L'Odyssée De La Belle Hélène (Épisode 16) -
L'Odyssée de La Belle Hélène : Hélène et Ses esclaves
Hélène disposait désormais de deux esclaves, deux beaux spécimens... l'une femelle, sa douce et docile Clytia dont Elle avait fait raser le crâne afin de la punir d'avoir accepté en son absence d'être la favorite de Ménélas, roi de Sparte... Et désormais, un beau mâle à la fine musculature et à la peau tannée par le soleil, ce berger aimé du Dieu Morphée qui profitait de ses nuits pour venir partager sa couche à son insu
Se retournant sur la selle de sa jument, Hélène contemplait ce charmant duo qui la suivait, les poignets entravés, menés par une corde servant de licol et reliée à la monture de leur Maîtresse. Hélène les regardait marcher à Sa suite, leur totale nudité renforçant le contraste de leurs peaux toutes proches l'une de l'autre; d'un brun mat pour l'un et d'une pâleur diaphane pour Clytia dont les seins lourds se balançaient doucement au rythme de la marche soutenue que La Maîtresse prenait plaisir à leur imposer, non par nécessité mais pour le plaisir simple d'imposer Sa volonté à ces deux créatures qui Lui appartenaient désormais, corps et âme...
Parti au petit matin des pentes escarpées où Endymion avait son campement et son troupeau de moutons désormais abandonnés, le trio marchait depuis déjà quelques heures. Hélène guettait les pas de ses esclaves, ne voulant pas les pousser à bout, surtout sa bien-aimée femelle dont elle savait le dévouement absolu mais qui voici encore quelques semaines, n'était qu'une jeune aristocrate insouciante, livrée aux plaisirs de son souverain, qui n'avait jamais quitté la Cité. Certes les dernières semaines, la soumission, l'esclavage, l'humiliation d'avoir été rasée et marquée, avaient transformé la jeune femme qui n'avait à aucun moment fait preuve de la moindre réticence, quoique Hélène décide et lui impose. Clytia éprouvait une profonde vénération pour Hélène, c'est pour cela qu'elle avait renoncé à tout, jusqu'à la plus infime marque de dignité, pour appartenir totalement à Celle dont elle n'avait jamais pensé qu'elle pourrait rivaliser avec Elle, que ce fut dans la couche de Ménélas ou dans la science des Plaisirs auprès des femmes et des hommes.
Le soleil parvenant à son zénith, Hélène stoppa la jument et fit signe aux esclaves de la rejoindre. Habituée, Clytia s'agenouilla immédiatement au bas de la monture, offrant ainsi un marchepied humain à Hélène pour faciliter sa descente... Se penchant sur la jeune femme agenouillée, Hélène libéra ses poignets entravés, puis ceux d'Endymion, avant d'aller s'installer à l'ombre d'un arbre, pendant que les esclaves attachaient la monture. Puis, tandis quEndymion se chargeait de panser la jument, Clytia préparait une collation pour sa Maîtresse et venait la Lui apporter avant de se prosterner à proximité, prête à se précipiter afin de satisfaire toutes Ses exigences. Hélène savourait son en-cas composé de fruits secs, de fromage frais confisqué au berger, d'un peu de pain et d'olives. Tout en grignotant pensivement, elle contemplait le corps d'Endymion. Les muscles jouant sous la peau, les gestes précis et calmes de l'ancien berger, la souplesse dans chacun de ses gestes. Ce jeune homme est beau, se dit-elle, comprenant qu'il ait pu séduire Morphée, ce Dieu tellement attiré par les mortels, jeunes et beaux. Hélène sourit en pensant quEndymion ignorait totalement que chaque nuit, dans son sommeil, il devenait l'amant de Morphée et partageait avec le Dieu caresses et délices sexuels...
Puis Hélène porta son regard sur Clytia prosternée tout près. La jeune femme offrait une magnifique vision, son corps d'une noble pâleur offrant l'harmonie délicieuse de formes idéales. Hélène jeta un noyau d'olive sur elle... puis un autre... Clytia, docile, ne bougeait pas, servant ainsi de cible au jeu de La Maîtresse.
