommée Annie, était intarissable. La quarantaine rayonnante, bien installée professionnellement, elle assurait que cette expérience entamée il y a une dizaine dannées (eh oui !) avait contribué à son assurance. Son mari, Alex, affirmait quil avait gagné en virilité. Bref, mon mari et moi, nous nous sentions comme deux ploucs. Surtout moi.
- Pourquoi ne viendriez-vous pas avec nous un soir ? Cela vous permettrait de vous faire une idée. On nest pas obligé de forniquer dès le début.
Un ange passa. Mon mari ne réagissait pas.
- Moi, je suis partante, lançai-je.
Mon mari finit par accepter à condition de bien sen tenir à un rôle dobservateur. Et que je sois bien sage
Deux semaines plus tard, nous entrions dans une belle demeure retirée dans les environs de notre ville, au milieu dun petit parc. Annie nous avait expliqué quil ne sagissait pas dune véritable boîte échangiste mais dun lieu privé tenu par des hôtes libertins qui ne recevaient que sur parrainage. Dans les faits, cela revenait à peu près au même. Une espèce de majordome à la virilité ostentatoire nous reçut pour nous conduire à un étage. Cétait un genre de mezzanine qui faisait le tour dun patio, au milieu duquel se trouvait une grande piscine équipée de transats et de tapis de sol. Ce patio était couvert mais ce jour là, la verrière était ouverte.
- Tout ça a dû coûter un max, lâcha mon mari, toujours très pratique. Déjà, il avait un peu tiqué sur le prix dentrée : 60 euros par couple, lunch non compris.
Annie et Alex nous conduisirent à notre table, qui dominait la piscine. Ils avaient salué pas mal de monde en route. Visiblement, ils étaient comme chez eux. Elle portait une robe fendue jusquà la taille et très largement décolletée dans le dos qui révélait labsence de soutien-gorge, lui une chemise ouverte et un jean. Ils nous avaient conseillé dadopter une tenue discrète si nous ne voulions pas être importunés. Moyennant quoi mon homme était en costard et moi en tailleur. On jurait un peu.
Après avoir grignoté quelques tapas et bu quelques rosés dAnjou, je me demandais si nous étions dans une soirée mondaine ou dans un lieu conçu pour le sexe. Cest à ce moment que quelques baigneurs firent leur entrée en bas, à la piscine.
- Tu viens chéri, on y va, glissa Annie à Alex.
Moi, je commençais à avoir très chaud dans mon tailleur mais pas question daller me joindre à cette orgie aquatique sans mon mari qui continuait dobserver les débats avec intensité, sans parler. Javoue que javais hâte de voir la sur de mon mari en action. Mais ils se firent attendre. Je me demandais sils ne sétaient pas arrêtés dans un salon quand je les vis apparaître avec un autre couple dâge mûr. Ils avaient dû discuter au rez-de-chaussée. Je remarquai que lhomme qui les accompagnait était déjà en érection. Avait-il été sucé par Annie ? Celle-ci le prit par la main et le conduisit à un transat où elle sallongea, les jambes largement écartées, offerte. Lhomme fourra son museau dans sa chatte et les mains de ma belle-sur se crispèrent sur sa nuque. A côté de moi, je sentais mon mari de plus en plus nerveux.
- Mais elle va se faire sauter là, devant tout le monde ! Allez, on sen va, jen ai assez vu.
- Non ! Reste encore un peu, je veux voir jusquoù elle peut aller.
Je cherchai Alex des yeux. Il était dans la piscine avec la femme qui laccompagnait à lentrée. Leurs jeux préludaient à lamour. A côté deux, un homme possédait une femme en la collant contre le mur de la piscine.
- Excuse-moi mais voir ma sur baiser, je nai pas supporté.
- Bon, je reconnais que cétait pas simple pour toi mais à part ça, tu as aimé ou pas ?
- Cest pas mal, mais je me demande si je serais vraiment à la hauteur. Et puis, te voir baiser avec un autre homme, ça demande quand même réflexion.
- Mais on nest pas obligé de faire ça comme des bêtes ! On peut aussi nouer des relations avec un couple et y aller progressivement. Annie dit bien que cest dabord une question de feeling.
On en était resté là. Nous nous étions rencontrées quelques jours plus tard avec Annie pour évoquer cette première expérience ratée. Elle me confirma que lhomme avec lequel elle avait fait lamour était une relation ancienne du couple et quils avaient appris à se connaître avec le temps.
- Je ne suis pas contre les partouzes, jen ai même usé et abusé mais là, ce nétait pas le cas, minforma-t-elle.
- Il faudrait que tu expliques ça à ton frère.
