Dans La Forêt Après Les Cours.

Cette histoire est une suite aux précédentes publications "Un après-midi surprise"

Après les cours, je sortis du lycée en compagnie de mon amie Laura. Ce jour-là, j’avais revêtu un chemisier fin noir et une jupe rouge qui m’arrivait aux genoux. A cause de la saison plutôt chaude, je ne portais pas de bas et avais mis aux pieds des chaussures blanches ouvertes laissant apparaître ma peau et mes doigts.
Alors que je discutais de la journée que nous venions toutes les deux de passer avec ma camarade de classe, je sentis une main se poser sur mon épaule. J’écartai mes mèches de cheveux mi-longs et pivotai les talons, étonnée de ce contact plutôt étrange. Lorsque mon regard se tourna, je découvris alors celui qui venait de m’interpeller. C’était Florian, le garçon que j’avais rencontré une semaine et demie plus tôt lorsque j’étais allée rendre visite à Alexis. Je demeurai consternée de le rencontrer là car il n’était pas élève de mon lycée. Laura se retourna à son tour et nous dévisagea longuement.
-Salut Claire ! dit alors le garçon. Tu vas bien ?
-Salut ! Oui, ça va, merci !
Alors que je l’observais, je remarquai aussitôt son air gêné. Je réajustai la lanière de mon sac de cours sur mon épaule et patientai jusqu’à ce qu’il m’explique ce qu’il désirait.
-Euh… Je suis venu te voir parce que je voudrais te parler un petit moment, s’il te plait !
J’écarquillai les yeux, ne m’attendant aucunement à ce genre de demande. Je retournai le visage et jetai un regard perplexe à mon amie. Elle me fit un signe de main puis s’éloigna de quelques pas afin de nous laisser un semblant d’intimité. Je le regardai à nouveau et hésitai :
-Euh… oui ! Qu’est-ce qu’il y a ?
Je me mordis les lèvres, m’attendant au pire. Après tout, j’avais, un peu plus d’une semaine plus tôt, couché avec lui lors de ma visite chez Alexis.
-Euh, c’est un peu gênant. Tu ne veux pas venir faire un tour un peu à l’écart d’ici ?
-Où, d’ici ? le questionnai-je.

-Du lycée, je veux dire ! Je désirais te parler dans un endroit un peu plus… un peu plus sympa…
Encore une fois, je me retournai pour interroger du regard mon amie Laura. Elle pianotait sur son téléphone tout en nous observant du coin de l’œil. Elle releva le visage lorsqu’elle m’aperçut. Je haussai les épaules à son intention. Elle finit par se rapprocher. Florian la regarda d’un air circonspect.
-Qu’est ce qui se passe ? me demanda-t-elle. Il y a un problème ?
-Je sais pas, répliquai-je.
-Bon, Claire, laisse tomber… C’est pas grave… interrompit finalement Florian en sentant la consternation l’envahir. Excuse-moi !
-Bon, qu’est-ce que tu veux à la fin ? s’énerva Laura à l’adresse de Florian.
Je le regardais sans un mot alors qu’il rougissait de cette honte que mon amie venait de lui infliger. Il baissa les yeux.
-Bon écoute, Claire, viens ! poursuivit Laura en m’attrapant le bras.
Soudain, Florian redressa le visage après s’être rendu compte que nous étions sur le point de partir et s’écria sans se soucier des conséquences.
-Claire, écoute, je me suis aperçu que je t’appréciais beaucoup et j’aurais voulu te demander si tu voulais bien sortir avec moi ! C’est tout !
Je me figeai de stupeur, mon cœur me pinça subitement. Je le contemplai bouche bée tandis que Laura écarquillait les yeux, complétement abasourdie.
-Alors, ça c’est osé ! souffla mon amie. Bravo pour ton courage, lui déclara-t-elle avec un air admiratif.
Il ne dit mot et observa longuement ma réaction. Je me gonflai les joues sans savoir quoi répondre à cette demande si soudaine.
-Bon, moi je vous laisse ! reprit Laura. Je rentre chez moi ! Amusez-vous bien tous les deux !
