Un Réveillon De Luxure 2
Dans mes bras je sens que Tyffaine est surprise par larrivée de cet intrus. Jimagine quelle napprécie pas. Moi, cest tellement extraordinaire que cela lui semble irréel. LAutre, lHomme cest le signe de ladultère, de linfidélité. Le péché. Alors sa morale lui dicte de refuser.
Je lui passe une main dans ses cheveux soyeux pour lamadouer et souligner ma présence. Cest un délice de douceur. Je les caresse lentement en attirant sa tête contre moi. Cela semble la détendre. Elle reste néanmoins collée à moi. Immobile. Je lembrasse tendrement dans le cou sa chair est douce, et merveille, elle en fait autant. Quand ses lèvres meffleurent, avant même de vraiment entrer en contact avec ma peau, un frisson me parcourt instantanément tout le corps. A la vitesse de la lumière. Jai envie de lui crier ma joie. Je la contiens, difficilement. Elle a toujours les yeux fermés. Tout son corps tremble sous ma caresse. Cette petite est une bombe de sensualité qui semble séveiller avec le nouvel an. Son transparent de mari ne doit pas avoir su lui faire découvrir sa sensualité. A nous, à moi de lexacerber, de la faire naître et surgir du fond de son âme et den profiter même si je dois lensorceler.
Dun geste discret je repousse le rustre derrière elle qui veut la saillir. Il comprend que cest à moi maintenant quelle peut se donner, soffrir. Je lui fais entendre raison et il sait quil ne sera pas frustré, mais que simplement il lui faudra attendre en se contentant de mater, comme les autres passivement installés. Pas passivement pour tous, des mains ségarent et embrasent lambiance de luxure dun réveillon digne des rois.
Alors toujours doucement pour ne pas effaroucher la belle qui semble dormir sur mon épaule, je garde une main dans ses cheveux et je fais descendre lentement lautre jusquau creux de ses reins. Je suis émue, je narrive pas à calmer mon tremblement. Le sien est si discret que je ressens comme un frémissement.
Cest elle qui détache sa tête du creux de mon épaule pour me fixer dun regard qui me trouble à mon tour. Elle semble me demander pourquoi, pourquoi elle se trouve là dans mes bras avec lenvie de membrasser. Pour toute réponse je lattire à moi et nos lèvres se joignent, humides. Juste une caresse, léger frôlement témoin dun amour naissant et encore fragile. Puis, oh merveille des sens, je sens un bout de langue timide mais humide, toucher mes lèvres furtivement comme pour demander asile. On frappe à lentrée dun asile de luxure pour un baiser ! Je reste fermée, perfide, pour quelle insiste et se livre plus, gardant bien linitiative déviter quelle ne renonce. Au lieu de forcer ma porte, elle déplace doucement sa langue dune commissure lautre, humectant mes lèvres de sa salive, témoignage de sa soumission ou de la mienne. A ce moment je ne sais plus qui appartient à lautre. Je reste fermée. Le moment est trop magique. Ma main est maintenant sur ses fesses. Je les presse contre moi, contre ma vulve déjà toute ruisselante de mouille. Je me contiens pour ne pas jouir trop vite.
Alors je la sens devenir impatiente. Cest elle maintenant qui force mes lèvres closes pour laisser sa langue me pénétrer. La garce ! Elle apprend vite. Jouvre à cette voleuse, sa langue rencontre la mienne, et sans prendre le temps de faire connaissance, elle me fouille cette intimité sans plus aucun complexe. Sa respiration saccélère et déjà elle pousse des petits gémissements de plaisir. Elle ne sabandonne plus, elle prend. Elle si gracile, si fragile à linstant, elle se transforme en amante chaude et voluptueuse. Je fonds à mon tour. Haletantes, nous nous dirigeons vers le fauteuil libre, accompagnées par une musique enivrante de douceur et de sensualité.
Je lassois, elle se laisse aller au fond du dossier. Je pose ma tête sur son ventre. Cest elle qui me prend les cheveux pour me les caresser à son tour.
