En Filature
Ce soir, je suis au bureau, seul. Jai le temps de vous raconter.
Ma femme ma quitté il y a quelque temps, brutalement. Je nai rien vu venir. Je croyais quon sentendait bien, et puis visiblement elle a trouvé un autre mec qui lattire plus que moi. Après 20 ans de mariage, cest banal, mais moi ça ma fait mal.
- Jai envie de changer, a été sa seule explication.
Pendant huit jours, je me suis remémoré les instants partagés, ces bonheurs ensemble (nous navons pas eu d). Et bien sûr son corps, la douceur de sa peau, la rondeur de ses beaux seins, la courbe de ses fesses rebondies, et le parfum de sa chatte, doux, vanillé.
Et après avoir bien pleuré, mêtre lamenté sur mon sort, jai décidé de vivre, pour moi.
Cela dit, javoue que javais du mal à pardonner, et jai voulu voir qui était mon « remplaçant ».
Aussi, un soir, je me suis grimé et me suis pointé à la sortie de son bureau. Lavantage avec mon ex, cest quelle est assez régulière dans ses habitudes. A lheure prévue, je lai vu sortir de limmeuble ou elle travaille et je lai suivie. Jai remarqué quelle donnait régulièrement des coups dil en arrière pour me repérer (elle me connaît bien aussi !) Mais javais fait ce quil fallait pour quelle ne se doute pas que la femme (un peu forte cest vrai) en jupe, bas, et petit pull sous son long manteau entrouvert, aux cheveux longs et blonds, cétait moi.
Je lai suivie dans le métro, à lautre bout du wagon. Lair de rien. Il y avait pas mal de monde et lon était serrés. A un moment, jai cru sentir une main sur mon cul. Je me suis un peu avancé pour y échapper et me suis retourné. Un homme mince, bien mis, dune quarantaine dannées, me souriait, lair innocent. Je lui ai fait les gros yeux et me suis retourné. Peu après il a recommencé. Jexpérimentais ce que doivent parfois vivre les femmes quand un balourd les aborde ainsi. Jai décidé de me laisser faire, et de lui donner une leçon.
Voyant que je me dérobais plus, il a insisté, caressant mes fesses et essayant dappuyer sur la jupe pour atteindre ma raie. Jai même légèrement reculé mon derrière pour quil puisse mieux le palper.
Il sest approché de mon oreille
- Je vois que je texcite, tu mas lair dune bonne cochonne toi.
Je me marrais intérieurement.
- Tu vas où ma belle ? Tu ne voudrais pas faire un tour chez moi pour que je te montre ma belle queue ? Je descends dans trois stations.
Jai hésité. Et puis je me suis dit que jaurais toujours la possibilité de suivre mon ex un autre jour.
Je me suis retourné, je lui ai souri.
- Silencieuse mais consentante à ce que je vois. Je temmène ?
Jai hoché de la tête.
Une fois hors du métro, il ma pris par la taille et a essayé de membrasser. Je lai repoussé gentiment mais fermement.
- Plus tard, ai-je chuchoté en essayant de féminiser ma voix.
Il ma conduit chez lui. Un bel appartement dans un bel immeuble..
- Je vis seul, mets-toi à ton aise ma-t-il dit en commençant à se dévêtir.
Je lai regardé faire, lencourageant des yeux. Je me suis approché et lui ai enlevé sa chemise. Jai passé une main sur la bosse qui commençait à tendre son pantalon.
- Mmmmm, ai-je fait en lui ouvrant la ceinture.
Puis je lui ai baissé le pantalon. Son boxer était presque trop petit pour sa queue tendue. Il ne mavait pas menti, il avait une belle queue.
Je nai jamais été avec un garçon. Ma femme me comblait.
Mais là, je mamusais comme un fou en imaginant sa réaction sous peu. Javais bien vu dans le métro quil nétait pas très costaud et que si besoin était, je pourrais facilement le dominer.
Une fois quil été à poil, je ne savais plus trop quoi faire : le manque dhabitude.
- Allez, enlève tes fringues ma-t-il demandé, on sera mieux pour baiser.
Je lai assis dans un fauteuil du salon, me suis un peu reculé et jai commencé à lui faire un strip-tease.
- Mon dieu, tu es une belle cochonne, si je mattendais à ça !
Jai enlevé mon manteau, jai entrouvert mon chemisier. Je métais mis un soutif bien rembourré pour faire illusion sur ma femme, mais ça marchait très bien sur lui aussi, tant il était excité à imaginer la suite.