Elle se pencha pour me faire la bise puis nous quitta en dessinant un dernier geste de la main. Je restai seule en compagnie de Florian.

Après une dizaine de minutes de marche durant lesquelles nous nous étions engagés dans une forêt aux chemins aménagés mais très peu fréquentée, il me reposa la question à laquelle je ne lui avais pas encore répondu :
-Alors, Claire ? Tu veux bien essayer de sortir avec moi ?
Je tournai le regard et observai son profil. Je ne le trouvais pas spécialement beau. Il avait les cheveux bouclés et désordonnés et une nappe de boutons d’acné sur le bas des joues. Il y avait des garçons bien plus séduisants.
-Ecoute, Florian, je ne sais pas trop… tentai-je de lui expliquer.
-Bon, c’est bon ! J’ai compris !
Je me tus aussitôt afin de ne pas le blesser davantage. Il s’arrêta de marcher. A la suite de quelques pas, je fis de même et me retournai dans sa direction. Il leva le regard et observa les sous-bois environnants. Je fronçai les sourcils.
-Tu sais Florian… Je te trouve gentil mais… expliquai-je alors.
-On a couché ensemble, quand même ! osa-t-il finalement me dire.
-Chuut, mais ne le dis pas si fort ! me plaignis-je.
-Ben oui, mais pourtant c’est la vérité ! Et maintenant, sans doute à cause de ça, je suis amoureux de toi ! Tu peux bien imaginer…
-Ecoute, je suis désolée.
Il souffla un long moment puis il se rapprocha de moi pour se placer juste en face.
-Je peux te demander d’y réfléchir encore, s’il te plait ? Donne-moi une réponse la semaine prochaine si tu veux ! Mais ne me dis pas ça comme ça !
J’humidifiai mes lèvres et plongeai mon regard azur dans ses yeux bruns.
-D’accord, je vais y penser mais je ne suis vraiment pas certaine de pouvoir satisfaire tes désirs.
-C’est déjà bien comme ça !
Je hochai la tête, convaincue que cette histoire ne mènerait surement à rien.
-Tu peux rester encore un peu avec moi ? Je voudrais te connaître un peu plus si tu es d’accord…
Je glissai ma main dans la poche avant de mon sac et en extirpai mon portable afin de juger de l’heure qu’il était. Il était 17 heures.
-Une heure alors, pas plus ! lui précisai-je en réponse à sa question.
Il hocha la tête en souriant. Confiant, il me prit alors la main et m’entraina avec lui pour poursuivre la promenade dans la forêt.

Dans un détour du chemin, à quelques pas dans les fourrées, nous découvrîmes une sorte de petite cabane aménagée parmi la végétation. Florian qui m’expliquait ce que représentaient ses loisirs, pointa subitement du doigt l’endroit qu’il venait d’apercevoir.
-Viens, Claire, on va voir la cabane, là !
-Quoi ? Pourquoi ? me plaignis-je.
-Ben pour s’asseoir un peu ! Tu n’es pas un peu fatiguée de marcher dans la poussière avec tes chaussures de ville ?
Je baissai le regard et contemplai mes chaussures à l’origine blanches et désormais toute brunes de terre. Je fis la moue.
-OK, me contentai-je de répondre sans aucune conviction.
Il m’entraina alors à sa suite dans les fourrées pour rejoindre l’endroit à l’écart ainsi désignée. Je zigzaguais entre les ronces et les orties tout en avançant, pestant contre mon ami qui venait de prendre cette décision particulièrement idiote.
-C’est bon, on est arrivé ! me dit-il au bout de deux minutes.
Je relevai le visage alors que je me trouvais encore en train de chercher mon chemin parmi les feuillages et détaillai l’endroit. Les constructeurs de la cabane, des s sans aucun doute, avaient pris le soin d’établir des murs à l’aide de branches aux longues feuilles, ce qui camouflait entièrement l’intérieur de la zone aménagée. Un passage avait été établi sur le côté, dissimulé par rapport au chemin par lequel nous étions venus. Florian s’engouffra parmi les feuillages pour finalement disparaître entièrement à ma vue. Il m’invita à le suivre de la voix.