- Approche ! ordonna d'une voix calme Hélène.
Et Clytia vint à Elle, à quatre pattes, s'immobilisant juste à la hauteur des pieds de sa Maîtresse.
- Lèche, maintenant, poursuivit Hélène en tendant un pied poussiéreux.
Et Clytia commença à lécher lentement et avec application les orteils, le pied dHélène.
Hélène qui se cambrait lentement, dont le corps se tendait tandis qu'elle poursuivait, en se mordant la lèvre, cette caresse si impudique, ne se souciant pas le moins du monde du regard de ses deux esclaves. Endymion n'avait jamais vu une femme (et de plus est, la femme plus belle du monde) se masturbant ainsi.
- Viens ! ordonna-t-Elle d'une voix grave à l'esclave.
Clytia vint de suite à elle et plongea son visage entre ses cuisses, léchant maintenant ce sexe gorgé de désir que lui offrait La Belle Hélène... Rien n'était plus délicieux pour Clytia que de s'abreuver à la source même de Celle qui incarnait tout ce que l'esclave vénérait, pour Laquelle elle avait renoncé à toute forme de liberté. La situation était encore difficile à vivre pour Endymion qui devait contempler la jeune et belle esclave se vouant totalement à combler le Désir de sa Maîtresse. Tout en s'abandonnant à ce plaisir, Hélène savait ce que pouvait ressentir l'ancien berger dont Elle avait naturellement saisi l'attirance qu'il éprouvait pour la jeune femme au crâne rasé dont le visage était pour l'instant enfoui entre Ses cuisses, dont la langue léchait Ses chairs intimes et dégoulinantes de plaisir... La Belle Hélène fit un geste bref en direction du mâle qui s'approcha rapidement... Surmontant Son envie de se laisser emporter par la jouissance, Hélène le fixa d'un regard hautain, forçant le berger devenu Son esclave à baisser les yeux, ainsi que le commandait son état désormais... Deux seuls mots laconiques claquèrent :
- Encule la ! dit Hélène d'un ton qui n'admettait nulle réplique
Endymion n'hésita qu'un instant, conscient que plus jamais il ne serait ce berger insouciant qui assouvissait ses désirs sans contrainte. Alors que la contrainte serait maintenant sa raison même d'exister; à quatre pattes, il vint se placer derrière Clytia et sous Le Regard impitoyable et comblé d'Hélène, il saisit l'esclave par les hanches et poussa sa verge déjà dure contre la rosette épanouie, s'enfonçant sans effort dans le cul de sa bien-aimée.
Hélène s'était assoupie à l'ombre de son arbre, laissant ses esclaves vaquer à Son service. Après s'être nourris des restes de leur Maîtresse, Clytia et Endymion avaient trouvé refuge un peu plus loin... Comblée par leurs services un instant plus tôt, La Belle Hélène avait décidé de leur accorder un peu de liberté d'action, sinon de liberté tout court. Ainsi la jeune femme reposait sur un lit de mousse, son corps épuisé totalement abandonné... le berger ne parvenait pas trouver le repos. Enculer la belle esclave l'avait tellement excité qu'il ne parvenait pas à calmer l'érection qui le gagnait au moindre regard ! Il n'avait jamais ressenti une telle tension et il savait déjà que la masturbation dont il se serait contenté voici encore quelques jours ne suffirait pas à l'apaiser. Il était envahi, obnubilé par le désir ! Et si Hélène si Belle était naturellement inaccessible pour un vulgaire esclave, la jolie Clytia, avec son visage fin, la douceur de ses épaules, ses hanches marquées et ce cul si doux à fourrer envahissait la moindre de ses pensées, le faisant bander à nouveau. Il s'approcha donc d'elle qui somnolait et lui caressa l'épaule, sans provoquer la moindre réaction. Il fit doucement promener sa main sur le bras, sur la hanche douce et ronde... sur la cuisse ... Dans son sommeil, Clytia remua lentement, se positionnant sur le ventre... offrant à Endymion la vision magique d'une croupe splendide. Les deux fesses formaient comme deux douces collines, séparées par cette sombre ligne qu'il venait si peu de temps auparavant de franchir pour pénétrer et posséder son anus si accueillant...
