Aveux...
En 1999, jai 32 ans, 2 s et un mari qui ma quittée depuis 2 ans pour « la femme de sa vie »
En plus de la déprime, je suis seule maintenant à devoir assumer la vie de tous les jours, et surtout le loyer qui est est une grosse dépense en région parisienne.
Au fil du temps, peu à peu pourtant je reprends gout à la vie et une première rencontre avec un homme a réveillé ma libido et mon gout du plaisir. Un homme, puis un deuxième, un troisième
Après 2 années difficiles, je retrouve le plaisir dêtre désirée !
Cest à cette période que je fais la connaissance de Nadine dans une des premières salles de fitness. Elle a quelques années de plus que moi mais cest une très belle brune, très mince, et très vite nous devenons copines. Elle aussi est une maman qui vit seule et nous nous voyons de plus en plus souvent en dehors de la salle de sport.. Evidemment, très vite entre copines nous nous confions sur nos peines de curs , nos ex, et les hommes en général
Un jour, Nadine me propose de sortir un soir en boite avec elle. Des années que je ne suis pas allée en boite car mon ex naimait pas ça, alors oui, super ! Nous attendrons quelques temps pour être toutes les deux libres un week end pour pouvoir sortir.
Enfin le week end arrive ! Ma copine mamène dans une boite près de Versailles, le Pacha. Super soirée, comme je nen avais pas connue depuis longtemps. Et je maperçois que Nadine est une habituée de cette boite quand je vois le nombre de types qui viennent lui faire la bise et à qui elle me présente. Au retour, dans la voiture je lui pose la question :
-Dis donc, ten connais des types ici ! Tu as couché avec tous ?
-Pas tous, mais plusieurs quand même !
Et elle éclate de rire en me faisant quelques commentaires sur untel ou untel
Puis cest elle qui minterroge :
-Tas pas envie de tamuser toi aussi ?
-Si bien sûr !
-Alors la prochaine fois quon vient, tu thabilles super sexy, on prend chacune notre voiture et on va à la chasse !
Nous irons ensemble « à la chasse » plusieurs fois et jadorais ça! Jadorais exciter les types sur la piste de danse et choisir celui avec qui je finirai la nuit.
Cétait au printemps 2000, lors dune de ces soirées « de chasse », mon type du soir sappelle Daniel. Et contrairement aux autres, je nai pas du tout envie quil soit juste un coup dun soir. Il me fait jouir comme peu dhommes lont fait et heureusement il nhabite pas trop loin de chez moi.
Nous arrivons à nous voir presque deux fois par semaine et à chaque fois je prends un pied terrible. Pause déjeuner, vite monter dans ma voiture, foncer chez lui. Lui arrive aussi rapidement. Pas le temps de nous parler, juste quelques mots et baiser ! Quelquefois, pas le temps de prendre une douche, et retour au bureau. Pendant une heure au travail, jai du mal à atterrir
Nous ne sommes pas amoureux lun de lautre , mais sexfriends, même si je ne crois pas que le termes existait à lépoque. Une complicité du plaisir !
Plusieurs fois, quand je suis libre le week end, Daniel mamène dans des boutiques de Pigalle pour me choisir des tenues hyper sexy. Jadore !!! Dautres fois, il mamène dans un sex shop et nous choisissons ensemble le film porno que nous regarderons dans une cabine, en baisant ! Une découverte pour moi. E t jadore cette excitation quand je vois les regards des hommes seuls qui nous croisent dans les sex shops
Un soir, au retour dune de ces sorties sur Paris, je suis dans son lit et il me caresse comme il sait si bien le faire. Je suis au bord de la jouissance quand il sort une revue de sous son lit :
- tu connais ça ?
- non, cest quoi ?
- regarde !
La revue sappellait Swing et en la feuilletant je découvre les annonces de centaines de couples, de femmes, mais aussi dhommes, sur toute la France qui cherchent des rencontres sexuelles. Je suis hyper excitée en feuilletant la revue car même si je savais que ces rencontres existaient, pour moi cétait encore au stade du fantasme.