Je me contorsionnai alors pour le suivre et ainsi le retrouver à l’intérieur. Durant mon court périple, je manquai de tomber mais me rattrapai de justesse à un arbre à proximité. Je passai finalement l’arche formé de branches.
Florian se tenait au centre d’une zone d’environ 2 mètres sur 2 mètres dont le sol était entièrement recouvert de feuilles et de mousse. Quelques planches avaient été clouées dans les arbres soutenant la bâtisse pour en faire des bancs. J’en comptai trois.
-Hé, c’est cool ici dedans, déclara Florian en s’asseyant rapidement en face de moi.
-C’est un jeu de gosse… soufflai-je.
-Oui mais c’est tranquille n’empêche !
Je le rejoignis sur la pointe des pieds et m’assis à ses côtes en posant mon sac contre l’arbre qui se situait à côté de moi.
-C’est sympa non ? me demanda-t-il.
-Ouais !
Je me recroquevillai sur moi-même et tournai la tête dans tous les sens pour admirer l’endroit.
-Au fait, Claire, je voulais te demander… C’est quoi tes relations avec Alexis ?
Je sursautai et baissai le regard.
-Il n’y en a pas vraiment ?
-Il m’a dit que tu étais sa copine de baise….
-Ah non, ne dis pas ça ! grondai-je.
-OK, excuse… Il se tût un moment puis reprit. Tu sais, je suis pas jaloux… reprit-il.
Je me tournai dans sa direction, les sourcils froncés afin de lui jeter un regard noir. Il haussa les épaules.
-Enfin, c’est pas grave… C’est juste que j’ai vraiment été heureux de te rencontrer la dernière fois et de faire ça avec toi… pour ma première fois…
-T’as encore envie en fait, c’est ça ?
-Quoi ? sursauta-t-il. Mais non…. Je….
Je me rapprochai alors de lui en glissant les fesses sur la planche en bois. Je levai ensuite ma main opposée à sa position et la plaçai sur le haut de son pantalon. Je crispai mes doigts pour goûter alors la forme de son sexe derrière son jean.
-Qu’est-ce que tu fais, Claire ? C’est vraiment pas mon genre, je te jure !
-Ce n’est pas parce que je ne veux pas sortir avec toi que je ne te trouve pas gentil, tu sais ?
Il se figea et baissa son regard sur ma main qui courait contre sa braguette.
-Si tu la sors, je veux bien te branler avec ma main, lui confiai-je alors.
Ce n’est pas que je me sentais particulièrement excitée mais je voulais le contenter. Il m’avait lui-même fait plaisir en me révélant ses sentiments flatteurs à mon égard.
-Tu… Tu es sûre ?
-Oui… Si je te le dis…
Il hésita en m’obervant longuement puis finit par craquer. Il leva les bras et les approcha lentement de sa ceinture. J’écartai ma main pour le laisser se découvrir. Il se déboutonna puis tira sa braguette vers le bas.
-Je suis désolé, Claire ! Je ne suis pas un garçon comme ça mais j’en ai vraiment envie.
-C’est pas grave… le rassurai-je.
Et il sortit son long pénis de son pantalon. Il était déjà en érection et son odeur intime d’homme remontait déjà à mes narines. Je regardai son sexe exhibé alors qu’il remontait son t-shirt pour bien le faire ressortir et le mettre à ma portée. Il me regarda, rouge de honte.
Je glissai alors mon bras sur lui et le saisit dans ma paume. Il frissonna de mon contact excitant. Il avait le sexe brûlant et bien dur. J’enroulai mes doigts autour et commençai alors à lentement le masturber, remuant ma main de haut en bas pour faire ressortir et rentrer son gland dans mon poing.
-Oh, Claire… Merci !
