Nous Nous Regardons

Pour nous, la sodomie est chose courante. Je ne la demande même plus, c'est elle qui souvent me demande de la lui mettre derrière. Si au début elle se mettait en levrette, pour être plus confortable prise, elle reste sur le dos. Je peux ainsi passer de la baise à la sodomie dès qu'elle l'exige. Ma bite connaît parfaitement le passage pour son anus . En plus j'aime ça, elle aussi ? Pourquoi nous gêner?Ce que j'aime en plus est quand elle se masturbe avec le gode. Elle se pénètre profondément. Son sexe est rempli du gode. Elle se le mets profond et moi je regarde. Parfois elle veut autre chose : le gode semble hésiter quand à la destination.
Elle le fait passer d'abord sur le haut de son sexe, contre le clitoris, puis après un premier orgasme, elle le fait entrer dans sa grotte.
Je regarde ses réactions en bandant et souvent en me caressant la queue. Nous ignorons la pudeur entre nous. Elle est les jambes bien ouvertes, le gode en elle, moi à genoux je regarde et son sexe et le gode. Elle aussi me regarde quand je me masturbe. J'aime son regard un peu trouble.
C'est le plus haut de l'amour que nous avons, de nos plaisirs partagés sans nous toucher.
Nous aimons le regard de l'autre quand nous nous branlons. Moi encore plus quand elle se fait l'amour avec un gode, ou deux selon son désir. Des fois dans l'après midi, elle s'isole dans la chambre. Je sais ce qu'elle va faire. J'attends un peu, le temps pour elle d'être nue, de se coucher, d'avoir les godes portée de la main. Je bande rien qu'en sachant ce qu'elle se fait ou va se faire.
J'ai beau l'imaginer, quand je vais la voir je suis toujours un peu déçu ; si elle se baiser ou s'encule je sais que son plaisir est incomplet. Il lui faut mes lèvres, ma bouche sur la sienne.
Quoi de plus agréable à voir que ma femme qui se donne seule du plaisir. De la voir se baiser ou s'enculer. Elle enfonce doucement un gode dans le sexe, le fait aller et venir, comme une vraie queue.

Arrive le moment où elle en veut plus, elle prend l'autre gode, le plus gros, elle le pose sur l' arrière. Doucement, comme je fais, elle se sodomise : si je suis là en me souriant : c'est moi qui lui ai donné le goût de se masturber et de se mettre un gode dans le cul.
Si je suis absent, elle me raconte son orgasme plus tard en se caressant comme en souvenir de ce qu'elle s'est fait.
Souvent elle se baise quand je suis là, elle m'empêche de me masturber pour que j'entre dans son cul. Pour moi c'est différent de la sodomie normale : son cul est encore plus étroit. Ma bite semble forcer pour l'enculer alors que c'est si facile. Pour moi le plaisir est plus fort. D'une part l'entrée est étroite, et par ailleurs je suis obligé de suivre les mouvements de sa main. Mon gland est posé sur sa rondelle, je doit forcer un peu pour arriver dans ses boyaux.
La sarabande commence entre la bite et le gode. Nous ne nous quittons pas des yeux, elle rougit un peu au fur et à mesure que son plaisir arrive.
Elle invente des histoires de cul ? Sont elles vraies ? Je n'en sais rien. Elle fait monter la pressions dans mes couilles. Si, ce qui est fréquent, je suis sur elle, elle pose un autre gode sur mes fesses, me le met quand je suis en elle. Elle doit me le mettre en entier ! Il me semble que mon cul s'élargit sans cesse.
Ma bite entre en concurrence avec le gode qu'elle manœuvre en elle. Je jouis en elle : je n'ai plus assez de sperme pour recommencer aussitôt après. Elle jouit quand ma semence se déverse en elle.
Elle recommence avec le gode : il lui faut plusieurs orgasmes pour être sereine.
Elle prend ma bite dans sa bouche pour la nettoyer comme il convient.