-ça te dit quon rencontre des couples ?
-euh
.oui !
Lidée de faire lamour avec un autre homme devant mon copain et que lui fasse lamour à une autre femme devant moi mexcitait terriblement
Car même si javais connu pas mal dhommes avant dêtre mariée et depuis mon divorce, jamais on ne mavait proposé de pratiquer léchangisme.
Cest lui qui achète la dernière revue, je nosais pas, et ensemble, nous tombons daccord sur les annonces qui nous plaisent de trois couples.
A lépoque, internet nexistait pas, et il fallait une longue procédure de double enveloppe pour écrire aux annonceurs. Et une longue attente pour recevoir les réponses
Peut être 15 jours (oû plus, je ne sais plus bien), un midi quand jarrive chez Daniel, il a reçu une première réponse. Excités comme des fous tous les deux, nous dévorons la lettre. La réponse est conforme à ce que le couple avait indiqué sur leur annonce et ils nous donnent leur téléphone pour fixer un rendez-vous (les portables étaient encore rares !). Au téléphone nous convenons dun soir pour nous rencontrer et ils nous invitent chez eux. Jai le souvenir de limmense excitation et stress mélés au moment oû je rentre dans leur appartement. Daniel prévient le couple que cest ma première expérience de ce genre et tous les deux me rassurent en me disant de ne pas minquiéter.
Un peu de musique et deux flutes de champagne plus tard, je suis beaucoup plus détendue. Je suis assise sur un canapé entre lhomme et la femme et tous les deux commencent à me caresser. Daniel, assis en face mencourage à me laisser faire
Très vite nous serons nus tous les quatre et je me souviendrai toujours de cette première fois oû toutes ces mains me caressaient, fouillaient, écartelaient
Et pour la première fois deux sexes en moi en même temps ! Et que dire des caresses et baisers de la femme
Jusquici je navais fais lamour quavec une seule femme, et je nen gardais pas un souvenir extraordinaire.
Nous rencontrerons ainsi peut être une dizaine couples, je ne sais plus exactement. Mais je sais que jétais chaque fois très excitée à lidée de rencontrer des inconnu(e)s. Autant dans lascenseur dun superbe appartement à 100 mètres des Champs Elysées que dans lescalier dun HLM dune cité de Stains. A chaque fois la barrière du niveau social seffaçait devant le même gout du sexe et lexcitation de linconnu. Et je découvrais aussi mon gout pour les femmes et avant de répondre à une nouvelle annonce, Daniel me demandait maintenant si la nana me plaisait.
Bien sûr, je noubliais pas ma copine Nadine et un soir je lai invitée à venir boire lapéritif avec Daniel. Après quelques verres, la conversation a vite dérapée et je lui ai avoué les rencontres que je faisais avec Daniel. Et à mon grand étonnement elle aussi nous a avoué pratiquer ces rencontres ! Et nous finirons la soirée tous les trois dans le même lit ! Quelques années plus tard, nous « coquinerons » souvent ensemble
Un an auparavant, jamais je naurai imaginé ça, comme jamais je naurai imaginé être moi avec deux hommes, puis une fois avec trois hommes. Ou plutôt, si je lavais bien sûr imaginé et fantasmé, et Daniel ma fait passée du fantasme à la réalité. Et jaimais ça
La belle histoire avec Daniel durera presque un an, jusquà ce quil tombe vraiment amoureux dune autre et arrète nos aventures !
2002, ça fait 11 ans que je bosse dans la même boite et brutalement on apprend que lentreprise vient dêtre rachetée. Et comme toujours des licenciements.