Il souffla un long moment puis se tût. En silence, il me regarda alors faire en écartant toujours plus ses jambes. Je posai ma joue contre son épaule, me rapprochant davantage de lui, et m’attelai à ma tâche. Dans la quiétude du sous-bois, si ce n’étaient le gazouillis des oiseaux et le bruit du vent dans les arbres, on ne pouvait entendre que la friction de mon poignet sur son jean et le clapotis de son prépuce avec lequel je jouais autour de son gland rose. Je le branlai lentement pour faire monter son excitation. Il me laissa faire une longue minute avant de me révéler son fantasme immédiat après avoir subitement gémit :
-Claire ! Je voudrais que tu écartes les jambes et que tu me montres ta culotte.
-Quoi ? lui demandai-je alors en délaissant de ma joue le support de son épaule.
-Je voudrais voir sous ta jupe, s’te plait !
J’hésitai un moment puis le lâchai. Je me reculai légèrement et finit par passer une jambe par-dessus le banc pour me placer en face de Florian. Les cuisses ainsi écartées, je soulevai ma jupe devant lui et la maintins d’une main sur mon ventre. Je le laissai alors contempler mon entrejambe couverte. Je portais une culotte bleue ciel avec un nœud papillon sur l’élastique. La forme de ma petite chatte se laissait deviner dans le repli central du sous-vêtement.
-Oh c’est trop beau… Je t’aime vraiment Claire !
-Non, s’il te plait… Pas maintenant…
-Désolé !
Il ne décrocha pas son regard de mon entrejambe. Je le laissai vaquer à son plaisir et contemplai son sexe droit comme un I. Il se mordit les lèvres puis finit par balbutier :
-Tu… Tu peux recommencer à … avec ta main ?
Au bout de quelques secondes, je m’avançai à nouveau. Ma jupe retomba tandis que je me penchai pour reprendre son sexe entre mes doigts. Je recommençai mon travail à un rythme plus soutenu pour essayer de le faire jouir rapidement. Il posa une main sur ma cuisse puis se mit à me caresser, excité comme jamais.
-Je peux ?
-Oui, pas de problème, lui répondis-je.
Il fit glisser sa main sur ma peau tendre en remontant toujours plus en direction de ma jupe, puis il la passa sur le côté pour s’enfoncer sous mon vêtement avant de venir palper le haut de ma fesse alors que je me trouvais assise à proximité de lui. Je le masturbai en jouant toujours plus de ma main sur son pénis et le laissai ainsi m’explorer du bout de ses doigts.
-Oh, c’est un rêve…
Je redressai le visage et le fixai en souriant. Ma main s’agitait de plus en plus vite sur sa braguette.
-Excuse-moi, mais j’ai envie que tu me suces, osa-t-il alors me révéler sous l’effet de son désir.
-Ah non !
-Pourquoi ?
-Non, écoute, non, je peux pas !
-Claire ? Pourquoi ? Alexis m’a raconté que tu lui faisais ça presque tous les samedis.
Je baissai le regard.
-Oui mais c’est que… je m’attendais à ce que…
-Ouais, tu voulais sortir avec…. C’est pour ça…
-…
Il enleva sa main de ma jambe et détourna le regard, visiblement vexé. Je ralentis ma masturbation puis le relâchai, troublée de sa réaction. De toutes façons, il ne faisait plus attention à mes gestes. Au-delà de son désir, je le sentis perdu dans ses sentiments. Je réfléchis en l’observant. Il avait le visage plutôt triste. Il me suscita subitement une tendresse que je ne pus absolument pas expliquer. Il me sembla alors très charmant, me rendant sur le coup compte qu’il ne profitait absolument pas de la situation. Sans me comprendre moi-même, je me glissai sur le banc et approchai mon visage du sien. Je l’embrassai tendrement sur la joue à trois reprises. Etonné, il pivota le visage et je posai mes lèvres sur les siennes pour lui délivrer un doux baiser.
-Excuse-moi, Florian, lui dis-je alors. Je vais le faire !