Mes mains, maintenant à la hauteur de sa taille, je me saisis de lélastique de la culotte et je la tire à moi, vers le bas. Tyffaine, au lieu de refuser, se déhanche dune fesse sur lautre pour laisser glisser le fin vêtement le long de ses cuisses, de ses jambes. Je dégage les pieds. Elle a le sexe nu ! Je lui retrousse le bas de sa robe découvrant enfin son trésor damour. Son minou est bien bombé, recouvert dun mince duvet soigné. Cest une vraie blonde, les maris voyeurs se régalent en silence. Sans attendre jy enfouis ma tête pour respirer lodeur de son plaisir. La petite mouille comme une vraie fontaine. La découverte de cet amour la subjugue, la transcende. Je lentends qui gémit de plus en plus fort, faisant fi de la présence de son mari endormi et de nos amis voyeurs. Elle se donne entièrement à moi. Je nen peux plus, je mécarte légèrement pour contempler ses lèvres luisantes de ses sécrétions. Mes doigts tremblants, prennent ses premières lèvres, premier barrage vers le rouge turgescent de ses chairs intimes et les écartent.
Pour continuer, je plonge ma langue entre ses lèvres gluantes de cyprine à lodeur de jouvence. Je bois, je bois et la source ne tarit point. Jai limpression que je vais me noyer tant elle coule dedans ma bouche. Ce faisant elle remue son ventre, son corps, au devant de ma langue pour minviter à la pénétrer plus loin, pour encore plus lui donner du plaisir. Je vais jouir, je le sens. Elle maccompagne, me porte, me tire vers notre jouissance. Jai limpression de perdre mon pucelage tellement je me donne. Dans mon excitation, je me retrouve en train de lui caresser les seins de ma main libre, au dessus de sa robe. De lautre, revenus sur elle, mes doigts ouvrent son écrin pour maider à la boire, la sucer. Jaspire car jen veux plus encore. Jamais une femme ne ma autant offert de cyprine à boire. Jamais.
Soudain la petite se cambre, contractant tous ses muscles comme pour bondir. Elle avance son bassin, me saisit la tête et me la colle contre son ventre alors que toutes les deux nous jouissons de concert dans un orgasme sans limites. Je me laisse jouir longtemps, longtemps. Elle me suit. Puis toutes les deux exténuées, repues, on se laisse tomber dans les bras lune de lautre. Je pense quen guise dinnocence, elle révèle une sacrée sensualité !
Il me faut quelques minutes pour récupérer. Quand je rouvre les yeux, elle est affalée sur le dossier du fauteuil, les jambes encore ouvertes et dénudée jusquau nombril. Elle est toute rouge. Elle pose à nouveau son regard interrogateur sur moi, étonnée, incrédule sur ce qui vient de se passer.
Je me lève dentre ses cuisses, je la prends par la main et la fais se lever pour la prendre dans mes bras et lui murmurer à son oreille :
- Je taime.
Elle hésite un instant et aussi tendrement, elle me dit
- Moi aussi.
Il nest que deux heures cette année là.
La petite est dans mes bras, on danse langoureusement au rythme dune musique douce. Elle se laisse bercer par les légers mouvements de nos deux corps qui ondulent. Je crois quelle sendort. Je la maintiens debout. Son mari est profondément endormi dans le fauteuil. Enfin je le croyais car je viens de saisir un clignement de ses yeux qui me laisse supposer quil mate en cachette. Par pur vice ? Par lâcheté ? Je me décide brusquement à léprouver.
Lentement je conduis Tyffaine vers le fauteuil sur lequel est assis notre hôte, Michel. Je lai vu se caresser par dessus son pantalon quand je moccupais de la petite. La « petite », comme jaime lappeler ainsi, pour montrer linnocence quelle affiche à nouveau après cette séance dabandon luxurieux.
Elle est maintenant contre ses genoux. Elle a un léger sursaut. Elle se réveille, je la rassure par un baiser furtif dans son cou.
- Laisse moi taimer.
- Oui !
Michel pose délicatement ses mains sur ses cuisses par devant, juste au dessus des genoux. Elle se crispe. Il maintient sa pression. Elle se relâche, je la sens fondre dans mes bras.
Les mains remontent, par devant atteignent le ventre de la belle soumise et docile. Elle est tout contre moi alors je sens les mouvements des doigts qui se fraient un passage entre les lèvres nues de son sexe que je viens de lécher avec tant de fougue. Michel a plaqué son visage contre les fesses de la belle. Il respire fort. Je jette un regard vers le mari. Il sest redressé sur son fauteuil, il regarde hagard, effrayé et dépassé par ce quil voit. Sa belle, sa toute jeune épouse, se livre à la débauche dans cette maison, devant et malgré lui.