Endymion s'enhardissait, caressant de manière de plus en plus insistante les fesses et les cuisses de la jeune femme. Il remonta vers le dos, les épaules, puis jusqu'au crâne lisse et fraîchement rasé de la jeune femme esclave... Endymion sentait sa queue gonfler, durcir, se tendre ! Il était maintenant tout contre Clytia, une cuisse passée autour des siennes, son souffle réchauffant sa nuque... Elle frémissait légèrement dans son sommeil et n'opposait bien sûr aucune forme de résistance. Alors, le berger poussa un peu plus son audace, glissant un doigt dans la raie du petit cul si ferme... passant son autre bras autour du torse de la jeune femme et s'accrochant à un sein rond et ferme... Il la tenait, poussait son doigt dans l'étroit orifice où sa verge un peu plus tôt s'était imposée... Elle sursauta, s'éveillant d'un coup et ne pouvant retenir un cri ! En un instant, Endymion l'immobilisait, fou de désir il la retournait face à lui, l'écrasant de tout le poids de son corps, la maîtrisant de ses muscles secs... Tout en l'embrassant, il poussait sa main entre les cuisses, caressant brusquement le pubis gonflé... Endymion n'avait plus aucune retenue. Brutalement extirpé de ses naturelles habitudes pour devenir esclave, il s'abandonnait à ses instincts primaires de mâle, à ce désir qui le submergeait ! Clytia tentait d'échapper à cet étau qui la maintenait clouée au sol, écartait ses cuisses, à cette bouche qui bâillonnait la sienne.
Alors, elle mordit la lèvre d'Endymion qui poussa un cri et sursauta. Un trop bref instant pour qu'elle put se libérer. Déjà il pesait à nouveau sur elle et, cette fois, poussait son sexe aussi dur et tendu qu'un pieu dans la chatte de la jeune femme. Il n'eut guère le temps d'en profiter, car une douleur fulgurante lui cingla les reins, il se cambra, puis roula sur le côté, assailli par une série de coups de fouet... La plainte de Clytia, puis son cri à lui, avaient réveillée Hélène qui s'était saisie d'un court fouet de cuir tressé, et dont les lanières venaient de marquer le dos du mâle servile. Tandis que dans un geste dérisoire, Clytia couvrait ses seins nus de son bras et resserrait ses cuisses, La Belle Hélène fouettait Endymion à tour de bras. Le mâle, effrayé, rampait en tous sens, comme ivre, ne pouvant échapper à la fureur cinglante de La Belle Maîtresse qui anticipait la moindre de ses vaines esquives. Recroquevillé, prostré, Endymion ne cherchait plus à éviter les coups, il s'y abandonnait sans espoir... Et Clytia voyait avec frayeur tout le mécontentement de sa vénérée Maîtresse qui s'abattait en même temps que le fouet sur le corps désespéré du berger esclave. Enfin, Hélène cessa de frapper, contemplant à Ses Pieds le corps tremblant d'Endymion qui sanglotait...
- Tu n'es qu'une brute... Même pas ! Tu nes quun vulgaire chien de rue ! Et puisque tu te conduis en chien, je te traiterai en chien, dit-Elle avec dédain...
Du bout du pied, elle poussa le mâle encore tremblant, le forçant à se déplacer à quatre pattes, faisant claquer le fouet lorsqu'elle jugeait son rythme trop lent... Elle faisait ainsi avancer le mâle à quatre pattes, en décrivant un cercle...
- Tu n'es qu'un chien, répétait encore Hélène, un chien incapable de résister à ses plus viles pulsions !... Mais je vais te dresser, je vais t'apprendre où est ta place et comment te comporter ... (le fouet claquait en lair !) je vais te faire oublier ce vulgaire appendice qui pend entre tes cuisses ... espèce de chien (claquement encore du fouet !) Et tu vas apprendre à aimer être ce que tu es !...
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!