La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 377)
Suite de l'épisode précédent N°376 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
Les deux Dominants rigolent encore tous les deux pendant quelques instants avant de fixer du regard la belle et intimidée « réka » qui sest aussi décoincée un peu, car tout en ayant la tête baissée, elle sourit également mais timidement devant lhumour de son Maître. Elle aurait pu se sentir vexée de ce que Maitre MC2 dévoilait de ses difficultés dexpression, mais comme elle est dans une phase de progression significative, ne prononçant presque plus jamais de « euh » avant de sexprimer, elle reste optimiste quant à sa « guérison » complète, ressentant une infinie gratitude envers celui qui la aidé à se débarrasser de cette mauvaise manie. Cependant, elle sen veut un peu de navoir pu ce soir articuler le moindre mot et juste sortir ces deux « sons » lorsque le Marquis dEvans la interrogée. Et puis, au fond delle, elle se sent presque flattée du nom choisi par Maître MC2 pour elle, en relation avec ce premier jour où elle la reconnu et accepté comme Maître, franchissant de ce fait ce qui lui est apparu comme un vrai premier pas dans le monde de sa soumission, même si elle sait que cela ne lui donne pas encore le titre de soumise qui vient en pendant de celui de Maître. Elle repense également à tous les propos que les deux Dominants ont échangés quelques instants plus tôt et se déride de plus en plus, comprenant quelle sest fait peur pour pas grand-chose. Mais il est vrai que tous ces coups de fouets et de cravache quelle entendait siffler dans tous les coins, toutes ces personnes attachées, contraintes, ligotées, bâillonnées, malmenées, cravachées, fouettées, godées, enculées, cela avait fini par faire trop pour elle dun seul coup, même si Maître MC2 avait essayé de lui expliquer avant ce quelle serait amené à voir au cours dune nuitée orgiaque D/s et quil ne lui imposerait rien à elle pour cette première soirée D/s où elle ne serait que spectatrice néophyte, sauf si cétait elle qui lui demandait expressément dessayer quelque chose qui la tenterait.
Le Marquis dEvans, qui a lil très aiguisé depuis fort longtemps, saperçoit que « réka » commence à lever la tête et quelle regarde fixement lesclave N°1, qui est toujours solidement attachée sur la croix de Saint-André et qui semble si apaisée et souriante même si elle garde la tête inclinée et le regard dirigé vers le bas, dans une parfaite attitude de soumission. La chienne-femelle ne bouge pas, patiente, elle attend de subir ce qui sera exigée delle quelle ignore, car Maître MC2 na rien précisé lorsquil lui a demandé de venir sinstaller sur les marches-pieds sur lesquels elle repose qui se trouve au bas des deux bras inférieurs de la croix qui est au centre de la roue. Elle a des liens en cuir réglables aux poignets qui la fixent écartelées sur les deux bras supérieurs du X et chaque main enserre deux petits morceaux de bois sur lesquels elle pourrait si besoin sagripper, voir sappuyer en position tête en bas, mais en réalité lesclave est solidement arrimée par de nombreuses sangles qui la relient à chaque partie de la croix tout le long du corps, sans parler des taquets qui permettent de la caler pour éviter que le corps ne puisse glisser lorsque la roue sera mise en mouvement.
« réka » examine attentivement léquipement qui lui avait fait si peur lorsquelle sétait approchée à la suite de Maître MC2, prenant conscience peu à peu quévidemment toutes les précautions ont été prises pour éviter que lesclave puisse être blessée en tournant, et en tout état de cause quelle puisse tomber et se fracasser quelque chose. Elle se rappelle que pendant tout le temps du festin, elle avait souvent fermé les yeux pour ne pas voir ce qui se passait, dès fois quun incident se produise, un peu comme le font les s et les personnes sensibles au cirque lorsquils commencent à avoir peur devant un numéro particulièrement périlleux dacrobates, de funambules ou de trapézistes. Lorsquelle avait aperçu une soumise attachée au milieu de la roue doù partait des gerbes de feu pétillantes, elle avait pensé à fuir en se disant que tous dans la salle devait être devenus « fous » davoir envie dassister au spectacle dune malheureuse qui allait sûrement être « brûlée » gravement au milieu des flammèches.
