La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 378)
Suite de l'épisode N°375 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré
Le Majordome du Château du Marquis dEvans a dû se rendre dans linfirmerie interne du domaine pour senquérir de létat de santé de lesclave e6938 MDE, blessé le matin même. Prétextant quil aurait besoin quant à lui de « soins » dispensés par une infirmière (et soumise-esclave MDE) experte en la matière pour examiner en particulier une bosse apparue de manière soudaine quil aurait au niveau du bas-ventre, il vient de confier à la bouche de la soumise Thaïs MDE le soin de donner tout le plaisir charnel possible au malheureux chien-esclave au nez cassé mais à la queue frétillante et si vaillante depuis quelle a pu enfin sortir de sa cage habituelle. Walter vient dentraîner à sa suite, Mûriana MDE, linfirmière attitrée de toute la Noble Demeure légendaire, qui soccupe en permanence de tout le personnel et de lensemble des esclaves du cheptel. De par ses fonctions qui lamènent à surveiller et à régir par substitution sur lensemble du cheptel et du domaine surtout en labsence du Châtelain, mais aussi grâce à une certaine liberté qui lui est octroyée par Le Maître des Lieux qui lui accorde toute Sa confiance et tient à le remercier de multiples manières pour son dévouement permanent sans bornes, le Majordome na pas lhabitude de prendre des gants, ni des protections particulières, pour se mettre à lécart et se cacher lorsquil veut soctroyer un petit plaisir sexuel et se faire lécher en se servant de la langue et de la bouche dun ou dune des dominé(e)s dont il a la garde. Mais là, exceptionnellement, il décide daller sallonger dans lun des box dont il tire les rideaux qui servent de séparation entre les différents lits du dortoir de linfirmerie, ce qui nest pas sans surprendre linfirmière, qui pour autant apprécie ce geste de discrétion, vis-à-vis des trois autres esclaves malades qui sont présents dans la salle de linfirmerie.
Bien quinfirmière diplômée en titre, ayant exercée professionnellement cette activité en libérale et auparavant en milieu hospitalier, avant de renoncer totalement à sa vie vanille pour sinstaller à demeure aux pieds du Maître Vénéré, Mûriana MDE nen est pas moins après tout que lune des nombreuses humbles esclaves-soumises dévouées appartenant à Monsieur le Marquis dEvans.
Ce qui est pour le moins surprenant, cest que les esclaves sont souvent prêts à tout supporter lorsquil sagit de jeux D/s imposés par Le Maître ou celui entre les mains de qui ils ont été remis, endurant sans broncher fouets et cravaches, mais quils sont très nombreux à avoir tendance à se braquer par peur de la blouse blanche et geindre au « martyr » pour une simple petite piqure dans les fesses ou une prise de sang, sans parler des petits bobos à soigner qui en font hurler certains pour une toute petite compresse dalcool ou de désinfectant. Mûriana MDE avait lhabitude avec ses patients et elle savait comment gérer les plus craintifs, mais elle reste toujours surprise que ceux-là même qui, sous leffet de lexcitation et du plaisir D/s, sont prêts à tout accepter lors de séances plus ou moins hard, et se disent esclaves endurants, voire masochistes pour beaucoup. Ceux-là même qui deviennent si vite nettement plus douillets une fois franchi la porte de linfirmerie, cherchant de la réassurance sils sont fébriles ou malades, attendant protection permanente et marques dattention multiples, ayant besoin de parler et de se confier, ce qui est dailleurs lune des raisons pour lesquelles les règles sont assouplies en ce lieu, afin que chacun puisse exprimer sans crainte de punition et de représailles ses besoins, et aussi ce quil ressent et ce dont il souffre.