Jai remarqué que dans un coin du salon, il y avait des écharpes sur une chaise. Jen ai saisi deux, les faisant tournoyer pendant que je me trémoussais devant lui. Sa bite était au garde à vous et il se branlait gentiment.
Insensiblement, je me suis rapproché de lui. Je lui ai présenté ma jupe, en lui faisant signe de lenlever. Il ne sest pas fait prier. Comme javais mis des bas, je métais rasé les jambes. Je me suis retourné pour quil ne voie pas mon sexe qui sans être en érection, se voyait sous le slip. Un slip dhomme bien sûr, je navais pas imaginé me retrouver dans cette situation.
- Dis donc cochonne, tu mets des slips de mec pour texciter au boulot ? Faut dire que ton beau cul le remplit bien. Je te lenlève maintenant.
En baissant mon slip, il a vu mon cul. Un peu poilu. Je me suis retourné brusquement et il sest retrouvé avec ma queue sous le nez.
- Surpris, hein, petit vicieux ai-je dit fortement avec ma voix dhomme.
Il sest reculé au fond de son fauteuil, saisi.
Jen ai profité pour lui attr les mains et les ligoter avec une écharpe dans son dos. Avant quil nait compris, ses chevilles aussi étaient serrées.
- Alors, mon beau, tu veux voir du pays ? Tu dragues dans le métro mais tu as pêché du gros aujourdhui, de linhabituel, du pas commun, du bon mec viril. Cest ton jour de chance, tu vas découvrir des choses.
- Ne me faites pas de mal, cest une erreur, pardon, détachez-moi a-t-il gémi.
- Tiens, tu me vouvoies maintenant ? Continues à me tutoyer sil te plait, on est intimes maintenant.
- Pardon, pardon, je ne savais pas, je ne voulais pas te fâcher.
- Tu ne me fâches pas, au contraire, il y a longtemps que je navais autant ri.
- Non, sil te plait, je nai pas envie, je ne suis pas attiré par les hommes.
- Moi non plus, mais faut que je me calme, alors ton cul ou un autre
.
- Ahhh, non.
- Arrête lui ai-je dit sèchement, sinon tu auras mal. Calme-toi.
Il ma regardé, un peu apeuré encore, mais il avait compris que je ne lui ferais pas de mal.
- Bon, pour commencer, je vais te caresser et on va voir si tu aimes. Mais avant, comme je ne veux pas dennuis, je vais filmer notre petite séquence.
Jai installé mon smartphone sur une table avec une belle vue sur la scène. Je suis également allé chercher son portefeuille dans lequel jai trouvé une carte de visite.
- Au cas où tu ne sois pas sympa, la vidéo arrivera chez ton boss. Mais je pense que je nen aurai pas besoin, nest-ce pas Arthur? Jaime bien ton prénom, moi cest Steve.
- Non, non, ne faites pas ça, euh, ne fais pas ça Steve, ma carrière serait foutue.
Javoue quà ce moment-là, jai eu comme un petit coup dadrénaline avec le pouvoir que javais sur ce mec inconnu. Et puis de le voir à poil, livré à mes envies, ça commençait à mexciter un peu.
Je me suis approché, et jai touché sa bite. Il a eu un petit recul, cétait nouveau, un mec le tâtant, mais ça na pas duré. Je le branlais en le regardant et matait son membre en train de prendre du volume.
- Mmm, ta queue est douce, Arthur, et je vois que les caresses te plaisent.
- Bien sûr, jaime quon me branle, mais là cest un peu spécial. Mais cest bon, cest vrai, tu le fais bien.
- On va bien sentendre tous les deux.
Jai continué, découvrant le plaisir de masturber un homme, de toucher ses couilles, de dégager le gland et de le recalotter.
- Maintenant, je vais te sucer, une première pour moi, tu me fais signe si je te fais mal.
Je me suis penché. Javais soudain envie de le sentir en moi, de goûter ce chibre bien dur, de ressentir cette chair. Jai craché sur la tige, ai ouvert la bouche, lai posée sur le gland et insensiblement, jai descendu la hampe, lentourant, la léchant, lenfournant jusquau fond de la gorge. Il a fermé les yeux.
- Tu aimes ça, en fait, petit cochon, je le vois bien. Et moi je trouve que cest vraiment agréable, je regrette de ne pas lavoir fait plus tôt.
Je le suçais lentement, et quelques gouttes de sperme sont venues donner du goût à cela.