Il me contempla d’un air triste tandis que je reculai sur le banc avant de me relever. A la suite de quelques pas sur les feuilles mortes, je me plaçai devant lui et m’appuyant sur ses cuisses, me mit à genoux entre ses jambes. La végétation sous mes tibias me gratta et me piqua. Je tentai alors de trouver une situation confortable pour m’installer à ses pieds. Je finis par la trouver. Je lui souris, devinant qu’il comprenait à peine la situation puis remontai ma main le long de sa jambe pour lui attr pour la troisième fois sa verge tendue. Je crachai légèrement sur les doigts de mon autre main et vint ensuite l’apposer sur son gland pour le nettoyer. Puis sous son regard exprimant la gêne, je m’avançai et posai ma bouche sur lui. De la langue, je lui léchai le bout de son pénis avant de le glisser lentement entre mes lèvres. Je l’enfonçai puis me lovai autour afin de commencer ma tendre fellation. Je le sentis trembler à la fois de peur et d’excitation.
Il posa sa main sur le côté de ma tête et me caressa avec envie mes mèches dorés. Il ne savait plus quoi dire. C’est ainsi qu’ il demeura silencieux tandis que je m’attelais à sucer son sexe tendu. Contrairement à Alexis, il ne me força pas et me laissa, de ma langue, lui prodiguer son plaisir. Il était d’une douceur que j’aurais pu difficilement imaginer avec un autre garçon. C’est pourquoi je me concentrai davantage à ma tâche. Je m’occupais de son sexe comme j’aurais voulu m’occuper de lui.
Jouant de ma langue alors qu’il était enfoncé au plus profond de ma bouche, je salivai abondamment sur son sexe en érection. Je le tétai longuement en réalisant de lents va-et-vients pour attiser son excitation profonde. Dans la petite cabane aménagée de branches au fond des bois, j’étais en train de sucer un garçon que je commençai sérieusement à apprécier. Il se taisait et me laissait faire. Sa respiration devenait de plus en plus bruyante dans le silence du sous-bois.
Et avant même que je ne le sentes éclater dans ma bouche, je le lâchai et me remis debout face à lui. Il m’observa, plutôt déconcerté.
-Tu veux bien me faire quelque chose à moi aussi, Florian ?
-Tout… Tout ce que tu veux, Claire !
Je soulevai alors ma jupe des deux mains et attrapai l’élastique de ma petite culotte bleue avant de la baisser pour finalement la retirer devant lui. Je la plaçai dans la poche de ma jupe puis reculai de quelques pas.
-Pénètre-moi comme la dernière fois !
-Hein ? Tu es certaine ?
Je hochai la tête à plusieurs reprises avant d’avancer ma main pour le tirer par le bras. Il se leva et je le fis se rapprocher de moi, l’attirant au plus près de mon corps de jeune fille tandis que je m’installais assise sur le sol poussiéreux du sous-bois. Ma jupe couvrit mes fesses. Il me suivit et j’écartai mes cuisses tandis qu’il retombait à quatre pattes par-dessus moi.
-Vas-y Florian ! Baise-moi !
-Oh oui Claire !
Il tira en arrière son jean comme il le put malgré sa position et le fit ainsi descendre jusqu’à ses pieds. Il s’en débarrassa en se contorsionnant. J’en profitai pour m’allonger devant lui. Il retourna ensuite son attention à moi puis s’abaissa pour venir se placer entre mes cuisses. D’un geste, il souleva ma jupe, s’attardant un moment sur ma chatte légèrement ouverte et humide ainsi que sur ma toison blonde et bien entretenue puis attrapa son sexe pour se placer à mon entrée. Il posa son gland contre mes lèvres.
-T’es sûre ?
-Arrête de poser des questions et enfonce-toi !
Il joua des genoux sur le sol puis je le sentis me pénétrer gentiment et lentement. Je fermai aussitôt les yeux lorsque je sentis cette longue tige s’enfoncer dans mon vagin. Une fois bien à l’aise à l’intérieur, il finit par me prendre et il me baisa. Il gigota longuement du bassin entre mes jambes faisant frotter sous ses coups, les talons blancs de mes chaussures dans la terre. Après un certain moment, il finit par s’allonger entièrement sur moi. Son visage s’avança contre le mien, et il me délivra de tendres baisers sur les joues tout en me faisant l’amour contre le sol. Ses mains glissèrent contre mes flancs et il remonta sur ma poitrine en hésitant. Toujours bien fichée en moi, il s’arrêta puis se redressa légèrement.