Il bande, je le vois. Il a peur mais il est excité ! Il mate. Tyffaine ne le voit pas. Lentement, je prends la robe de la belle par en bas et je la retrousse pour la faire passer au dessus de sa tête. Elle est nue avec simplement ses bas et ses chaussures si sexy. Michel lui pelote les fesses, les cuisses, il nen peut plus. Je le vois qui se lève, qui déboucle sa ceinture et baisse son pantalon. Son slip ne cache pas longtemps sa queue qui bande.
- Non, Chantal sil te plait. Pas ça.
- Laisse toi aller ma belle, tu vas être heureuse.
- Non, je ne veux pas. Je veux rester fidèle à mon mari.
- Chut, il dort, il nen saura rien.
Il ne dort pas, bien sûr, mais quimporte, je devine quil veut que cela continue et aille plus loin. Elle apprendra assez tôt sa veulerie. Elle se cramponne à mon cou quand elle sent la queue contre ses fesses. Michel a passé ses mains entre nous et lui caresse les seins. Il joue avec ses mamelons et bientôt la petite commence à gémir sous leffet de la caresse. Elle sabandonne, vaincue elle accepte lHomme.
- Non, Chantal, non
Aucune conviction dans ce refus. Ce non veut dire « encore », cest évident. Car en disant cela je sens quelle remue son bassin pour flatter la bite qui caresse.
Je lui prends une jambe et la lève contre mon flan, louvrant à la queue qui ne demande quà la prendre. Elle se laisse faire, elle a envie. Elle pousse un petit gémissement adorable quand le vit pénètre doucement son jardin damour. Elle est belle. Elle fronce les yeux, elle est grosse cette bite et le passage est étroit. Il doit avoir une toute petite bite le cocu ! On sent la pression saffermir, il entre se glisse entre les lèvres toutes chaudes de mon amour que quelques instants plus tôt jenserrais entre mes lèvres brûlantes.
Et le mouvement de va-et-vient commence, lentement dabord et de plus en plus vite. Michel est trop excité il va jouir très vite je le sens. Il a trop attendu ! Il accélère, il va jouir
- Non, pas dedans, je ne prends pas la pilule.
Trop tard, lhomme se déverse en elle en poussant des cris de bête. Tyffaine aussi jouit, elle saccroche à moi, me prend les lèvres quelle mord tendrement comme pour moffrir sa jouissance. Non ! La partager car moi aussi je me sens jouir damour cette fois, de cur !
Quand Michel se retire, je vois lhomme de lautre couple sapprocher. Il a sorti sa bite et sans attendre il se place derrière la belle et dun seul coup la pénètre. Tyffaine sursaute à nouveau surprise par ce nouvel assaut si rapproché. Je la serre dans mes bras pour lui signifier que son supplice continue. Soumise, résignée, elle se laisse pilonner sans tendresse par notre homme rustre en rut. Il ne tarde pas à jouir à son tour dans ce ventre encore juvénile sans se préoccuper de savoir quil peut ler avec sa semence. Légoïsme de lhomme violeur, inconséquent ! Je leur en veux mais je laisse faire. Le mari cocu aussi ! Cest bien visible maintenant, le vil époux a suivi les viols consentis de sa jeune femme et en tire plaisir même sil ne veut pas le montrer.
Quand la bite quitte le vagin rempli de foutre, la petite abaisse sa jambe et se presse contre moi. Le sperme sécoule le long de ses cuisses et souille ses bas. Essoufflée, je lui prends les lèvres pour y déposer un chaste baiser. Je laime à ce moment là. Cest un amour violent, passionné.
Doucement je lui laisse reprendre sa robe. Elle adresse un regard à son mari qui semble dormir. Elle le réveille, lui demande de rentrer.
Il est cinq heures comme le chante Dutronc quand on se retrouve entre nous, épuisés. Les épouses ont contemplé, regardé sans le moindre signe de jalousie, comme si elles avaient aussi fait lamour à cette jeune femme si fragile en apparence.
Il pèse dans le salon, encore plein de lumière, une atmosphère de lubricité. Les cadavres des bouteilles de bon vin jonchent la table. Les nuds des cravates sont défaits, les ceintures desserrées. Lambiance est au repos. Tous, et moi la première, nous avons été subjugués par la beauté fragile et pleine de grâce de cette jeune femme encore fille. Nous restons quelques minutes silencieux, comme pour profiter de la présence envolée de notre belle absente.
