El Mexicano

Une expérience dans un pays « caliente » comme le Mexique s’accompagne ment d’une histoire un peu plus salace avec un mexicain chaud comme la braise, surnommé au début le « marteau-piqueur ». Oui, car il n’avait strictement aucun tact. Il était comme on dit brute de décoffrage. Après m’avoir dragué pendant des mois, il finit par venir chez moi, à peine entrer il m’empoigne par les cheveux, me plaque contre le mur et m’embrasse à pleine bouche. Ma coloc part direct dans sa chambre, elle sent que ce soir, la nuit va être longue et préfère nous laisser seuls… Moi, je suis comme tétanisée… jamais un premier baiser n’avait été aussi torride, je n’avais jamais ressentie un tel désir chez un homme, je me sentais dépossédée, déboussolée et en même temps, je crois que tout mon corps me criait « ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, enfin !!!!!!!!!!!!!! ». En deux temps trois mouvements, on s’est retrouvé dans ma chambre. Il m’a jeté sur le lit, m’a littéralement arraché tous mes vêtements, sous-vêtements y compris, cet homme ce n’était pas un homme, c’était un animal, une bête sauvage affamé qui voulait dévorer sa proie. À peine, voulus-je me relever pour le déshabiller que d’un geste il me repoussa, enleva ses vêtements ce qui me laissa quelques secondes pour observer cet homme, de petite taille, mais au corps athlétique, couleur chocolat, j’avais envie de le dévorer, de sentir sa peau, d’enfoncer mes ongles dans sa peau brulante mais pour l’instant j’étais à sa merci. Il me dévora entièrement, un coup de langue rapide sur ma chatte déjà toute excitée, puis il m’attrapa les hanches, vint les plaquer contre les siennes pour que je m’empale sur son sexe proéminent dont la grandeur n’était pas si impressionnante mais dont la grosseur allait laisser des traces… il commença alors ses va et vient, ne me laissant profiter de rien, il me tenait par les épaules et me baisait, il me pilonnait la chatte, sa bite me frappait avec une telle violence, ces coups de burin étaient forts et rapide.

