Anniversaire 2

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Instinctivement, j’ai voulu mettre mes mains pour cacher mon sexe mais les menottes m’ont retenu. J’ai serré les jambes mais j’avais ma bite bien tendue devant mes collègues de travail, assises sur le canapé, dans les fauteuils, sur des chaises. Il me prit l’idée de fuir mais elles avaient formé un cercle suffisamment fermé pour m’empêcher toute fuite.
« Bon anniversaire, mon chéri ». Elle était debout, à mes côtés, et je l’ai imploré du regard de me laisser partir.
« Comme tu l’as peut être remarqué, toutes tes collègues sont là, sauf une. Tu avais besoin de t’offrir des séances de jambes en l’air avec elle, tu as fait ton choix et je tenais à ce que chacune voit quel petit salopard tu es. J’ai déjà entamé avec mon avocat une procédure de divorce et tu recevras probablement prochainement la suite. Je te laisse la voiture, tu pourras ainsi continuer à faire le beau dans ton cabriolet. Je garde la maison et dès qu’on en aura fini avec toi, tu prendras tes affaires et tu dégageras. Tu ne me trouvais pas assez bien à ton goût, j’ai déjà retrouvé quelqu’un qui m’apprécie. Philippe, tu veux bien venir ? »
Tous les regards se sont tournés vers l’entrée du salon et un mec d’à peu près 25 ans est entré dans le salon.
« Mon amour, je te présente mon ex. Il tenait absolument à se montrer avec ses plus beaux atours pour son anniversaire. Il aime montrer sa petite bite. Des années que je suis obligée de simuler pour lui faire plaisir. Caroline, si tu le veux bien, redonne un peu de vigueur à son petit bout de viande, puis mesure-le avec la règle posée sur la table. »
Caroline s’est levée, s’est approchée. Quand son bras s’est tendu pour attr mon sexe, j’ai eu un mouvement de recul. Une grande claque sur les fesses de la part de ma femme m’a vite remis en place. Elle a pris ma bite, l’a décalottée et a commencé à me branler. Cette situation humiliante a retardé mon érection mais de nouveau, je me suis retrouvé avec la bite bien raide.