Walter vient darracher la blouse de linfirmière sans ménagement, faisant sauter les boutons dans tous les sens, ce qui va obliger la soumise à recoudre les boutons et à réparer les boutonnières déchirées. Mais pour autant la docile Mûriana MDE na pas bronché devant ce geste brusque et plus que brut, qui pourtant lui semblait bien inutile, car elle aurait enlevé sa blouse dinfirmière en moins de 5 secondes sur un simple ordre du Majordome. Mais ce dernier voulait certainement marquer par son geste sauvage et primal lexpression de son pouvoir et de sa virilité exacerbée, tout autant que lempressement qui devenait tendre sa queue qui forme bien évidemment une très grosse bosse proéminente dans son pantalon. Walter est dautant plus excité, que sous le prétexte dun « examen de passage » destiné à mesurer les capacités et la longueur de lappendice buccal de lesclave-soumise Thaïs MDE sur les conseils de Marie, la cuisinière, il sest fait lécher par la chienne à la soi-disant courte langue de lapin pendant 5 minutes, montre en mains, juste avant de descendre à linfirmerie. Cest très volontairement quil ne lui a pas permis daller plus loin en laissant son sexe sengouffrer dans sa bouche pour une fellation en bonne et due forme se réservant déjà pour ce quil avait déjà en tête depuis le matin même, lorsquil avait aperçu linfirmière accroupie soccupant avec une empathie réelle pour le pauvre esclave à terre dont le nez était en sang.
A linverse des autres esclaves du cheptel qui déambulent totalement nus dans les murs du Château, le plus souvent seulement à 4 pattes, Mûriana MDE a la possibilité, et même lobligation par mesure dhygiène, de conserver dans le cadre de ses fonctions une blouse blanche, symbole de ce quelle représente. En dessous, elle est nue, ne portant pas de sous-vêtements. Mais elle porte en permanence lorsquelle est en service une ceinture de chasteté en cuir à code qui lui encercle la taille et passe dans son entrejambe.
Walter ayant fait voler la blouse déchirée en la jetant un peu plus loin, sallonge tout habillé sur le grand drap blanc qui recouvre le lit de malade. Dun petit air narquois et plaisantin, tout en montrant la braguette tendue et le pantalon déformé, le Majordome fait signe à linfirmière de sapprocher :
- Alors, « cest grave Docteur » !
..
- Monsieur Walter, Vous savez très bien que je ne suis pas Docteur en médecine, et que je nai jamais eu ces prétentions-là, faisant seulement de mon mieux pour répondre aux exigences du Maître Vénéré, que je sers.
- Oui, je reconnais, je ne devrais pas dire cela, même si cest lexpression consacrée, car tu nes quune esclave entre ses murs que Monsieur le Marquis tautorise à Le servir en lui faisant profiter de tes maigres capacités de vulgaire aide-soignante de bas-étage
.. Mais voyons voir justement si tu sauras soigner avec tes minuscules compétences acquises, on ne sait où, ce gros « bouton » qui vient de me pousser à lentrecuisse.
. Je me demande même sil ny a pas un peu de liquide blanc épais qui sortirait si on appuyait dessus, heureusement que ce nest pas du pus car sinon je minquiéterais de mon état de santé.
- Souhaitez-Vous, Monsieur Walter, que je Vous examine plus précisément ? Et, mautorisez-Vous à ouvrir ce pantalon pour voir ce qui se passe à lintérieur ?
Mûriana MDE sait très bien ce dont il sagit, mais le ton inhabituel du Majordome qui semble vouloir jouer au malade et au docteur la déstabilise totalement, car elle na pas lhabitude de ce genre de mise en scène médicalisée et érotisée, ayant peu le temps de chômer dans la journée pour rêver à ce genre de fantasmes, surtout que les rôles en sembleraient plus quinversés dans la situation présente. Elle sait cependant comme tous les esclaves quil nest pas question de mécontenter le Majordome si elle ne veut pas recevoir en retour une punition méritée, dont sa fonction dinfirmière ne la dispense nullement. Elle na pas non plus lhabitude de prendre les devants car elle est et reste malgré ses tâches quotidiennes une vraie soumise dans lâme, qui a appris à cumuler et à concilier ses obligations médicales et ses obligations serviles. Elle a conscience quelle est une des rares esclaves du Château qui a conservé le droit et lusage de la parole envers lensemble du personnel et des esclaves, respectant cependant le silence en présence du Châtelain jusquà ce que ce dernier ne lautorise à parler lorsquIL linterroge. Ne sachant plus très bien si elle doit se comporter en esclave obéissante attendant les directives de Walter ou en « Docteur » examinant son « malade », elle reste sans bouger, espérant que la réponse ou des ordres plus précis viendront sans tarder. En fait dordres, ce sont plus exactement des interjections qui mettent un terme à ses doutes.