Contre 3 mois de salaire je suis virée
chômage
intérim
Après 6 mois de petits boulots, on me propose une mission de 3 mois en remplacement dune secrétaire en congé maternité. La boite est une PME dune cinquantaine de personnes et je me sens bien. Et dès le 2ème jour, une « bonne âme » me prévient de me méfier du patron « qui est sympa comme ça mais chaud lapin »
Il sappelle Patrick, beau gosse, je pense 45 ou 48 ans et lassurance des personnes qui nont pas de problèmes de fins de mois.
Avec cet homme, une nouvelle étape de ma vie commence et je découvre la vie facile. Les beaux restaurants, les soirées champagne, les belles robes en cadeaux, lamour dans le jardin de son pavillon, des jeux-défis :
-demain tu viens au bureau avec ta mini jupe en cuir, ton porte jarretelles et tes bas résilles et il y a 100 pour toi !
Ou alors en pleine journée au bureau, un appel au téléphone:
-tu vas aux toilettes, tu retires ton string et ton soutien gorge et tu me les apportes
Quand ce nétait pas :
-viens jai un nouveau rosebud pour toi, tu vas le mettre et le garder tout laprès midi
Evidemment, très vite au bureau avec les sourires en coin ou les murmures dans mon dos je réalise que mes « collègues » ont compris la situation. Je suis la nouvelle salope du patron. Et je men fiche ça mamuse même !
Au cours dune soirée avec un peu trop de champagne, je raconte à Patrick les rencontres que jai fais avec Daniel grâce à Swing :
-ça métonne pas, taimes trop le cul toi, un seul type te suffit pas !
-tu as fais des rencontres comme ça toi aussi ?
-bien sûr. Mais jai arrété, trop pénible le système de courrier. Tu es partante pour des rencontres plus directes ?
-comment ça ?
-des rencontres dans des clubs libertins !
-tu en connais ?
-bien sûr !
La première fois oû Patrick mamènera dans un club, cétait aux Chandelles à Paris. Sensation terrible darriver dans une tenue plus que sexy au milieu de tous ces couples qui me frôlent, me caressent en dansant avant de finir à plusieurs, hommes et femmes, sur une des banquettes
Comme toujours, pour mes « premières », je suis un peu stressée. Mais après les Chandelles, dautres clubs pour dautres soirées « couples » puis des soirées « trios », et jy prendrai très vite gout ! Je découvre et jadore cette sensation dabandon et de vraiment perdre le sens de la réalité pour juste jouir, jouir au maximum par tous les pores de ma peau.
Ma mission dans lentreprise de Patrick est terminée et jai repris la rengaine de lintérim. Heureusement lhistoire avec lui continue et lattente de nouvelles sorties maide à supporter les petits boulots quon me propose. Un soir, je ne me souviens plus dans quel club, Patrick me présente à une de ses « copines ». Nathalie a quelques années de plus que moi, mignonne, chatain aux cheveux courts, des piercings aux tétons et aux lèvres. Cest la première nana que je vois avec ces anneaux et jai du mal à les quitter des yeux ! Nathalie est très, très gourmande et jadore sa franchise, son absence totale de retenue. Je suis fascinée quand elle est « partie » de lentendre réclamer aux types « venez baiser la putain ! ». Encouragée par Patrick, Nathalie sera mon initiatrice pour mon premier gangbang
Maintenant que jai mon premier portable, Nathalie et moi avons échangé nos numéros et il nous arrive quelquefois de nous retrouver pour un après midi entre filles. Au cours dun de ces après midi, nous nous arrêtons pour prendre un café et, alors que je me lamente sur mon boulot du moment Nathalie me dit :
-ça te dirait de gagner un peu dargent facilement ?
-comment ça ?
-Patrick ne ta pas dit ce que je fais en dehors des clubs ?
-non
-je pose pour des photographes amateurs. Et évidemment pas des photos de mode ! Il y a assez souvent des types qui me demandent de trouver une autre nana pour poser avec moi. Tu veux essayer ? Il y aura la moitié de ce que je prends pour toi !