- Sil nest pas mûr, pas la peine de le forcer. Je te propose un truc : on revient toutes les deux et pendant ce temps là, Alex emmène ton homme à la pêche ou nimporte où mais il te fout la paix. Tu verras quil y viendra, après, cest mathématique, je le connais trop bien.
La proposition me tentait. Avec Annie, je ne risquais pas le coup tordu. Cétait aussi un bon moyen dobliger mon mari à être en accord avec ses idées.
- Lui qui narrête pas de prôner la liberté et lindépendance de la femme, le voilà mis au pied du mur, rigolai-je.
En fait, tout se passa beaucoup plus facilement que prévu. Alex avait dû présenter habilement la chose à son « beauf ». Le soir convenu, ils étaient partis voir un match de foot et nous avaient laissées libres. Je nen revenais pas. Pour un peu, je me serais dégonflée au dernier moment. Mais Annie ne me laissa pas le choix :
- Tu viens et tu ne discutes pas. Dailleurs, tu es attendue. Deux couples viennent exprès pour nous. Tu pourras même essayer les femmes si ça te tente.
Cette fois, pas question dun tailleur strict. Annie me fit visiter sa garde-robe et me proposa un délicieux fourreau en soie qui soulignait jusquà la raie des fesses :
- Ce truc se met sans slip et sans soutien-gorge. Avec ça, tu ferais bander un eunuque, me dit-elle.
Elle opta pour un vêtement semblable, si bien quon avait lair de deux surs dévergondées en goguette.
En entrant dans le parc, jétais déjà excitée comme une pucelle et Annie fut obligée de me calmer :
- Si tu montres la couleur dentrée, tu vas te faire sauter dans le hall mais cest peut-être ce que tu veux.
- Non, surtout pas, je veux y aller progressivement.
Les deux couples nous attendaient à table. Il y avait lhomme et la femme que javais déjà vus à luvre la première fois avec mon beau-frère et ma belle-sur. La cinquantaine distinguée, parfaitement conservée, à limage de la femme que je navais pas bien observée la première fois et dont la prestance me rappela une présentatrice connue de la météo à la télé. Lautre couple était dix ans plus jeune. Lhomme me plut demblée avec ses cheveux ras, ses barbe finement taillée et ses mains puissantes. La femme, brune aux cheveux coupés au carré, semblait discrète, effacée, presque déplacée en ce lieu. Les deux hommes fixaient mes obus moulés de soie avec une intensité sans équivoque. Je compris tout de suite quils voulaient me baiser.
Avec sa gouaille habituelle, Annie singénia à détendre latmosphère, déjà assez chargée dérotisme. Les tapas furent vite expédiées. Plutôt que de rester au-dessus de la piscine, où les premiers couples apparaissaient déjà, elle proposa de descendre dans un salon où une musique invitait à la danse. Un slow, évidemment. Le plus jeune des deux hommes, prénommé Ivan, minvita. Ses larges mains se posèrent sur mes fesses charnues, comme pour en apprécier les rondeurs. Après les tapas, les appâts. Je le sentis durcir. Moi-même, je nétais pas sèche et jimaginais quil devait apprécier les deux petites excroissances raidies au bout de mes seins contre son abdomen. Mais lautre homme, Félix, lui tapa sur lépaule pour lui demander de laisser la place et me voilà repartie pour un autre tour de piste. Mon regard attrapa Annie qui, assise sur une banquette, soffrait un jeu de langues avec la femme de Félix pendant que celle dIvan (oui, la timide) disparaissait sous la table, la tête entre les cuisses de ma belle-sur. Latmosphère devenait chaude et un autre couple apparut, très intéressé par la scène saphique que je viens de décrire.
Pour dire les choses crûment, javais de plus en plus envie du pénis. Comme les deux hommes se montraient empressés auprès de moi, je voyais même le moment arriver où jaurais deux phallus pour le prix dun. Lun deux prit le fourreau de soie par en bas, le roula, le replia et le fit passer par-dessus ma tête après mavoir fait lever les bras. Jétais nue. Totalement nue. Sauf les escarpins. Et mon alliance. Jeus une brève vision de mon mari sur un gradin de stade au moment où je fus soulevée de terre et déposée avec précaution sur une sorte de lit romain. Une langue agile et chaude prit possession de mon intimité au moment où une queue épaisse, parfaitement décalottée, raide comme une branche, surgit son mon nez.
- Suce-moi, ordonna Félix.