- Bon, lahurie !!!
. Tu fais quoi ! Crétine dinfirmière immobile que tu fais là ! Tu te décides à louvrir ce pantalon et à me « soigner » comme il faut. Jespère que tu sais au moins ce qui te reste à faire
. Cela fait déjà pas mal de temps de perdu à attendre que tu bouges ton cul. Tu crois que je nai que cela à faire de te regarder dans le blanc des yeux, espèce de bécasse empotée !
Immédiatement, Mûriana MDE baisse les yeux, se rendant compte quelle navait pas adoptée la bonne attitude, un peu prise de court, et quil y a de fortes chances que Walter ne laisse pas cet affront impuni. Elle rougit de honte devant les propos crus du Majordome, que tout le monde dans la pièce a dû entendre et sûrement également lagent de surveillance en poste devant les caméras, comprenant bien, sur le moment pourquoi le Majordome a pris soin de tirer les rideaux de cloisonnement autour du lit pour pouvoir uvrer tout à sa guise à labri des deux caméras qui servent à visionner lensemble du dortoir de linfirmerie. Mûriana MDE redevenue une simple esclave depuis quelle est nue sans blouse, porte autour du cou un collier en acier rond avec en pendentif une médaille sur laquelle est inscrit son prénom et les trois initiales MDE quelle tient à honorer plus que tout. Elle a pour parure également un tatouage fait sur le sein gauche qui représente un caducée entouré dans un cercle qui représente plus exactement un fouet avec une lanière, le tout dessiné sous les trois lettres MDE qui lui sont si chères. Une « carte de visite » permanente que le Châtelain lui a fait tatouer le jour où elle a pris ses fonctions à demeure au Château, renonçant à sa vie davant pour pouvoir être en permanence au service et aux pieds du Maître Vénéré, à qui elle a voué sa vie à tout jamais, quittant sans le moindre regret ses amis davant et le peu de famille éloignée qui lui restait.
Dans sa presque tenue dEve, puisquelle porte également la ceinture de chasteté, Mûriana MDE sempresse douvrir la braguette du pantalon du Majordome, faisant glisser le pantalon sous les fesses pour le descendre jusquà mi-cuisse. Le tissu du boxer de Walter est effectivement très tendu et il y a fort à présager que la verge à lintérieur doit être gonflée au maximum, gorgée de sang. Linfirmière savance pour attr à deux mains le boxer et pour en sortir délicatement le pénis qui ne demande quà se redresser. Avant même darriver à toucher le tissu, elle se reçoit une gifle magistrale qui la secoue et de manière presque instinctive, elle porte la main à sa joue.
- Nooooonnnnn ! Pas comme cela, pas avec tes mains. Tu as du toucher à pleines mains tous ces malades, tu crois que jai envie que tu me refiles tous leurs microbes pour que je me retrouve au lit avec de la fièvre ?
- Mais, Monsieur Walter, permettez-moi humblement de vous faire remarquer que vous ne risquez rien. Tous les lits sont équipés de distributeur antiseptique pour le lavage des mains. Je porte qui plus est des gants de latex jetable pour toutes les interventions qui le nécessitent, et pour le reste, je me nettoie systématiquement les mains avant et après tout autre acte médical. Jai donc les mains propres à cet instant. Je suis dailleurs à lintérieur de ce grand Château, celle parmi tous qui fait le plus attention à la propreté et aux risques dinfection, et ce pour la santé de chacun et en particulier de celle de Monsieur le Marquis dEvans. Vous ne pouvez pas me reprocher ce qui nest pas, enfin !
Walter dune voix qui sest durci réplique.