Je suis partagée entre la surprise de cette proposition et lexcitation de cette nouvelle aventure :
-tu demandes combien ? est presque malgré moi ma première réaction
-120 mais jai fais 2 fois avec une autre nana et jai demandé 250
-et
.Patrick est au courant ? Il sait que tu me proposes ça ?
-bien sûr ! Cest même lui qui ma demandé de te le proposer
-le salaud !!!!!!!!
Patrick était en déplacement en province durant quelques jours et lexplication au téléphone le soir fut assez orageuse. Puis, petit à petit lidée fit son chemin dans ma tête et quelques jours plus tard jappelais Nathalie pour lui dire que jétais daccord pour un essai.
Elle me rappela le lendemain :
-tu peux samedi après midi ? Il y a un type qui ma déjà photographiée 2 ou 3 fois et qui veut nous avoir toutes les 2 ?
-daccord, je viendrai.
Je me souviens être arrivée chez Nathalie avant lheure du rendez vous et nous avons toutes les deux mis des tenues hyper sexy pour mettre le type tout de suite dans lambiance. Et malgré moi je fus excitée en voyant le type donner les billets à Nathalie
Nous lui avons offert un spectacle bien sûr mais je mis un peu de temps à oublier les déclics de lappareil photo avant de me lacher. Puis il nous photographia en le suçant, lune après lautre ou toutes les deux ensemble. Ou alors, lune devait le photographier quand il baisait lautre !
Revenue chez moi, je ne pus mempêcher détaler les billets sur la table avec un mélange très confus de sentiments : lexcitation davoir connu une nouvelle expérience et la gêne davoir franchit une étape. Car même si jessayais de me persuader que javais été une modèle pour un photographe, une petite voix intérieure me disait quune femme qui fait lamour contre de largent, cest une pute
Le soir je racontais évidemment la séance de pose à Patrick et nous avons fait lamour comme des fous !
Nathalie mappelait alors assez régulièrement pour me proposer dautres séances mais je nétais pas souvent disponible aux jours ou aux heures que souhaitaient les photographes. Je crois que je nai posé avec elle que 4 ou 5 fois.
Un jour, Patrick me prévient quil nous invite un soir au restaurant, Nathalie et moi, pour son anniversaire. Je suis un peu étonnée quil invite Nathalie mais jimagine quil a prévu que la soirée se terminera dans un club. Beau restaurant, très class et heureusement que nous navons pas de voisins trop proches car très vite la conversation tourne autour des séances photos et des soirées clubs. Je surprends plusieurs échanges de regards entre Patrick et Nathalie qui mintriguent un peu. Puis elle se lance :
-dis moi ma chérie à part les séances photos tu voudrais pas gagner plus ?
-cest quoi ce nouveau plan ?
-et bien moi de temps en temps je vais travailler dans une autre sorte de club
-explique, cest quoi ?
-tu as entendu parler des bars à hôtesses ?
-tu fais la pute dans un bar ? à Pigalle ?
-pas à Pigalle, dans un bar pas loin de la Porte de Champerret
Je dévisage Nathalie et Patrick qui me regardent avec un très léger sourire. Je ne sais pas quoi répondre
En madressanr à Patrick :
-tu veux que je fais la pute moi aussi ?
-non je ne « veux » pas, mais si toi tu as envie, tu peux tenter lexpérience ! Je connais le bar oû travaille Nathalie, cest plutôt classe, clients plutôt cadres, le bar discret et la patronne est sympa.
Pendant la fin du repas, tous les deux sont aux petits soins pour moi, en mexpliquant que je pourrais travailler quand je veux, quà chaque soirée je me ferais certainement moins de types que pendant un gangbang en club, et quen plus je serai payée. Je me souviens, les mots tournaient en boucle dans ma tête : « clients », « travailler », « payée »
A la fin du repas, tous les deux me proposent daller boire un verre dans ce bar pour que je découvre le lieu. Et jaccepte. Nathalie téléphone à la « patronne » en lui disant quelle veut lui présenter une copine !