- Je vais jouir si tu continues, tu fais ça trop bien ma-t-il dit dans un souffle.
- Ok, on va inverser les rôles.
Je me suis relevé, lai soulevé du fauteuil et lai mis à genoux devant moi. Il était toujours attaché et en équilibre instable. Je lai calé contre le fauteuil et lui ai présenté mon dard.
- Suce-moi aussi bien que je lai fait, petit cochon.
Il ma pris dun coup, happant mon sexe profondément, et entamant une fellation rapide. Je lui ai pris la tête pour laccompagner dans son mouvement, sans pression. Il commençait à baver.
- Ne me dis pas que tu ne las jamais fait, tu suces comme une salope affamée. Tu en rêvais sûrement pour être aussi habile.
- Cest vrai, jen ai toujours eu envie sans oser le faire.
- Cest le bon jour, tu vois, tu dragues une femme dans le métro et tu te retrouves à assouvir ton fantasme avec un homme. Vas-y, jeune chien, lape ton maître.
- Oui Maître, je te suce, cest bon.
- Oh, mais je vois que tu es prêt à te soumettre en plus ? Quelle journée. Arrête-toi, moi aussi je vais gicler sinon.
Il sest reculé, et jai vu comme de la reconnaissance dans ses yeux. Jétais plutôt étonné de la tournure des événements.
- Bon, jai limpression que tu es une bonne salope qui aime la bite. Je crois que je vais tenculer.
- Jai un peu peur, et aussi très envie, Steve. Tu feras doucement ?
- Très doucement, jai envie que cette première pour nous deux soit un bon souvenir. Tu ne voulais pas me violer, dans le métro, moi non plus. Veux-tu que te détaches puisque tu es consentant maintenant ?
- Détache-moi les chevilles pour que je puisse mécarter le cul, mais laisse-moi les mains attachées, cela mexcite dêtre un peu soumis.
- Ok, tu es vraiment bien cochon, jaime ça.
- Tu ne veux pas venir dans la chambre, jai de quoi nous lubrifier un peu, et ce sera plus confortable.
- Ok, mais pas dentourloupe, hein. Et jai emporté le smartphone pour continuer de filmer.
Il sest installé sur le lit, docilement, à quatre pattes.
- Tu trouveras de lhuile dans le tiroir de ma table de nuit, et quelques objets que jai utilisés certains soirs de solitude.
Jai pris le flacon de gel et les deux godes qui étaient là. Un petit et un plus gros.
- Je vois, tu tes déjà élargi la rondelle. Cela-dit, jai fait pareil avec ceux de ma femme les soirs où elle était absente ! On est à égalité.
Jai pris du gel sur mes doigts et commencé à lui masser le fion. Avec ses mains attachées dans le dos, il était penché la tête dans loreiller, et ses fesses se dressaient vers moi.
- Tu as un beau croupion, Arthur, je vais adorer le défoncer.
- Ooh, tu mexcites, cest dingue, continue, et insulte-moi, aussi.
- Petite pute, tu veux te faire enculer hein. Attends, ça vient.
Jai dabord attendri le trou de balle, puis jai introduit un doigt, puis deux, les faisant tourner pour lélrgir, puis les enfonçant bien. Arthur a commencé à se trémousser.
- Tu aimes ça, cochon, un bon doigt dans ta chatte de mec.
Puis jai pris le petit gode et lai inséré dans lanus.
Jétais tout raide de voir ce mec soffrir à mes attouchements.
Ensuite, jai pris le plus gros. Je lai huilé et il est entré lentement, écartant les chairs du tunnel.
- Je vois que tu las déjà testé celui-là aussi, on dirait que ton conduit se souvient de son diamètre.
- Cest mon préféré, je me gode avec de temps en temps.
Pendant que je le limais, jai attrapé son chibre pour le masturber en même temps. Il aimait ça visiblement, mais la position nétait pas idéale.
- Mets-toi sur le dos, je vais te détacher les mains.
Il sest retourné et a écarté et levé les jambes, tenant ses genoux avec ses mains.
Je lui ai remis le gros gode, et en même temps je le suçais. Jai adoré ce moment, davoir un homme à qui je donnais du plaisir. Alors tout à coup, je me suis approché de lui et je lai embrassé. Là, cétait furieusement chaud. Jamais nous navions embrassé un homme, et pourtant nous lavons fait naturellement, tendrement et sensuellement, cherchant nos langues, et avec fougue aussi, lun et lautre tentant de pénétrer la bouche de lautre autant que possible.
