Petit Défi Entre Amis
Je savais que tu attendais à larrêt du tram, que peut-être tu tétais avancée
Bien entendu, comme à chaque fois, les bouchons sont là
Encore une fois, le destin vient nous jouer des tours. Mais il est hors de question cette fois quil ait encore le dernier mot.
Finalement, je vois larrêt. Au profit dun nième ralentissement, je scrute les alentours pour ty chercher. Point de Nathalie. Javance avec prudence, craignant de te rater. Jarrive devant le restaurant donc je tai parlé et avec soulagement, je te vois attendre sur le parking.
Rapidement, je me faufile dans la circulation et je mengouffre dans lallée. Tu maperçois et ton visage sillumine dun léger sourire.
Nous navons pas beaucoup de temps malheureusement, et la circulation ma déjà coûté de précieuses minutes avec toi.
Nous entrons tous deux dans le restaurant et demandons une table, de préférence un peu à lécart.
Passés les échanges de formalités, jentre dans le vif du sujet.
- Je tavais promis une surprise nest-ce pas ?
Tu me regardes dun sourire à la fois confus et curieux.
- Oui, dailleurs
que mas-tu réservé ?
Je sors alors de la poche intérieure de ma veste une enveloppe que je glisse sur la table à ton attention. Curieuse, tu la prends et la décachette.
Tu commences alors la lecture des deux pages quelle contient. Dès les premières lignes, tu comprends le contenu. Et oui, il sagit bien dun texte que jai lhabitude décrire et de te confier. Tu lis avec assiduité. Je vois tes yeux parcourir les lignes. En tournant la première page, tu ne peux pas tempêcher de jeter un coup doeil vers moi qui tobserve. Ton regard pétille, mais sans rien dire, tu continues la lecture. De mon côté, je reste stoïque, picorant quelques amuse-bouches dans le bol entre nous.
Tu replis les pages et les remets dans lenveloppe. Sans un mot, tes yeux restent fixés sur la table, la tête appuyée dans sur ta main.
- Ouf ! Consens-tu à dire. Je reconnais bien ta plume !
- Je te remercie. Dois-je comprendre que le texte te plait ?
- Sil me plait ? Bien sûr !
- Jaurais pu te demander quon se retrouve dans un lieu isolé, prétexter un repas sur le pouce, et profiter de notre promiscuité pour te voler un baiser, goûter ta bouche
Jaurais pu vouloir massurer que ma présence et mes attentions aient déclenchées en toi quelques émotions... Jaurais alors glissé la main sur lintérieur de ta cuisse, puis, innocemment, mes doigts se seraient égarés sur lavant de ta petite culotte
Et si javais détecté quelques humidités, je pense que jaurais poussé linvestigation plus loin. Mes doigts se seraient frayés un chemin sous la fine dentelle, puis auraient glissés sur tes lèvres lisses et pulpeuses
Je ne doute pas quils se seraient enduis rapidement de ton nectar
Liquide ô combien doux et invitant à approfondir la quête
. Je naurais eu de cesse dexplorer profondément ton intimité pour men assurer
Il se peut hélas quil y ait des effets collatéraux et que ma curiosité déclenche en toi quelques réaction... Davance, je men serais excusé
. Peut-être alors que tu aurais voulu me rendre la monnaie de ma pièce
Que tu aurais souhaité aussi vérifier les effets du plaisir que jai dêtre avec toi
que ta main
- Arrête, me dis-tu alors
- Oui, tu as raison
Au lieu, jai préféré te confier ce texte pour te faire plaisir.
- Ca pour me faire plaisir, crois-moi, il le fait !
- Ah bon ? dis-je sur un ton faussement étonné
- Mais oui
tu comprends.
- Heu,
comprendre, oui. Mais tu sais, je préfèrerais men assurer.
- Ten assurer ? Si te demander darrêter de me raconter ce que tu ferais ne te suffit pas
- Prouve-le moi alors !