-Euh… Je peux ?
Je baissai le regard pour le fixer, toujours emboitée avec lui et fronçai les sourcils.
-Quoi ?
-Ouvrir ta chemise ?
-Oui, vas-y !
Le regard pétillant, il déboutonna mon chemisier en me donnant quelques coups de hanches pour s’entretenir puis écarta avec délectation les deux pans de mon vêtement noir. Il exposa à son regard mon soutien-gorge de couleur bleu et assorti à la petite culotte que je portais un instant plus tôt. Les deux bonnets brodés comprimaient et serraient mes seins bien ronds. Il tira la langue de passion puis enfouit son visage dans le creux de ma poitrine, se saisissant au passage de mes deux seins rebondis dans ses paumes.
Il reprit ses mouvements de hanche et longuement, il gigota en moi. Je ressentais à la fois de la honte de devoir me trainer dans les bois pour me faire baiser, mais également de la passion de ce corps d’homme qui ne faisait aucun geste brusque. Il était doux et semblait passionné par mon corps. Il faisait ainsi coulisser son pénis le long de mes lèvres avec une certaine affection qui ne tarda pas à me faire trouver le plaisir. Il me prenait contre le sol dans un endroit o quiconque aurait pu nous surprendre. Je me plaisais de cette situation et de sa queue tendue qu’il se plaisait à faire jouer à l’intérieur de ma petite chatte.
Je finis par jouir en le serrant entre mes bras alors qu’il avait le visage toujours coincé dans le creux de mes bonnets de soutien-gorge. Je ne me retins pas pour me laisser aller à ma douce jouissance. Je sentis ma cyprine brulante s’écouler le long de sa queue jusqu’à ses testicules qu’il se plaisait à faire taper contre ma chatte à chaque fois qu’il s’enfonçait au plus profond de moi.
Enfin, je le sentis trembler. Je le savais venir. Il recula brusquement, quittant mon étreinte et s’extirpa de mon sexe ouvert. Il se remit à genoux entre mes cuisses. Je le regardai étonnée lorsqu’il attrapa rapidement sa verge. Face à moi, cul nu, il se mit à se branler à un rythme effréné. Et dans un long râle de plaisir, je le vis éjaculer.
-Oh, Claire ! Oh Claire ! Oh, ça fait du bien !
Les premières gouttes de son sperme volèrent et comme j’avais la jupe toujours relevée sur mon ventre, vinrent s’écraser sur mes cuisses non loin de ma chatte dégoulinante. Il me souilla d’une autre giclée puis se répandit entre mes cuisses, directement au sol, sur les feuilles mortes. Il se laissa écouler en pompant de sa paume sa verge tendue. Les longs filaments gluants de sa semence qui ne cessait de sortir s’écrasèrent en une flaque blanche gluante dans le sous-bois.
Je me redressai alors qu’il était en train de se tarir puis l’observai, la chatte toujours ouverte et les cuisses écartées. Il termina puis relâcha son long organe.
-Pourquoi t’es sorti ? lui demandais-je alors.
-J’avais pas de préservatif ! Je voulais pas un accident !
Je lui souris, heureux de le sentir si responsable. Il me rendit mon sourire puis se leva. Son pénis commençait lentement à se recroqueviller entre ses jambes. Il rechercha son pantalon du regard puis se retourna. Je me redressai aussitôt, délaissant son sperme en une tâche sur le sol, puis courut jusqu’à lui. Je me collai à son dos, passait une main devant pour lui caresser une dernière fois son sexe gluant. Je me souillai les doigts de quelques gouttes de son sperme, puis lui décochai un baiser dans le cou.
Il tourna la tête, surpris, et fronça les sourcils.
-Claire ? Ça veut dire quoi ce bisou ?
-Je pense que tu as bien compris…
Il sourit alors, heureux comme jamais.