- « réka », puisque cest le nom que ta donné le Maître que tu as reconnu comme tel et pour qui tu désires devenir sa soumise, laisse-moi texpliquer certaines choses sur notre monde D/s et nos pratiques. Je pense que Maître MC2 a déjà dû ten parler et que son discours ne changera guère du mien, mais il est bon parfois de lentendre de la voix même dune autre personne pour que cela prenne plus de poids et de réalité, même si tu devras apprendre avec le temps à faire confiance avant tout à Celui qui est là pour te Dominer certes, mais pour te guider et te protéger avant tout. Bien sûr, dans la réalité, beaucoup de personnes sabrogent des faux-titres de dominants quils ne sont pas, et de ceux-là il faut surtout sen méfier et ne pas se remettre en leurs mains aveuglément car ils ne cherchent souvent que des proies à casser et à utiliser sexuellement ou sadiquement. Mais toutes les personnes qui sont réunies en ce lieu ce soir sont adeptes de ce que jappelle la saine Domination/soumission, ce qui nexcluent pas des pratiques plus ou moins intenses et hard en fonction des désirs, attentes et capacités de chaque tandem.
Le Châtelain reprend son souffle, lève la main quIL avait gardée posé sur la tête de « réka » et latt sous le coude pour laider et linciter à se relever.
- « réka », regarde autour de toi, crois-tu quil y a quelque part quelquun de vraiment « martyrisé » qui aurait envie de senfuir en courant. La plupart de Mes esclaves et soumis que tu vois dans cette pièce, pour ne parler que de ceux sur lesquels jai toute autorité et toutes capacités de mexprimer, sont entrainés à supporter la douleur qui peut découler de diverses pratiques D/s. Certains sont par nature masochistes, et ils la sollicitent même pour y trouver du plaisir, parfois même ils la réclament un peu trop à mon goût oubliant quils sont à Mon service pour Mon bon plaisir avant tout dans des relations D/s dabnégation et de dévotion, et non pour amasser quantité de punitions pour céder à leur petits plaisirs masos si jouissifs. Dautres ne sont pas masochistes, et ils trouvent du plaisir et de lexcitation dans le bonheur quils ressentent de satisfaire à toutes Mes exigences et de subir par dévotion et abnégation ce qui leur est imposé par Moi ou par ceux entre les mains de qui je les remets. La résistance à la douleur vient avec le temps avec une part daccoutumance et la disparition de lappréhension. De plus, les endorphines produites par le corps lors de plus vives pratiques D/s, cinglantes, chauffantes, contraignantes, sont de même nature que les hormones libérées par le plaisir radieux du désir charnel orgasmique. Dailleurs, tu dois entendre que les gémissements des soumis et soumises se transforment très vite une fois la première douleur passée et surmontée pour faire place à une vraie douceur excitante, et tu ne peux quadmettre que ce que tu entends correspond bien plus à de vrais râles de plaisirs jouissifs, surtout lorsquils sont accordés par Le Maître.
Le Marquis dEvans sapproche de la roue et de la croix de Saint-André sur laquelle, lesclave N°1 attend toujours patiemment. IL entraine à sa suite en la tenant par la main la soumise en devenir.
- Naie pas peur, « réka », je pense que Maître MC2 na pas envie de te faire tester aujourdhui cet appareil qui peut te paraître comme venant dune autre époque plus moyenâgeuse et encore « barbare ». Il y a un temps pour chaque chose et il faut progresser chacun à son allure. Mais je suis persuadée que ma chienne-femelle est sûrement déjà très excitée depuis quelle est écartelée sur cette croix en X, sans savoir ce qui va lui arriver, et avec des sensations dautant plus exacerbées que justement elle ignore tout de ce qui va lui être imposée. Je pense même que, du simple fait de mavoir entendu approcher, elle mouille énormément.
Le Châtelain savance près de lesclave-femelle N°1, tend le bras vers la chatte glabre quIL att à pleine mains, serrant fortement le pubis épilé qui est peint en doré pour bien marquer Son emprise et Son pouvoir avant de glisser Sa main largement entre les lèvres vaginales onctueuses de la chienne dont la respiration saccélère et qui a bien du mal à retenir de vrais soupirs de plaisirs.
- Chutt
Chutt
. Maître MC2 entre les mains de qui tu as été remise pour la soirée ne ta pas autorisée à ronronner, que je sache, même si je sens ici une chatte qui a lair de bien apprécier une simple caresse du Maître Vénéré.
Le Noble se retourne vers « réka » en lui montrant la main très poisseuse quIL vient de sortir de lintimité de Son esclave.
- Veux-tu que je demande à Mon esclave, Ma propriété, si elle désire à cet instant que Maître MC2 ou moi-même la détachions pour lui rendre sa liberté parce quelle craindrait quelque chose.
