Un Gentleman Corrompu

Au lycée, on avait plusieurs surveillants, certains étaient sympas, d'autres pas du tout. L'un d'entre eux se nommait Marc, et non seulement il était sympa, mais en plus très mignon, blond, des yeux bleus, un corps musclé. Il était en plus très "gentleman", toujours très galant avec les filles, à les laisser entrer les premières dans une pièce et d'autres choses du même genre.

Toutes les filles du lycée étaient à fond sur lui, mais moi contrairement aux autres le simple fantasme ne me suffisait pas, je voulais passer à l'acte. Ayant un physique de rêve, un corps fin avec de gros seins et de belles fesses, je sentais bien que je pourrais faire craquer ce beau surveillant... Je réfléchissais donc à une stratégie pour le faire succomber à mon charme.

J'en eus l'occasion un vendredi soir : je savais que Marc serait le dernier surveillant au lycée, je fis donc exprès de râter mon bus, et retournai au lycée. Je trouvai Marc et lui dis :

"J'ai raté mon bus, tu peux me rammener chez moi ?"

"Tes parents ne peuvent pas le faire ?"

"Non ils sont pas là..."

"Ok pas de souci je te ramène !"

Je souriai : galant comme il était je savais qu'il ne résisterait pas à l'appel de la demoiselle en détresse, il entrait dans mon piège. Je m'étais habillée en mode "sexy" aujourd'hui : une robe moulante au large décolleté. De quoi faire succomber n'importe quel homme...

Une fois dans sa voiture, je me mis à le bombarder de questions. Au début elles étaient anodines, mais rapidement, je me mis à lui poser des questions plus personnelles, du genre "est ce que t'as une copine ?". Ca ne semblait pas le gêner, alors je lui posais la question la plus tendue :

"T'as déjà couché avec une élève ?"

Il eut l'air surpris :

"Non, jamais !"
_Et y en aucune qui te tente ?" Dis je avec un sourire innocent.

Il me jeta un rapide coup d'oeil, et me répondit :

"C'est interdit.

"

Je souris et lui dis :
"Allez je suis sure que t'en crèves d'envie !"
-Audrey j'ai dit non !
-Je saurais bien te faire changer d'avis. Lui répondis je.

Je me mis alors à caresser son sexe à travers son jean, il grimaça et me dit :

"Arrête !"

Je sentis qu'il me suppliait presque, et surtout je sentis qu'il commençait à bander. Parfait ! Je décidais de lui porter l'estocade. Je déboutonnais son jean, l'ouvrait et sortir son sexe. Trop occupé à conduire, il ne put pas se débattre. Son sexe était tout dur et bien gonflé. Je souris et dis "ose me dire que tu me désires pas ! Vu l'état de ta bite c'est un sacré mensonge !". Je commençais à lécher son sexe, et il frémit, puis je me mis à le sucer, faisant des vas et viens avec ma bouche, jusqu'à ce qu'il gémisse. Il se gara dans un parking désert, sans quoi on courrait à l'accident.

Je continuais à le sucer, allant et venant, lui léchant le gland, le fasant trembler de plaisir. Puis je lui ordonnais de reculer son siège, et je vins sur lui. Je retirais ma robe, puis ma culotte, et m'empala sur sa queue. Je poussais un couinement de plaisir tant c'était bon, et je commençai des vas et viens qui le firent gémir. Très fière de moi, je lui collai mes énormes seins sur son visage, l'étouffant à moitié, tandis qu'il me les lécha. J'accélèrai encore le rythme de mes attaques et son visage se décomposa sous le plaisir que je lui adiminstrai. J'accélèrai encore le rythme, pendant qu'il me caressai tout le corps et lèchai mes sein. Ma poitrine, chaude et molle rebondit sur son corps. La baise est intense, nous gémissons tous les deux, je le regarde droit dans les yeux, et me réjouis de le voir si vulnérable face au plaisir que je lui inflige. Nus dans la voiture, nos corps transpirent à grosses et le plaisir est énorme. J'accélèrai encore le rythme, presque jusqu'à la douleur pour élever encore le plaisir. La température de la baise déjà caniculaire devint tropicale, je le défiai du regard de me résister, je lui mordis le menton et il frémit de plaisir. Nos corps en sueurs se collent et se décollent au rythme de mes vas et viens, faisant un doux bruit très excitant. Je lui pris les mains et les plaquai contre le dossier du siège pour bien lui montrer qu'il est à moi. Je descendis sur son cou puis lui embrassais ses pectoraux, me et je me réjouissais de l'avoir en fin pour moi. J'accélérai encore le rythme, et il se mordit les lèvres pour ne pas gémir. Je pris ça comme un défi, et j'accélèrai encore le rythme bien décidée à lui faire lâcher un gémissement. Il se retient, mais implacable je ne baissai pas l'intensité de mes attaques, et je finis par venir à bout de sa résistance, il lâcha un grand gémissement, et eus un puissant orgasme.

Ravie de ma victoire, je m'effondrais sur le siège passager, épuisée et heureuse. Il me supplie de ne jamais raconter ça à personne et je le rassure. Puis il me ramène chez moi. Et reparts chez lui.