10 paires d’yeux regardaient Caroline mesurer ma bite, attendant patiemment le résultat.
« 12 centimètres et 2, 3 millimètres », mesure accueillie avec de grands éclats de rire.
« Il est monté comme mon mari », dit Marie, « c’est mieux avec une plus grosse ? »
« Aucune comparaison. Philippe me fait grimper aux rideaux. Et vous pourrez le voir d’ici la fin de la soirée. Maintenant, j’aimerais que chacune de vous offre son cadeau à cette petite fiote. Si tu veux bien, Marie, tu vas commencer, j’aimerais que tu lui fasses un beau petit cul tout rouge. Allez, mon chéri, va t’installer en travers de ses genoux. Tu sais combien tu m’as baratinée sur le bienfait de la fessée, combien tu aimerais me faire rougir les miennes, tu vas enfin connaître. »
Comme je ne bougeais pas, elle m’a attrapé par les cheveux et m’a obligé à m’étendre sur les genoux de Marie.
« Vous pouvez changer de place et vous approcher si vous désirez une meilleure vue. Philippe interviendra si ce connard fait preuve de quelques velléités. Et elles se sont toutes regroupées derrière moi pour profiter du spectacle.
Je reçu une première claque sur le fesse droite.
« Plus fort, Marie, je veux ses fesses bien rouges » dit ma femme. Alors, Marie s’est lâchée et plus je gigotais, et plus mes fesses étaient claquées. Le feu me brûlait. Quand elle en a eu fini, ma femme m’a redressé et m’a fait tourner sur moi-même pour que chacune puisse voir mes fesses bien rouges.
« Si l’une d’entre vous veut en rajouter une couche, qu’elle n’hésite pas. Il a toujours eu le feu au cul, alors autant lui accorder ce plaisir »
Mathilde s’est manifestée. C’est vrai que j’avais aussi essayé de la draguer une fois. Ma femme ma tiré une nouvelle fois par les cheveux pour m’obliger à me retrouver en travers des jambes de Mathilde. Elle a d’abord caressé légèrement mes fesses, comme pour me préparer à une nouvelle punition.
« Ecarte les jambes, le spectacle n’en sera que plus beau » m’ordonna-t-elle.
Voyant mon hésitation, elle demanda à Sandrine et Marie de bien vouloir me les écarter et de me maintenir ainsi. Et les claques ont recommencé à pleuvoir sur mes fesses, ce qui était de plus en plus douloureux. J’ai alors songé que je ne pourrais plus m’asseoir pendant quelques jours. Je tortillais des fesses, les serrant et desserrant entre chaque claque. Mes cuisses non plus ne furent pas épargnées. Et c’est du bas du dos aux genoux, que tout rouge je dus me relever et tourner sur moi-même pour montrer le résultat.
« Alors, mon chéri, tu trouves la fessée excitante ? Tu y as trouvé tout l’érotisme que tu recherchais ? De mon côté, je trouve ça génial, quel plaisir de te voir ainsi ».
Je n’ai pas répondu, humilié, vexé. Je n’avais qu’une envie, me toucher les fesses pour essayer d’apaiser la douleur. Ma femme a alors proposé de faire une petite pause et elle est allée chercher à la cuisine rafraîchissement et collation.
Quelques verres ont eu vite fait de dérider la situation et les commentaires ont commencé à fuser. « Tu as bien fait de le corriger, cela fait belle lurette qu’il m’énerve au bureau avec ces je sais » dit Marie. « Il bande déjà moins, ce petit con » rajouta Mathilde. « Comment as-tu pu vivre 20 ans avec ce minable » surenchérit Sandrine.
« Ce n’était que l’apéritif, mon chéri. Tu m’as toujours dit que j’étais très mauvaise suceuse, que je ne savais pas m’y prendre. Alors, tu vas me montrer, nous montrer à toutes comment s’y prendre pour donner du plaisir à nos hommes. Philippe, si tu veux bien, présente-lui ton sexe pour qu’il puisse nous donner une leçon de fellation. Nous avons hâte d’apprendre ». Et toutes se sont mises à glousser, pour me regarder à l’œuvre et peut être aussi pour voir la bite de Philippe.
Ma femme m’a de nouveau attrapé par les cheveux et m’a obligé à m’agenouiller. Philippe s’est présenté devant moi, a ouvert son pantalon, l’a baissé jusqu’à ses pieds. Il a ensuite baissé son caleçon à mi cuisse et a présenté sa bite devant ma bouche.
C’est vrai qu’elle n’a rien à voir avec la mienne et j’ai ressenti un mélange de jalousie et d’humiliation. Toutes les filles se sont approchées pour profiter du spectacle.
« Qu’est-ce que tu attends ? Prends en bouche, suce, fais une gorge profonde. Tu te rappelles tous ces mots, toi le monsieur je sais tout mieux que tout le monde. Montre-nous »
Je n’avais vraiment aucune envie de sucer ce mec à la con mais une grande claque de ma femme me rappela que je n’étais pas en position de discuter. J’ai donc ouvert la bouche et je me suis approché de la bite de celui qui allait prendre ma place. Quelle horreur ce bout de viande dans la bouche. Je n’en aimais ni l’odeur, ni la sensation. Mais d’un autre côté, j’avais un peu envie de montrer à ma femme ce que j’attendais d’elle. J’ai donc enfoncé la bite au plus profond que j’ai pu mais quand elle a atteint ma gorge, j’ai eu l’impression que tout mon estomac le refusait. Surtout ne pas vomir, montrer, démontrer que c’est possible. Alors, je l’ai ressorti de ma bouche et j’y suis allé plus prudemment. J’ai léché le gland en faisant passer la langue autour. Puis je l’ai de nouveau prise en bouche en serrant mes joues, faisant quelques petits allers retour, puis essayé de l’enfoncer un peu plus profondément, et j’ai recommencé. Au bout de quelques minutes, je pense que j’avais pris le pli, je pouvais l’enfoncer plus profondément et plus rapidement.
« Je me sens venir, il suce bien le salaud ». Ma femme m’a aussi pris par les cheveux pour me forcer à garder la bite dans la bouche.
« Vas-y, mon chéri, prends tout dans la bouche et avale. Tu te rappelles, ça n’a aucune valeur nutritive, une femme doit avaler pour montrer son amour »
J’ai senti le sperme gicler au fond de ma gorge. Ma femme a tiré ma tête en arrière pour me libérer
« Maintenant, tu vas le sucer pour le nettoyer. Mets-y beaucoup de soins, nettoie la bien, c’est la bite qui me fait jouir maintenant » dit-elle en ramenant ma tête vers la bite toute fière.
Et je me suis mis à lécher, à nettoyer.
« Il a du être pédé dans une autre vie parce qu’il semble assez doué » dit Marie
« Qu’en penses-tu, Philippe ? », dit ma femme
« Pas mal, il est doué, mais je préfère ta bouche » lui répondit Philippe.

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