- Te le prouver ? Là ? Mais comment ?
Je mapproche alors de toi pour te parler presque à loreille :
- Prétexte daller aux toilettes pour te repoudrer.
Tu técartes, à la fois surprise voire choquée. Nos regards se soutiennent. Puis, sans crier gare, tu te lèves. Je te vois téloigner.
Quelques minutes après, tu me rejoins, le regard brillant :
- Sous les serviettes
Je me lève pour également aller aux toilettes. Dun oeil, jobserve si on me regarde. Je prête loreille à la porte des toilettes femme : pas un bruit. Je pousse la porte et je vois un petit panier sur le lavabo contenant des serviettes pour sessuyer. Je plonge la main et retire du fond une petite culotte. Je la mets immédiatement dans ma poche et je sors.
Dans ma poche, mes doigts explorent le tissu. Jai effectivement ma preuve
.
Je te rejoins à table où tu attends ma réaction.
- Effectivement, le texte semble tavoir fait de leffet.
- Pas que
- Ah bon ?
- Toi aussi, me réponds-tu avec un large sourire
Je suis flatté de cette confession.
- Et si nous commandions ?
Le repas se passe, discutant de nous, de chacun. Mais je garde à lesprit que je détiens quelque chose de toi
quelque chose qui te fait en plus désormais défaut
Même si nous ny faisons pas allusion, nous savons.
Le repas se termine. Je règle la note tandis que tu mattends à la porte. Sur le parking, je tinterroge :
- Il faut que je te la rende tout de même...
- Cest clair. Je ne peux tout de même pas rentrer ainsi !
- Oui, mais tu ne vas pas la remettre dans la rue ? Suis-moi !
Nous nous dirigeons vers ma voiture. Tu tassieds à lavant, tandis que je te rejoins côté conducteur.
Tu me tends la main pour me demander la culotte.
- Enfin, tu ny penses pas ! Tu as pris la peine de lenlever pour moi. Laisse-moi prendre celle de te la remettre.
Tu es surprise de ma réponse.
Je mapproche alors de toi, certes, contraint par lagencement du véhicule.
Je passe la main le long de tes cuisses, sous cette jupe contraignante. Elle remonte doucement, grâce un peu à ton aide. Sexpose à moi en partie, la nudité de ton intimité.
Mes mains courent entre tes cuisses, se régalent de leur douceur. Je remonte dans le pli de leur aine. Javoue prendre un malin plaisir à tourner autour de cette fente rosée
Mais linévitable mattends
Jeffleure le haut de tes lèvres. Je suis le sillon, visiblement gorgé de plaisir. Un léger suintement vient mouiller mes doigts. Il minvite à les en enduire. Mon index glisse naturellement entre. Gorgées de plaisir, elles sont; débordantes denvie, je les découvre.
Je fais des va-et-vient sur toute la longueur. Toi, tu te plaques au siège, moffrant encore plus tes lèvres. Enfin, au gré dun passage, mon doigt entre en toi...Happé par cet orifice, je décide de lexplorer. Dabord les contours, puis son intérieur
profond, chaud et humide.
Tu poses par réflexe la main sur ma cuisse. Tu la serres
Elle remonte jusquà mon entre-jambe
Tu sens très bien que je te désire
Mais ce nest pas lobjet de mes attentions. Bientôt un deuxième doigt entre en toi
Tu touvres à mon appétit digital
.
Alors que je reprends ma place sur mon siège, ta main revient sur ma cuisse. Cest elle qui est maintenant curieuse, appâtée par la bosse quelle a perçu tout à lheure. Tu caresses mon pantalon
Je comprends où tu veux en venir
Javoue me laisser séduire et apprécier tes caresses
Mais lorsque ta main commence à aller plus loin, je la reprends doucement
- Aurais-tu quelques idées derrières la tête ? tinterroges-je malicieusement.
