Entre Colocs..

Me voilà, installée au Mexique, dans un petit village perdu de la valle centrale. Je m’installe en colocation avec une jeune française Tesoro, ce sont les surnoms que l’on s’est donné. On vit dans un charmant petit appartement avec une vue imprenable sur le village et entouré par les volcans, le bonheur à l’état pur. D’autant plus, que nous nous entendons à merveille. En tout bien tout honneur, on rigole sur nos sexualités débridées mais elle me confie n’avoir jamais eu de relation sexuelle avec une autre femme et c’est là qu’au son de sa voix, je décèle un certain désir… les mois passent, des fois après des soirées bien arrosées, un petit baiser s’échappe rien de plus ! Un soir de décembre, juste avant notre départ en vacance qui faisait que nous n’allions pas nous voir pendant un an, nous décidons de fêter l’occasion : vin et fromage, puis la température monte, la musique aussi, et on descend une bouteille de captain morgan ! Je lance le skype avec mon pote fac (vous vous en souvenez… le fameux pote de fac, toujours à trainer son nez dès que ça sent le sexe mais en était de l’autre côté de l’Atlantique…) et il commence à nous provoquer, allez un petit bisou… du coup, j’avoue on ne se fait pas prier… puis, il nous demande de nous caresser. On se sent un peu gênées mais l’alcool aidant, la musique entrainante, on se laisse prendre au jeu.
Tellement que le désir monte et que Tesoro me porte jusqu’à ma chambre où elle m’allonge sur le lit me recouvrant littéralement de baisers passionnés. Pour quelqu’un qui n’a jamais couché avec une fille, je la trouve plutôt entreprenante. Nos habits avaient déjà volés depuis belle lurette quand je commençais à lui caresser les seins d'un doigt décidé. Elle se tenait sur le dos me laissant son corps en pâture. J'ai décidé de ne pas m'en priver et de prendre les choses en main. J'ai alors avancé ma bouche pour savourer un de ses tétons en même temps que mon doigt partait vers son entrejambe. Elle m'a pris par le cou pour me faire sentir qu'elle aimait mes succions sur ses seins.

J'étais aux anges car ce simple geste me prouvait que je pouvais lui donner du plaisir. J'ai donc continué à descendre ma main jusqu'à son genou pour remonter toute sa cuisse, plus en l'effleurant plutôt qu'en la caressant et j'ai senti que cette caresse lui donnait la chair de poule. Mes caresses tactiles ont continué et elle a écarté ses jambes afin de me donner un libre accès à ce que je convoitais tant, son adorable toison, déjà vue mais jamais touchée.
Le bord de ses lèvres était parfaitement épilé me permettait d'admirer le brillant que sa cyprine décorait. J'étais follement excitée et rien qu'en voyant qu'elle aussi commençait à ressentir du plaisir je sentais monter en moi un orgasme que je réfrénais.

J'avais abandonné ses seins pour positionner ma tête entre ses cuisses pour que mes yeux puissent, tout à loisir, contempler la venue de ce liquide que je désirais tant. Des pouces j'ai écarté ses longues lèvres brunes pour découvrir l'intérieur, d'un beau rose tendre, de son coquillage. Un mince filet de mouille s'était formé entre les lèvres et je l'ai lapé pour avoir un avant-goût de son nectar. Elle a à nouveau poussé ma tête afin que je m'avance dans ses profondeurs. J'ai constaté, avec plaisir, que le débit de sa petite fontaine augmentait et que j'allais pouvoir étancher ma soif avec cette liqueur.
Sa main est venue décalotter son clitoris qui s'est fièrement érigé devant mes yeux. Je l'ai immédiatement absorbé, aspiré, malmené et mes récompenses sont arrivées. J’ai entendu ses premiers râles de bonheur. J'étais comblée. J'ai redoublé dans mon aspiration, ma langue jouait avec, je trouvais cela délicieux comme à chaque fois. J'ai fait tant et si bien que le corps de mon Tesoro s'est tordu comme un arc, vu la quantité de mouille qui sortait de son corps, je pense qu’elle venait d’avoir un orgasme. Je me sentais rassurée, j’avais peur qu’elle ne soit déçue par l’expérience… Sa réaction me combla de plaisir, elle entreprit à son tour une croisée pour me mener à l’orgasme.
Mon excitation étant à son comble, elle n’eu pas besoin de grand-chose d’autant plus que dans sa façon de me toucher, de m’embrasser, je sentais son désir, sa chaleur, sa reconnaissance, sa fougue, elle me désirait de tout son être. Face à moi, elle m’a fait bien écarter les jambes, a mis nos pubis en contact et a commencé des mouvements du bassin afin qu’ils se frottent l’un à l’autre. Cette sensation était merveilleuse. D’un doigt décidé, elle a plongé dans ma chatte toute humide et a frotté l’intérieur de mon vagin ainsi que mon clitoris avec son pouce. Je me sentais ruisseler sur sa main qu'elle a portée à sa bouche pour la lécher consciencieusement. Elle avait l’air de sacrément aimer ça la cochonne.

Prenant ma main elle m'a fait introduire un doigt en elle. Dans le même temps elle a pris ma bouche pour que nos langues dansent. Ses doigts me tripotaient en profondeur avec une grande douceur. Et de nouveau, je fondis dans un orgasme qui me laissa vidée. On décida qu’il était grand temps de dormir car le lendemain ou plutôt quelques heures après, nous devions partir en vacances.
On se glissa dans mes draps, nues, on se regarda et on s’endormit telles des s au paradis …

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