-
Je suçai, et sans me faire prier en plus. A la seconde précise où jembouchai ce membre puissant, je devenais échangiste. La suite ne pouvait être quune confirmation. La langue qui me fouillait au même moment devenait de plus en plus envahissante. Presque comme un sexe. Comme jondulais, Ivan sentit que le moment était venu de me pénétrer. Je délaissais la queue de Félix pour me concentrer sur le visage de lhomme qui venait dentrer en moi, et qui nétait pas mon mari. Je le fixai droit dans les yeux. Peut-être y vit-il une lueur de défi à sa virilité car ses coups de reins se firent plus profonds, plus denses. Félix avait disparu pour me laisser en tête à tête, si lon ose dire, avec ce mâle puissant bien décidé à me faire jouir. Il me retourna pour une séance de levrette qui dura un long moment, peut-être justement parce que cette position permettait à mon amant de durer tout en appréciant les rondeurs de mes hanches. Lorsquil interrompit son va et vient, il était en nage et je ruisselais moi-même. Pas seulement de transpiration. Il sassit sur le lit, la queue fièrement dressée :
- Viens tempaler, jai envie de voir ton cul.
-
Prenant appui sur ses genoux, face à la petite salle, je me fourrai le pieu sans difficulté dans ma vulve béante et entamai une roulement de hanches. En face de moi, ma belle-sur chevauchait Félix. Elle allait vers la bite avec une telle ardeur que je pouvais presque entendre le membre viril cogner contre le fond de sa matrice. Ses seins tressautaient à chaque impact, tout son corps vibrait, ses brames emplissaient le lieu. Elle dominait totalement lhomme, lui imposait son rythme, le soumettait aux circonvolutions de son cul en folie. Jenviais la souplesse de ses reins et me mis moi aussi à guider la queue dans les recoins de mon intimité surchauffée. Mon mâle à moi poussait le raffinement jusquà doigter mon anus tout en me limant. Je ne mappartenais plus vraiment.
- Tu baises comme une reine, souffla-t-il derrière moi.
- Jadore ta bite, elle me remplit bien, lançai-je à mon tour en tortillant de plus en plus du croupion.
Cest alors quun homme apparut, la queue dressée, face à moi, pour que je le suce. Mais seul Ivan mimportait. Je voulais lessorer, le vider, avoir ses couilles pour moi seule. Je le pris par la main :
- Viens à la piscine, jai envie de jouir dans leau.
La piscine nétait plus quun lupanar aquatique. Des couples senfilaient dans un mètre deau. Des femmes en suspension buvaient la tasse avant de ressortir la tête en crachant. Dautres femelles saccrochaient aux échelles pour mieux renvoyer la balle aux boules. La plupart baisaient là où leau effleurait les marches dentrée dans le bassin. Je remarquai que beaucoup de femmes se faisaient doigter. A lévidence, ces messieurs cherchaient à souffler après avoir éjaculé. Un bac à sable était rempli de préservatifs oblitérés.
Mon partenaire mentraîna en me tenant par la main et leau me parut un peu fraîche. Il se colla à mon dos pour me réchauffer et je sentais se queue contre mes fesses pendant quil empaumait mes seins, les soupesait, les flattait et titillant leurs pointes durcies. Lhomme mentraîna vers un transat disponible. Nos peaux humides sappelaient irrésistiblement. Il me fit allonger, me prit les chevilles, écarta mes jambes et se plaça à genoux pour me pénétrer. Ma vulve aspira littéralement sa queue. Je me sentis écartelée mais totalement ouverte et disponible. Jaurais simplement aimé un peu plus dappui pour mieux riposter mais cest lui qui menait la danse. Je vis alors que beaucoup de monde nous regardait mais je nen avais cure. Je voulais baiser, point barre. Jétais venue pour ça. Cest alors que mon partenaire mimposa de me mettre à quatre pattes :
- Jai envie de tenculer, lâcha-t-il
- Pas question, je garde mon petit trou pour mon mari.
-
A ma grande surprise, il se vexa. Il me laissa tomber comme une vieille bouée et se retourna vers une gamine qui le regardait avec des yeux énamourés et le suça illico. Revers de léchangisme. Jaurais pu chercher fortune nimporte tout ailleurs mais lépisode me refroidit. Et dailleurs, javais un peu froid. Je cherchai Annie. Vannée, elle pionçait sur un lit dans une chambre jouxtant le salon où je métais déchaînée, en compagnie dune rombière qui avait dû dépasser ses propres limites. Toutes deux étaient évidemment à poil. Le lit étant vaste, je les poussai et me laissai aller à mon tour à un petit somme. Javais besoin de récupérer.
Ce fut Annie qui me réveilla. Cette fois, elle était rhabillée et mapportait mon fourreau laissé quelque part à labandon :
- Allez, on sen va, presque tout le monde sest barré.