- Peut-être
tu veux bien que je te montre ?
Je ne réponds pas et tu prends ce silence pour accord.
Tu reprends ton massage sensuel, plus affirmé. Désormais, tu peux dessiner parfaitement les formes que mon pantalon dissimule. De ma main, jaccompagne tes intentions : je défais la boucle de ma ceinture. De ton côté, tu saisis le bout de la fermeture zip pour louvrir. Aussitôt, ta main plonge pour découvrir de plus près ce que tu avais deviné. Lépaisseur de tissu est moindre, et tes doigts enserrent fidèlement mon membre. Pourtant, un obstacle demeure
Après quelques caresses, tu te décides à le découvrir. Ta main chaude remonte sur mon bas ventre et se glisse sous lélastique de mon boxer. Si je ressens tout dabord un soulagement en sentant létreinte moins forte, elle est de courte durée : ta main se substitue avec bonheur et vient enserrer délicatement mon membre tendu. Tu le saisis à la base et tu commences des va-et-vient. Jobserve ton application. Ta tête posée sur mon torse, tu suis la réaction de mon gland rouge de désir. Ta main est douce et ton geste, sûr. Je me laisse aller au plaisir de tes caresses, à imaginer plus. Je me penche un peu vers toi et te susurre à loreille :
- Fais-en ce que tu veux
.
- Tu sais ce que je veux en faire ?
- Montre-moi
Ton visage sapproche de mon sexe, loccultant à mes yeux. Je ne vois plus ce que tu fais, mais je le sens très vite. Le bout de mon sexe sent la délicatesse de ta langue qui sy pose. Puis, tu en dessines le tour. Enfin, tes lèvres viennent le gober tout en douceur. Je me serais attendu à ce que tu en prennes toute la longueur. Au lieu, tu te contentes de garder mon gland entre tes lèvres. Je sens ta langue le parcourir, tes lèvres le savourer. Ta tête fait dimperceptibles mouvements que seul mon sexe ressent.
Soudain, au bout de la rue, un couple surgit. Je les observe alors quils se décident à savancer vers nous. Je suis partagé entre tinterrompre ou savourer le plaisir que tu me donnes.
- Attention, quelquun arrive !
Tu ne dis rien. Tu ne réagis pas. Spontanément, les yeux fixés vers la route, je fais mine dêtre perdu dans mes songes tandis que le couple longe la voiture. Nous ont-ils vu ? La situation est à la fois terriblement excitante et gênante. Toi, tu continues à toccuper de moi avec la même rigueur. Est-ce la scène, ton agilité ou les deux, mais je sens à chaque passage de tes lèvres mon plaisir monter.fellation1
- Attends, je sens que
Remarque à mon avis inutile, car je me doute que tu as du le sentir. Mon sexe se tend encore plus
Je me mords les lèvres alors que je me sens exploser dans ta bouche pulpeuse. Mon sexe témoigne de mon plaisir en déversant plusieurs flots que tu sembles apprécier sans un mot. Tu enfonces mon sexe un peu plus dans ta bouche. Je reste tétanisé, à la fois par le plaisir que tu me procures et par la présence de ce couple qui commence à séloigner. Méthodiquement, tes lèvres continuent avec douceur à garder cette étreinte suave. Enfin, tu consens à abandonner lobjet de ta convoitise. Tu redresses le visage et regarde autour : le couple est rentré dans la voiture garée derrière nous. Dans le rétroviseur, je les observe en train de sembrasser. Jen souris en te décrivant la scène. Je réalise l'heure qu'il est. Je dois hélas y aller. Tu rajustes ta robe et je me rhabille. Tu ouvres la portière, non sans te retourner vers moi.
- La prochaine fois, c'est ensemble que nous jouirons, m'affirmes-tu
- Hé, tu oublies ta petite culotte
- Non, garde-la. Justement, la prochaine fois, tu auras ça de moi à enlever pour
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