- Monsieur le Marquis dEvans, Il est clair que vous navez pas besoin de poser la moindre question. Je Vous demande Pardon, mais il ne faut pas men vouloir. Moi aussi, je sens bien que mon bas-ventre est tout excité depuis mon arrivée dans ce lieu où règne une ambiance si envoûtante. Pour autant je suis troublée, intriguée et apeurée en même temps. Je ne comprends plus ce qui marrive et je me sens dépassée, ne contrôlant plus grand-chose dans mon esprit et dans mon corps. Je ne pensais pas voir autant de choses se dérouler en vrai, je suis encore naïve et fleur bleue, je ladmets sans détours, mais jai envie dapprendre avec du temps quand je me sentirai plus en confiance.
Le Marquis dEvans se retourne vers Son esclave N°1 et lui fourre carrément les doigts profondément dans la gorge, montrant encore là lemprise sur celle qui lui est entièrement dévouée et là pour accepter le moindre de Ses désirs de Maître.
- Lèche femelle ta mouille qui coule. Lave bien la cyprine qui a recouvert mes doigts, car je ne tiens pas à terminer la soirée avec une main droite poisseuse qui laisserait des tâches sur tout ce que je toucherai, surtout que si Maître MC2 me le permettait, jai de plus en plus envie de mettre cette roue en mouvement et de mexercer un peu le poignet avec un bon martinet sur un corps aussi magnifiquement offert qui ne demande quà être chauffé un peu pour devenir encore plus humide, même si tu dois pour cela finir par goutter sur le sol, quil te faudra par la suite lécher et nettoyer.
- Monsieur le Marquis dEvans, je serai bien malvenu de Vous refuser quoique ce soit en cette soirée anniversaire. Cette esclave est Vôtre avant tout, même si je sais que jen ai le plein usage pour tous mes désirs et fantasmes pour la soirée. Par contre, je nai pas Votre dextérité pour me hasarder à tester cet appareil en mouvement. Je serai fort aise de Vous voir à louvrage. Je vais vous regarder faire avec curiosité et excitation, ce qui me laissera aussi de la disponibilité pour moccuper avec ma petite « réka » qui semble enfin décider à séveiller un peu plus, et je crois bien que je vais en profiter pour la dérider complètement pendant le spectacle que Vous allez nous offrir.
Le Marquis dEvans att un martinet à lanières souples et courtes sur une des consoles et IL commence à le faire tourner lentement sapprochant au plus près du corps dénudé et offert de lesclave, la frôlant juste du bout des lanières pour commencer à exciter le corps qui se tend vers les sensations encore douces, surtout lorsque le Châtelain promène les lanières sur la peau frissonnante de la chienne, le long des jambes et des bras, faisant le tour des deux seins fermes et pointus en sattardant sur les tétons durs, descendant sur le ventre qui se raidit et se rentre à chaque respiration profonde pour ensuite se gonfler et se tendre. Le Châtelain prend plaisir à sentir le corps réceptif de sa chienne-esclave dont IL caresse maintenant lentrecuisse avec volupté, appréciant de voir quelle respire de plus en plus fort dexcitation et de désirs en espérant une suite plus chauffante à laquelle elle aspire et soffre entièrement, sous les yeux ébahis de « réka » étonnée de voir tant de sensualité et de désirs sexprimer à travers ce quelle imaginait comme un acte beaucoup plus emprunt de douleurs imposées par fantasme pervers, voire à tendance sadique. La soumise en devenir ne quitte pas des yeux le visage de lesclave N°1 qui sillumine de plus en plus, même si celle-ci garde toujours le regard baissé devant le Maître qui joue allègrement de son corps et de ses vibrations.
Pendant ce temps là, Maître MC2 qui espérait bien en emmenant sa nouvelle recrue à cette soirée pouvoir lui faire comprendre de visu ce qui sexplique plus mal avec des mots, lenserre dans ses bras, venant se coller contre son dos. La bosse que forme son pantalon est si grosse quelle ne peut que la sentir poindre sur son arrière-train et imaginer le désir phallique de mâle de celui entre les mains de qui elle sest remise. Le Dominant caresse sa soumise en devenir à pleine mains, suivant presque les gestes du Châtelain qui, quant à lui se sert des lanières du martinet pour exciter Sa femelle en croix, comme si Maître MC2 voulait mettre sa « réka » en symbiose avec le spectacle dont elle ne perd pas une miette, laissant ses deux larges mains dhomme glisser sur le ventre, les bras, la poitrine et lentrecuisse de celle qui se laisse faire, ayant laissé tomber sa tête dans le creux de lépaule de Maître MC2 en sabandonnant enfin avec plus de sérénité et moins de pudeur pour laisser exprimer sa sensualité. « réka » qui navait pas encore lhabitude de sexhiber nue en public, porte toujours sur elle une petite robe noire translucide, qui sans masquer totalement son corps laisse apercevoir par transparence sa poitrine légèrement bombée, qui na nul besoin de soutien-gorge. Sous leffet des caresses, tandis que Maître MC2 malaxe avec plus de fermeté les deux petits monts pointus et fermes, la jeune soumise en devenir sent ses deux mamelons devenir de plus en plus sensibles et elle commence à imaginer le plaisir plus intense quelle pourrait ressentir si elle arrivait à surmonter sa peur, dautant plus rassurée quelle voit le visage radieux de lesclave qui halète de plus en plus fort depuis que le Châtelain a repris un maniement plus ondulant et rapide du martinet.