Javais dormi trois heures ! Cette frénésie sexuelle nétait visiblement plus de mon âge. De fait, la piscine était vide désormais. Quelques couples sétaient isolés ici ou là. La gamine qui mavait piqué mon mec souvrait à un costaud à lunettes, pliée en deux, les talons sur les épaules du mâle :
- Cest la fille de la maison, minforma Annie, elle a le feu au cul et se tape tout le monde.
Dans la voiture, au cur de la nuit, je me demandais quel accueil allait me réserver mon mari footballeur. Je jouais pourtant la fière :
- Je te remercie pour ton aide, sans toi, je naurais jamais osé. Ce soir, un mec ma fait vraiment grimper aux rideaux. Il avait un putain de corps, je te dis pas, rien quà voir son torse musclé contre moi, je jouissais. Mais je me demande comment ton frère va réagir à tout ça.
- Tu as pris ton pied, tu nas plus quà assumer, me lança ma belle-sur.
Toute fière, elle mannonça quelle avait joui trois fois dans la soirée avec trois partenaires différents :
- Il y en avait un avec une bite comme je nen avais jamais vue, très courte et très épaisse. Une bite de pilier de rugby, rigola-t-elle.
Jadmirais sa liberté de corps et desprit et je nétais pas sûre déchapper à un profond sentiment de culpabilité une fois rentrée chez moi.
En arrivant, toutes les lumières étaient éteintes, sauf celles de notre chambre conjugale. Mon mari dormait la télé allumée. Il avait dû plonger dans le sommeil en mattendant. Il dormait nu, comme dhabitude, mais sur le dos, ses copieuses parties génitales bien étalées entre ses jambes écartées. Jétais encore sous lexcitation du plaisir ressenti quelques heures plus tôt et une onde de chaleur me brûla le bas-ventre. A peine déshabillée, je rampai sur le lit, relevai le pénis au repos et entreprit de lécher les couilles bien pleines et si généreusement offertes. Mon mari eut un sursaut mais me laissa faire dans son demi-sommeil. Je jouais avec les bourses et sentit le membre grossir dans ma main pour devenir ce que javais appelé depuis longtemps sa « matraque ». Le gland rose et gonflé ne tarda pas à occuper mes joues. Mon mari me tira par les cheveux :
- Tu nen as pas eu assez ? Tu en veux encore, hein ? Eh bien, tu vas en avoir, je ten ficherai, moi, de léchangisme.
Cette fois bien réveillé, il se rua en moi comme un faune en rut avec une telle vigueur que je me demandai sil nallait pas me transpercer de part en part avec sa matraque.
- Tiens, prends ça, salope, tu laimes la bite hein ? Je vais de matraquer, moi, tu vas voir la différence.
Ce nétait pas la première fois que mon cher et tendre devenait vulgaire en me baisant mais cette fois, son déchaînement dépassait les précédents. Et aussi étonnant que cela puisse paraître, cela me plut. Cela me plut même beaucoup. Je lui griffai les épaules, les flancs, les fesses en couinant de protestation pendant quil me ramonait jusquà mon tréfonds en me houspillant. Sa virilité féroce me mettait en pâmoison. Jen redemandais et il sen rendait compte, le salaud ! Il me retourna comme un coussin, mouilla mon anus de son doigt humide et me sodomisa pas tout à fait dans les règles de lart. Je hurlai de douleur mais accompagnai le mouvement et très vite, je sentis ses couilles battre contre mes fesses. Ce contact me subjugua et un orgasme dévastateur me prit des orteils à la nuque. Il se retira et éjacula copieusement sur mon visage après mavoir une nouvelle fois retournée. Quelle giclée ! Jen avais jusque dans les cheveux. Je me dis in petto que mon homme avait encore les moyens de procréer mais la question du moment nétait pas là. Il devint soudain très tendre, comme sil avait expulsé son agressivité avec le foutre. Il me prit dans ses bras, éteignit la lumière, et on sendormit ainsi jusque tard dans la matinée.
Le lendemain, jhésitai à aborder le sujet échangisme au petit-dej, encore tout entière à nos ébats torrides de la nuit. Mais comme il minterrogea, je lui racontai sommairement mon expérience, insistant sur le côté baise aquatique et laissant prudemment de côté la frénésie érotique de sa sur.
- Au fond, me dit-il, je crois que tu as bien fait dy aller sans moi car ça ne maurait pas plu et comme ça, tu sais maintenant à quoi ten tenir. Je vais seulement faire en sorte que tu néprouves pas le besoin de téclater en groupe.
Et sur ce, débarrassant rapidement les vestiges du petit-déjeuner, ôtant son peignoir et exhibant son membre tendu, il me prit là, sur la table, pour mon plus grand plaisir
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