Cest mon époux qui nous sort de notre torpeur. La musique est lente, il minvite à danser. Les deux autres couples se forment et nous suivent au milieu du salon. Jai encore dans la bouche le goût des sécrétions et lodeur des effluves du sexe de Tyffaine. Mon mari membrasse pleine bouche comme pour à son tour faire lamour à ma maîtresse. Je my prête volontiers sachant quil me sied quil puisse y avoir confusion des personnes. Moi pour Tyffaine, cest comme prolonger notre scène damour.
Soudain je sens une main sur mes reins qui relève ma robe et me caresse les fesses. Je ferme les yeux, je rêve. Une autre main attire ma tête et me vole aussi mes lèvres, pour Tyffaine. Je reconnais les lèvres et la bouche de notre hôtesse. Toute la soirée elle ma regardée faire lamour avec Tyffaine, avec envie mais en même temps respect. Cest incroyable leffet de cette fille sur nous. Je danse les fesses nues, la robe accrochée à la taille. Je sais quon me mate, je sais que mon cul est beau.
Un doigt puis deux glissent le long de mon sillon et viennent me titiller lanus. Jaime ça. Je me presse contre mon époux juste pour sentir la bosse de son sexe contre mon ventre. Jai envie dun sexe, là immédiatement. Ma belle qui vient de perdre son pucelage lesbien ma chauffée. Mais cette fois jai envie dune bonne queue en moi et sans attendre je le fais savoir. Je passe mes mains devant moi et je déboucle la ceinture du pantalon de mon mari. Il tombe à ses pieds, le slip suit immédiatement. Les deux autres couples nous observent. Tant mieux. Deux mains de femme soulèvent ma robe et la font passer au dessus de ma tête. Quelques secondes après je suis nue au milieu du salon. Mon époux na pas voulu prendre cette jeune femme quil a sentie mienne. Maintenant je sens quil veut reprendre possession de son bien. Pas de compétition, ni de revanche, non une simple histoire damour au masculin. Tant mieux jai envie de lui et de me montrer.
Nous dansons langoureusement, nus tous les deux. Moi simplement juchée sur mes escarpins noirs, les jambes habillées de mes bas. Je frotte mes seins contre sa poitrine. Il me tient fermement contre lui alors que je sens derrière moi ces mains qui cherchent à nouveau mon intimité. La petit trou dabord, puis en savançant dans le sillon, cest mon sexe qui accueille les doigts curieux. Notre hôtesse est experte en amours féminines et bientôt je sens la jouissance me submerger.
Mon mari sait mes penchants exhibitionnistes. Il me tourne vers nos amis, me prend les seins et les expose à leur vue comme une offrande divine. Comme la jeune vierge que lon va sacrifier sur lhôtel de la luxure. Jaime quon me regarde les seins. Jouvre mes yeux pour voir les regards qui se portent sur eux. Ce sont ces regards qui font la beauté dune poitrine. Ces regards brillants qui vacillent entre leurs pointes érigées de sensualité et les yeux qui voient ces regards. Je perds la tête à cet instant. Jai envie quils me disent que mes seins sont beaux, excitants.
On me conduit sur la table sur laquelle on me couche sur le dos. Mon mari se saisit de mes jambes et les porte à ses épaules. Je me sens ouverte, la vulve en feu qui réclame un chibre. Mon mari toujours pour satisfaire mon exhibitionnisme patent, sécarte pour présenter à lentourage ma vulve trempée, toute humide de mes sécrétions. Autour, les hommes se branlent en silence, les femmes se caressent, discrètes. Notre hôtesse est près de moi. Doucement elle me caresse les seins. Elle me sourit, heureuse de mon bonheur. Je suis lactrice, la star du moment. Ainsi exhibée, exposée cest avec soulagement que je sens le gland masculin venir flirter avec lentrée de mon vagin, hésiter, séloigner, se reprendre. Je supplie quon me pénètre. Je suis entendue et brutalement comme on chevauche une jument, mon mari sintroduit en moi sans aucune douceur assumant la saillie que je réclame de tous mes sens. Je sens les giclées de sperme envahir ma caverne damour, buter contre la paroi de mon utérus ; et mêlé à ma cyprine, le sperme déborde et sécoule, comme la lave dun volcan, lentement, inexorablement, le long de lintérieur de mes cuisses.
Repus, heureux, nous avons joui de concert devant nos amis et complices. Il me relève de dessus la table, me prend dans ses bras et nous échangeons un baiser dadolescents découvrant lamour pour la première fois.
- Je taime.
- Moi aussi.
Mais moi, à cet instant, je pense que je ferai limpossible pour retrouver ma « petite », dont je suis tombée amoureuse le premier jour de cette année 2015.
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