Le martinet pleut de plus en plus, rythmés ou aléatoires, caressants et chauffants sur la poitrine, le ventre, les jambes, le bas ventre et lentrecuisse de lesclave dont la peau prend une légère teinte rouge. Aucune partie du corps nest épargnée sauf au niveau du cou et du visage, mais la dextérité de maniement de linstrument par le Noble est dune telle assurance que les coups sont mesurés en intensité pour quaucun ne soit blessants et quils soient tous excitants. Alors que le corps de lesclave-femelle se trouve bien échauffé, le Marquis dEvans sapproche de la roue quIL met en mouvement dans une rotation qui va saccélérant, pour reprendre ensuite sa distribution de coups de martinet, ciblés juste sur le centre de la croix au niveau de la poitrine, du ventre, et du bas-ventre, pour éviter de toucher les extrémités et en particulier tout ce qui est à hauteur de la tête en rotation. En fait de « coups », il sagit presque plus de caresses des lanières légèrement appuyées qui sont là pour maintenir lexcitation à son niveau maximum jusquà ce que le Marquis dEvans nautorise Sa chienne-femelle à se lâcher et à crier sa jouissance. Sagissant dune femme-fontaine, ses longs jets sortent de manière saccadés en même temps que ses râles de plaisirs, mais du fait de la rotation de la croix sur laquelle elle est toujours attachée, cest une vraie gerbe deau qui gicle dans tous les sens. Monsieur le Marquis dEvans, après un certain temps dun long orgasme jouissif entretenus par des caresses de martinet ciblés sur lentrecuisse et le bas-ventre, arrête la rotation de la roue et remet son esclave N°1 en position normale verticale, tandis quelle est encore prises de longs soubresauts et de spasmes convulsifs. Maître MC2 est resté pendant tout le spectacle ébahi tenant sa soumise en devenir dans ses bras de plus en plus voluptueusement, ayant fini par lui enlever peu à peu sa robe quil a fait glisser à ses pieds, promenant sa main dans la petite culotte de celle qui déjà excitée na pas pu que se laisser faire et qui sest même empressée de glisser ses mains dans le dos à la recherche dune braguette à ouvrir et dun bâton de joie à faire sortir de sa cachette bombée. Elle caresse à pleine mains le pénis bien gonflé qui darde entre leur deux corps enlacés.
- Très Cher Marquis, cest un spectacle de très grande qualité que Vous nous avez offert. Je ne peux que Vous en remercier vivement, de cela et de tout le reste aussi, car Vos soirées sont toujours subliment D/s. Votre soumise et sa gerbe-fontaine fut un régal pour les yeux. Mais je pense que cette esclave a bien mérité maintenant de pouvoir reprendre ses esprits et je Vous propose de la détacher si Vous ny voyez pas dinconvénient.
- Cest vous qui décidez, mon esclave est à votre service pour toute la soirée. Comme il me semble avec plaisir et une joie non dissimulée que vous me semblez légèrement occupé pour lheure à des sensations plus phalliques, je vous propose de demander à lune de mes soubrettes de soccuper de descendre Ma femelle N°1 de la croix, car malheureusement, je vais devoir vous laisser à vos plaisirs à partager avec votre petite « réka » qui me semble bien partie et beaucoup moins tremblante et recroquevillée que tantôt. Jai encore tant de Maîtres et Maîtresses que je voudrais pouvoir saluer avant la fin de la nuitée orgiaque.
Le Marquis dEvans fait signe à la soubrette la plus proche et lui demande de veiller à détacher sa femelle N°1 avec précaution, de lui permettre de sétendre sur le sol. IL lui intime également lordre de la nettoyer en se servant de sa langue et aussi de veiller à lécher toutes les traces de cyprine et déjaculat qui ont giclées sur léquipement D/s recouvert de cuir noir, pour éviter que les tâches ne provoquent des auréoles permanentes. Le Châtelain, fort satisfait de cet intermède plaisant et giclant, séloigne aussi sec, laissant Maître MC2 et « réka » qui, tels deux amants qui ne soucient plus du reste du monde qui les entoure, sembrassent avant de sallonger à terre pour saccoupler avec volupté.
(A suivre
)
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