Puis je suis redescendu lui lécher les couilles tout en insérant lolisbos.
- Prends-moi, encule moi maintenant, je veux sentir ton membre en moi a-t-il susurré.
- Je viens, traînée, je vais te pénétrer enfin.
Il a souri sous linsulte
- Oui, je suis ta pute, ta traînée, ta chienne, enfile-moi bien fort.
En le regardant dans les yeux, jai mis un préservatif, posé mon gland à lorée de son anus, je lai enduit de gel, et je lai enculé.
Ahhh, cette première sodomie dun homme, quelle joie, quelle sensation. Pas tant physique, javais déjà pris ma femme ainsi, mais intellectuellement, dassouvir un fantasme, de voir un garçon prendre son pied avec ma queue en lui.
Jy suis allé doucement au début, mais il ma demandé daccélérer, et lui tenant les jambes, je lai ramoné vigoureusement. Il se caressait le mandrin en même temps, et cétait beau.
- Prends-moi en levrette, je veux que tu voies mon cul jouir.
Il sest à nouveau mis en position, et je lai repris fortement, ses hanches dans mes mains, et il se lançait vers mon phallus. Ce fut une belle chevauchée !
A force de le voir prendre du plaisir ainsi, de lentendre bramer, lenvie mest venue de ressentir la même chose.
Jai fini par éjaculer, poussant tant que je pouvais pour atteindre le fond du conduit.
On sest écroulés sur le lit en riant, tant cétait bon et nous étions heureux de cette séquence, davoir exploré cette envie commune.
Je lai pris dans mes bras, et lai embrassé à nouveau.
- Tu mas bien fait jubiler, et je voudrais que ce soit toi maintenant qui me prenne.
- Tu es sûr ? Tu es le dominant, je ne sais pas si je pourrai.
- Je le veux, petit paillard, tu restes un mâle qui chassait les femmes il y a une heure à peine, tu te souviens ? Donc tu vas massouplir lillet comme je te lai fait, puis me dilater et me prendre le fondement. Mais dabord, tu vas me lécher la rosette.
- Comme tu veux, Steve.
A mon tour, je me suis mis en position impudique, offrant mon postérieur à ses doigts agiles qui mont huilé, écarté, ont le sphincter, se sont enfouis en moi. Les godemichés ont pris la suite, et jai adoré ces pénétrations lentes.
Enfin, après que je lui ai à nouveau taillé une pipe pour le rendre bien ferme, il ma enculé.
Ahhh, jaime ça, je lavoue, se sentir envahi par un nud puissant, large, qui vous viole lintimité rectale. Et Arthur à un engin de toute beauté.
Me sentir un petit mignon, une pucelle soumise, offrir mon fourreau à la lame du mâle, jaime ça.
Je lentendais ahaner dans mon dos, donnant toute sa puissance pour me ravager les intestins, pour tenter datteindre ma prostate pour quelle exprime le dernier jus quelle avait gardé.
Jai gémi sous les coups de boutoirs, mais je lencourageais.
- Petite pute, fourre-moi, encore, plus fort, ahhh, tu es une bonne chienne qui stimule son Maître, oooh, je te sens, ton dard me vrille, cest trop fort.
Il a perdu toute retenue, et mon orifice nétait plus quextase sous limpétuosité de ses assauts.
Enfin, dans un dernier élan, il sest planté au fond de ma gaine et à giclé son foutre dans un cri hystérique.
Allongés sur le lit, étendus lun à côté de lautre, nous avons repris notre respiration. Puis sa main est venue chercher la mienne. Nos doigts se sont entremêlés. Il sest tourné vers moi et ma chuchoté.
- Je recommencerais bien un de ces jours, quen penses-tu ?
- La prochaine fois, cest toi qui thabilleras en femme, gredin, et moi je te draguerai avant de tembrocher.
- Comme tu voudras, je suis ton soumis
- Non, je ne te veux pas soumis, je te veux coquin, canaille, mâle aussi parfois, mais essentiellement comme une femme débauchée, dévergondée, qui soffre à son homme sans pudeur.
- Tu es mon homme alors.
Depuis, jai un peu oublié de suivre ma femme.
Nous regardons souvent ensemble cette vidéo de notre première baise.
On remet le couvert.
Et jenfile Arthur.
Mais cela ne ma pas éloigné des femmes, vous le verrez prochainement. Disons que jai une corde de plus à mon arc. Un arc bien bandé bien sûr
..
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