- Je tai laissé parler pour voir jusquoù irait ton impertinence. Il me semble que depuis que « madame » se la joue « je porte une blouse blanche et je suis linfirmière de service » elle en a oublié plus que de nécessaire les bonnes manières et son dressage de chienne-soumise. Et puis, cest quoi ce « enfin » de la fin ? Crois-tu que je sois homme à qui lon peut lui jeter à la face un « enfin ! ». Tu te crois où, lesclave ? Linfirmerie fait partie intégrante du Château et tu es aux ordres de Monsieur le Marquis et aux miens en son absence ! Le fait de pouvoir parler ne te dispense pas de la plus élémentaire des politesses et la déférence qui mest due. Ne loublie plus jamais !!!
.
Le Majordome fulmine en poussant de grands soupirs, et linfirmière craintive commence à regretter ses propos déplacés, même si sur un plan médical, ils étaient justifiés.
- Tu en serais presque à me donner des conseils et à contester ce que je dis et jexige. Et puis, pour qui tu te prends, noublie pas que tu nes quune esclave MDE comme les autres. Tu mets tes mains derrière ta nuque sans les bouger si tu ne veux pas que je te les cadenasse. Depuis quand un esclave se permet-il de sinterposer en envoyant la main lorsquil est réprimandé. Ne sais-tu pas que chaque punition non correctement exécutée est immédiatement doublée.
Linfirmière se positionne comme cela lui a été ordonné et reçoit aussi sec deux nouvelles gifles magistrales, ce qui lui laisse la joue gauche qui avait déjà rougi la première fois encore plus en feu, car les larges mains de Walter ne sont pas des plus tendres quand il ne se retient pas, même sil sait très bien comment donner une bonne baffe sur le gras de la joue sans quelle soit dangereuse, mais assez percutante quand même pour faire réagir celui qui est ainsi admonesté. Le Majordome att Mûriana MDE par lanneau qui pend à son cou et loblige à se courber de manière à approcher sa tête juste au-dessus du boxer.
- Avec tes lèvres et tes dents, pour continuer à mexaminer. Jespère au moins que tu tes lavé les dents après le déjeuner, car tu fais moins la finaude maintenant que tu nas plus ta blouse blanche qui te sert de protection, et que tu as un peu de plus de rouge aux joues pour te rendre moins pâlotte.
Mûriana MDE se doute quil vaut mieux ne pas répondre, même pas pour confirmer quelle sest lavé les dents, pouvant profiter amplement du fait que linfirmerie est équipée de sanitaires avec lavabo, et cela bien évidemment tous les jours, matin, midi et soir, après les repas quelle a la chance de pouvoir prendre à linfirmerie, ou exceptionnellement dans le réfectoire du personnel lorsquil ny a aucun malade alité, ce qui lexonère daller manger dans la salle commune où se trouvent posées à même le sol les gamelles de tous les esclaves, remplis de leur pâtée habituelle. Ouvrant la bouche et essayant de pincer le tissu sur le côté avec les lèvres, elle se trouve gauche pour défaire le boxer, craignant de lattr à pleine dents et de faire mal au Majordome qui ne manquerait pas de se plaindre et de la rudoyer pour sa maladresse si elle avait le malheur de lui tirer sur un poil, ou même pire de toucher ou de pincer sa queue qui semble bien commencer à simpatienter, cherchant à sortir du rempart de tissu.
- Cest bien ce que je disais, on voit bien que tu nes pas douée à grand-chose, dès que tu nas plus tes instruments dans les mains. Tu me semblais un peu plus salope et débauchée lorsquau début, tu étais en dressage au Château. Cest sûrement à force de vivre dans cet endroit entouré de malades qui ta fortement assagi. Il est temps que je te fasse voir un peu du ciel bleu, si tu le mérites
. Ce qui pour lheure nest pas encore gagné !
Walter dune main leste posée sur la nuque de linfirmière la force à sécraser sur son bas-ventre, létouffant presque de son geste puissant.
- Tu ouvres la bouche, tu atts le boxer et tu le vires delà si tu veux que jenlève ma main
(A suivre
)
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