Il fallait que je trouve une solution car je ne tiendrais pas longtemps sous l’assaut de sa violence. Je me redressais donc vivement, l’agrippant par le cou pour le retourner et mon tour le plaquer sur le lit. Sans réfléchir, je vins directement engloutir sa verge pour laisser un instant de repos à ma chatte en feu… Vous pensez bien que même ainsi, il ne me laissa pas le contrôle de la situation … il tenait fermement mes cheveux et faisait ce qu’il voulait de moi. J’arrêtais de lutter, je n’avais plus de force et puis les heures passaient, nous étions en sueur et rien à faire, pas d’orgasmes ni d’un côté ni de l’autre. Nous avons passé toutes les positions possibles et inimaginables, j’ai crié, on est tombé du lit, c’était une partie de jambes en l’air inoubliable, les orgasmes n’étaient pas physiques mais intellectuels car c’était comme un marathon du sexe, il lui en fallait toujours plus. Vers 7h du matin, je lui ai dit que j’avais besoin de dormir au moins une heure avant d’aller travailler. Il a accepté mais 10 minutes avant que le réveil sonne, il m’a remis sa grosse queue dans la chatte pour me baiser de nouveau. Ce matin-là, en partant travailler, je ne savais plus trop quoi penser mais j’étais heureuse, j’avais trouvé un mec aussi déjanté que moi et je sentais qu’avec un peu plus de confiance, j’allais devenir sa pute et que les choses allaient commencés à être très intéressantes…
Quelques semaines plus tard, je le retrouve chez lui, dans le sud de la basse-californie… il fait une de ces chaleurs…Mon bel étalon m’attend et ce soir-là, on décide de sortir car ma coloc est aussi venue avec son allemand et un pote allemand à lui… Dans la soirée, on s’arrange volontairement pour les perdre. Je suis chaude bouillante, avec toute cette tequila et les baisers fougueux de mon mexicain, j’ai qu’une envie, c’est de me faire sauter comme une salope. Il lui en faut pas beaucoup pour qu’on quitte le bar, on se retrouve à rentrer à pied mais le désir est trop fort, du coup, il me plaque contre un mur dans la rue et commence à me mettre des doigts tout en m’embrassant.
L’alcool aidant, je sens un orgasme monté, je n’en peux plus, j’ai envie qu’il me mette sa grosse queue dans la chatte. Alors sans plus attendre, je glisse ma main dans son pantalon et commence à le branler. Je sors un peu sa queue, et me penche pour le sucer. Je sens qu’il n’a qu’une envie me pénétrer et c’est là qu’il me dit : « te quiero coger en medio de la calle puta » (je veux te baiser en plein milieu de la rue sale pute). Ni une ni deux on se retrouve ne plein milieu de la rue moi le cul à l’air et lui en train de me défoncer la chatte, c’est plaisant et putain, très excitant… mais j’ai envie de plus, on rentre tant bien que même en faisant des pauses coups de bite ici et là. Dans les escaliers qui mènent à son appart, j’ai envie de le baiser et je lui dis, il s’assoit alors sur une marche et me dis : « soy tuyo, hazme lo que quieras » (je suis à toi, fais ce que tu veux de moi) je m’empale sur lui sans hésiter, et je commence à le baiser, autant dire que j’atteins l’orgasme en un temps records …on finit par arriver à sa porte lorsqu’on entend le trio crié et ohhhh on est là, ouvrez-nous… mais rien à foutre, ce soir, j’ai une envie insatiable de sexe et je ne compte pas me priver… de toute façon, ils sont saouls, on les laisse rentrer, et avec mon mexicain, on se pose sur la terrasse le temps qu’ils s’endorment… je suis assise sur le banc, quand mon mexicain écarte mes jambes et commence un délicieux cunni … en levant la tête, je vois les étoiles et la lune, et quand je la baisse je vois mon bel étalon s’acharner à me faire jouir comme une salope, que demander de plus ?! Je sens que bientôt, je vais tremper toute la terrasse, en effet, quelques secondes plus tard, je me vide complètement sur le sol, la femme fontaine que je suis fait une énorme flaque, et je lis l’air satisfait de mon mexicain. Je reste la chatte dans le vide, trempée, la robe remontée, les seins offerts qui sortent de ma robe. À présent, je suis là devant lui, me remettant à peine de mes émotions mais avec une folle envie de sperme… Je dis à mon Rocco que j’ai envie qu’il se vide les couilles sur moi… Pour l’exciter, je commence à me caresser la chatte des deux mains, écartant mes lèvres et tirant sur mon clitoris.
Mes bras plaqués sur mon corps font bomber ma poitrine. Il s’approche de ma bouche m’offrant son sexe à lécher. Je commence à lui lécher les couilles, je les gobe puis je remonte sa verge. Je crache sur le membre dressé de mon mâle dominant, il m’att les cheveux pour me baiser la gorge. Et il commente… « alors t’aimes ça ? t’es ma chienne hein, tu kiffes salope ? » Ma salive monte de nouveau et ma vue se trouble par les larmes qui envahissent mes yeux mes yeux.
J’ai de nouveau un orgasme et au même moment, ma bouche se remplit de sa semence. Il vient d’éjaculer de gros jets de sperme dans ma bouche, le dernier ayant dérapé légèrement sur ma joue. Il a lâché mes cheveux et en ouvrant les yeux il se recule pour admire. Je suis toute tremblante et surexcitée, j’ai la bouche remplie de sperme et je suis toute à lui. J’avale goulument ce sperme qui a un goût exquis. De son doigt expert, il essuie la coulée de sperme qui perle sur ma joue et me le donne à sucer. Il me tend la main, pour que je me lève, me fait traverser la terrasse, entré dans l’appart, tout le monde semble dormir à part ma coloc et l’allemand en train de baiser sous la couette. On s’installe dans le lit à côté, évidement ça m’excite d’entendre ma coloc se faire baiser. Et mon mexicain le voit bien, il le sent lui aussi. J’enlève ma robe, le déshabille complètement. Il me jette sur le lit en me disant : « je vais te faire jouir comme jamais ! » J’en peux plus, je suis littéralement sous le charme. Je me laisse complétement allée, il me dévore le corps, son désir augmente le mien, je sens sa fougue, sa chaleur, ses mains expertes qui viennent me caresser sa bouche, sa langue qui s’attarde un peu partout, dans mon cou, son souffle, je suis telle une cocotte-minute prête à exploser d’un instant à l’autre. Il commence à me doigter, son bras donne la cadence, il accélère et là, je trempe littéralement le lit, la cyprine sort de ma chatte à grosse giclée, impossible de s’arrêter et il continue, le salaud il aime ça, mes cris l’excitent et font qu’il redouble de fougue.
Je jouis encore et encore, j’ai l’impression de me vider littéralement, et j’ai envie de sentir sa grosse queue de nouveau en moi, je décide donc de le baiser. Il est sur le dos, je m’empale sur sa bite et commencer à bouger le bassin, faire des va et vient, à jouer avec sa queue en moi, je suis tellement mouillée, et je fais entrer sa queue dans mon cul, je pense qu’il ne sent même pas la différence entre ma chatte et mon anus tellement il y a de l’eau partout… Il me dit qu’il adore ça, que je suis sa chienne, sa pute et j’adore ça, ça m’excite encore plus et ça là, que je sens un autre orgasme venir, je coule sur sa bite je l’arrose, je lui en mets partout, ça glisse tellement que je dois contracter mes muscles pelviens pour garder le contact avec sa bite de peur qu’elle ne m’échappe. Je suis au paradis, ça continue encore un bon moment, j’ai de nouveau un orgasme phénoménal et cette fois, je me sens remplis de son foutre chaud, quel régal, je me retire, lèche sa verge, je veux sentir tout ça dans ma bouche, c’est trop bon. Puis je remonte vers lui, je l’embrasse passionnément, et pour la première fois de ma vie, je lui dis : « te amo » puis « je t’aime ». Le septième ciel existe et je l’ai atteint avec lui, il me dit lui aussi qu’il m’aime et qu’il veut m’entendre répéter ces mots au réveil, je m’endors blottie contre lui, dans les bras de mon macho mexicain qui m’a fait me sentir la femme la plus désirée et la plus satisfaite du monde. Je ne lui serais jamais assez reconnaissante pour cette nuit de folie, j’espère qu’il y en aura encore bien d’autres car une chose est sûre, celui-là, je ne vais pas le laisser s’enfuir…

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