Les premières impressions sont plutôt rassurantes. Je mattendais à voir les néons, photos clinquantes de Pigalle mais ce nest pas le cas. Dès que nous entrons, Martine, la patronne, vient vers nous avec un grand sourire et je suis immédiatement fascinée par elle. Elle a je pense 4 ou 5 ans de plus que moi, magnifique blonde avec des seins qui débordent de son soutien gorge et une voix extraordinaire, un mélange dautorité, de voix éraillée par trop de cigarettes et dune sensualité incroyable !
Martine nous fait la bise et je comprends au tutoiement quelle connaît bien Nathalie évidemment, mais aussi Patrick.
-Bonsoir Martine, je te présente ma copine Patricia qui a envie de travailler.
-Très bien ! Tu es jolieeee !
Je découvre le lieu, il est tôt et une seule fille est au bar et une table est occupée par deux types. Martine nous fait asseoir autour dune table un peu à lécart.
-Nathalie, fait visiter le salon à ta copine !
Javais vu la mini piste de danse, et Nathalie me montre le vestiaire oû les filles se changent, le coin « calins », 5 ou 6 banquettes séparées les unes des autres par de simples rideaux.
-Tu sais, souvent les types viennent ici par 2 ou 3 et souvent ils aiment bien nous échanger rigole Nathalie.
Revenues à table, Martine mexplique les règles : je travaille quand je veux mais je dois la prévenir avant, je serai payée à la fin de chaque nuit en espèces, toutes les drogues interdites etc
Elle mapprend aussi que si 95% des clients sont des hommes, il arrive quelquefois quun couple vient soffrir une fille ! En même temps quelle me parle, Martine a posé ses mains sur mes cuisses :
-cest bien, ma jolie, je suis sûre que tu peux super bien travailler !
Quand nous nous préparons à partir Martine fait la bise, sur les joues pour Patrick et Nathalie, mais pour moi sur mes lèvres. Jadore !
Pendant des jours et des jours lidée de « franchir le pas » tournera en boucle dans ma tête. Jusquà ce que je me décide à téléphoner à Nathalie pour lui dire que jétais prête à essayer. Mais je lui fais me jurer de ne pas en parler à Patrick.
Le jour J, je rejoins Nathalie dans une pizzéria, nos sacs à nos pieds avec nos tenues « de travail ». Je suis hyper stressée, hyper excitée, hyper nerveuse
Nathalie me rassure en me disant :
-tinquiète pas, tu vas voir ça va bien se passer. Et cest plus cool que pendant un gb !
Quand nous arrivons dans le bar, Martine est toujours aussi avenante, et 3 filles sont déjà assises sur des tabourets :
- Bonsoir Patricia, cest bien que tu sois là ! Les filles, je vous présente Patricia, qui est une amie de Nathalie et qui vient rejoindre notre équipe !
Les filles sont jolies et nous nous faisons la bise mais je ne sais pas comment réagir. Car au fond de moi, je me dis quelles doivent penser que je suis une nouvelle concurrente pour elles.
Au fil de la soirée, des hommes arrivent peu à peu. Quelquefois seuls mais aussi souvent deux, quelquefois trois copains ensemble. Quelques uns sont des habitués et Martine me présente à eux comme « notre nouvelle coquine ! ». Nathalie aussi me présente à ses habitués
Etrange sensation dattendre sur un tabouret dêtre choisie. Ce soir là je ferai mes quatre premiers « clients » et ce nest quavec le quatrième que je serai un peu moins stressée et que jaurai un peu de plaisir.
A la fermeture du bar, Martine me remet une enveloppe. Arrivée chez moi, jouvrirai lenveloppe pour étaler sur la table les billets pour la 2ème « cérémonie » de ce genre
Le prix de mes « passes » me sautait aux yeux. Et je me souviens être restée très, très longtemps, avec un mélange de sentiments indescriptibles, à regarder la preuve que javais osé franchir un tabou
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